Monsieur Attilio

BÊTA PUBLIQUE

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- J'adore dompter les petites chiennes de ton espèce....

Il a lâché ma tête pour s'abattre de tout son poids sur mon corps. Son gros ventre écrasait mes reins. Ses jambes lourdes ouvraient les miennes. Je criais de plus en plus fort. J'arrivais pas à me débarrasser du bâillon. Il a réussi à ouvrir son pantalon. Quand j'ai senti son sexe contre ma raie. J'ai failli m'évanouir. Ses grosses cuisses poilues frottaient contre les miennes.

- Aujourd'hui je vais être sympa avec toi.... C'est moi qui fournit la crème....

M. Attilio m'a bloqué la nuque d'une main tandis que les doigts de l'autre me badigeonnaient la raie d'une crème froide et glissante. J'avais beau me débattre, je n'ai pas échappé au doigt qui a perforé mon anus pour bien lubrifier mon sphincter. J'étais complètement impuissant sous une telle masse de muscle.

- Allez ma poupée.... Le grand jour est arrivé pour toi....

M. Attilio à positionné son gland contre mon anus. Puis il m'a étranglé des deux mains pour que je ne bouge plus. Avec une souplesse remarquable pour sa corpulence et son âge. Il a poussé son sexe à coup de bassin.

- Putain, je rêvais depuis longtemps de casser le fion d'un pt'i jeune comme toi....

J'ai cru que mon cul avait éclaté. Son gros sexe m'a ouvert en puissance. Le lubrifiant jouait parfaitement son rôle. Même en serrant mes fesses de toutes mes forces; je n'arrivais à rien.

- Je vais te calibrer la rosette mon pt'i chéri

La douleur devenait insupportable. J'avais la voix cassée dans ma chaussette. Les gros doigts serraient mon cou. Le bassin tapait de plus en plus fort contre mes fesses. Chacun des coups faisaient entrer son sexe de plus en plus loin dans mon fondement.

- Dommage que ta mère te voit pas te faire mettre... Son petit chéri adoré en train de se faire enfiler.

Il a donné encore deux coups de reins. Quand j'ai senti ses poils contre mes fesses, j'ai arrêté de bouger et de crier. Cela ne servait plus à rien. Je ne pouvais plus échapper à mon concierge. Il venait de gagner et il était le vainqueur de ma vaine tentative. J'étais prisonnier de sa bitte.

- T'es bien chaud en dedans.... Une vraie petite pute....

M. Attilio a lâché mon cou pour me saisir aux épaules. Je n'ai plus bougé. Il m'a tranquillement sodomisé. Sa grosse bitte m'a ouvert le fondement. La douleur s'est un peu atténuée. J'ai subi la loi du mâle les larmes aux yeux.

Le corps du quinquagénaire s'agitait sur le mien. Ses vêtements griffaient ma peau. Son sexe dilatait inexorablement mon cul et mes reins. J'avais mal, j'étais vaincu. J'étais un vrai enculé.

- Je vais te remplir à ras bord ma petite chienne chérie....

M. Attilio s'est vidé dans mes intestins. J'ai rien senti.

- Dis Merci.... Allez dis-moi Merci...

Il m'a claqué le crâne... Plusieurs fois...

- Merci...

- Merci qui salope!

- Mer... Merci M. Attilio

Quand il m'a libéré, j'ai eu froid au cul. Il s'est essuyé le sexe avec mon slip. Il est parti. Mon trou coulait. Je me suis aperçu que j'avais fait pipi sous moi. Je me suis tenu le ventre en allant au toilette pour chier. J'étais au-delà de la honte. Tous mes repères avaient volé en éclats.

Sur mon lit souillé trainait un tube de gel intime à moitié vide et mon slip tout taché de traces brunes odorantes, mélange de gel intime, de sperme et de merde.

oooOOooo

Le lundi suivant, M. Attilio ne m'a pas touché, il a bu son café et ne m'a pas laissé le choix. Il me voulait pour le lundi suivant épilé. Entièrement y compris mon pubis. Il est parti sans me toucher.

Le lundi suivant, je me suis complètement rasé et épilé devant lui. Je me sentais plus nu que nu. Plus humilié que jamais. Il est parti satisfait sans me toucher.

J'étais humilié mais aussi frustré, comme en manque.

C'est ce dernier point qui m'a foutu la trouille.

Le lundi d'après; je venais juste de finir de me raser quand il a frappé. Je ne pouvais plus faire ma toilette devant ma mère. Je suis resté nu devant lui. Il m'a tout de suite mis un doigt dans le cul. Le doigt s'est difficilement enfoncé en me griffant le muscle. J'ai poussé un petit cri dans ma chaussette.

- Je veux que tu sois tout le temps bien lubrifié... Aussi humide que la chatte de ta salope de mère...

J'ai baissé la tête. J'ai dû me lubrifier l'anus devant lui pendant qu'il prenait son café. Il a vu que j'avais encore quelques poils blonds autours de mon trou. Il les a ôté lui-même avec une pince à épiler. Ça m'a fait mal.

- Fais-moi visiter la chambre de ta mère.

Il m'a donné une baffe puis une seconde parce que je n'avançais pas assez vite à son goût. Je lui ai montré la chambre de ma mère. Il a fait le tour, a ouvert les tiroirs d'une commode. Ses grosses pattes poilues ont fouillé dans les sous-vêtements.

- Pour qui elle met tous ses super sous-vêtements ta mère?

Je ne savais pas moi-même. On ne parlait jamais de cela ensemble. Elle avait certainement une vie intime. J'en savais rien. Je connaissais ses vêtements, mais je ne m'étais jamais posé de questions.

- Et votre linge sale, vous le mettez ou?

Nu et la bouche toujours écartelée par le bâillon, je lui ai montré la panière de linge sale dans la salle de bain. C'était une grande panière en osier tressé, presque pleine. C'est la femme de M. Attilio qui venait faire la lessive une fois par semaine.

- Vide-la dans la baignoire

Il y avait beaucoup de linge de toutes sortes. M. Attilio a saisi deux slips sales de ma mère. Il les a roulés en boule. Il est venu vers moi, m'a arraché la chaussette de la bouche pour la remplacer par les slips de ma mère. Ça m'a fait mal. Pas physiquement non, cela m'a fait mal au moral de me servir des slips de ma mère comme bâillon.

- Dorénavant je veux que tu me reçois avec ce bâillon. Elle a de la jolie lingerie ta mère. Faut en profiter. Et oublie pas de te faire un lavement...

A partir de ce jour, c'est comme cela que j'ai dû recevoir M. Attilio plusieurs lundi d'affilé. Je lui ouvrais nu avec deux slips de ma mère dans ma bouche. Toujours nu, je lui servais un café très fort qu'il sirotait en m'auscultant de le tête aux pieds pour vérifier si je m'étais bien épilé le bas ventre et si mon trou était bien enduit de vaseline. Je devais lui montrer ma raie en me cambrant du mieux possible.

Quand il avait fini de boire son café, il se levait pour m'enculer sur la table de la cuisine. Je devais me coucher à plat ventre, jambes dans le vide et fesses ouvertes. Je ne le voyais pas sortir son sexe. Je devinais qu'il se masturbait en me regardant avant de s'enfoncer dans mes reins lubrifiés et offerts.

Il m'enculait en prenant son temps et il adorait me donner une fessée en même temps. Je serrais les dents car il me faisait mal et je criais dans les culottes de ma mère....

oooOOooo

Et tous les lundis, M. Attilio m'a ouvert le trou jusqu'à ce que son sexe me pénètre sans aucun problème. J'avais pris l'habitude de lui offrir mon trou sans rébellion, ni révolte. Je subissais la loi de sa queue en bavant dans les slips de ma maman. Sans oublier de me laver les intestins avant sa venue.

Quand il a vu que je ne criais plus, il m'a autorisé à ne plus mettre de bâillon dans ma bouche. Mais une autre période a commencé.

M. Attilio trouvais que j'avais trop de poils sur les fesses et a ramené un lundi un crème épilatoire très forte. Je me suis enduit les fesses devant lui. Au bout de quelques secondes, ma peau rougissait et me brûlait.

J'ai dû garder la pommade pendant un quart d'heure et j'avais envie de pleurer tant mes fesses me piquaient. L'eau chaude d'une bonne douche m'a débarrassée de la pommade et mes fesses toutes rouges étaient complètement épilées, lisses et douce.

M. Attilio m'a dit que maintenant j'avais un vrai cul de femme et un trou aussi souple qu'une chatte. Et tous les lundis suivants, j'ai dû m'appliquer cette crème après avoir bien rasé les poils de mon pubis.

Les séances de sodomie se succédaient et étaient longues car M. Attilio mettait beaucoup de temps avant de jouir. Après chaque séance, je restais seul le cul en feu, le ventre dévasté, et mon anus boursouflé, et toute la journée, j'avais comme l'impression que mon trou resté ouvert.

De toute manière, il coulait jusqu'au soir, relâchant le sperme de M. Attilio mon concierge.

Puis un lundi, après avoir bu son café et alors que je prenais la pose habituelle, M. Attilio m'a entraîné dans la salle de bain. J'ai dû à nouveau vider la panière de linge dans la baignoire.

Il a fouillé les vêtements de ma mère avec ses gros doigts boudinés. J'avais envie de lui interdire, mais je n'avais pas la force.

- Samedi soir, ta mère est rentrée très tard...

J'ai compris qu'il nous espionnait.

- Elle était habillée vachement sexy..... Elle portait des bas noirs.... Je suis sûr qu'elle a dû passer une excellente soirée....

Du tas de vêtements, il a sorti une paire de bas noirs et un slip assortis. Il les a portés à son visage pour les sentir longuement. Il a surtout plongé son nez dans l'empiècement de la culotte.

- C'est bien ce que je pensais.... Ça sent la femelle bien excitée.... Ta mère, elle a du bien mouillée samedi soir.... Je me demande bien par qui elle se fait troncher cette salope....

J'avais envie de lui casser la gueule. De le tabasser.

De lui éclater son gros visage rougeaud de poivrot.

La fine dentelle noire, enveloppait le gros pif veiné. Il plongeait son visage dans les bas noirs et le slip si fragile. Je l'entendais respirer dans la lingerie et j'étais désespéré de le voir se régaler des odeurs intimes de ma mère.

Il a mis les vêtements dans la poche de son blouson et je n'ai rien fait pour l'empêcher.

- Comme souvenir....

Puis en me fixant droit dans les yeux, il a ouvert sa braguette sous son ventre proéminent. Il a fouillé l'intérieur pour sortir son engin. Aussi curieux que cela puisse paraître, c'est ce lundi que j'ai vraiment vu son sexe.

Il le tenait par la base en le pointant vers moi. Pas très long mais très épais et avec un gros gland. Je me demandais comment un engin d'une telle taille pouvait trouver une place dans mon cul.

- Regarde-la bien.... Je suis sûr qu'elle plairait à ta mère.

Lui ne pouvait en voir que le gland duquel perlait une goutte de jute. Il avait de très grosses couilles qui pendaient bas et une épaisse forêt de poils très bruns. Il a lâché son sexe qui est resté tendu devant moi, puis s'est approché. Son visage était à cinq centimètres du mien. Son haleine sentait le tabac et le vin.

- Tu as une jolie bouche.... Des belles petites lèvres bien rouges et épaisses..... Tu ressembles à ta mère..... C'est dommage que tu sois un garçon..... Enfin si on peut dire vu que ton trou maintenant, il est aussi ouvert qu'une chatte de femme. D'après toi, ta mère, elle se fait enculer?... Si elle savait que son amour de fils se fait tringler comme un malade!... La pauvre.... Tu vas être bien gentil avec tonton Fernand n'est-ce pas?

Il a posé ses deux grosses paluches sur mes épaules et a pressé. De plus en plus fort en me fixant. Je tentais de résister. Il a serré très fort mes clavicules. La douleur est vite devenu insoutenable, et je me suis mis à genoux devant lui.

- Je suis sûr que ta mère est une super suceuse...

Il n'a pas lâché mes clavicules et a maintenu la même pression. Il me faisait mal, très mal. Son gland était à quelques centimètres de mon visage.

- Tu vas me montrer si tu te débrouille aussi bien avec ta bouche qu'avec ton p'ti cul de tarlouze...

Il a serré encore plus fort. J'ai ouvert la bouche sous son gros ventre. Il a posé sa bitte devant ma bouche et m'a tiré vers lui.

- Tu vas bien me sucer mon chou.... J'ai été sympa, je me suis lavé avant de te rendre visite.

Son gland a franchis mes lèvres. C'était chaud et gros. Il sentait l'eau de Cologne bon marché. J'ai ouvert mes mâchoires au maximum. Il a poussé son gros ventre vers mon visage et sa bitte est entrée au fonds de ma gorge, me faisant tousser.

- Tu vas t'habituer... Allez commence à téter.

Au début c'est lui qui faisait coulisser son sexe dans ma bouche puis il m'a laissé faire et quand il a été sur que je ne refuserais plus de le sucer, il a enfin lâcher mes clavicules.

C'est comme cela que j'ai commencé à sucer M. Attilio, mon gardien. Il a était plutôt gentil la première fois, il a jouis sur mon visage.

Les fois suivantes, j'ai appris à sucer une bitte. Comment pomper, lécher, téter, branler. Comment gober des couilles, supporter le goût du sperme et les odeurs de plus en plus fortes de pisse et de sueur....

Je suis devenu une bouche à sa disposition et quand il me rendait visite, j'avais appris à lui dire bonjour en le suçant dans le couloir et lui offrais mon trou après qu'il ait bu son café.

J'étais son esclave sexuel et il utilisait ma bouche et mon cul à sa convenance. Je devais toujours être propre bien épilé.

Et ma mère ne se doutait toujours de rien.

oooOOooo

Poursuivant mon éducation, M. Attilio me demandait de plus en plus de choses dégradantes. La première fois qu'il m'a présenté sa bitte devant ma bouche après m'avoir sodomisé, j'ai failli vomir sur le carrelage de la cuisine. Il m'a obligé à découvrir le goût de mon anus, mes odeurs intimes mélangées à son sperme. J'ai attendu à genoux devant son gros ventre, qu'il me mette son sexe sale dans ma bouche.

J'ai appris à rester couché à plat ventre sur mon lit, bras et jambes en croix à attendre qu'il me couvre de ses cents kilos de graisse et de muscle.

Mais M. Attilio n'aimait pas cette position à cause de son ventre. Pourtant je creusais les reins tant que je pouvais. Il a décidé qu'il me sodomiserait par devant comme quand on baise avec une nana.

J'ai appris à me coucher sur le dos dans la cuisine, sur la table, et me tenir les jambes sous les genoux, pour bien les relever vers mon ventre. Dans cette position, mon trou était offert et ouvert juste à la hauteur de son sexe qui venait transpercer sans obstacle mon anus lisse.

Puis il s'agrippait à mes cuisses et me sodomisait en prenant tout son temps. Il me regardait quand son gland tapait au fond de mon ventre, contre ma prostate. Il disait que j'avais un visage féminin quand sa queue me tringlait.

J'étais maintenant complètement glabre de la taille jusqu'en hauts des cuisses. On ne voyait pas mes autres poils blonds et j'avais maintenant les cheveux plutôt longs. M. Attilio le voulait.

Ma mère trouvait que cela m'allait parfaitement bien.

oooOOooo

Au fil des lundis, M. Attilio me transformait et me soumettait à toutes ses envies, et au bout d'une année, il suffisait qu'il fasse un geste pour que je lui obéisse au doigt et à l'œil.

Par exemple, chaque fois qu'il claquait des doigts, je devais marcher à quatre pattes jusqu'à ma chambre et me positionner à genoux contre mon lit. S'il touchait mes cheveux longs, je baissais mon torse, me cambrais au maximum et écartais les jambes pour qu'il se mette à genoux derrière moi.

Puis un lundi, j'ai dû renverser la panière de linge sale dans la baignoire. Ma mère était rentrée tard le samedi précédent et bien sur M. Attilio le savait. Il a trouvé un petit string de dentelle rouge et des bas noirs. Il les a longtemps humé puis me les a tendus.

- Sens les.... Vas-y sens le fond du slip...

Pour la première fois de ma vie, j'ai senti l'odeur intime, forte et envoûtante de ma mère. J'avais envie de me sauver pour y échapper. Je ne voulais pas le faire. Mais impossible de désobéir.

- Ca sent la mouille d'une bonne salope... Crois ce que je te dis p'ti je connais bien cette odeur... Y en a plein la citée des meufs en chaleur...

M. Attilio a promené le slip et les bas sur mon visage. Mes narines captaient toutes les effluves de ma mère. Puis il m'a flatté les fesses.

- Tu as un très joli petit derrière.... Un vrai pt'i cul de salope en manque.. Je suis sûr que cela t'ira parfaitement..... Allez, maintenant tu vas mettre les sous-vêtements de ta maman....

J'ai enfilé les bas et le slip. Des larmes silencieuses ont roulé sur mes joues glabres. Les bas tenaient tout seuls grâce à des gros bandeaux de dentelle qui camouflaient un élastique. Le slip m'allait parfaitement même si mon sexe mou avait du mal à trouver une place. L'arrière du slip couvrait parfaitement la moitié de mes fesses. Je n'arrivais pas à contrôler mes larmes. Je ne savais pas pourquoi je pleurais.

- T'es mignon tout plein la dedans.... Une vraie jeune fille...

Il m'a tiré par le poignet pour me placer devant la glace de la chambre de ma mère. J'ai été horrifié de me voir dans un tel accoutrement. La dentelle rouge couvrait mon bas ventre et les bas allongeaient mes jambes. On voyait à peine la bosse de mon sexe. Mes fesses paraissaient fragiles, fines et blanches sous les arabesques rouges.

- Dommage que t'as pas de seins.....

Il a écarté le fonds du slip pour introduire un doigt dans mon anus me faisant sursauter.

- T'as un cul aussi accueillant que la chatte d'une femme, c'est normal que tu mettes des sous-vêtements de femme..... Elle est belle ta mère et toi tu es presque aussi belle qu'elle.... Tu vas te pencher contre la glace que je vois bien ton petit cul de donzelle....

Je me suis penché en prenant appuis sur la glace et mes larmes ne se sont pas arrêtées quand M. Attilio a baissé le slip de dentelle sous mes fesses et m'a enculé pour la première fois dans la chambre de ma mère.

- Cambre bien tes reins ma poule...... Je vais bien t'éclater le fion.... Tu vas devenir ma bonne femelle soumise.... Dommage que ta mère peut pas te voir.... Je me demande si elle a remarqué que vous avez la même taille pour les sous-vêtements.... Elle doit souvent baisser sa culotte devant les mâles elle aussi... J'en suis sûr. C'est une chaudasse...

Chacune de ses phrases ponctuait un violent coup de bassin qui propulsait sa bitte tout au fonds de mes entrailles et me faisait tressauter.

- T'es super dans ces bas noirs... Le rouge va bien à ton petit cul de salope..... Je vais te remplir à ras bord.

Il l'a fait, s'est retiré et a remonté le slip.

- Tu sais comment je te veux lundi prochain.... Salut ma poule... Serre les fesses sinon tu risques de salir le slip de ta maman..

Au début, j'avais beaucoup de mal à supporter d'enfiler les sous-vêtements de ma mère. Mais mon fatalisme a vaincu mes réticences et tous les lundis, je mettais un slip et des bas avant de recevoir M. Attilio, qui profitait de mon corps sans me déshabiller.

Je lui ouvrais la porte, les jambes gainées et le bas ventre ceint de dentelles. Dans le couloir, j'ouvrais braguette de son bleu de travail, je sortais son membre que je branlais et je me penchais pour l'engloutir en montrant bien mes fesses enserrées dans un des slips de ma mère.

Puis, j'attendais ses ordres. Une fois par semaine, le lundi, je me transformais en femme et offrais mon corps à notre gardien.

Un lundi, Il a saisi mon visage par le creux de mes joues, m'obligeant à ouvrir la bouche en o. Il a peint mes lèvres avec un tube de rouge.

- Il faut que tu aies une bouche de femme.... Une bonne bouche de suceuse..... Bien grasse..... Laisse des belles traces sur mes couilles.... Vas-y suces bien.....

Un autre lundi, après avoir jouis dans mon anus, il m'entraîne dans les toilettes et se saisit d'un tampon périodique dans le stock de ma mère. Il le pousse dans mon anus. La ficelle dépasse du slip et pend entre mes cuisses. Je dois le garder pour lui nettoyer son sexe avec ma bouche aux lèvres badigeonnée d'un rouge violent.

Un autre lundi, je lui dit que j'ai vraiment très mal au ventre et sous un feu nourri de questions, je dois lui avouer que je suis constipé. Il se moque de moi. Me donne une fessée. Se rend compte que je dis la vérité. Il m'entraîne dans la salle de bain.

- Vas dans la baignoire

Obligé de lui obéir. De me mettre à quatre pattes. Il prend le tuyau de la douche, dévisse le pommeau. Fait couler de l'eau jusqu'à ce qu'elle soit à la température. Il ouvre mes fesses et me plante brusquement le tuyau dans le cul. Il me maintien par la nuque. Je sens mon cul se remplir d'eau chaude. Mon ventre devient lourd. A la limite du supportable.