Mon Mari et Moi Avons été Forcés

BÊTA PUBLIQUE

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Pendant que je suçais André, Bernard continuait à caresser le sexe de mon mari, ce qui fait que P. était en même temps désapprobateur de me voir pomper un autre noeud que le sien et visiblement avait du désir comme le montrait son érection naissante. Je ne perdais pas une miette du spectacle et Simon qui filmait, lui non plus. Bernard cracha dans le creux de sa main libre et vint barbouiller les fesses de mon mari. Puis il lui caressa l'anus. "Sa bite durçit quand je lui touche le trou du cul. Il a l'air d'aimer ça ton homme. Remarque, c'est mieux comme ça parce que je vais l'enculer. Ca serait bien qu'on prenne notre pied tous les deux, n'est-ce pas mon chou?" Il lui perça le sphincter et lui entra son majeur jusqu'à la garde. P. se souleva sur ses avant-bras et eut un mouvement vers l'avant pour tenter de se soustraire à la pénétration. Mais Bernard allongea le bras et l'encula quand même à fond. Puis il vint appuyer sur la tête de P. pour le forcer à la reposer sur le matelas. Il sortit son doigt, en beurra trois et reprit plus largement mon mari.

Je continuais de sucer André, et je sentais son sexe très dur dans ma bouche. Il était très excité par ce qu'il voyait. Je le branlais doucement en même temps que je tétais le gland en essayant de ne pas le toucher avec mes dents. J'essayais d'imiter une professionnelle. J'étais aussi troublée de voir mon mari se faire enculer et avoir une érection. Je me suis touchée. J'étais très mouillée et j'ai commencé à me caresser le clitoris en lubrifiant mon doigt à l'entrée de mon vagin.

Bernard a ressorti ses doigts et a placé son sexe sur la rondelle de P. et l'a pénétré sans difficulté. Il l'a pris aux hanches et lui a bourré le cul sans retenue. P. s'est redressé et je l'ai vu grimacer sous les assauts de Bernard. Mais il ne débandait pas, bien qu'on ne le tripotait plus. Il avait la queue et les couilles qui ballottaient aux gré des coups de bite de Bernard. "Branle toi en même temps que je te prends. Tu vas voir ce que c'est de jouir avec une queue dans le cul. Tu vas aimer, crois moi." Mon mari le fit, d'abord timidement, puis délibérément. Il faisait coulisser son sexe dans sa main droite. Son gland était gonflé au maximum.

Jean et Simon tournaient autour de nous en nous filmant. Ils essayaient d'enregistrer à la fois nos actes et nos émotions. Ils se concentraient sur mon mari pour bien capter ses râles à chaque fois que Bernard le perforait. Son visage était éloquent. Quand Bernard était au fond, il ouvrait la bouche, laissait échapper un son rauque et ses yeux, comme les miens sans doute un peu plus tôt, exprimaient le plaisir dans la douleur. Il a freiné le rythme de sa masturbation. Son sexe était extrêmement dilaté. Il était pilonné de plus en plus rapidement et par contraste, il ralentissait ses mouvements de la main droite. J'ai compris qu'il allait jouir et que c'étaient les coups de Bernard qui faisaient inexorablement monter son plaisir. Il a totalement arrêté son mouvement, tirant au maximum sur sa peau pour tendre encore plus son gland. Il a poussé un long cri en se soulageant. Le sperme a giclé en plusieurs saccades et pendant tout le temps qu'il a déchargé, il a crié. Je ne l'avais jamais vu jouir si fort. "Eh ben mon vieux, t'as drôlement pris ton pied! Tu pourras pas dire le contraire. Mais je te l'avais dit. Ca vient de ce que tu as le cul pris et tu ne peux plus le contracter. C'est comme si tu ne contrôlais plus la situation." Bernard restait collé au cul de P., sa bite au fond de son rectum.

Pendant qu'il le laissait récupérer, j'ai sorti la bite d'André de ma bouche et j'ai commencé à le branler pour le faire éjaculer. Le sperme de mon mari m'en avait donné envie. Je gardais la bouche ouverte et la langue sortie, léchant le frein en dessous du gland. J'ai senti la sève monter et au moment où André giclait, son sexe était entre mes lèvres. Je le pompais en aspirant tout ce que je pouvais pour lui vider les couilles. J'ai tout avalé parce que j'adore ça.

Bernard a recommencé son va-et-vient. Mon mari avait repris son souffle. J'ai vu que les frottements du cylindre dans son rectum le faisait bander à nouveau. Ce n'était pas une forte érection mais son sexe oscillait entre ses cuisses. Bernard a accéléré l'allure. Mon mari était à quatre pattes et ses mains se cramponnaient au drap. Il subissait. Bernard se tenait à ses hanches. Il restait dedans, se contentant de donner des à-coups violents. Il lui tapait l'intestin. Tous les deux bramaient, P. un léger temps après Bernard. La cadence était paroxystique. Bernard frappait le cul de mon mari à un rythme effréné. Il s'est enfoncé une dernière fois, en relevant la tête et en exhalant un long soupir de soulagement, puis il décula, avec un peu de foutre qui gouttait de sa bite.

J'ai continué à me masturber pour jouir moi aussi. André et Bernard me pelotaient les seins, pinçant les tétons. J'ai demandé qu'on me mette une queue dans la bouche. Simon, qui m'avait enculée, m'a proposé la sienne. Je l'ai prise sans réfléchir et c'est la bouche pleine et la poitrine massée que j'ai senti le plaisir venir. Cette fois je n'ai pas fait pipi. Mais j'ai poussé une longue plainte tout le temps que mon vagin se contractait.

Les quatre hommes se rhabillèrent. Mon mari et moi restions prostrés sur le lit. Ils partirent sans un mot. Je me suis levée et je lui ai demandé d'en faire autant et de m'aider à changer les draps. Il est ensuite allé prendre une douche. Moi, je suis restée sale, comme si je voulais conserver cette souillure le plus longtemps possible. Nous n'avons pas échangé la moindre parole. Nous étions très gênés du plaisir que nous avions eu et que nous ne pouvions nier.

Nous avons cru que les choses en resterait là. Mais le weekend suivant, Jean se présenta. Il était seul. C'est mon mari qui l'accueillit et il le fit entrer, sans faire de difficulté. De mon côté, sans pouvoir expliquer pourquoi, j'ai immédiatement été excitée quand je l'ai vu. C'était incontrôlable mais j'ai senti que je mouillais ma culotte.

Jean nous expliqua qu'il avait amené un montage du film et qu'il allait nous le projeter. Il durait une heure et demie, pendant lesquelles nous subissions tout ce que je vous ai déjà décrit. Les scènes qui avaient été gardées montraient la transformation progressive du refus en obéissance, l'acceptation et même la participation de plus en plus active. Ce n'était pas seulement de mon fait. Le film montrait bien que mon mari voulait les coups de reins qu'on lui donnait. Il semblait pousser vers l'arrière quand Bernard s'enfonçait en lui, comme s'il voulait le faire entrer plus profond.

Les films pornographiques me font de l'effet. Mais ce n'est rien à côté d'un film qui vous montre, vous. A la fin de la projection, j'étais dans un tel état qu'il fallait que je me soulage, d'une façon ou d'une autre. Jean et P. s'en sont aperçus tant j'étais rouge. Je n'arrêtais pas de croiser et décroiser mes jambes. Jean s'est levé, m'a prise par la main et m'a entraînée dans la chambre, laissant mon mari sur le canapé.

Il m'a déshabillée lentement, dégrafant mon soutien-gorge, me suçant les aréoles, puis baissant ma culotte. Il l'a portée à son visage et l'a reniflée. Il s'est allongé sur le lit et m'a demandé de venir le chevaucher. Je me suis mise à califourchon sur son ventre, j'ai soulevé mes fesses et Jean a guidé son sexe en moi. La pénétration a été facile puisque j'étais trempée. Ca m'a fait un bien fou! J'en avais tellement envie.

Jean m'a soulevée avec ses mains et il a commencé des va-et-vient. Puis il s'est arrêté, m'invitant à continuer. J'ai levé et baissé mon bassin en cadence, faisant entrer et sortir la queue de ma chatte. Je m'appliquais, utilisant mes muscles vaginaux pour serrer la bite et ainsi reproduire le mouvement de la masturbation. Je voulais faire jouir Jean. J'attendais qu'il éjacule. Lui aurait sans doute souhaité aller moins vite mais il perdit vite le contrôle et je le sentis se vider pendant que je continuais à le traire avec ma chatte.

Nous restâmes sans mouvement quelques instants, moi empalée sur lui, avec son sexe qui se rétrécissait dans mon vagin. P. était à la porte et nous observait. Il avait manifestement assisté à toute la scène et il avait bien vu que ce n'était pas Jean qui m'avait baisée mais bien moi qui lui avait vidé les couilles.

Jean se dégagea. Il me fit m'allonger et se plaça entre mes cuisses pour me faire un cunnilingus. Il était habile, utilisant ses doigts tendus pour frotter l'entrée de ma chatte et de son autre main, caressant mon clitoris. Je n'ai pas tardé à jouir. La masturbation vaginale m'a fait faire pipi. Je giclais très fort à chaque contraction.

Une fois que nous avons été assouvis tous les deux, Jean nous a expliqué que nous n'avions rien à craindre, à condition que nous acceptions de faire ce qu'il nous demanderait. Il nous rendrait visite le samedi d'après pour une autre phase de notre soumission.

Quand Jean a été parti, nous avons gardé le silence mon mari et moi. Cette fois, j'étais honteuse et il était indigné ou peut-être dégoûté.

La période d'incertitude jusqu'au weekend suivant me mis assez mal à l'aise. J'essayais d'imaginer ce qu'on allait exiger de nous. Cela m'excitait de repenser à ce qu'ils nous avaient fait. Mais j'étais inquiète de ce qu'ils allaient nous faire.

La semaine m'a semblé traîner en longueur, ce qui pourrait vouloir dire que j'étais impatiente de subir la suite. Ce n'était pas faux mais je voulais surtout lever cette terrible inconnue.

Le samedi, c'est encore Jean qui est venu, seul. Il n'est même pas entré. Il nous a demandé de nous habiller pour sortir avec lui.

Il nous a conduit en ville, dans un sex-shop. Nous avions très peur que quelqu'un de notre connaissance nous voit entrer. Jean nous a guidé jusqu'à une cabine dans laquelle nous sommes rentrés tous les trois. Il y avait un trou dans un mur, à hauteur de la ceinture. Jean nous expliqua que c'était un gloryhole. Il voulait que nous sucions tous les inconnus qui se présenteraient, à tour de rôle. Il avait un smartphone et il nous filmerait pendant toute la séance.

Il y avait un petit matelas par terre pour un confort très sommaire. Jean me fit signe de commencer. Je m'accroupis et plaçais ma tête devant l'orifice, cherchant à voir si quelqu'un se présentait. Après quelque minutes, je vis un petit zizi passer par le trou. Je voyais les poils pubiens au dessus du sexe et mon champ de vision ne descendait pas en dessous des couilles. L'homme n'était pas en érection. C'était apparemment à moi de le rendre raide.

Cette situation m'excitait terriblement. Je devais faire jouir des inconnus, les uns après les autres, sans qu'eux ne me donnent quoi que ce soit. Je n'avais pas le choix, Jean me semblant tout à fait déterminé à ce que nous assouvissions tous les candidats qui se présenteraient.

J'ai pris la petite queue entre mes doigts et j'ai commencé à la branler jusqu'à ce qu'elle ait de la tenue. Je l'ai ensuite embouchée, sans répulsion, bien que je ne savais pas à quoi ressemblait son propriétaire. Etait-il beau? Etait-il laid? Cela n'avait aucune importance. Je devais faire cracher ce membre et j'allais le faire. Je voulus impressionner Jean par ma rapidité à faire jouir cet homme. Je sortis la queue de ma bouche et la fis coulisser dans ma main, excitant le frein avec le bout de ma langue. Mon client ne fut pas long à venir. Je sentis le sperme arriver et je le gobais, curieuse de son goût et soucieuse de ne rien laisser perdre.

Jean ne perdit pas de temps. Il me releva et força mon mari à prendre ma place. Déjà une autre bite se présentait. Pour P., c'était la première fois qu'il allait sucer un homme et j'étais désireuse de voir comment il trouverait l'exercice. D'un côté un homme peut avoir de la répulsion à prendre une bite dans sa bouche quand il n'est pas homosexuel. Mais d'un autre côté, il sait certainement mieux qu'une femme comment donner du plaisir à quelqu'un de son sexe.

Il commença timidement, en prenant le sexe flasque entre son pouce et son index. Il le mit dans sa bouche sans le décalotter, le suçant comme un bonbon. Mais à la différence du bonbon, ce qu'il avait dans la bouche ne fondait pas mais augmentait plutôt de volume. Il eut bientôt la bouche tellement pleine, qu'il dû sortir le membre. Puis, j'ai vu qu'il commençait à se prendre au jeu. Il tira sur la peau pour faire sortir le gland et le mit dans sa bouche. Il branlait maintenant la bite en même temps qu'il la pompait. Il était clair qu'il n'avait plus d'appréhension et qu'il faisait correctement ce qu'on attendait de lui. Jean se pencha à son oreille et lui dit qu'il devait avaler le sperme sous peine de rompre notre contrat. Nous savions ce que cela signifiait.

Il me semblait que P. était plus précis que moi dans la façon de faire monter le plaisir d'un homme. Il n'agitait pas la queue de façon désordonnée mais branlait avec une cadence légèrement croissante. En même temps, il léchait la colonne, remontant des couilles jusqu'au frein, et là, il le titillait avec le bout de sa langue, toujours en faisant monter et descendre le cylindre dans sa paume. Quand il a senti que le type était sur la montée de la jouissance, il a ralentit l'allure, petit à petit, jusqu'à stopper le mouvement quand il a senti que l'éjaculation était imminente. Il a alors approché le gland de sa bouche et a bravement recueilli le foutre qui giclait au fond de son palais.

Il venait de tailler sa première pipe. Ce ne serait pas la dernière, loin de là. L'inconnu, quant à lui, ne se doutait certainement pas que c'était un homme qui venait de le faire jouir.

Sans délai Jean nous fit permuter. Je me préparais pour ma seconde fellation. Le spectacle de mon mari m'avait sacrément émoustillée. Un sexe noir, de taille respectable au repos se présenta. Je commençait par caresser les couilles et avec l'autre main, je décalottais le gland. Puis je léchais le frein, pour faire durcir le membre, ce qui ne tarda pas. Je dus ouvrir ma bouche en grand pour faire entrer la pine tant son diamètre était hors norme. J'eus envie de me caresser et je rentrais ma main gauche dans ma culotte. Jean se pencha et m'aida à enlever mon slip. Encore une fois, je me suis appliquée à faire sortir le jus le plus vite possible. Je m'inspirais des gestes de mon mari pour perfectionner ma technique et en particulier, j'adoptais le crescendo-decrescendo jusqu'à arrêter totalement mon mouvement au moment suprême. Je fis en sorte, comme P. que la queue me crache au fond. Il suffisait pour cela de la laisser entre les lèvres et d'ouvrir la bouche le plus largement possible. Le premier jet me frappa le dessus du palais. Puis il y en eu d'autres que j'essayais d'orienter vers le fond de ma gorge. Ca me rappelait quand on se badigeonne les amygdales avec un spray. Je déglutis à plusieurs reprises.

Mon mari me remplaça. Jean n'avait même plus à intervenir. Nous étions devenus dociles, si ce n'est consentants, voire même désireux. Mais moi, je voulais savoir si mon mari était excité tout autant que je l'étais. Je lui ai dégrafé son pantalon et je l'ai baissé avec le slip jusqu'au genoux pour voir son sexe. Il bandait. Jean filma cette belle érection qui débutait.

Le quatrième client lui offrait son zob. Cette fois, il ne fut pas timide. Il prit la bite en main, tira sur la peau, sortit le gland et le lécha sur tout le tour. Apparemment notre homme avait dû s'exciter avant de présenter sa queue parce qu'elle était visqueuse. Cela ne parut pas rebuter P. qui au contraire nettoya consciencieusement le pénis. Je comprenais qu'il puisse aimer cela. Pour ma part, je raffolais du liquide pré-séminal, presqu'autant que du sperme lui-même. Puis P. suça, semblant vouloir prendre son temps. Il pompait le dard. Jean lui ordonna de se masturber et il obéit. Je voyais mon mari dans une posture qui ne laissait aucun doute sur son côté homosexuel. Il se branlait en suçant un autre homme. N'importe quelle femme en voyant cela aurait été persuadée que son partenaire s'était inverti. Pour ma part, au lieu de m'en offusquer, ça me stimulait. Je continuais à me toucher la chatte en regardant P. tailler une pipe. Il régla la cadence de sa propre masturbation sur celle qu'il prodiguait de la main droite. Il arrivait à bouger ses deux mains de façon parfaitement synchrones. Il faisait même monter progressivement le rythme. On sentait que son plaisir venait parce que ses respirations se rapprochaient et s'amplifiaient. Je compris que son inconnu allait jouir quand je le vis ralentir et presser la verge entre ses doigts pour faire saillir le bout. Ils ont éjaculé simultanément, l'un dans une bouche, l'autre par terre. Mon mari a poussé une sorte de couinement au moment de l'orgasme. Je vis P. rentrer très vite la queue dans sa bouche et aspirer à fond. Lui aussi voulait vider les couilles de son homme.

Les queues se sont succédées sans relâche pendant plus de deux heures. Nous avons vidé à nous deux soixante trois paires de couilles. Jean était très satisfait. A la fin de la séance, à notre grande surprise, il nous remit cent vingt euros, soit environ deux euros par pipe. Nous comprenions que nous étions devenu ses gagneuses.

Tout cela dure maintenant depuis trois ans. Tous les weekends, nous nous prostituons pour Jean. Pendant la semaine, nous avons une vie normale, au bureau, avec les collègues. Mais, cela vous surprendra peut-être, nous attendons tous les deux le vendredi soir la visite de Jean avec impatience.

Il ne nous emmène pas qu'au gloryhole, mais aussi dans les baraques de chantier, inutilisées le dimanche sauf pour ce que nous y faisons parfois. Je me fais prendre à la chaîne et mon mari, dans un local voisin, se fait enculer par tous ceux qui préfèrent payer un peu moins cher pour se soulager. Le tarif est modeste, ce qui fait que nous avons du succès bien que nous ne soyons plus de la première jeunesse. Pour autant, je ne le fais pas pour l'argent. J'aime cette succession de sexes qui viennent me pénétrer. J'aime ne pas avoir le choix. Quant à mon mari, il a l'air d'y trouver aussi son compte. Il m'a avoué qu'il faisait du zèle en nettoyant les bites avec sa bouche parce qu'il aimait finalement sucer. C'est le gloryhole qui lui en avait donné le goût. Il m'a aussi raconté qu'il se branlait toujours lors de sa dernière passe, en même temps qu'il se faisait prendre. Il aimait retarder son plaisir, savoir pendant toute sa journée qu'il aurait sa part de jouissance à la fin. Il m'a expliqué que l'orgasme est bien plus fort quand il se fait enculer que quand il éjacule dans ma chatte.

Nous sommes aussi devenus nos meilleurs fans. En semaine, mon mari et moi nous regardons tous les films que Jean a fait de nos séances et surtout le premier, qui marque notre entrée dans notre nouvelle vie. Certains passages nous excitent beaucoup et nous faisons l'amour ou nous nous masturbons mutuellement. C'est aussi l'occasion pour l'un et l'autre de voir comment le conjoint se fait prendre quand nous sommes séparés comme sur les chantiers. Car nous sommes toujours filmés, avec plusieurs cadrages et Jean s'occupe du montage pour alterner les gros plans de nos culs, de nos visages et les plans larges. On ne rate rien du plaisir réel que nous avons. Je peux vérifier que comme il me l'a avoué, P. suce bien toutes les bites qui lui passent par le cul et qu'il se masturbe pendant que son dernier client le sodomise. Lui aussi voit que je gicle à chaque fois lors de mes premières passes, ce qui est le signe que je jouis.

Nous avons dû passer nos dernières vacances dans un club à l'étranger. Nous y avons été baisés nuit et jour par tous les hommes et toutes les femmes des groupes qui se sont succédés pendant trois semaines.

Comme Jean me l'avait dit un jour : mon fantasme était d'être forcée. Je voulais que mon mari regarde, impuissant, que des hommes abusent de moi. Je désirais aussi qu'on le souille. J'ai été exaucée au-delà de tout ce que j'imaginais.

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Anonymous
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7 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 2 mois

wahou !!! chaud !!!!

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

c'est je voudrais qu'il nous arrivent la même chose tous simplement génial

AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans
J'en suis jaloux

En parodiant le commentaire de Cocuforever :

La qualité d'un texte réside dans le fait que l'on voudrait être l'acteur du récit.

J'aimerais bien être à la place de P ...

AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans
Excellent

Très beau récit qui semble être un " one shot" au vu de sa fin qui ne semble pas appeler une suite.

il aurait été intéressant de savoir ce que Jean a fait de toutes les vidéos réalisées, et de comment il était remonté jusqu'à elle...

OlivX

CocuforeverCocuforeveril y a presque 5 ans

La qualité d'un texte réside dans le fait que l'on voudrait des suites: c'est le cas ici.

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