Moi, mon époux et la thérapeute

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un couple français suit une thérapie américaine.
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Tous les personnages sont fictifs et majeurs, sans nul rapport avec quelconque personne existante ou ayant existé.

1 - Retour de gala

Je souris dans le miroir de ma coiffeuse. Comme je l'espère, mon mari frappe trois coups timides à la porte de notre chambre. Ca me fait immensément plaisir. Nous redevons amoureux je crois.

Je viens juste de me démaquiller. Il est tard, nous venons de rentrer depuis peu d'un gala de bienfaisance et je rêvais devant le miroir de ma coiffeuse, pendant que mon mari prenait une douche dans la chambre d'amis. J'avais conservé ma belle robe à bretelles spaghettis qui ne soutiennent pas ma poitrine. Je me lève donc pour lui ouvrir la porte et regarde mes seins dans le miroir en passant. Certes ils sont plus lourds, j'ai trente quatre ans et j'ai allaité notre fille pendant six mois. Mais je peux, heureusement, être encore fière de ma silhouette. La peau blanche de mes bras et de mes épaules tranche avec la couleur noire de ma robe...

Stupéfaite je découvre mon mari dans le couloir avec sa grande veste de pyjama, elle lui descend un peu sur les cuisses ; il dort toujours avec une veste. Il n'a pas mis sa robe de chambre et je me doute qu'il est nu en dessous. Il suffirait qu'il monte les bras au dessus de sa tête pour que je vois son sexe.

Je me retiens de rire en portant la main à bouche.

Mais chéri, que fais-tu dans cette tenue? Tu aurais pu t'habiller un peu plus convenablement.

Je ne parlais pas trop fort car la chambre de la jeune fille, Anaïs, une étudiante de vingt deux ans, était proche. Elle garde de temps en temps notre fille Claire pendant nos absences.

René me regarde avec un petit air de chien battu.

Claire, ma chérie, ma robe de chambre est justement sur la chaise à côté de notre lit, je viens la chercher.

- C'est un prétexte pour venir me voir ça chéri, tu n'en as pas besoin pour dormir.

Il a un sourire.

Oui mais demain matin, si je croise l'étudiante en me levant dit-il en chuchotant.

Ce coup-ci j'éclate de rire en imaginant la scène, mon mari croise Anaïs au réveil, il ne porte que sa veste de pyjama qui lui couvrent à peine les cuisses, les jambes nues et son sexe qui se balance en dessous.

Mais je suis heureuse car je sais qu'il est venu surtout pour espérer rentrer coucher dans notre lit.

Mon chéri, tu sais que tu ne peux pas rentrer dans notre chambre, la thérapeute nous a interdit d'avoir des rapports et de dormir séparés jusqu'à notre prochaine séance avec elle.

- Je m'en fiche de la thérapeute mon amour, je n'en peux plus moi...

- Ah dis donc c'est toi qui as voulu que nous allions la voir, c'est toi qui m'a amenée de force dans son cabinet, il faudrait savoir ce que tu veux.

Je souris et le taquine, je sais qu'il commence à trouver le temps long. Et ça commençait à m'intéresser. Il y a longtemps que cela ne nous était pas arrivés, nous étions encéphalogramme plat côté sexe depuis trop longtemps, d'où son idée d'une thérapeute pour couples. Mais ce soir il n'a pas arrêté de me manger des yeux pendant tout le gala. Il faut dire que ma nouvelle robe est très seyante, elle est sur moi comme une seconde peau, montre un peu de mes cuisses mais surtout mes épaules et mon buste. Je la trouve presque trop sexy, surtout à cause de mes seins. Je ne pouvais pas mettre de soutien-gorge, les bretelles auraient fait moche, et je sais que ma poitrine est un peu lourde, je la sentais vibrer, remuer à chacun de mes pas quand je marchais dans mes souliers à hauts talons.

j'étais d'ailleurs intimidée devant nos amis Pierre et Maryvonne. Maryvonne, ma conspiratrice depuis nos études en faculté, n'a d'ailleurs pas manqué de me demander si j'avais l'intention d'envoûter son mari. Nous avons beaucoup ri à ce propos pendant que Pierre et René convoitaient la femme en moi de leurs yeux concupiscents. Je ne peux pas dire qu'il en est de même pour Maryvonne, elle est petite et ronde. Ses bras et ses cuisses ressemblent à des jambons, sa poitrine est forte et son ventre n'est pas tout plat. Il faut dire que depuis leurs deux enfants, Maryvonne aurait bien eu besoin de se prendre en charge. Mais j'aime beaucoup mon amie. Nous sommes assez discrètes toutes les deux et nous ne nous dévoilons pas beaucoup aux autres mais entre-nous nous savons tout l'une de l'autre. J'aime lui confier mes secrets.

Mon mari est comme allumé, il a des yeux nouveaux de reptile gluant errent sur mon corps telle une langue baveuse. Ca me surprend fortement. Je ne me souviens pas qu'il ne m'ait jamais regardé de cette façon là depuis notre mariage, il y a neuf ans maintenant.

- Tu n'en peux plus de quoi chéri? Demandai-je un peu complice.

- Je ne sais pas mon amour, enfin si je sais, c'est ta robe, tu es formidable ce soir, je ne t'ai jamais vue aussi sexy. Je n'en reviens pas. Tu es pudique d'habitude et là tes seins qui se balancent devant tout le monde pendant toute la soirée.

- cela se voyait donc tant que ça?

- Mais enfin chérie, tu as dû te rendre compte tout de même. J'ai vu pas mal d'hommes te lorgner souvent. Même Pierre n'a pas manqué de me dire que tu étais super sexe ce soir, que j'avais beaucoup de chance, qu'heureusement que nous étions amis! Heureusement qu'il était marié et père de famille, sinon il aurait essayé de te draguer m'a t-il dit encore.

J'étais troublée intimement de cette déclaration et sûrement que j'ai dû rougir. Soudain je me remémorais la soirée et me vis presque toute nue au milieu de tous ces gens. Effectivement j'avais bien remarqué plusieurs fois des regards de mâle sur moi et maintenant aussi je me souvenais des regards durs ou rêveurs de plusieurs femmes qui me fixaient des yeux. Imaginer aussi que notre ami Pierre m'ait convoité en tant que femme rajoutait à mon trouble. Je réalisais maintenant qu'il m'avait en effet dévoré des yeux pendant tout le repas, je comprenais aussi pourquoi il bégayait, il était rouge et en sueur pendant que nous dansions quelques passes lui et moi. René lui n'est pas danseur. Pierre n'est pas non plus un grand danseur mais lui seul m'avait invitée sur la piste. Les autres mâles n'ont peut-être pas osé à cause de mon mari présent?

- Pierre a dit ça?

- Oui pourtant tu connais Pierre, il ne cause pas beaucoup.

- Oui je suis d'accord, j'ai dû lui faire beaucoup d'effet alors. Qu'a t-il dit d'autre?

Pendant que nous parlons et je me tiens juste devant l'embrasure de la porte de notre chambre et empêche mon mari d'y pénétrer. Je le regarde et me réjouis soudain d'avoir conservé mes chaussures. Il me semble un peu plus petit que moi. Un sourire m'échappe. Il est plein de désir je le sens. Il a très bien fait au fond de nous emmener voir cette thérapeute avec ses méthodes nouvelles qui arrivaient d'Amérique, encore eux, et allaient révolutionner, paraît-il, le milieu psychanalytique européen. Ça semble fonctionner.

Je m'aperçois alors que René a une érection. Sa veste de pyjama pointe comme s'il avait un revolver braqué vers mes cuisses. Il me supplie maintenant de le laisser juste rentrer prendre sa robe de chambre. Il est nerveux et me promet qu'il n'essaiera pas de se mettre dans notre lit, qu'il tiendra encore une semaine jusqu'à notre prochain rendez-vous comme prévu avec cette thérapeute.

C'est la première fois que je considère mon mari d'une façon tout à fait inattendue. Il me supplie maintenant, s'excite en sautillant sur place comme un petit garçon en colère. Je ne l'ai jamais vu ainsi. Lui si sûr de lui d'habitude, si confiant dans ses compétences professionnelles. Parti de rien, il a réussi à nous hisser au niveau des riches de notre modeste ville, à nous faire intégrer leurs milieux un peu fermés, un peu pédants, un peu hautains. C'est pourquoi d'ailleurs nous étions à ce gala ce soir.

Mais ce qui me surprend plus encore c'est mon attitude à moi. Alors que je ne disais jamais rien d'habitude, que je suis plutôt une épouse modèle consentante et bien comme il faut à tous égards pour son mari ; là je lui résiste et il s'en aperçoit. C'est nouveau pour lui aussi je le vois. Il ne s'impose pas ou alors il essaie mais il n'emploie pas la méthode d'un homme qui veut posséder sa femme.

Je réalise que ça m'aurait plu qu'il ose rompre les prescriptions de la thérapeute, rentre dans la chambre sans demander, me jette sur le lit et me force à lui céder. Comme au tout début de notre mariage, ça lui était arrivé quelquefois.

Je suis moi aussi fébrile, sensible, les nerfs à fleur de peau. Je sens les pointes de mes seins très étirées elles se voient au travers de ma robe, j'aurais été sans doute un peu obscène comme ça pendant le gala. En réalité, il faut dire ce qui est, moi aussi je subis les restrictions de chasteté qui nous sont imposées à tous les deux. Mon ventre est lourd, je mouille ma fine petite culotte. Je songe qu'elle doit être transparente maintenant, j'imagine mes lèvres gonflées, brillantes de rosée, comme une bouche soudain réveillée, gourmande.

J'ai honte, je ne me suis jamais sentie sexuellement excitée de cette façon et cette honte rajoute à mon désarroi. Je me souviens que pendant les deux premiers entretiens mon mari et moi-même, d'abord ensemble, puis séparément, nous avons répondu à énormément de questions posées par la thérapeute. Jamais alors, je ne m'étais sentie aussi nue devant un étranger. Une étrangère pour être précise. La thérapeute Lucille m'a tout de suite plu. Elle est jolie et je soupçonne mon mari de l'avoir choisie aussi pour son physique. Mais ce sentiment de nudité, qu'elle m'a comme inoculé avec des questions très précises, subsiste en permanence quelque part dans ma tête et il remonte à ma mémoire quand mes désirs se réveillent. Je suis persuadée qu'il en est de même pour mon mari.

Je réalise que toute la soirée a été sexuelle. Ma nouvelle robe m'a grandement exhibée. Trop même, j'ai dû le sentir au travers des regards vicieux mais je n'en étais pas vraiment consciente. J'étais encore dans un trip habituel sans saveur, presque morose des soirées plus ou moins imposées. D'ailleurs il y avait beaucoup de vieux. Qu'est-ce qui m'a pris alors d'acheter cette robe? J'avais hésité pourtant mais la vendeuse n'a pas arrêté de me dire que j'étais une très belle femme habillée ainsi. Et la thérapeute n'avait pas arrêté de nous dire aussi : sentez-vous libres, toujours en couple mais aussi un peu comme des célibataires.

Osez répétait-elle souvent!

Je comprends aussi maintenant pourquoi Maryvonne m'a semblé un peu agressive et même un peu jalouse.

Là je suis irritée. Des images nouvelles pour moi et d'une rare obscénité m'envahissent. Pourquoi mon mari ne rentre t-il pas de force dans la chambre. Je le vois lorgner mes seins tendus, je voudrais qu'il les touche, les utilise dans ses mains sans me demander la permission, je voudrais qu'il me renverse sur le lit, soulève ma robe de force, arrache ma culotte. J'imagine en pensées que je me débats, qu'il me fait mal aux seins, qu'il m'a fait mal en tirant ma culotte vers ma poitrine, ca scie mon sexe, mes lèvres brillantes sont dévoilées, elles glissent comme des mollusques, débordent, grosses de chaque côté... J'imagine la queue (ce mot me vient à l'esprit sans que je sache comment) de mon mari qui remonte comme un reptile gluant de ma cuisse vers ma chatte.

Je vois la queue de mon mari en effet, le gland pointe maintenant au travers de sa veste de pyjama. René aussi est dans un état de luxure avancé. Il m'explique qu'il ne veut pas transgresser les prescriptions de notre thérapeute ; il semble même se complaire dans cette obligation.

Il se met soudain à genoux.

Chérie, dit-il en serrant fort ma cuisse de ses mains juste au dessus de mes genoux, je te promets que je n'essaierai pas quoique ce soit envers toi, je n'essaierai pas de t'embrasser, je veux respecter ce qu'à dit la thérapeute, je veux te respecter aussi. Tu vois ça fonctionne mon amour. J'ai du désir pour toi à nouveau. J'étais vraiment trop pris par le boulot, le stress et tout ça mais tu vois, ça nous a fait du bien d'oser sortir, et toi d'oser cette nouvelle robe.

Je suis d'accord avec lui et mon cœur est en amour pour lui mais mes yeux brillent de colère aussi. Pourquoi ne fait-il rien que je veuille comme j'aimerai qu'il me prenne presque de force. Au lieu de ça il gémit à genoux, me serre la cuisse comme dans un étau, et aussi il cherche à frotter sa queue et ses testicules sur mon pied, mon tibia.

Il est presque pathétique, nous parlons à haute voix sans prudence pour Anaïs qui dort tout à côté.

Je suis très nerveuse et la situation me fait rire tout à coup.

Arrête de te frotter comme un chien sur sa maîtresse lui dis-je tout à coup en secouant ma jambe comme pour me libérer.

Il s'accroche plus fort et cherche maintenant à se masturber sur ma jambe, ses yeux sont fixes, globuleux. Je ne le reconnais pas du tout.

Je le laisse faire presque comme une complice de son acte odieux, je secoue encore ma jambe mais pas trop fort, juste pour l'exciter.

Je cherches même à l'humilier davantage.

Tu coules sur ma jambe, arrête René tu es ridicule voyons, arrête, t'as pas honte comme ça devant moi?

Il se concentre dans son accouplement avec ma jambe, son visage se rapproche de ma vulve, s'il soulevait ma robe il pourrait voir ma chatte trempée au travers de ma petite culotte en chiffon, prête, en attente. J'ai honte moi aussi mais je suis très excitée car je sais qu'il sent mon odeur de femme en chaleur.

Soudain il me semble entendre du bruit dans la chambre de l'étudiante.

On dirait que Anaïs se réveille chéri, arrête voyons, elle va sortir dans le couloir.

Son visage est rouge vif.

- Je ne peux pas mon amour, laisse moi rentrer dans notre chambre s'il te plaît, s'il te plaît...

Je suis dans un tel état moi aussi que je me rends complice de son forfait, j'immobilise ma jambe pour qu'il se frotte sur elle plus facilement. Je me baisse vers lui en étant pleinement conscience que ma poitrine déborde alors de mon décolleté, mes seins sont lourds, ils tombent à la renverse s'exposent devant lui sans défense. J'agrippe ses cheveux, rapproche sa tête de mon ventre, lui chuchote près de son oreille

Dépêche toi alors... si elle sort et qu'elle te voit comme ça...

- Oh chérie j'ai aperçu tes seins, ça fait si longtemps chérie dit-il en se frottant toujours mécaniquement.

Cette scène est grotesque, obscène et humiliant pour lui, pour moi aussi.

- Ca fait bientôt quinze jours que tu ne les avais pas vus n'est-ce pas?

- oui chérie, tes seins me manquent, ta chatte me manque, j'en peux plus d'attendre.

- je le vois mon chéri, t'es excité comme un chien, je sens que tu mouilles ma jambe de plus en plus.

Je m'affole moi aussi, me sens comme dans un tourbillon, je voudrais qu'il se redresse et m'empale là dans le couloir, tout de suite sans m'emporter dans notre lit, devant Anaïs peut-être... Tant pis si on se fait prendre par elle. Mais il ne fait rien ça me rend folle mais je tire aussi une grande excitation à le voir se frotter sur moi.

Je me souviens alors des recommandations de la thérapeute, autant que possible, essayez d'éviter d'avoir des rapports sexuels et même si possible évitez de vous masturber. Restez chastes, ce sera mieux pour vous deux. Soyez justes amoureux.

- Arrête chéri criai-je tout à coup!

Croyant sans doute qu'Anaïs allait sortir de sa chambre, il s'immobilisa.

- Anaïs va sortir et tu te souviens des conseils de notre thérapeute, pas de rapports, pas de masturbation non plus.

Son visage blêmit de frustration.

- Arrête ça voyons, c'est ridicule dis-je en voulant libérer ma jambe à nouveau. Je me secouai plus fort pour me libérer tout à fait. Je voulus lui faire peur aussi.

Anaïs va sortir de sa chambre et te voir nu, je te préviens, tu n'auras pas le temps de te cacher.

- Chérie je t'en supplie, j'y suis presque.

Et il recommence à vouloir se frotter sur ma jambe. Alors là je le repousse violemment des mains et ne voulant pas me résister, il tombe à la renverse sur le dos devant moi. Pour le coup je vois sa queue toute rouge, luisante de sécrétions, le gland est complètement décalotté, ses boules sont remontées, plus grosses me semble t-il. Il a dû s'irriter et se faire un peu mal au gland à se frotter sur ma jambe, tellement il est rouge. Rouge violet. Les veines sont saillantes.

J'ai l'impression qu'il se laisse faire, qu'il ne veut pas prendre d'initiatives. Il attend comme ça les avants bras en appui au sol derrière son dos, le regard vitreux, glauque. Il remonte même sa veste de pyjama sur son ventre pour s'exposer comme une fille. Il écarte doucement les cuisses. Je suis atterrée.

Je porte les mains à ma bouche indignée.

La poignée de la porte de la chambre d'Anaïs vient de tourner. Elle va sortir d'un instant à l'autre, c'est certain. Elle va obligatoirement découvrir toute le scène immédiatement.

Je suis moi aussi tétanisée. Je crois que... enfin, ce pourrait être aussi moi à la place de René, mon époux, moi allongée par terre dans le couloir à se faire surprendre d'un instant à l'autre par une jeune fille, certes majeure, mais de douze ans ma cadette. Il me semble, enfin, je ne sais plus très bien mais ... il me semble que ce genre de situation grotesque, humiliante doit arriver plus souvent aux filles, aux femmes, qu'aux hommes. Enfin les hommes... les vrais. Pourquoi est-ce que je songe à cela?

Ca y est la porte de la chambre de notre étudiante est entrebâillée, Anaïs va pencher la tête dans le couloir d'un instant à l'autre.

Alors je ne sais pas ce qui me prend, je réagis rapidement d'une façon surprenante. Plutôt que de m'enfermer dans notre chambre, je soulève mon pied et applique mon soulier noir à talons directement sur la queue de mon mari. Je sens le talon de ma chaussure s'enfoncer dans ses testicules. Je crois que je veux le clouer au sol comme un papillon. En même temps je me cache du mieux que je peux dans notre chambre. Seule ma jambe à la peau blanche, le bas de ma robe noire et ma chaussure vernie noire dépassent dans le couloir. Mon mari est tétanisé. Je sens son sexe palpiter sous mon pied. Il a toujours les cuisses largement écartées.

C'est à peine croyable comme il est faible soudain. Je ne l'ai jamais vu ainsi, je ne me serais jamais imaginée agir de la sorte, c'est une découverte totale.

Je porte l'index à ma bouche et lui fait signe de se taire.

Chuuuut lui dis-je ...

Anaïs est sortie et le voit maintenant c'est certain, mon mari a tourné la tête vers elle. Elle lui parle d'une voix endormie.

- Monsieur, ça va?

Sûrement ne se rend t-elle pas encore bien compte de la situation.

Alors je presse mon pied, sadique, j'écrase surtout mon talon dans ses testicules et j'adore ça. Son sexe pulse soudain du sperme jusque son menton. Anaïs se réveille tout à fait.

- Mais monsieur! Ohhhh monsieur.... Monsieur.....

Je regarde avidement plusieurs jets de sperme fuser sur lui. Il est prisonnier, ne peut plus rien faire jusqu'à ce qu'il se soit vidé c'est sûr. Je vois mon talon blesser, me semble t-il, ses couilles, la peau est tendue, la pointe de mon soulier est profondément enfoncée dans ses chairs.

Vite après je me retire et ferme la porte de notre chambre et m'adosse au mur. Mon dos descend tout le long, je m'écroule au sol les cuisses écartées. J'agrippe ma petite culotte et tire fort dessus, elle me cisaille la chatte. Je me regarde en bas... obscène. J'explose tout à coup.

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