Mère et Fille Séduites

Une fois à l'intérieur, il a lentement commencé à la baiser, Bérengère savait qu'elle appartenait désormais totalement au vieux jardinier noir. Prudence a glissé sa main sous elle pour doigter sa chatte.

Deux heures plus tard, Bérengère regagnait sa chambre, brisée, endolorie mais comblée. Le sperme coulait de ses orifices, mais elle se coucha et s'endormit sans se laver.

Au fil des jours, la mère de Bérengère est devenue encore plus soupçonneuse et inquiète pour sa fille, mais sans pouvoir imaginer ce qu'il lui arrivait.

Finalement, la mère de Bérengère, Diane, échafauda un stratagème pour surprendre le secret de sa fille. Diane se fit conduire en ville par le chauffeur. Elle a congédié le chauffeur en prétendant qu'elle ne savait pas pour combien de temps elle en avait, et qu'elle rentrerait par ses propres moyens.

Immédiatement, elle a pris un taxi pour revenir au domaine. Elle se fit déposer un peu plus loin et traversa les champs pour rejoindre le domaine. Elle se demandait si Bérengère avait un problème de médicaments, ou de drogue, et quelle serait la meilleure clinique pour faire soigner sa fille.

Diane a silencieusement utilisé sa clé pour ouvrir la porte verrouillée de la chambre de sa fille. Diane redoutait ce qu'elle allait découvrir, mais elle faisait tout cela pour le bien et la santé de sa fille. Elle était déjà prête à se mettre en colère, et à lui crier dessus très fort pour lui faire peur, peut importe ce dont il s'agissait, problème de drogue, ou au lit avec Cédric.

Diane s'attendait au pire, mais ça? Bérengère était nue, agenouillée, en train de sucer la bite du vieux jardinier noir. Elle sentit une faiblesse dans ses genoux et se cramponna au chambranle.

Diane ne pouvait pas crier, elle coassait : "Mais, que se passe-t-il, ici?" elle a commencé une tirade qui comprenait des menaces envers Bérengère et le vieux jardinier noir, mais elle bafouillait et dû s'arrêter.

Le jardinier était sur le point de s'expliquer mais Bérengère, à sa grande surprise, parla à la place :

"Tais-toi, maman, et laisse-moi t'expliquer." Sa mère était stupéfaite par le ton décidé de sa fille.

"Cédric ne m'intéresse pas. Cet homme est mon maître. Je lui appartiens maintenant, et nous avons filmé des tonnes de vidéos pornos. Si tu tentes quoi que ce soit contre lui, je les publierai toutes en ligne, avec tous les détails pour localiser ta maison. Si tu nous coupes les vivres, je ferai la pute pour subvenir aux besoins de mon maître. Et je me vengerai en révélant les secrets de famille. J'en sais assez sur les délits d'initié qui ont permis à papa d'acheter ce domaine en escroquant ses clients, certains enquêteurs paieraient une fortune pour mon témoignage."

Diane était stupéfaite, tétanisée. Elle se cramponnait au montant de la porte, bouche ouverte, en vacillant sur place.

Bérengère lui asséna le coup de grâce :

"En fait, maman, c'est simple, tu as le choix. Tu peux partir et déclencher les hostilités entre nous, ou tu peux venir t'agenouiller ici, devant ton nouveau maître, et te soumettre en suçant avec moi cette énorme bite noire diabolique."

Diane restait là, choquée. Le vieux jardinier noir la regardait, émoustillé. Diane avait des hanches pleines et des seins lourds qui aiguisaient son appétit depuis longtemps. Si la fille parvenait à convaincre la mère de les rejoindre, il lui serait éternellement reconnaissant.

Bérengère agita l'énorme bite noire dans sa petite main blanche. La mère se concentra sur cette vision. La tentation, la pression, le silence du domestique, elle pourrait toujours prétendre qu'elle a été forcée. Diane a fait plusieurs pas.

La mère a réfléchi un moment, elle a soupesé le pour et le contre puis, dans sa tenue originale parisienne, elle s'est agenouillée, et a tendu une main hésitante vers la verge que sa fille tenait.

Elle pensa à sa famille, à son cercle d'amis, à la situation exceptionnelle de son mari. Oui, elle pensait à son mariage et à leur honneur en posant sa main sur la bite noire du vieux serviteur. Elle était impressionnée par les dimensions de l'engin, par les veines saillantes, et par cette magnifique couleur noire. Elle admirait la beauté de cet énorme sexe noir rendu brillant par la salive de sa fille, en posant sa bouche dessus, puis elle écarta ses lèvres en fermant les yeux.