L'épouse Lymphatique

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Une mère et sa fille goute au sexe noir.
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Lili était soucieuse, vingt ans déjà que René était entré dans sa vie, vingt ans qu'elle l'aimait plus que tout au monde. Elle n'avait que 16 ans quand elle s'était enfuit de chez elle, le seul souvenir qu'il lui restait était celui d'une main glissée sous sa nuisette et caressant son sexe, au bout du bras, son père. C'est en larme qu'elle vécu l'agression, elle se sentait désarmée et seul, sa mère étant morte 3 ans plutôt, au matin venu, elle déguerpit de chez elle sachant très bien que son père n'oserait pas envoyer la police après elle. Depuis deux jours qu'elle parcourait les rues quand René croisa sa route.

Devant cette adolescente en détresse, René se montra chevaleresque. Après avoir écouté son histoire, ce fut à son tour de s'offenser du méfait paternel. René dix huit ans à peine, l'esprit magnanime, courtisa cette princesse profanée. La juvénile fut conquise assez facilement, René ne vit qu'une solution, partager son petit appartement que ses parents lui payaient pour ses études.

Lili tissa son bonheur autour de René qui se montrait très accommodant devant le moindre de ses caprices. Déjà deux ans qu'ils partageaient le même lit que par temps orageux mais René n'avait toujours eu droit qu'à de simples caresses prodiguées pardessus son sous-vêtement. Lili aimait vraiment René mais elle restait impassible devant les avances sexuelles de René. Désolée du chagrin qu'elle lui causait Lili décida de consulter.

Le verdict tomba, Lili souffrait de frigidité déchargeant René de toute responsabilité. Bien que son pénis soit minuscule, l'andrologue confirma à René que cela ne s'emblait pas être la cause du problème, au contraire selon le gynécologue cela devrait éviter la douleur lors d'une pénétration. Ils convainquirent Lili d'essayer d'être réceptive face au sexe. Une médication aidant à l'inhibition sexuelle, un soir le couple passa à l'acte au grand bonheur de René.

La pénétration fut désagréable selon Lili mais une fécondation eu lieu tout de même lors de cette unique fois. Lili accoucha d'une belle petite fille neuf mois plus tard. Bien que l'union n'avait eu lieu qu'une trentaine de secondes, Lili s'en plaignit tellement qu'ils retournèrent à la bonne vieille méthode manuelle. René avait connu le plaisir de jouir dans le vagin de sa belle pour la première et la dernière fois de sa vie du moins le pensait-il. Par amour pour René, Lili lui permettait quelquefois de se frotter sur ses fesses afin de se soulager à la condition qu'il garde son sous vêtement.

René était aux petits soins pour sa princesse qui malgré son apathie sexuel le soulageait lors que ses testicules devenaient trop chargés. Élodie grandit en voyant son père faire des pieds et des mains pour faire plaisir à sa mère et espérait trouver un jour un chevalier aussi dévoué que lui. Lili reconnaissait les efforts de René et lui démontrait l'affection qu'il méritait.

Plus René se montrait prévenant et compréhensif plus Lili lui permettait des étrangetés sexuelles. Elle ne lui fit aucun reproche le jour ou elle le surprit se masturbant pendant qu'il reniflait la petite culotte qu'elle avait portée la veille.

Lili ne comprenait pas le plaisir que René pouvait ressentir en humant sa culotte sale mais elle constatait qu'il en retirait beaucoup de plaisir en voyant le sperme s'écouler de sa petite bite, de plus comme il se montrait de plus en plus obéissant, Lili trouvait avantageux pour elle de tolérer ses écarts de conduite tant qu'elle évitait la pénétration.

Pendant qu'Élodie grandissait, René accepta de vivre une sexualité bien particulière. Son amour pour Lili était toujours aussi fort ou du moins son désir. Les années passaient et Lili trouvait de nouvelles façons de maintenir son mari dans une dépendance sexuelle complète.

Lili réalisait bien le pouvoir qu'elle détenait sur lui grâce à l'état de désir morbide dans lequel elle le maintenait. Grisée par son pouvoir elle se montrait plus charnelle quand René s'était montré particulièrement obligeant. Sous des apparences d'amour, René glissa dans une soumission avilissante Lili elle développa son coté dominante grâce aux besoins sexuels de son mari.

De son coté, Élodie était intriguée par le control qu'exerçait sa mère sur son père et espérait qu'un jour qu'elle puisse en faire autant avec l'homme de sa vie. Bien qu'encore jeune elle avait déjà commencée à militer pour la libération des femmes du joug qu'elles subissaient de la part des hommes. Qui de mieux placer que sa mère pour la guider. Lili se fit un plaisir d'expliquer à sa fille comment contrôler un homme en le maintenant dans une frustration sexuelle latente. Le tout consistait à savoir contrôler la pression sexuelle et permettre un soulagement en récompense pour une bonne action.

Prenant Élodie en témoin, Lili laissait trainer ses sous-vêtements sales dans la chambre de bain ayant remarquée que René sous une excitation maladive avait prit l'habitude de les mettre pour aller au travail. Élodie était sidérée de voir son père s'abaisser à une telle perversité.

Lili fit exprès pour laisser un soir la porte de la chambre entrouverte. Élodie en première loge, vit son père en petite culotte rose léchant la chatte de sa mère pendant qu'il se masturbait. Lili l'obligea à terminer sur sa chatte et son clitoris. L'excitation étant à son comble, Élodie sentit sa chatte devenir toute mouillée quand elle vit sa mère obliger son père à lécher son dégât. Ce moment là déclencha chez elle un engouement pour les plaisirs charnels.

À l'affût maintenant de la moindre représentation pornographique, un soir Élodie vit sa mère harnaché d'un harnais obliger son père à sucer une fausse bite pendant qu'il se masturbait, l'incroyable se produisit quand elle vit sa mère abaisser le slip de son père avant de glisser la fausse bite dans son cul.

Devant ce spectacle de débauche la main droite d'Élodie quitta un de ses mamelons pour se glisser dans sa chatte baveuse et se prodiguer un puissant orgasme.

Semaine après semaine Élodie fut témoin de l'avilissement de son père. Tranquillement René sombra dans une soumission totale, il perdit toute estime de lui. Son travail commença à en souffrir au grand déplaisir de Jamal son jeune patron. Histoire de changer l'atmosphère, Jamal décida de l'envoyer à la maison mère au Congo pour un mois. Inquiet de l'inefficacité de son employé de plus en plus évident, il l'invita à prendre un verre un vendredi soir après le travail afin d'éclaircir le problème. Ce n'est qu'après quatre bières que René commença à s'exprimer sur le coté le plus pathétique de sa vie.

Jamal Wilson était marié sans enfant il avait à peine 29 ans quand il hérita de la compagnie de son père décédé avec sa mère dans un accident d'auto. Assit devant son employé en pleur, il sentit sa bite se raffermir en entrevoyant l'opportunité qui s'ouvrait à lui, René était à la veille de partir et comme il avait toujours eu beaucoup de plaisirs à corrompre les femmes mariées surtout les vertueuses, l'occasion serait belle. Il adorait user de fourberies pour faire glisser ce genre de femme dans la débauche. Il se souvenait de sa dernière rencontre avec la femme de René, toute la soirée il n'avait eu d'yeux que pour elle, comment oublier la douleur que ses testicules avaient du supporter pour avoir été en érection toute la soirée. Pouvait-il laisser passer une telle chance d'en faire sa chienne, son employé avait besoin d'aide et il avait une certaine expérience dans la façon de régler ce type de problème.

Jamal offrit à René de lui venir en aide, selon lui il n'y avait qu'une seul méthode avec une femme comme la sienne, la casser et la faire mettre à genoux. Étant un assidu des histoires érotiques, René trouvait que cela ressemblait à du déjà lu, l'histoire d'un noir qui séduit la femme d'un pauvre mec et en fait une salope pour queue noir. René aimait sa femme même s'il devait se plier à ses caprices, il n'était pas question de laisser son patron baiser sa femme.

Offusqué suite à l'offre de Jamal, René voulu s'en aller mais comme il se trouvait dans état d'ivresse avancée il du continuer à écouter les propositions de Jamal. Pour couronner le tout, une raideur se développait dans son short et il trouvait bizarre d'être allumé par de telles offres. Jamal à son insu avait glissé un puissant aphrodisiaque dans sa bière et voyant une réaction positive au médicament, il décida que l'heure était venue de reconduire le plaignant chez lui.

C'était vendredi soir et comme elles en avaient pris l'habitude Lili et Élodie revêtues d'un simple shorty pyjama étaient bien installées devant la télé à regarder un film d'amour. Tous deux firent un saut quand la porte du salon s'ouvrit pour laisser entrer René en mauvaise état suivit par un apollon noir. Une odeur de vomit leur sauta au nez, René avait vomit sur son patron. Lili n'avait aucun respect pour le boss de son mari depuis ce fameux soir où il avait tenté de la séduire mais malgré cela, elle se sentit dans l'obligation de nettoyer les dégâts de René.

Sous les recommandations de sa mère, Élodie s'occupa d'aller coucher son père dans la chambre d'ami. Lili elle, conduisit Jamal à la chambre de bain et lui remit une robe de chambre de son mari afin qu'il puisse retirer ses vêtements sales. Jamal lui remit un petit tas de linge qu'elle s'empressa d'amener au lavage. Lili fut troublée lorsqu'elle réalisa qu'elle tenait entre ses mains le caleçon de Jamal, un jacquard string pour homme, c'était la première fois que Lili voyait ça. L'odeur du mâle alpha était omniprésent et comme elle n'avait jamais eu l'occasion de sentir une telle fragrance avant, ce fut plus fort qu'elle, elle porta le tissus aux odeurs charnelles à ses narines, elle ferma les yeux pour en humer les émanations. Pour une des rares fois dans sa vie, elle perçut un tressaillement qui se glissa le long de sa colonne vertébral et éclata tel un volcan déversant sa lave dans l'antre de sa chatte.

Il était trop tard, un simple geste un peu tordu et un désir malsain se glissa dans ses veines. Entre ses cuisses une mouille comme elle n'en n'avait jamais connu, le trouble était dérangeant et elle du se ressaisir pour sortir de cette transe morbide. Lili était de retour dans le salon quand elle vit Jamal revenir de la chambre de bain dans une robe de chambre trop petite pour lui. Ses yeux se posèrent sur l'ouverture avant, Jamal suivit son regard et pour établir les bases de sa séduction, alla s'assoir en face d'elle. Jamal était conscient que de sa position, Lili avait une vue parfaite sur ses attributs. Lili ne pouvait pas retenir sa curiosité, elle n'avait jamais rien vu d'aussi dérangeant de toute sa vie.

L'humidité entre ses cuisses ne cessait d'augmenter, inconsciemment, elle contractait ses cuisses sur son clitoris gorgé de sang. Un prédateur comme Jamal ne pouvait louper cette impulsion des cuisses. Bientôt une déformation majeure apparut au devant de la robe de chambre que portait Jamal. Lili n'arrivait pas à détourner les yeux de la bosse grandissante. Son mouillage était de plus en plus important quand elle réalisa qu'elle se trouvait toujours dans un shorty pyjama et que Jamal appréciait ce qu'il voyait.

Lili ne perdit pas de temps et alla dans sa chambre pour revêtir un vêtement plus convenable. Lili fut prise de honte quand elle se vit dans son miroir. Ses cuisses étaient luisantes de mouille et il était évident qu'elle avait offert à Jamal la preuve de sa tourmente. De retour au salon Lili ne perdit pas de temps pour faire savoir à Jamal à quel point il était indécent et le pria de bien vouloir se tenir correctement. Jamal était offusqué devant l'hypocrisie de Lili.

Cette chienne n'avait pas cessé de regarder son entre jambe et voilà que maintenant qu'elle jouait les outragées. Jamal décida de lui jouer le grand jeu et écarta ses jambes offrant à la vue de Lili son énorme pénis. Lili figea devant cet acte provocateur, c'est la gueule ouverte qu'elle sortie de sa rêverie charnelle. Son expérience des hommes ne l'avait pas préparé à faire face à une telle anomalie. Jamal constata son excitation et lui offrit un sourire de prédateur suggérant avec effronterie que telle une chienne elle demanderait grâce d'ici peu de temps.

Rougissante de s'être fait prendre à regarder son pénis encore une fois elle se leva rapidement, souhaita le bonsoir au patron de son mari et se dirigea vers sa chambre pour aller y cacher l'excitation qu'elle éprouvait face à ce mâle alpha.

C'est dans l'obscurité de sa chambre que Lili glissa ses doigts dans sa chatte visqueuse, une main huileuse bichonnait son clitoris pendant que l'autre toute aussi gluante voyageait entre sa chatte et son anus suppliant. Ainsi put-elle évacuer une partie de la tension sexuelle qui s'était emparée son corps. Une heure plus tard, engluée dans sa mouille et après s'être libéré du trouble qui lui avait fait perdre toute prestance devant Jamal, elle revint au salon avec les vêtements du goujat. Son intention du moins s'était de l'évincer de chez elle.

Jamal n'avait pas perdu de temps, bien décidé à rabaisser cette chienne blanche il avait transféré son dévolu sur la fille du couple. Il savait bien que quand cette chienne verrait sa progéniture ouvrir ses cuisses pour qu'il y glisse sa queue noire, qu'elle ferait tout pour éviter ça et deviendrait beaucoup plus malléable. Le cœur de Lili voulu éclater dans sa poitrine quand elle vit sa fille Émilie se trainer à genoux jusqu'à Jamal. Son innocente fille avait succombé quand Jamal lui avait offert une vue sur sa queue, ses yeux s'étaient posés sur l'entre jambe sombre tout comme sa mère avant elle l'avait fait.

Avec facilité, Jamal avait établit sa domination. Quand il avait planté son regard dans ses yeux innocents, Élodie rougissante, avait sentit une chaleur bienfaisante la traverser. Elle était déjà familière avec ce genre de symptôme qui bien à l'abri dans sa chambre la menait souvent au plaisir et parfois aux abords d'une jouissance qu'elle pressentait être paradisiaque. En pleine jeunesse, sa chatte lui rappelait souvent par sa mouillure, la possibilité de jouissances infinies.

L'humidité entre ses cuisses avait fait son œuvre, on pouvait percevoir son clitoris qui déjà montrait son nez et déformait son shorty pyjama, Jamal aimait le changement de couleur que produisait la mouille de la jeune chatte sur le petit vêtement. Fixant les replis du tissu gorgé de sève, Jamal d'un geste provocateur, passa sa langue sur ses lèvres. Troublée, Élodie referma ses cuisses mais instinctivement glissa une main entre ses cuisses pour amplifier le plaisir naissant. Non ordonna Jamal! Élodie mit quelques secondes avant de comprendre qu'un ordre lui avait été donné.

Élodie regarda Jamal d'un regard interrogateur. D'un regard dominant il lui fit comprendre qu'elle devait rouvrir les jambes. Le corps transpercé de sensations nouvelles, timidement elle s'exécuta, Quand Jamal fit de même, Élodie vit l'entre jambe de Jamal s'éclaircir mais la queue de Jamal restait dans l'ombre. Les hormones d'Élodie venaient de franchir un niveau dangereux, maintenant tout son corps projetait un désir de soumission. Son désir la mena sur le chemin de l'audace, Élodie provocante écarta les jambes un peu plus. Tout le corps d'Élodie émettait une brume de phéromones qui excitait les narines de Jamal huma. Il saliva en voyant le festin qui s'offrait à lui. Ce n'était qu'une question de temps avant qu'il glisse sa langue dans cette jeune chatte gluante.

Jamal l'encouragea en ouvrant ses jambes lui montrant le pieu qu'il glisserait bientôt en elle. Sa virginité n'avait plus sa raison d'être seul le besoin d'extinction du brasier hardent qui la consumait importait et elle voulait que Jamal soit l'homme qui l'éteindrait en lui ouvrant les portes à toutes sortes de débauches sexuelles, lui apprendrait à aimer le sperme que ce soit d'un mâle ou d'une femelle mais la saveur aurait toujours goût du noir. Un nouveau monde lui était offert sans possibilité de retour. Élodie était en plein voyage vers la luxure quand Jamal ayant entendu du bruit venant de l'escalier, décida de frapper un grand coup en lui faisant signe de se trainer à ses pieds. Lili eu juste le temps d'entrevoir sa fille rampant à quatre pattes comme l'indiquait le doigt de Jamal.

«Approche petite salope!» Une rage s'empara de Lili quand elle entendit l'ordre de Jamal mais le pire choc vint quand elle entendit sa fille répondre «Oui Maître» Toujours sur le choc, Lili resta là incapable de réagir face aux évènements qui se produisait sous ses yeux. Elle se croyait à l'abri des regards mais Jamal avait une vue parfaite sur elle grâce au miroir mural.

Élodie dans sa faim incontrôlable de jouissance avait maintenant ses deux petites mains enroulées sur l'énorme phallus, Jamal glissa une main derrière la tête d'Élodie et la guida vers l'énorme champignon violacé qui venait d'émergé du prépuce noir. Lili en transe regardait sa fille lécher le gland monstrueux, une excitation s'empara d'elle en regardant cet acte dégoutant qu'elle n'avait jamais voulu faire, tranquillement elle glissa une main dans sa culotte. Lili était subjuguée devant le plaisir que sa fille retirait d'un tel avilissement. Jamal jubilait de voir cette mère en nage octroyant à son clitoris et sa chatte enflammée des caresses avec une ardeur peu commune. Sûr en la regardant s'auto suffire, la jouissance était imminente

Jamal avait retiré la culotte d'Élodie et lui caressait la chatte. Constatant à quel point elle était trempé, il souleva Élodie et la plaça en position de 69. Pendant qu'elle apprenait l'art de la fellation Jamal pour l'encourager la léchait du clitoris jusqu'à l'anus. Il avait toujours apprécié la sève abondante des jeunes femmes. Quand Élodie commença à basculer ses hanches, Jamal savait qu'il n'avait plus qu'à glisser un doigt ou deux doigts dans sa jeune chatte pour stimuler son point-G et elle le gratifierait d'une décharge abondante.

Lili fut abasourdi de voir l'ampleur de la jouissance que le corps de sa fille bénéficia. Rien dans sa vie n'avait approché un stimulus de cette dimension. Elle regardait Jamal avec sa grande langue cueillir et avaler goulûment la jute gluante de sa fille, contemplait cette même organe disparaître profondément dans l'anus ou le vagin d'Élodie. Devant les gémissements d'Élodie un doute monta en elle, avait-elle manqué quelque chose en renonçant à la sexualité au profit du plaisir de dominer. Sa chatte était venue mouillée à quelques occasions et elle avait éprouvé un besoin d'attention mais elle avait toujours repoussé ce désir du revers de la main.

Poisseuse était sa chatte, elle regardait maintenant l'énorme pieux noir tenté une pénétration dans la petite chatte de sa fille. Bien que juteuse celle-ci refusait la manœuvre, Élodie elle, éprouvait un besoin d'être remplie, pour être bourrée elle le serait. Jamal n'avait plus qu'un but, allé appuyer son gland sur l'entrée de l'utérus de cette jeune chienne et y déposer sa semence. L'utérus d'Élodie partageait le même désir. Une poussée et un plouk, le gros champignon disparut dans le vagin faisant disparaître à jamais les résidus d'une petite fille.

Élodie était noircit à présent, l'anormal gland effleurait son point-G à chaque aller retour, son vagin s'ouvrait de plus en plus exprimant le désir de contact de l'utérus avec une douche de sperme noir. Élodie exprima sa jouissance dans une succession de litanies révélant du même coup sa soumission à la race noire.

Jamal resta à coucher avec Élodie et ils baisèrent toute la nuit, Lili passa une nuit très agitée, quelques fois Lili entendait sa fille promettre obéissance après avoir reçu une fessée, puis la baise recommençait avec des refrains de plaisirs et de nouveau une bonne fessée indiquant qu'une nouvelle leçon devait être apprise. Le tout continua jusqu'aux petites heures du matin. L'excitation avait poussé Lili à être indiscrète, c'est l'oreille appuyée sur le mur et une main caressant sa chatte et son clito qu'elle partagea les dures leçons d'Élodie. Ce mal fut nécessaire mais au matin Élodie savait qui était son maître.

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