L’émancipation d’une BCBG

Préambule.

Comme le fantasme semble la limite que peut atteindre la BCBG qui m'avait contacté pour exprimer son désir de soumission, je vais transférer mes énergies sur cette demande spéciale.

Voici le contexte, un homme m'a contacté pour me dire comment il aime mes histoires et qu'il aimerait que je domine sa femme et l'amène à devenir une salope pour noirs. Comme le couple demeure aux États-Unis, le voyagement sera simplifié et les rencontres plus fréquentes. Espérant avoir plus de succès qu'avec la dernière.

Si j'ai bien compris Tom tu veux une histoire impliquant ta femme Ann et toi dans une soumission aux noirs. Comme le contexte va être québécois, tu t'appelleras Thomas et ta femme obtiendra un (e) à son nom pour devenir Anne. Votre fille gardera son joli nom. Bonne lecture et bien du plaisir car ta femme elle devrait en avoir.

N.B. N'oublie pas que pour cette histoire, il y avait une condition auquel tu avais donné ton accord. Je me suis assuré que ta femme soit au courant de ta démarche, j'ai attendu qu'elle me contacte et me fasse part de ses sentiments face à ta supplique, elle a eu l'opportunité de lire l'histoire avant de faire publier. Je m'attendais que tu tentes de te faire passer pour elle aussi pour éviter toute arnaque dans un email je lui ai demandé de me contacter.

Ce fut une agréable surprise d'avoir de ses nouvelles. Nos échanges Facetime sont de plus en plus stimulants et sa voix envoutante laisse présager une femme sensuelle, l'amener sur des sentiers tortueux et noirs va être un pur délice pour moi. La photo osée qu'elle m'a envoyée témoigne de son désir de réaliser votre fantasme. Je demeure impressionné par sa beauté et n'ai aucun doute que je pourrai trouver quelques adonis pour lui organiser une orgie digne de ses envies.

Trêve de préambule, il est temps de mettre la table pour ce festin de débauche, d'après une autre photo qu'elle m'a envoyée elle ruisselle de vices inavouables. Un feu la consume, elle n'est déjà plus tienne du moins pas pour très longtemps. Un désir de soumission bouille dans ses veines. Tu as fait appelle à mes services, soit assuré que je vais m'efforcer dans faire une salope mais je ne peux garantir qu'elle revienne à son rôle de femme au foyer quand je l'aurai présenté à mes ami(e)s noirs.

L'émancipation d'une BCBG

Anne se réveilla angoissée, une autre nuit blanche à se demander quel sort attendait Thomas son mari suite à une plainte d'harcèlement sexuel intenté par une jeune stagiaire noire de 16 ans. Voilà bientôt deux mois que le procès était reporté pour des détails techniques. Comme on avait trouvé de la porno juvénile sur le portable de Thomas le juge avait préféré protéger la société de ce pédophile en le gardant sous bonne garde.

Bien qu'elle soit en colère contre lui, Anne espérait son retour malgré tout. Thomas n'était pas un amant aguerri, mais ses caresses même malhabiles lui manquaient. Comme elle était profondément chrétienne les substituts lui étaient interdits. La sexualité affichée dans les médias d'aujourd'hui était un constant encouragement à assouplir sa continence. Sa fille Léa étant de plus en plus sexuée avait le don de l'exaspérer.

Le jour du jugement arriva, au tribunal Anne était assise en biais avec son mari, elle pouvait voir sur son visage l'inquiétude qui le ravageait c'est comme une brique en pleine face qu'elle reçue le verdict. Coupable crachota le juge, un moment de faiblesse força Thomas à s'assoir et c'est avec les larmes aux yeux qu'il encaissa les 3 ans qui y étaient joints. Anne était en colère, son monde s'écroulait face à la débauche de son mari.

Anne à qui on avait vanté les valeurs de la chasteté depuis sa jeunesse ne comprenait pas se besoin de sexe qui prenait de plus en plus de place dans la vie des gens. C'est un regard cruel qu'elle jeta à Thomas le maudissant pour sa faiblesse et les mauvais jours à venir. Thomas espérait inutilement un geste de réconfort de sa femme pendant qu'elle quittait la cour.

Depuis qu'ils étaient mariés Anne avait dû assumer une certaine autorité, Thomas étant d'une indolence perpétuelle. Sa peur de tout obligeait Anne à gérer tous les problèmes du quotidien. Étant secrétaire de direction, Anne comprit assez tôt qu'elle devrait prendre les choses en main. À l'aube de ses quarante ans elle avait besoin d'un changement dans sa vie, depuis plus de vingt ans qu'elle jouait la femme forte. Au plus profond de son être un magma de désirs bouillait, l'envie d'abandon grondait. Thomas ne le savait pas mais il venait d'ébranler ses assises.

Sur le chemin de la prison Thomas eu un avant-goût des lois non écrites régissant le monde carcéral. Un garçon blanc ne devait jamais soutenir le regard d'un noir, n'y poser son cul à côté de lui. Quelques taloches derrières la tête lui enseignèrent les bonnes manières. Son sort fût scellé quand il laissa le noir le reconduire à coup de pieds dans le cul jusqu'à l'arrière du bus.

Pendant que Thomas recevait l'inspection et les consignes des gardes et qu'on lui attribuait une cellule, tel le fumet d'une bonne soupe flottant dans le réfectoire la rumeur circulât qu'un nouveau petit blanchon venait d'arriver et qu'une mise en attribution aurait lieu prochainement. À la centrale du gardien en chef, les offres pour l'obtention de la viande fraiche pleuvaient.

Jamal régnait sur l'aile A du pénitencier de Port Cartier, aile réservée aux crimes sexuels sur mineurs. Exceptionnellement Jamal grâce à ses pouvoirs avait obtenu le poste gardien de cette partie du pénitencier. L'aile était en majorité fréquenté par des jeunes hommes de frêles gabarits. Étant un mâle alpha, son autorité n'était en aucun cas contesté par cette catégorie de détenus.

Au bout de deux semaines d'internement Thomas entendit la rumeur qui courrait dans l'aile, on lui imputait le viol qu'avait été victime la nièce du directeur Jamal. Le lendemain la panique s'empara de lui lorsqu'on lui fit savoir que le directeur voulait le voir et qu'on viendrait le chercher le moment venu. Le lendemain matin Thomas fut brutalement réveillé, deux gardes l'empoignèrent et l'obligèrent à se déshabiller. On l'avisa qu'une visite chez le directeur Jamal était à l'agenda ce matin-là. Quand Thomas franchit la porte de sa cellule, on lui avait fait revêtir une jolie culotte rose à froufrous.

Tout le long du parcours vers le bureau de Mr. Jamal, il fut victime de quolibets, tous faisaient allusions à sa petite culotte rose et aux plaisirs qu'il allait vivre. Thomas tenta bien de s'accrocher au cadre de porte du bureau pour éviter d'entrer mais quand Jamal l'agrippa par les cheveux, sa résistance cessa. Après avoir barré la porte, Jamal d'une seule main força Thomas à le suivre à genoux. Un rictus s'afficha sur le visage de Jamal quand il vit Thomas frissonner au bruit de sa fermeture éclair qu'il abaissait.

Thomas : « Non, tu n'as pas le droit de m'obliger à faire ça. » Jamal : « C'est exactement les mêmes mots que ma nièce a dits mais tu n'as pas écouté. »

Thomas savait que son sort était inévitable, quand la queue noire frôla ses lèvres, docilement elles s'ouvrirent. Voyant l'application de sa victime dans sa tâche, Jamal se flattait d'avoir eu la garde de cette mauviette. Au même instant un scénario d'orgies traversa le cerveau de Jamal, avant de passer à la production l'éducation de Thomas s'imposait.

Jamal : « oui mauviette suce bien, assure-toi qu'elle soit bien baveuse que je puisse te la mettre dans cul. » Thomas : « Non pas ça, je veux bien avaler mais pas dans le cul vous allez me déchirer. »

Toutes ses paroles furent inutiles, au bout de deux jours Thomas se faisait embrocher jusqu'à la garde, le collier rose avec un J gravé sur la médaille suivit les jours suivants. Officiellement Thomas se retrouva sous la protection de Jamal qui lui octroya une cellule privée et le privilège de recevoir sa femme dans ses appartements privés. Thomas était en attente de sa femme quand Jamal l'obligea à le sucer. En remerciement pour la faveur de voir sa femme que lui faisait son maître, Thomas ne se contentait pas de sucer, il léchait et faisait glisser amoureusement la queue noire dans le fond de sa gorge.

Thomas y mettait toute son ardeur, sa femme arriverait bientôt et il voulait avoir terminé sa tâche. En plein action, un toc-toc se fit entendre. Thomas sursauta, son cœur se mit à battre, sa femme venait le voir après plus de 3 mois d'internement.

Jamal : « Reste à genoux salope je vais aller lui répondre. »

Anne fut impressionnée par l'adonis qui lui répondit. Thomas lui avait parlé de Jamal mais sans vraiment donner de précision sur sa corpulence et sa peau si noire. Jamal : « Bonjour, vous permettez que je vous appelle Anne? » Anne : « Oui monsieur. » Jamal : « Bon on va partir du bon pied toi et moi, tu me tutoies et j'en fais autant. »

Anne fut surprise de sa détermination, mais elle évita toute remarque pour ne pas nuire à son mari. Elle se laissa conduire dans une petite chambre annexée au bureau. Mal à l'aise elle prit place sur le lit comme il lui indiqua. Ses yeux glissèrent malgré elle sur sa fermeture éclair entrouverte. Jamal constata le fait et ses testicules se contractèrent.

Jamal : « Attendez ici je vais chercher votre mari pour qu'il vienne vous donner du plaisir. »

Anne était offusquée par son coté insolent

Jamal : « Bon salope il est temps de finir ce que tu as commencé si tu veux voir ta femme. »

Thomas goba le phallus offert, Jamal se montra particulièrement volubile sachant qu'Anne entendait dans la pièce à côté. Anne était intriguée par les sons venant d'à côté.

Jamal : « Je viens salope, n'avale pas tout de suite. »

Anne n'était pas sûre d'avoir bien entendu. Vicieusement Jamal glissa un doigt dans la bouche de Thomas, récupéra son sperme et en badigeonna les lèvres de Thomas. D'une main ferme il amena Thomas à sa femme. Heureuse de le voir enfin, Anne avec un élan d'affection alla lui donner un baiser fougueux. Quand elle glissa sa langue dans la bouche de son mari, Anne fut décontenancée, ce goût lui était familier mais avec une intensité peu commune. Aussitôt elle regarda Jamal. Ce dernier lui fit un clin d'œil en même temps qu'il empoignait sa queue. Ce geste vulgaire froissa Anne.

Jamal : « Je vais fermer la porte un peu pour vous laisser un peu d'intimité mais elle doit rester entrouverte c'est le règlement. Vous avez 30 minutes, je vous souhaite beaucoup de plaisirs. »

Anne n'avait eu aucune relation depuis l'arrestation de Thomas et son désir était intense mais Thomas fut incapable de la satisfaire, ses supplications n'eurent qu'une seule conséquence, Jamal lui offrit une déformation importante au niveau de son sexe et un sourire vicieux quand elle sortit de la chambre. C'est agitée et insatisfaite qu'elle croisât son regard.

Jamal : « J'espère avoir le plaisir de te revoir Anne. »

C'est couleur pivoine qu'elle devint quand il s'approcha pour lui ouvrir la porte mais avant de tourner la poignée sa grosse main lui empoigna la chatte s'assurant d'une bonne pression sur son clitoris. Quand elle bascula son bassin pour jouir, Jamal la laissa affamée et mouillée, un billet de retour entre les cuisses.

Les nuits d'Anne commencèrent à être agitées après les évènements de la visite. Elle retarda sa deuxième visite mais le devoir l'appelait, ses genoux faiblirent quand elle se retrouva devant Jamal. Cette fois Thomas était déjà dans la chambre mais à genoux dans un coin. Anne eut un moment d'incertitude en entrant et voyant son mari ainsi.

Jamal : « Ce n'est rien j'ai dû le punir, son obéissance laissant à désirer. »

Au même instant Anne reçue une claque sur les fesses qui la fit entrer dans la chambre.

Jamal : « Peut-être aimerais-tu que je te montre à obéir toi aussi. »

Anne était hors d'elle mais cette domination la troubla et c'est déjà moite qu'elle se donna à son mari. Malgré son désir exacerbé Thomas l'a laissa encore une fois inassouvie, son désir s'étalait jusqu'à ses tétons. Au moment de sortir, Jamal intervint.

Jamal : « Toi mauviette retourne dans le coin, je vais aller reconduire ta femme. »

Anne se laissa guider et n'opposa aucune résistance lorsque Jamal la colla au mur avant de relever sa jupe. Elle écarta les jambes machinalement quand elle sentit deux gros doigts écarter sa culotte pour s'enfoncer en elle. Elle ne mit pas longtemps avant de s'agiter pour augmenter le rythme de la pénétration. Jamal cessa tout mouvement la laissant se faire jouir elle-même. Anne beugla sa jouissance, au même moment un liquide chaud enroba la main de Jamal. Pour se maintenir en place, Anne avait passé ses bras autour du cou de Jamal pendant qu'elle prolongeait les sensations en frottant ses tétons pointus sur son abdomen.

Jamal venait de donner vie à une nouvelle chienne. Suite aux gémissements de sa femme, Thomas n'avait aucun doute sur ce qui passait de l'autre côté mais Jamal avait été très clair, il devait rester dans son coin peu importe ce qu'il entendait.

Partiellement satisfaite, Anne embrassa Jamal et lui offrit sa langue confirmant ainsi qu'elle était à lui maintenant. Anne s'apprêtait à partir quand Jamal lui dit : « Pour avoir le droit à une prochaine visite tu devras m'appeler et me demander poliment si tu peux venir me voir, me dire que tu as envie d'être baiser et que tu voudrais que je fasse de toi ma chienne. »

Un mois s'était écoulé, son mari laissait des messages mais elles les ignoraient, Anne hésitait à faire son appel, Jamal lui faisait peur, elle était troublée depuis qu'il l'avait fait jouir et s'avait qu'elle succomberait de nouveau s'il lui pinçait encore les mamelons.

Anne était déchirée, son corps éprouvait des désirs qu'elle lui avait refusé depuis toujours, elle avait porté des jugements sur celles qui si abandonnaient. Aujourd'hui elle avait eu 38 ans, elle se voyait vieillir et réalisait qu'elle passait à coté de jouissances que beaucoup de femmes goûtaient. Le problème c'est que ces délices ne se vivaient que dans l'abandon et elle en était incapable.

Les rêves érotiques commencèrent à partager ses nuits, un bon matin, n'y tenant plus ses doigts pianotèrent la symphonie de la débauche sur son téléphone. Jamal l'écouta chanter ses suppliques, la trouvant excitée dans ses demandes, il lui proposa qu'elle vienne se faire baiser. Cette chienne voulait se donner à lui, c'était l'opportunité d'avoir un couple soumis, il n'avait jamais songé à ça mais l'idée réveilla son membre.

Anne roulait dans le trafic, elle avait mis ses plus beaux dessous comme il lui avait demandé elle s'était rasée la chatte, ce fut la toute première fois qu'elle la mettait à nue, son premier plaisir sur le chemin de la soumission. Quand elle avait revêtu son chemisier ses seins avaient apprécié cette sensation de liberté si bien qu'ils pointaient encore. L'idée que Jamal les prenne entre ses doigts et les pinces humidifiait sa culotte.

Quand entra dans le bureau elle fut surprise de voir Thomas là en culotte rose et un collier au cou. Un frisson glissa le long de sa colonne verticale et se perdit entre ses fesses en réalisant le pouvoir de Jamal. Elle s'était lancée dans la découverte de sensations fortes, étant femme, elle allait pouvoir assumer ses envies.

Jamal : « Approche salope, tu as demandé pour être baisé et bien tu vas l'être. Toi Thomas déshabille ta femme et prépare la pour me recevoir. »

Thomas commença à la dévêtir et se demandait ou était passé la femme si prude qu'il avait marié, jamais elle ne s'était permis d'aller seins nus en public encore moins de raser sa chatte. Un parfum sexuel émanait de ses chairs et c'est avec une appétence folle qu'il plongea sa langue dans cette mouille inexploitée. Réalisant que Jamal y glisserait sa queue dans qu'elle instant, son petit zizi gigota dans sa cage. L'ardeur que mettait Thomas à lécher la noune de sa femme commençait à porter ses fruits, Anne s'émouvait de nouvelles sensations, suçant la queue de Jamal pendant que son mari l'honorait, les dimensions qu'elle prenait lui laissait présager une jouissance divine.

Jamal : « À quatre pattes salope et toi mauviette lèche mes couilles pendant que je veille à donner du plaisir à ta femme. »

Pour la première fois depuis longtemps Anne et Thomas partagèrent un même but, voir au plaisir du maître. Après cette après-midi de débauche Jamal commença à penser famille.

Jamal : « Anne, il serait temps que tu encourages Léa à venir voir son père. »

Anne regarda Thomas et le couple partagea la même crainte. Heureusement un règlement du pénitencier interdisait la venue de mineurs dans cette aile dédiée aux pédophiles et violeurs.

La visite de Léa à son père devra attendre qu'elle atteigne sa majorité, désolé chers lecteurs mais les règlements de Literotica sont comme vos membres que j'imagine très fermes.