Marie Paule Bourgeoise Partie 04

Nous prenons une dizaine de minutes pour récupérer et laisser Marie Paule comprendre qu'elle va bientôt être une vraie salope. Je suis toute sale dit elle, je peux aller ....non dis je c'est pas sale c'est du sperme et ton jus.

Martine va chercher le sac pour montrer à Marie Paule les beaux achats que tu as fait pour elle. J'y vais monsieur Pierre, et en souriant elle dit à Marie Paule allongée sur le lit à plat ventre, tu lèches pas mal pour une débutante, elle ne répond rien morte de honte.

Elle revient avec le sac, tu vois tout ça c'est pour toi, dit elle en vidant le sac ou on trouve: deux godes vibrants de taille différente, un plug anal vibrant, un bâillon boule,

des menottes poignets-chevilles et un martinet. Marie Paule sursaute, veut se lever, c'est quoi toutes ces horreurs....vous êtes des malades, reste couchée comme tu es dis je, c'est pour parfaire ton éducation et dis toi bien qu'on va tout utiliser peu à peu...mais....je....ne...ne....suis....pas....une....prostituée....tais toi veux tu sinon.....tu connais la suite....Allez en position comme tout à l'heure, à quatre pattes vite, jambes bien écartées, mains sur tes fesses et tu ouvres ton cul au maximum.....mais....vous n'allez quand même pas......pas ça....pas par là....je n'ai jamais fait ça....vous êtes des monstres....personne ne s'occupe de ses protestations et Martine commence à lui passer du lubrifiant dans la raie des fesses et sur l'oeillet palpitant.....je vous en prie.....non....elle commence à enfoncer son majeur dans le cul de Marie Paule...fais la taire me dit elle et me plaçant devant elle je l'oblige à prendre ma queue en bouche.

Après un certains nombres d'aller et retour avec son doigt elle le retire et en enfonce deux...............aie.....non.....j'ai mal....et de nouveau des allers et retour pour élargir son fondement. Je retire ma queue de sa bouche, tu crois que je peux dis je à Martine, oui elle va avoir mal mais ça va rentrer, je la tiens......

Je me mets derrière Marie Paule, enduit ma queue de produit et commence à pousser, Martine la tient fermement et la bâillonne avec sa culotte pour éviter d'ameuter tout l'immeuble.

Pousse comme si tu voulais chier lui dis je ça rentrera mieux, et je gagne petit à petit quelques centimètres, elle hurle dans son bâillon, pleure, s'agite et brutalement la résistance cède et j'entre d'un coup sec, mes couilles venant toucher ses fesses. Je reste sans bouger un moment et puis je commence des petits mouvements de va et vient, ça glisse de mieux en mieux, alors mes mouvements deviennent plus amples, je sors presque complètement de son cul et la bourre à fond, les cris de douleur ont laissé la place à, des couinements de plaisir, Martine l'a lâché et retiré la culotte de sa bouche, son bassin recule de lui même pour venir à la rencontre de ma bite. après quinze bonnes minutes de ce traitement un long cri jaillit de sa bouche.....je jouiiiiiiiiiiiiiiiissssssssssssssss........................ohhhhhhhhhhhhhhhhh.................oui..................et j'éjacule dans son cul à gros bouillons, je foutre dégouline de son trou, sur ses cuisses et son lit. Elle retombe sur le lit comme évanouie.

Avec Martine nous la laissons pour aller prendre une douche et nous rhabiller.

De retour dans la chambre elle nous regarde en disant salauds....salauds.....

On s'en va dis je, tu peux aller rejoindre ta fille pour sa robe. Tous les objets posés sur ton lit tu dois toujours les avoir avec toi quand tu seras convoquée pour baiser et à ce sujet tu dois mille balles à Martine pour leur acquisition.

Au fait on n'est pas invité au mariage de ta fille, faudrait y penser on ne veut rater ça pour rien au monde, et nous partons la laissant en colère, mortifiée mais repue des plaisirs nouveaux qu'elle a découvert aujourd'hui, il était temps à son âge.

Je me retourne vers elle n'oublie pas la tenue de bureau pour demain, je m'approche et lui roule une pelle, elle se laisse faire sans rébellion.

Le lendemain, après la vérification de Martine sur la tenue de notre salope, nous décidons de la laisser tranquille, seul Jean Paul la questionne sur les achats de sa fille et sans s'étendre elle dit que tout s'est bien passé.

Le soir un collègue fête son sa promotion et son départ, nous sommes tous invités mais je suis le seul à m'y rendre, les autres ont tous décliné, ils ont de bonnes excuses. Je retrouve un tas d'autres collègues que je vois plus rarement, ça permet de prendre des nouvelles, de plaisanter et de trinquer surtout que la direction est peu représentée, mais nous sommes quand même une quarantaine.

J'aperçois deux femmes qui me plaisent beau coup Nicole R, blonde, 35ans, célibataire, qui à la réputation d'être autoritaire et à voile et à vapeur. Il y a aussi Claire B, petite brunette de mon âge, vivant en concubinage et dont on dit qu'elle couche avec tout ce qui bouge. Nous buvons pas mal, trop sans doute, et les rangs s'claircissent peu à peu, Claire nous abandonne et nous nous retrouvons plus que 6 trois femmes et trois hommes. Nous décidons d'aller manger au restaurant pour éponger l'alcool ingurgité, puis Nicole nous propose de finir la soirée dans une boîte qu'elle connait à St Jean. Dans la boîte les couples sont formés, je reste seul à discuter avec Nicole, n'essayant pas de la draguer, je la joues indifférent. Au bout d'un moment elle me dit viens danser, c'est un slow bien sur, et à peine enlacés elle s'empare de ma bouche et m'envahit avec sa langue, je réponds à son baiser qui durera le temps de la danse. Les quatre autres ont quité la boîte et elle me dit, tu es en voiture, peux tu me déposer chez moi, avec plaisir dis je c'est sur mon chemin. Arrivés devant chez elle, elle me demande si je veux monter boire le dernier, oui mais vite fait il est déjà quatre heures du matin

Je bois un whisky lui dis je et je m'assieds dans un fauteuil, au bout d'un temps assez long elle revient avec mon verre qu'elle pose à coté de moi par contre elle est complétement nue, des seins fermes magnifiques, une toison de blonde bien entretenue, elle me dit ça fait longtemps que je n'ai pas fait l'amour

Je la regarde fixement et lui réponds après un temps, et bien tu n'as qu'à te branler

......interloquée.....elle dit avec rage....pauvre con...impuissant....casse toi PD....je me lève et m'approchant d'elle le lui envoie un aller et retour qui lui fait bouger la tête des deux cotés.........oh dit elle en passant ses mains sur ses joues....je m'empare des poils de sa chatte et les tire avec violence jusqu'à ce qu'elle tombe à genoux, tu vas t'excuser salope. je ne suis pas ton esclave soumis....elle sanglote doucement, je regarde l'heure disant il sa fait tard mais je crois que je vais être obligé de commencer à t'apprendre à obéir. Excuse moi, Pierre, stop dis je ....quand nous sommes en privé comme maintenant, c'est monsieur Pierre, sinon imagine ce que vont penser tes collègues si je leur raconte notre fin de soirée. Non ne dis....pardon ne dites rien au bureau....par pitié non...ma réputation....s'il vous plait. Ok dis je en m'asseyant dans le fauteuil, reste à genoux, mets toi de profil et branle toi, mais...y pas de mais dis je en faisant mine de me lever, non...restez...je vais le faire. Elle humidifie ses doigts et commence à se caresser les tétons, les grattant un peu et les étirant, hummmm.....oui ...c'est bon....et sa main droite glisse entre ses cuisses, elle écarte les lèvres de son sexe et enfonce deux doigts d'un coup qui rentrent avec facilité, elle les retire et recommence s'en servant comme d'une bite, oh.....oui....oui....c'est trop bon.....pas si vite dis je ne jouis pas tout de suite....elle me regarde déçue.....occupe toi aussi de la porte arrière.....oh...mais....je n'aime pas trop ça.....peu importe....mets tes doigts dans ton cul....tu mouilles assez pour que ça rentre facilement.....bien monsieur...et ressortant les doigts de sa chatte elle écarte son sillon et l'humidifie avec sa cyprine abondante....elle force sur l'oeillet et les deux doigts rentrent lentement , à fond dis je.....oui....oh....j'ai mal....je me lève et m'approchant j'exerce une pression sur sa main et les doigts rentrent à fond d'un coup, ohhhhhhhhhhhhh........ahhhhhhhhh.......lui tenant la min je la force à faire des mouvements de va et vient de plus en plus rapide....je la lâche et elle continue seule.....la chatte avec l'autre main lui dis je, ce qu'elle fait en saisissant son clitoris, le pinçant, le tirant et un grand cri éclate, sa chatte coule comme si elle éjaculait et elle s'écroule sur le sol le corps secoué de spasmes.

A Suivre