Maman, Juliette et Moi 04

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Juliette va trop loin.
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Partie 4 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/29/2022
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Chapitre 4

Maman avait-elle été gênée par ce qu'elle avait elle-même initié et qui s'était terminé par sa jouissance contre mon visage le mardi précédent ? Toujours est-il que le reste de la semaine s'avéra bien morne. Même au petit-déjeuner, elle n'exigea pas de moi mon bon lait tiède qu'elle aimait boire dans son café. Juliette n'osait pas prendre d'initiative, en tout cas pas en présence de notre mère.

Car elle découvrit cette semaine-là un nouveau jeu qui m'excita autant qu'il me fut douloureux. Tout commença le jeudi après la classe alors que maman nous avait prévenus qu'une réunion à son travail la ferait rentrer en fin de soirée.

Nous avions donc improvisé un dîner sur le pouce que chacun prit dans sa chambre. J'avais traîné dans la cuisine en tee-shirt et caleçon autour de Juliette qui avait gardé sa tenue de lycée : une jupe courte dans un style d'écolière japonaise et un chemisier noir largement ouvert sur son décolleté. Je m'étais à plusieurs reprises approché très près de ma sœur pour mieux sentir son odeur et essayer de lui donner envie d'un peu plus. J'avais même comme par inadvertance frotté mon sexe contre son dos tout en me servant dans le réfrigérateur pendant qu'elle faisait de même. Mais elle fit mine de ne rien remarquer et tout en resta là.

Pourtant, une heure plus tard, alors que j'écoutais des histoires cochonnes au casque, allongé sur mon lit, Juliette entra dans ma chambre sans frapper. J'avais quitté mon caleçon et je bandais fort. J'avais d'ailleurs décidé ce soir-là de me branler puisque ni Juliette ni maman ne semblaient s'intéresser à moi.

Je commençai par protester devant cette intrusion. Mais Juliette rétorqua illico que si je voulais de la politesse et du respect, je devais en faire preuve moi aussi.

-- Tu crois que je n'ai pas senti que tu te collais à moi, continua-t-elle. Et maintenant, tu m'infliges ta grosse queue quand je ne t'ai rien demandé. Mets-toi debout devant moi et passe-moi ta règle en plastique, celle de l'autre jour.

J'obéis. J'espérais sans me l'avouer une nouvelle fessée et peut-être la même scène dans la baignoire que la première fois. Mais il n'en fut rien. Je me levai devant ma sœur ; ma queue presque verticale battait contre mon ventre de jeune homme. Juliette se saisit de la règle que je lui tendais, s'assit sur mon lit et me tourna vers elle. Elle prit mon sexe dans sa main gauche, comme on recueille un oiseau blessé, et avant que j'aie pu réagir d'une quelconque façon, m'asséna un bon coup de règle sur le membre. Je criai et voulus reculer, mais elle me tenait fort par la queue et me donna une deuxième puis une troisième claque. Je souffrais le martyre et mon sexe se dégonfla en un instant.

-- Voilà, conclut Juliette, je la préfère comme ça ta vilaine bite. Bonne nuit !

Elle s'éclipsa aussi rapidement qu'elle était venue, me laissant à genoux par terre essayant de faire passer la douleur en cajolant mon pauvre membre martyrisé. Je ne dis rien, car, tout au fond de moi, la correction m'avait excité. La main de ma sœur douce et légère puis le coup de règle par surprise m'avaient fait très grande impression. Malgré la souffrance qui tenait encore mon sexe, je me remis à bander plus fort qu'avant. Je résistai à l'envie de me branler, car peut-être Juliette n'en avait-elle pas fini.

Mais j'attendis pour rien et m'endormis du sommeil du juste.

Le jeu pourtant recommença dès le lendemain, vendredi. Avant le retour de maman, Juliette entra dans ma chambre comme le terrible Attila envahissant l'Europe -- je travaillais l'histoire ce soir-là -- et tendit simplement la main. Ayant immédiatement compris ce qu'elle voulait et heureux de sa venue, je déposai ma longue règle de plastique au creux de sa paume. Je me mis debout devant elle et baissai mon caleçon. Je bandais bien sûr, comme la veille et dans un silence complet, Juliette saisit mon sexe entre ses doigts avant de le frapper par trois fois de la règle. Le troisième coup tomba sur mon gland décalotté et je m'écroulai au sol en gémissant.

Cette fois, la rossée laissa des traces. Le samedi, ma queue présentait trois belles marques violacées et j'avais peur de devoir m'exhiber ainsi devant maman à qui mon état pourrait donner des idées. Mais ma mère ne nous demanda rien et la journée se déroula tranquillement.

Je n'avais évidemment pas pensé que le lendemain dimanche serait un nouveau jour de changement de draps. Je m'en voulus terriblement de ne pas l'avoir fait moi-même. Maman entra dans ma chambre alors que j'étais encore à la salle de bains. Elle défit mon lit et m'appela immédiatement. J'arrivai tout mouillé et nu, une simple serviette autour des reins. Juliette suivait sur mes talons. Elle avait dû percevoir le ton énervé de notre mère et voulait profiter de ce qui allait me tomber dessus.

Je me rappelai tout à coup que je m'étais encore branlé dans mon lit le mardi précédent et que j'avais dû y dessiner de belles empreintes.

C'était exactement ça ! Maman était debout, visiblement en colère et nous montra à tous les deux ce que j'avais laissé derrière moi. Je ne savais plus où me mettre et m'en voulais vraiment, car j'aurais quand même pu juter dans un mouchoir ou un vieux vêtement.

-- Puisque c'est comme ça, commença maman, je vais t'empêcher de toucher à cette queue avec laquelle tu salis tout. Juliette, va vite chercher le paquet noir que j'ai laissé dans ma chambre.

Juliette disparut. Ma mère me regardait d'un air si courroucé que l'envie de sexe me quitta immédiatement. Ma sœur revint avec dans les mains un carton parfaitement anonyme que maman lui demanda de déballer. Ce qu'elle fit avant de partir d'un grand rire en en extirpant ce que je reconnus comme une cage de chasteté. L'objet était d'acier rutilant fait d'un étui grillagé dont la forme laissait clairement deviner l'usage.

-- Voilà, commença ma mère, avec ce bijou, tu ne pourras plus te masturber comme un adolescent et en mettre partout. Seules ta sœur et moi en aurons une clé. Je suis d'ailleurs certaine que penser un peu moins au sexe te permettra de progresser en classe.

Pour ma part, j'étais persuadé que m'enfermer la queue dans ce genre d'engin n'allait pas m'aider à me concentrer sur les cours de maths. Mais je préférai me taire à la fois curieux et ravi de voir maman s'intéresser à nouveau à mon sexe.

-- Enlève ta serviette, m'ordonna-t-elle.

Là, ma sœur et ma mère s'approchèrent de ma verge en érection et essayèrent de la faire rentrer dans sa cage sans succès évidemment. Alors maman me branla sans ménagement, comme elle aurait nettoyé une bouteille sale avec un goupillon. J'en profitai malgré tout et jouis bruyamment. Ma queue dégonfla et se retrouva immédiatement prisonnière d'une grille d'acier. Ce fut un peu plus compliqué et douloureux de glisser mes couilles dans un anneau lui aussi métallique et relié à l'étui pénien par deux serrures. Maman s'y appliqua sous les yeux de ma sœur. Ses simples mouvements redonnèrent vie à mon sexe qui grossit en quelques secondes. Pour la première fois, je sentis l'inconfort de la cage. Ma queue l'emplissait toute, mais ne pouvait prendre toute sa dimension. Loin de là ! Ma mère souriait et semblait très satisfaite de son achat.

-- Nous voilà tranquilles ! Je pense que tes draps vont rester bien propres à présent. Nous sortirons cette chose dégoûtante quand tu le mériteras, ajouta-t-elle en pointant son index sur mon bas-ventre.

Je crus que la séance allait s'arrêter là, mais maman se tourna alors vers Juliette pour lui demander ce qu'étaient les trois traces violettes sur ma queue. Au silence qui s'installa, je compris que ma sœur avait pris des initiatives sans en parler à notre mère. Celle-ci avait les deux bras croisés sous la poitrine et attendait les lèvres minces et serrées -- ce qui n'était pas bon signe. Juliette bafouilla, insistant sur mon manque de travail, sur la volonté qu'elle avait de me faire progresser. J'ai cru bien faire, conclut-elle piteusement.

Maman ne répondit rien, mais saisit Juliette par l'oreille et la conduisit ainsi jusqu'à notre pièce à vivre devant la table de la salle à manger où nous déjeunions et dînions. J'avais suivi le mouvement puisque cette fois je n'allais pas me retrouver, espérai-je, face à une porte verrouillée. Maman me demanda d'aller chercher ma règle en plastique et ordonna à Juliette de se déshabiller complètement. Je fis l'aller et retour à ma chambre en quatrième vitesse tant j'avais hâte d'assister à l'humiliation de ma sœur.

Quand je revins, elle avait les larmes aux yeux et avait déjà ôté son chemisier. Elle glissa les mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge qu'elle laissa tomber au sol. Je pus enfin admirer la poitrine de Juliette. Elle était bien sûr plus menue que celle de ma mère, mais elle était toute ferme, arrogante et élastique. À chaque mouvement de son buste, ses seins réagissaient comme deux balles de caoutchouc dures solidaires de son corps. J'aurais tant voulu pouvoir les pétrir de mes mains. Mais il n'était pas question de ça. Je voyais que Juliette se retenait de toutes ses forces pour ne pas pleurer. Elle déboutonna enfin sa jupe et fit glisser sa culotte au sol. Elle était très belle, complètement nue, offerte et humiliée. Étais-je amoureux de ma sœur ? Avait-on le droit d'avoir ce genre de pensée ?

Maman lui demanda de se pencher sur la table de la salle à manger et d'écarter les jambes. Juliette renifla et protesta, mais s'exécuta. Je me plaçai derrière elle pour admirer son sexe à découvert entre ses cuisses. Sa toison brune éparse laissait bien voir ses grandes lèvres. À cette distance, je devinai difficilement si ma sœur était excitée. J'aurais bien voulu glisser la main entre ses fesses, mais je savais que cela m'était interdit. Son cul ne cachait d'ailleurs rien de son anus agité de petits mouvements à chacun de ses sanglots. Ses fesses blanches et vierges me faisaient mal à voir, car je devinais qu'elles seraient bientôt marquées et cela, en même temps, m'excitait. Mon âme était bien compliquée.

Puis, la punition commença et j'oubliai tous mes atermoiements. Maman avait prévenu qu'elle ne frapperait qu'avec la règle en plastique et que Juliette devrait compter chaque coup à haute voix. Dans le silence de la pièce, le triple décimètre s'abattit et j'entendis clairement le sifflement de l'air déchiré par le polyéthylène avant le bruit de claque sèche en travers du joufflu de ma sœur qui cria « un ». Immédiatement, une trace rouge coupa son cul en deux. Ma mère attendit quelques secondes avant de lui en donner une deuxième et une troisième, alternant gauche et droite et frappant parfois les deux fesses simultanément. Juliette comptait et pleurait.

-- Tu réalises, commença maman, que tu aurais pu blesser ton frère ? Infliger des punitions n'est pas un jeu d'enfant.

Juliette acquiesça espérant sans doute voir réduite sa correction. De mon côté, j'étais hypnotisé par ses fesses dont la peau tourna rapidement au violet. Je bandais comme un fou, mais la cage empêchait ma queue de prendre tout son volume et ma prison commença à me faire mal. La punition continua. Maman visa chaque petit bout de postérieur qui n'avait pas encore reçu de claques. Elle termina même par frapper les cuisses magnifiques de ma sœur.

-- Comme ça, précisa-t-elle, avec tes mini-jupes, tes amies sauront qu'on ne plaisante pas à la maison.

Juliette pleurait à chaudes larmes, mais continua à compter jusqu'au bout.

-- Ton frère bave comme un bouc, lui annonça maman. Il va te rafraîchir les fesses.

Je fus invité à m'approcher et à genoux devant le cul martyrisé de Juliette, j'eus le droit de le lécher intégralement. Je m'appliquai autant que je le pouvais. Le contact était à la fois brûlant de la fessée et doux de toute la jeunesse de Juliette. Je faufilai même ma langue entre les fesses jusqu'au petit trou qui se cachait là. Maman ne disait rien et je croyais entendre des gémissements de ma sœur qui n'étaient plus de simples manifestations de douleur. En revanche, ma queue n'appréciait pas du tout le traitement et j'aurais voulu faire exploser cette fichue cage. Notre mère s'approcha de ses deux enfants bien occupés à des choses interdites. Mais cela ne semblait plus la troubler. Elle soupesa ma bite et mes couilles enserrées dans cette machine révoltante. Elle était heureuse me dit-elle de voir comme l'acier remplissait bien son office. Puis, elle passa la main entre les fesses de Juliette et se mit à la branler très doucement tout en lui massant le dos. Voilà, disait-elle, c'est fini ma jolie. Je vais te consoler en te caressant et ton frère va continuer à te lécher le cul. Je m'évertuais bien sûr essayant d'enfoncer ma langue dans l'anus de ma sœur. Maman, de son côté, devait savoir y faire, car j'entendis rapidement Juliette se mettre à ahaner de plaisir et à crier « oui, oui » comme pour encourager nos mouvements. En quelques minutes, elle jouit en hurlant. Son petit trou se contractait à chaque vague qui l'emportait au pays du bonheur et j'en profitais pour lui dévorer le cul. Mais du fait de ma queue prisonnière, cette caresse si intime m'apportait plus d'énervement que d'excitation.

Enfin, Juliette se laissa couler au sol et maman s'agenouilla auprès d'elle pour la prendre dans ses bras et la consoler.

-- À présent, ma chérie, quand tu voudras punir ton frère, tu m'en parleras avant. Je ne suis bien sûr pas contre de nouvelles idées. Regarde comme il a l'air ridicule avec sa grosse bite en cage.

Juliette avait séché ses larmes et retrouvait son calme et sa joie de vivre. Je me sentais bien penaud et mon sexe qui virait au violet ne manquait pas de m'inquiéter.

-- Je vais te montrer, commença maman, comment on doit le traire pour l'apaiser quand il n'en peut plus. Je ne vais pas lui donner de plaisir, mais juste abaisser la pression dans sa bite de jeune homme. Tu pourras faire la même chose de temps en temps.

Je dus me mettre à quatre pattes, tête au sol et cul bien relevé, fesses écartées. Dans cette position, ma queue et mes couilles pendaient prises dans l'anneau et la cage qui m'interdisaient de me soulager. Maman s'approcha de moi, s'enduisit les doigts d'une pommade lubrifiante et m'enfonça sans attendre son index et son majeur dans le cul. C'était délicieux, je l'avoue, et je ne pus retenir un couinement de plaisir.

-- Alors cet ami que tu dois lui présenter, plaisanta maman en se tournant vers Juliette.

-- Tu crois qu'il aime aussi les hommes, répondit ma sœur en faisant la naïve.

Je gémissais de plus en plus fort au rythme des aller et retour de ma mère en moi. J'aurais tant voulu qu'elle s'occupât de ma queue, mais elle n'en fit rien. Quelques instants plus tard, je sentis que je coulais, sans jouir, mais que c'était bien du sperme qui sortait de mon sexe comme s'il s'était mis à pleurer. Maman était satisfaite. Voilà, commenta-t-elle pour ma sœur, ce qui s'appelle traire un homme. Ensuite, tu peux dormir tranquille pour quelque temps quand tu n'as pas envie de subir ses assauts bestiaux.

D'un point de vue purement physique, cela marcha. Ma queue se recroquevilla au fond de sa cage comme un tigre nourri s'en repart pour sa sieste. Mais à l'intérieur de mon esprit, rien n'avait changé. Je n'avais pas joui, j'avais juste les couilles vides et je me sentais bien frustré.

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