Maman, Juliette et Moi 05

Informations sur Récit
Visite d'Edith, une amie de Juliette, à la maison.
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Partie 5 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/29/2022
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Chapitre 5

Le début de semaine fut assez morne. La cage de chasteté que je portais nuit et jour me gênait beaucoup. Maman me l'enlevait le soir pour me donner ma douche toujours aussi humiliante. Systématiquement, ma sœur Juliette assistait au spectacle et ma mère l'avait encouragée à apprendre à me traire. De toute façon, Juliette me faisait la gueule depuis le dimanche de sa punition. Elle devait croire que j'y étais pour quelque chose.

Ainsi, le lundi et le mardi, je me retrouvai dans la salle de bains pour le toilettage. Je me mis nu devant les deux femmes habillées qui se moquèrent bien de ma queue dure pliée sur elle-même par le filet d'acier qui l'enserrait. Maman enleva la cage de chasteté avec la petite clé qu'elle portait en sautoir entre ses deux gros seins. Je rêvais tant de les revoir maintenant qu'elle les tenait cachés! Juliette me lava le devant du corps en insistant lourdement et sans douceur sur ma bite et mes couilles. Puis maman s'occupa de l'arrière, m'écartant les fesses et me régalant de quelques claques sonores, car mon cul était un peu sale à son goût. Chaque fois, elle râla contre les poils qui l'empêchaient de bien inspecter l'ensemble de mon corps. Puis elle se mit sur le côté et proposa à Juliette de me traire avant de réinstaller la cage.

Avec tout le savon dont j'étais inondé, ma sœur n'eut aucun mal à faire pénétrer son index puis son majeur dans mon anus. Je ne pus retenir mes cris de plaisir et les deux femmes, une fois encore, insistèrent sur mon côté soumis et mon envie d'être pris par le cul. Puis, suivant les conseils de maman, Juliette se mit à aller et venir entre mes fesses en me massant l'intérieur du colon. Elle fit ainsi juter mon sperme pâle qui s'écoula en grandes quantités comme si l'on avait vidé une brique de lait. Je bandai comme un fou, mais n'eus pas le droit de toucher ma queue et ne pus réellement jouir. C'était terriblement frustrant, car mon sexe se rétrécit dès que le bon jus en fut sorti, mais dans ma tête à moi, il ne s'était rien passé. Une fois mes couilles vidées, maman remit la cage en place et je dus aller me coucher affublé de cette chose.

Au lycée, je me déplaçais très lentement, terrorisé à l'idée qu'on put entendre les légers cliquetis que produisait l'engin de torture quand je marchais. Heureusement, personne ne semblait y faire attention. Mon seul réconfort était de suivre Juliette lorsque nous fréquentions le même couloir à la même heure. Maman l'avait obligée à porter ces éternelles mini-jupes — en l'occurrence la plus courte — et, pour qui savait regarder, les traces de la punition qu'elle avait reçue le dimanche étaient évidentes.

Le mercredi, notre mère travaillait à l'extérieur et je devais m'appliquer à mes devoirs, car elle m'avait promis une surprise si je réussissais le contrôle de SVT du vendredi. Juliette, elle, avait eu le droit d'inviter Édith, sa meilleure amie du lycée. C'était une grande blonde mince, à la longue queue de cheval stricte, aux lèvres pincées et qui pourtant était, à mon avis, moins sûre d'elle qu'il n'y paraissait. En tout cas, entre elles deux, c'était clairement ma sœur qui avait les drôles d'idées.

Je travaillais dans ma chambre sur la division cellulaire, quand Juliette m'appela au salon. Il était 16 h et les filles avaient prévu un goûter. Édith avait apporté un cake aux fruits et Juliette avait préparé le thé. Elle me demanda d'aller chercher le tout à la cuisine et me proposa de partager le gâteau avec elles. Édith m'avait regardé d'une drôle de façon et j'avais même cru avoir une trace de saleté sur le visage ou avoir oublié de fermer ma braguette tant elle eut bien du mal à cacher le dégoût que je lui inspirais.

Je revins de la cuisine avec un plateau chargé de tasses et d'assiettes et me mis naturellement à servir ces dames.

-- Tu me disais, commença Juliette en s'adressant directement à Édith, que ton frère t'embête, qu'il est grossier avec toi.

Philippe, du même âge que moi, fréquentait une classe voisine. À la réaction peu spontanée d'Édith, je compris que ma sœur avait une idée derrière la tête et que les deux amies avaient sans doute longuement parlé avant mon arrivée.

-- Oui, répondit-elle, il n'arrête pas de se balader à moitié nu, de se frotter contre moi et de me toucher les seins ou les fesses, soi-disant sans le faire exprès.

- Tu étais comme ça, mon frérot chéri? me demanda Juliette.

Je rougis et n'eus pas le temps de répondre qu'elle continua ses explications en détaillant l'achat d'une cage de chasteté par notre mère et la pose de l'engin pour contenir ma lubricité. J'étais devenu pivoine et n'osais pas regarder Édith. Cette fille était un peu mince à mon goût, mais j'aimais bien son côté froid, hiératique, distancié.

- Tu veux voir à quoi ça ressemble? lui demanda Juliette.

Sans blanc dans la conversation, elles se tournèrent toutes les deux vers moi comme si mon consentement tenait de l'évidence. J'étais encore une fois gêné et excité. Chez moi, l'un n'allait pas sans l'autre. Je me mis debout, hésitai un instant, puis, sur un signe de Juliette, j'ouvris ma braguette et quittai mon jean. Ce simple mouvement généra quelques bruits de ferraille du côté de mon entrejambe. Juliette et surtout Édith avaient les yeux vrillés sur mon caleçon que je fis descendre sans attendre. Ma queue était là gonflée de désir, pliée sur elle-même par la cage métallique. Mes couilles dures et bombées par ma libido formaient comme un coussin sur lequel reposait l'étui d'acier. Juliette me demanda de me rapprocher et prit ma bite en main pour montrer à son amie l'ensemble du dispositif. Édith, un peu timide au début, fit de même, soupesa ma queue avant de passer les doigts sur mes couilles. Je gémis de plaisir.

- Ça ne lui fait pas mal? demanda Édith.

À l'évidence, mon avis comptait peu, car ce fut Juliette qui expliqua que pas du tout, que j'adorais ça, qu'elle disposait d'un moyen simple de me calmer qu'elle lui montrerait plus tard. Je restai ainsi debout devant les deux jeunes femmes qui attaquèrent thé et gâteau. Quand je voulus me servir, Juliette me demanda d'attendre un peu, car, connaissant mes goûts, elle comptait bien améliorer encore ce délicieux cake pour moi. Je ne savais pas ce qu'elle mijotait, mais je ne m'inquiétais pas, trop excité que je fusse de me montrer nu devant Édith.

-- Mon frère n'accepterait pas de porter cet accoutrement, précisa-t-elle.

-- Parles-en à ta mère. Tu peux même la faire venir ici. Maman lui expliquera ce qu'il en est.

La proposition resta dans l'air quelques instants, comme les bruits de flonflon d'une fête foraine que l'on entend sans voir encore les manèges lumineux.

-- Regarde, commença Juliette, je vais nourrir mon pauvre frère!

Elle semblait très excitée à l'idée de montrer ce qu'elle avait en tête à son amie. Elle plaça une tranche de cake au milieu d'une assiette qu'elle posa au sol. Là, elle s'accroupit au-dessus du morceau de gâteau et, sans même relever sa jupe, elle écarta sa culotte — à cause de son vêtement, nous ne pouvions voir sa chatte — et se concentra quelques instants. Elle devait avoir du mal à obtenir ce qu'elle voulait, car nous dûmes attendre presque une minute. Édith était comme hypnotisée par le spectacle, se doutant bien de ce qui allait se passer. De mon côté, le degré de perversité de ma sœur me subjuguait. Enfin, nous entendîmes, le bruit de l'urine qui jaillissait du con de Juliette pour se déverser sur le cake au milieu de sa petite assiette. Elle réussit à ne lâcher que trois jets limités puis à se retenir. Je voyais qu'elle faisait des efforts louables pour ne pas aller plus loin. Une légère odeur de pisse flottait dans la pièce.

-- C'est dégoûtant, clama Édith sans pour autant quitter des yeux la tranche de gâteau salie par ma sœur.

Juliette poussa vers moi l'assiette pleine de pipi et le cake grassement imbibé.

-- À quatre pattes, mon cochon de frère, viens vite manger ta pâtée, sans les mains comme un bon toutou!

Édith riait à présent. Elle ne devait pas y croire. Et pourtant, je me mis au sol à quatre pattes, la queue toujours gonflée et enfermée dans sa cage. Sans les mains, je me penchai vers l'assiette sale et pris dans ma bouche un premier morceau de gâteau. Le goût de la pâtisserie rendait celui de l'urine moins prégnant. J'eus pourtant presque un haut-le-cœur, mais réussis à mâcher le cake aux fruits. Je voyais les deux femmes me regarder et cela m'excitait et me donnait envie de tout avaler pour les fasciner, leur plaire, les exciter à mon tour.

-- J'adore ça, lâcha Édith.

Juliette me félicitait, m'encourageait. Elle prit même la cage de chasteté dans sa main et secoua doucement ma queue comme pour me récompenser de ce que je réussissais à avaler. Morceau par morceau, je mangeai tout le gâteau. La pisse me dégoulinait sur le menton, et je me mis à laper directement l'assiette d'urine comme le chien que j'étais devenu. Édith avait les deux mains entre les cuisses et semblait se caresser à travers son pantalon de coton blanc. Juliette la regardait, cherchait ses yeux pour la faire mieux participer encore à la dépravation de la scène.

Ce fut à ce moment précis que la porte de l'appartement s'ouvrit et que maman entra. Elle s'approcha très naturellement, comme si rien de ce qui se passait sous ses yeux n'était choquant. Je continuai à laper et à manger le gâteau imbibé tandis qu'elle faisait la bise à Édith qu'elle semblait bien connaître.

-- Tu vois, Édith, commença-t-elle, comme nous prenons bien soin de notre homme de maison?

-- C'est très excitant d'assister à ce spectacle, j'avoue, répondit la jeune femme, et je crois que ça ferait beaucoup de bien à mon frère de recevoir ce genre de traitement.

-- Venez avec ta mère et lui mercredi prochain si vous êtes libres.

Maman semblait prête à dévoiler notre mode d'envie à de parfaits inconnus! À moins qu'en fait, elle ne fût déjà en relation avec la famille d'Édith?

-- Juliette vous a montré que je savais aussi punir les grandes filles? reprit maman avec amusement.

Un ange passa. Je relevai la tête, car j'avais fini mon assiette. Juliette implora des yeux notre mère sans oser protester. Maman insista lourdement, expliquant à Édith ce qui était arrivé quelques jours auparavant et la bonne fessée qu'elle avait dû imposer à sa fille. Édith avoua qu'elle avait cru remarquer quelque chose au lycée, quelques traces en haut des cuisses de Juliette. Elle ajouta perversement qu'elle en avait même parlé avec Nathalie, une autre de leurs amies.

-- Retourne-toi, baisse ta culotte et soulève ta jupe, ordonna-t-elle. Tu fais bien la mijaurée tout d'un coup.

Juliette s'exécuta les larmes aux yeux. Elle se tourna vers le mur, laissa tomber son slip blanc sur ses chevilles puis releva lentement sa jupette. J'aurais bien voulu aller me laver le visage, mais je n'aurais manqué pour rien au monde ce spectacle. Le cul de ma sœur se dévoila doucement. Comme elle était belle! Maman souligna du doigt les quelques marques rouges que l'on pouvait encore discerner.

-- Passez votre main, Édith, vous allez sentir un léger relief.

La jeune femme hésita, mais la voix de ma mère avait toujours ce pouvoir hypnotique qui lui servait bien dans son boulot. Édith s'approcha et posa sa paume et ses doigts sur les fesses de Juliette. Elle les parcourut lentement du haut en bas, s'attardant dans le pli entre le cul et les cuisses. Elle passa son index dans la raie culière, mais sans appuyer.

-- C'est vrai, reconnut-elle, on sent la marque de la règle.

Elle laissa sa main alors qu'elle aurait pu l'enlever. Subjugué, comme tous les garçons je crois, par cette scène entre filles, ma queue enfermée dans sa cage me faisait un mal de chien. Puis, enfin, Édith s'éloigna et maman autorisa Juliette à se rhabiller. Quand ma sœur se retourna, ses yeux étaient pleins de larmes. J'aurais voulu la serrer dans mes bras, mais je craignais bien qu'elle ne me repousse. Édith affichait un petit air amusé et promit à Juliette de ne rien dire au lycée. Son visage ironique donnait pourtant à penser l'inverse.

- Et vous, Édith, votre mère ne vous punit plus, plus de châtiment corporel? demanda alors Maman.

La jeune femme se tut assez longtemps pour que tout le monde soit bien certain qu'elle allait mentir.

-- Vous pouvez dire la vérité, reprit maman. Je connais bien votre mère, car nous participons au même groupe de paroles chez le docteur Jolivet, le psychologue.

Que racontaient-elles dans ce groupe? pensai-je. Si maman entrait dans les détails, nous étions bons pour voir débouler les assistantes sociales.

En tout cas, Édith se sentit obligée de dire la vérité et admit que parfois sa mère la fessait, même si ce n'était pas arrivé depuis longtemps. Elle punit aussi mon frère, mais encore plus rarement. C'est une vraie lopette, proféra Édith, il fait tout ce qu'il faut pour être un garçon sage devant maman, mais essaie de me peloter quand elle n'est pas là.

-- Vous ne lui en parlez pas? interrogea maman.

-- Elle ne me croit jamais ou fait semblant. Bon, il faut que je rentre.

-- Je vais appeler votre mère, conclut maman. Nous pourrions nous voir ici la semaine prochaine.

Édith ne dit rien, mais rangea rapidement ses affaires de lycée et s'éclipsa de l'appartement. Juliette partit s'enfermer dans sa chambre et maman eut la sagesse de ne pas la suivre. Elle l'avait vraiment humiliée en l'obligeant à montrer ses fesses marquées. Je n'étais pas mécontent, mais de mon côté, je me sentais très sale et demandai à aller me laver. Maman m'y autorisa. Pour une fois seul dans la salle de bains, je pus chasser l'odeur d'urine qui m'emplissait le nez avant de reprendre mes révisions en vue du contrôle de SVT.

Le lendemain, au petit-déjeuner, Juliette avait retrouvé sa bonne humeur, mais avoua à notre mère qu'elle l'avait mise dans une situation difficile et qu'elle n'était pas sûre de la discrétion d'Édith. J'en parlerai à sa mère, la rassura maman, je participe justement à l'atelier thérapeutique cet après-midi. Je vais les inviter pour le week-end dans dix jours. Nous n'avions pas notre mot à dire, bien sûr. Mais de mon côté, j'étais plutôt content de cette idée, car j'avais bien envie de mieux connaître cette Édith dont le physique ne me laissait pas de glace.

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2 Commentaires
vincent2103vincent2103il y a environ 1 an

Super récit ! Dommage que la traite du jeune homme ne soit pas plus approfondie car ce n’est pas un massage du colon mais de la prostate

vincent2103vincent2103il y a environ 1 an

Super récit ! Dommage que la traite du jeune homme ne soit pas plus approfondie car ce n’est pas un massage du colon mais de la prostate

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