par Zuwed
Il y a quelque chose dont on ne parle jamais dans ces histoires ou ces films où des femmes se font fracasser l'anus à répétition par des bites géantes, c'est ce qui passe quand elles doivent aller à la selle après. C'est pourtant basique et incontournable.
La douleur, la peur.
Vous croyez que quand elles la sentent arriver, elles disent à leur crotte "Oh non ! Pas par là, pitié ! Pas par le cul ! Pas aujourd'hui !" ?
Surtout qu'un bon maître doit veiller à ce que l'affaire soit la plus douloureuse possible, en concoctant aux esclaves un menu procurant des selles dures ou compactes, ou encore (le must !) en les nourrissant exclusivement à la purée de piment pour que cela inflamme bien tout le passage emprunté par les queues passées et futures