Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 14

BÊTA PUBLIQUE

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Les premières secondes sont invivables, j'ai mes vapeurs ... les effets de la vodka, les bouffées de chaleur sont incontrôlables! Je regarde cette foule qui s'agite dans les tous sens en contrebas, cette masse humaine qui me fait face m'hypnotise et me paralyse! J'ai les mains moites, le palpitant qui s'emballe et suis prise d'un début de vertige. J'agrippe la barre quelques instants et prends une grande inspiration avant de me lancer.

Je constate, presque avec joie, qu'à part quelques exceptions, personne ne me regarde vraiment. Ils sont tous dans leur monde à vivre le concert. L'autre danseuse s'en donne à cœur joie, elle taffe ou c'est une groupie de l'autiste qui s'active derrière ses platines? Elle ne m'a pas accordé un seul regard. Le Dj, lui par contre, a fait un petit break, sans ces platines cette fois, pour me reluquer de la tête au pied, ce qui n'a pas manqué d'énerver ma comparse! Elle en remonte rageusement son short en jean laissant apparaître le bas de ses fesses et reprend de plus belle à gigoter. Je décide pour m'aider à m'extraire de ce contexte de fixer le fond de la salle!

À force de concentration, eh oui ça m'arrive (!), je finis moi aussi par me mettre dans ma bulle et à réduire mon espace vital à ce simple carrée d'estrade où j'évolue. J'apprivoise petit à petit cette barre qui trône au milieu de mon perchoir! Je tourne autour, m'y cramponne comme je peux, tente de copier, sans réel succès toutefois, quelques-unes des figures de mon clone. Mes pompons tournicotent au rythme du balancement de mes seins, mes déhanchements s'accentuent, je dois commencer à ressembler à quelque chose!

En contrebas, quelques aficionados ont élu domicile de mon côté. L'un d'entre eux, la langue bien pendante, me joue depuis déjà un bon moment la fameuse sérénade du cuni sans fin d'un soir d'été. Encore sous l'effet de l'alcool, je me mets à lui répondre et entame une danse lascive. J'ondule contre la barre, mes mains parcourent mon corps délicatement et parfois s'arrêtent dans mes cheveux. À ce moment-là je me retourne, me cambre au maximum et secoue mon popotin dans sa direction.

L'effet ne se fait pas attendre, ses coups de langue font des émules et c'est maintenant plusieurs d'entre eux, qui, sans gêne aucune, reprennent en cœur son refrain. Ça frétille à tout va de la menteuse, exulte de la bavarde, un gang des meules frénétiques est en train de se former. Devant ce succès galopant, j'accentue mes déhanchés et leur offre un intense massage de poitrine très sensuel. Je m'enroule ensuite autour de la barre, viens y plaquer mon sexe, les jambes écartées de chaque côté et laisse retomber mon buste vers l'arrière en tenant la barre des mains. Dans cette position assez obscène, je donne quelques coups de bassin, ma chatte se frotte à cette luisante tige de métal et épouse sa forme réveillant mon clito. Je fais l'amour à un bout d'acier!

Vu comment je les chauffe certains vont repartir sur la béquille et auront du mal à trouver le sommeil cette nuit! Ces échanges par corps interposés, véritable jeu de ping-pong lubrique, se poursuivent encore un bon moment. Je suis presque surprise de sentir la main de ma remplaçante venir me taper sur l'épaule pour prendre le relais.

Paul m'attend au pied de l'échelle, mon manteau sous le bras et mon froufrou autour du cou. Encore toute grisée, je ne peux m'empêcher de sourire et de lui demander à quel moment il compte m'annoncer son coming out! Sans relever ma moquerie, il me prend par la taille pour me pousser vers l'entrée des artistes.

- Je t'aurai bien laissé jouer les Mata Hari plus longtemps, tu avais l'air de t'éclater, mais nous avons une dernière obligation.

- On ne rentre pas? Je suis crevée, ça m'a rincé ce trémoussage.

- Pas tout de suite, quelques-uns de tes admirateurs souhaitent trinquer avec l'artiste, je ne peux pas leur refuser ça, tu te dois à ton public!

- J'ai déjà beaucoup donné ce soir à mon soi-disant "public" je trouve, ronchonne je

- Ne fais pas ta fière et profites de ton moment de gloire s'amuse-t-il en faisant tournoyer l'extrémité du froufrou de sa main libre.

Mon euphorie est vite retombée, ces rencontres sont rarement gratuites et je redoute le pire. Une enfilade de couloirs plus tard, je découvre le bar de mes précédents exploits. Ici aussi, comme dans le reste du club, la lumière est très tamisée. Le vicelard n'aime pas voyager à visage découvert! Seule, détachée au milieu du mur du fond, elle est inratable cette cabine et attire aisément tous les regards. Combien de pervers étaient-ils à profiter de mon show en dehors de ceux que j'ai sucés? J'en frissonne! Hélène y est toujours en action, agenouillée à prodiguer ses maigres talents buccaux sur la queue d'un grand black. Attablé à proximité, un homme sirote son cocktail en se délectant du spectacle, son mari probablement!

Nous nous dirigeons vers un coin plus discret où cinq hommes, tout de noir vêtus avec comme seule touche de couleur une discrète pochette rouge, sont installés confortablement dans un canapé. Propre sur eux dans leur costard sur mesure, ils commentent le strip-tease déjà avancé d'une jeune femme un peu éméchée qui, grimpée sur une table, se donne en public! Difficile de leur attribuer précisément un âge dans cette semi-pénombre, mais je pense que le plus vieux aborde tout juste la quarantaine. Deux seaux à champagne et quelques coupes semblent attendre mon arrivée.

- Elle s'est fait désirer, mais enfin là voilà! nous accueille bras ouvert un petit moustachu à la barbichette discrète et à l'imposant catogan. C'est une grande artiste, Messieurs, une grande vedette qui nous fait l'honneur de partager notre table après son spectacle!

Je n'ose lui demander à laquelle de mes prestations il fait référence! Il en met partout, le roi de la brosse à reluire. Tandis qu'il ne cesse son panégyrique sur mes qualités, relevant mon agilité buccale, ma poitrine envoûtante ou encore mon déhanché assassin, les autres se fendent d'un rapide baise-main. Un mister gras double à la barbe imposante digne d'un membre de ZZ Top se charge d'ouvrir le breuvage, de remplir les verres et d'en faire la distribution.

- Comme se prénomme notre invité? s'enquière-t-il en me présentant un verre.

- Lucie, je m'appelle Lucie et vous?

- Trinquons à Lucie, lance-t-il d'une voix grave à l'assemblée en levant sa coupe, avant d'enchaîner presque dans la foulée à mon égard, aimes-tu la sodomie Lucie?

Une partie de la lampée de champagne que j'étais en train de déglutir vient de se tromper de chemin en entendant cette question saugrenue posée sans ambages. Et aucune main pour me taper dans le dos et venir à mon secours! Bande de rustres!

- Non ... je ... pas vraiment .... mais ... je ... je ne suis pas une adepte finisse je par bredouiller. Comme vous avez pu le constater, ma tasse de thé serait plus la turlutte passionnée, la gâterie enflammée, la mignardise zélée, la sucette enthousiaste. Voulez-vous goûter à mes talents?

- Tu as déjà pratiqué? Tu es encore serrée?

- Oui un peu déjà, je le suis naturellement.

Pendant notre papotage à bâton rompu sur cette pratique sexuelle indélicate, l'un d'entre eux, qui, je ne sais pourquoi, me fait penser à mon boucher, le mimétisme de la tête de veau probablement, est passé dans mon dos. Il est venu poser ses grosses phalanges boudinées sur mes globes fessiers et s'amuse maintenant à les pétrir sans douceur. Il écarte ensuite la faible barrière de mon string et d'un doigt autoritaire vient s'enquérir de l'élasticité de ma corolle. Il badigeonne un onguent sur ses contours avant, sans prévenir, d'y fourrer en entier son majeur!

- Elle ne t'a pas menti son petit cul est encore bien serré, constate-t-il / confirme-t-il même si mes grimaces avaient déjà donné l'info!

Il pousse ensuite l'inspection plus avant en joignant son index à la fête. Nous continuons de deviser, comme si de rien n'était, alors qu'il m'ausculte le conduit sans retenue pour m'assouplir la rondelle! Je sens que la situation m'échappe et Paul ne fait rien pour arranger les choses. J'écarte alors en grand vulgairement les cuisses ainsi que mon string pour leur faire découvrir mon sexe encore en partie trempé de ma suée précédente.

- Comme vous pouvez le constater, m'enhardis je, mon minou est déjà en effervescence, tout prêt à vous accueillir! mente je éhontément des causes de cet effet.

Qu'importe de passer pour une fieffée salope si ça peut éviter quelques visites inconvenantes à mon postérieur. Mais la partie n'a pas l'air d'être gagnée, j'ai beau leur faire admirer mon entrejambe et jeter moult coups d'œil à Paul pour qu'il intervienne en ma faveur, mon côté fille facile n'a pas l'air de les émouvoir outre mesure! C'est lui qui au contraire, à mon grand désarroi, enfonce le clou.

- Messieurs, pour que vous puissiez continuer à profiter de votre breuvage en toute tranquillité, je vous propose que la demoiselle s'occupe elle même de vos queues ... en se servant de son prose bien entendu! Qu'en dites-vous?

Un débat n'est pas nécessaire, la proposition, à l'instar de certains dictateurs élus démocratiquement, se voit attribuer favorablement la totalité des suffrages exprimés!

- Alors, Messieurs, installez-vous confortablement dans ces canapés, la demoiselle va vous prendre en charge! Il me désigne les cinq capotes posées sur la table basse et me glisse discrètement ... à toi de les remplir ... mais comme tu l'as compris tu ne peux utiliser que de tes fesses ... montre-moi que tu sais t'en servir!

Je vois les cinq men in black remplir leur coupe, baisser leur falzar pour sortir coquette et prendre place dans cette alcôve à plaisir. Peu motivée par la suite des événements, je distribue, en guise de bon point, les préservatifs, eux aussi noirs pour l'occasion, déjà un signe de deuil pour mes fesses! Parlons-en d'ailleurs de mes fesses, elles sont en feu depuis un bon moment, rendues dociles et accueillantes par le puissant baume étalé et s'ouvrent déjà presque toute seule!

Aussi lorsque, après lui avoir donné quelques coups de langue pour le mettre en forme, je les ai présentées au chibre de mon premier partenaire, j'ai eu à peine à pousser pour sentir cette tête de nœud franchir le barrage! J'en aurai presque remercié cette longue et désagréable préparation de ce boucher en devenir! Malgré tout, et même si son calibre est fort raisonnable, la première reste comme toujours la plus difficile à passer. Car c'est surtout sur mes convictions (de défenseure de l'arrière-train où parfois il m'arrive dans mes rêves les plus passionnés d'endosser la robe d'avocate!) que j'ai du mal à m'asseoir en m'enfilant moi-même ce gland turgescent!

Dos à mon partenaire, ce qui reste, même si elle écorche toute bienséance sociale, la position la plus pratique pour l'auto-enculage, je fais une pause, assise sur ses cuisses, le chibre ancré bien au fond, pour m'acclimater de l'intrus avant d'attaquer. Mes débuts ne sont pas très performants, je suis un peu gauche et désordonnée, le rejet de l'acte très certainement! À peine une dizaine d'aller-retours plus tard, une petite tape sur la fesse gauche m'indique qu'il est temps de passer à mon voisin. Je ne pensais pas avoir été si performante que ça! Je constate, surprise, en libérant son braquemart qu'il n'a pas joui! Qu'importe, je passe au suivant comme demandé, pas d'excès de zèle ma fille!

J'ai crié victoire trop vite sur mes capacités anales, la seconde est bien plus grosse et elle coince un peu aux entournures! Après quelques efforts méritants pour l'accueillir sans trop de dégât, son propriétaire, impatient et fougueux, agrippe mes hanches pour me tirer vers lui et enfiler d'une seule traite les restes de son vit! Quelques instants, très solitaires, sont nécessaires pour laisser passer cette décharge qui m'a secoué le bas du dos réveillant par la même occasion le feu de l'onguent!

Comme une conne je me suis même mordue les lèvres pour éviter, d'un cri de grenouille de bénitier découvrant l'ampleur du sexe qui va prendre son honneur lors de son premier rendez-vous, d'attirer l'attention du reste du bar vers cette sodo party. Les autres, eux, vautrés dans le canapé, ne lèvent pas le petit doigt lors de mon passage, seulement leur queue! Je commence à m'aguerrir à la pratique, mes gestes deviennent plus sûrs, malgré ça, après seulement une petite vingtaine d'aller-retours je suis priée d'aller voir ailleurs!

Je découvre, après le cinquième qu'un inconnu s'est incrusté dans la file. Paul intervient pour lui indiquer que ce jeu de la bite musicale est complet! Le premier, lui par contre, claque des doigts, impatient, pour réclamer la suite de son dû. J'ai compris, ils font durer le plaisir, je vais avoir du mal à en voir le bout de toutes ces queues à ce rythme-là! Leurs chibres s'enchaînent indéfiniment! Un doigt vient de temps en temps remettre un peu de baume pour garder mes fesses en condition, mais est-ce vraiment nécessaire?

Quand c'est son tour, le petit fougueux me prend souvent les cuisses et les écarte au maximum, découvrant ainsi, au grand bonheur des quelques spectateurs qui se sont attroupés devant le spectacle depuis un moment, tous les contours de mon sexe. Il profite bassement de cette position pour me faire rebondir sur son chibre par ses puissants coups de rein et me faire couiner de douleur lorsque je retombe de tout mon poids sur son membre.

Lorsque le dernier dard explose dans son petit bout de caoutchouc, j'en aurais presque crié victoire. Je suis fourbue, j'ai la corolle en souffrance, l'anneau en déconfiture, le pétard à l'agonie, le troufignon qui demande grâce! C'est Paul qui d'une main secourable vient me relever et me désencastrer de la dernière queue sur laquelle je suis vautrée depuis quelques minutes.

- Belle performance ma petite femelle, je savais que tu y arriverais! Mais je ne t'ai pas vu jouir, aurai-je manqué d'attention?

- Non, J'étais concentrée à leur donné du plaisir, je ne pouvais pas tout faire, trouve je l'esprit de lui rétorquer.

- Il faut remédier à ce petit manque alors, tes fans seraient déçus sinon!

- Trop dur, je n'arrive plus à tenir debout, j'ai les cuisses cassées par l'exercice!

- Qu'à cela ne tienne, je te fais un peu de rangement sur la table basse pour que tu puisses t'y installer à genou.

Joignant le geste à la parole, il fait place nette, laissant juste une des bouteilles de champagne. Comme je m'y installe par dépit, il présente son goulot, dénudé pour l'occasion, à mon cul et m'ordonne de m'asseoir dessus! C'est à genou, le fondement ainsi bien occupé, que j'essaye, face à ce club des cinq pour adultes, d'atteindre cet orgasme qui m'est imposé. Pas facile, cette bouteille m'agace, me perturbe, me chagrine, elle se rappelle à mon bon souvenir à chacun de mes mouvements et s'attache parfois à me dilater un peu trop les fesses! J'en viens quand même à bout en m'acharnant sans répit sur mon clito!

-----

- ... mademoiselle ... mademoiselle, réveillez-vous, on ferme!

- Hummmm ... pas envie, ronchonne-je avant d'apercevoir la tête du jeune serveur qui me secoue délicatement. Merde, j'ai dû m'assoupir dans le canapé. Le manteau me sert de couverture, Paul très certainement. Où est-il d'ailleurs ce salaud qui offre mon cul sans prévenir au moindre de mes groupies? Je l'étriperais bien cet énergumène, cet ostrogoth, ce bachi-bouzouk à queue plate ...

- Il vous attend à l'extérieur, me renseigne le serveur en me voyant parcourir la salle du regard à sa recherche. Il m'aide galamment à me mettre debout et à enfiler mon duffle.

- Venez je vous y accompagne, me propose-t-il devant ma mine un peu désorientée par ce réveil en terre inconnue.

J'ai la tête à moitié en vrac, la bouche pâteuse, avec un arrière-goût indéfinissable, un peu courbatue ... ouch surtout d'un endroit en particulier, j'ai les fesses qui grincent et réclament des soins de toute urgence, à froid c'est une autre histoire! Les chaises sont déjà arrivées sur les tables et la serveuse s'active à passer la serpillière au rythme d'un petit Hendrix. Je fais vraiment la fermeture de ce clandé de débauche. La voiture est garée devant la porte. Paul, tout sourire, la mine encore fraîche malgré ce début de lueur annonciateur du petit matin, m'attend au volant.

- Ta petite sieste n'a pas été trop crapuleuse j'espère?

Sans "mau-dire", et ce n'est pas l'envie qui m'en manque (!), je prends place à ses côtés, m'enfonce dans ma pelure et ferme les yeux.

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Après le départ des cinq hommes et avoir allongé et recouverte Lucie qui venait de s'endormir dans le canapé, Paul n'a pas pu résister à solliciter une nouvelle fois les services de son Harley Quinn favorite et la douceur de sa bouche. Il a eu le temps cette fois de s'y attarder tout son soûl, savourant pendant une bonne heure ses talents. Il a ensuite retrouvé son ami dans son bureau pour partager quelques souvenirs en compagnie d'une bonne bouteille de scotch.

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Vous allez avoir l'impression que j'ai passé mon temps à me faire empapaouter le pétrusquin! À part une ou deux incartades de Mike dans mon arrière-train, ce ne fut que les deux seules mésaventures sodomites de cette année!

Mais revenons au présent ... non, pas tout de suite, changeons de chapitre auparavant!

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Nothing special, allways the same

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