L'orage Revisité

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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« Cela n'a pas d'importance, je ne veux pas de l'enfant c'est tout. »

« Madame, vous avez un mari qui a un métier difficile et par derrière vous le trahissez, vous prétendez ensuite que cela n'a pas d'importance, je vous trouve bien légère! »

Je suis pétrifié du tour que prend la conversation. Si j'osais, j'ouvrirais cette porte et je prendrais maman par la main pour courir loin de cet endroit de cauchemar. Je me liquéfie complètement lorsque j'entends le sale type demander :

« Ce ne serait pas le jeune homme qui attend dans le couloir des fois? »

J'ai des picotements dans le bas du dos et la panique me gagne, je regarde de droite et de gauche pour trouver une issue à cette situation, mais je suis comme prisonnier de cette maison.

Des sanglots me viennent à travers la cloison, ça y est il a réussit à faire craquer maman ; voilà qu'elle pleure maintenant.

« Oh! reprend-t-il, vous n'êtes pas la seule dans ce cas, j'en vois plusieurs par an, que ce soit des femmes de marin ou autres, rien ne vous arrête vous les femmes, lorsque vous avez décidé de jeter le grappin sur le mâle, fut-il votre fils votre père ou votre frère. Si je vous racontais! »

Maman sanglote toujours, je l'entends qui sort son mouchoir de son sac à main pour se moucher et s'essuyer les yeux.

« Bon! poursuit le monstre, maintenant le mal est fait et la petite graine est en train de vous bouffer au propre comme au figurer. Déshabillez vous »

Le ton impératif n'admet pas de réplique. J'entends des bruits qui me font penser que maman s'est levée pour s'exécuter.

« Enlevez tout » précise le toubib.

« Même la culotte? » demande naïvement maman.

« Hé oui, on pose sa culotte car c'est par là que ça se passe! » Lance-t-il satisfait de lui. « Allongez vous là et mettez vos jambes dans les gouttières. »

Suit tout un tas de bruits et de silences, le docteur examine maman, mais ce n'est pas ce que j'avais pensé.

« Bien, vous avez un peu de tension et c'est normal, détendez vous, je vais vous palper les seins d'abord, ha! oui, déjà bien gonflés il me semble, pas de poussées de lait quand même? »

« Non »

« Bon, voyons le ventre, un peu dur, un peu gonflé ces derniers temps? »

« Oui un peu. »

« Il était temps de venir ici il me semble, encore deux semaines et c'était trop tard, il aurait fallu assumer. »

Je frémis en entendant le doc.

« Je vais vous examiner plus bas, détendez vous, je vois fais un touché vaginal pour voir comment est l'utérus, mmmh, bien gonflé lui aussi, il faut que je l'examine de plus près. Détendez vous, je passe cette canule de verre dans le vagin, voilà, laissez vous faire, j'éclaire le fond, voilà qui est fait, oh oui c'est bien rouge! et bien enflé, laissez moi mieux voir, ah oui je vois, c'est bien une grossesse bien engagée.

Bon, vous êtes vraiment décidée pour l'opération? »

J'entends maman murmurer dans un souffle « Oui! »

« Ah ah! on a peur des conséquences de ses frasques hein? quel âge a ce jeune homme qui attend sa maman dans le couloir? »

« Il a quinze ans »

« Jeune, jeune pour être papa. »

« Tout va rentrer dans l'ordre rapidement, au fait vous avez apporté l'argent? »

« L'enveloppe dans mon sac. »

« C'est bon on y va, je pose le spéculum , c'est froid et c'est de l'acier, mais rassurez vous ça ne fera pas de mal, allez on ouvre grand! »

Suit un silence entrecoupé de soupirs et de cris étouffés.

« Encore un petit effort, j'aime bien voir ce que je fais au fond du trou. »

Maman a poussé un petit cri.

« voilà nous y sommes tout à fait, ouvrez bien vos cuisses que je puisse travailler à l'aise. Mais ma parole vous avez le vagin mouillé, est-ce que des fois cela vous plairait comme examen? »

« Faites vite! »

« Allons, une petit caresse à cet effronté de clitoris avant l'opération, cela va vous détendre. »

Suit un moment de silence, suivi de soupirs et de geignements que je connais fort bien. Je suis paralysé de surprise et d'indignation jalouse. Les geignements montent en puissance malgré que je sente une retenue certaine.

C'est alors qu'une porte que je n 'avais pas vu dans le noir s'ouvre et laisse passer une créature incertaine qui s'avance en claudiquant. C'est une très vieille femme, encore plus âgée que le médecin. Elle vient à moi s'arrête à ma hauteur, m'examine de ses yeux fatigués, elle dégage une odeur de rance insoutenable. De l'autre coté de la cloison les gémissements se font plus forts et impérieux. J'ai honte d'être là avec cette vieille qui entend maman en train de jouir sous les doigts experts qui la caressent .

Elle ricane en me regardant, et se penchant vers moi elle me dit :

« il ne perd pas la main mon Phylémon! il aime bien taquiner ses clientes de temps en temps! » Je ne réponds rien, hébété par la situation. « C'est mon fils, il a un doigté incomparable, les femmes adorent venir ici pour se faire examiner. C'est votre femme? »

« Heu... non... maman » ai-je répondu sans réfléchir.

« Elle a l'air d'apprécier non? » Je baisse la tête, abattu.

De l'autre coté de la cloison les soupirs montent plus forts et saccadés, « Hooooo!!! hooooo!!! hooooo, oui!! » je crois que maman vient de jouir. La vieille est toujours à mes cotés et ricane doucement, « C'est toujours pareil, Phylémon arrive toujours à ses fins. C'est sa façon de détendre ses patientes, après le plaisir qu'elles prennent, les femmes sont plus dociles pour les souffrances qui les attendent! ». Et elle s 'éloigne avec un rire fêlé et maléfique. J'en ai mal dans le ventre de l'avoir entendu, je regarde sa silhouette qui se découpe dans la lumière chiche de la porte fenêtre.

La vieille est sortie me laissant seul avec mes doutes. De l'autre coté de la cloison les choses se précisent, j'entends les préparatifs et la voix du docteur qui dit : « Voilà, je suis près, un petit coup de pompe à vélo et vous aurez presque retrouvé votre virginité! ». Suit alors un certains nombres de bruits que je n'arrive pas à identifier, comme des succions, des bruits bizarres et puis un cri « Haaaa!!! » suivi d'autres cris plus stridents et plus forts, poussés par maman et la voix du docteur qui dit « Laissez vous faire, laissez moi aspirer encore un peu, il faut que je termine maintenant, allons, arrêtez de vous tortiller comme ça, il faut que je termine! ». Cette fois, je le sens bien que nous arrivons au bout de l'aventure, les souffrances de maman n'auront pas été veines, je me détends un peu, il n'y aura pas de scandale, personne ne saura, à part maman et moi, papa pourra passer son noël tranquille.

Derrière la cloison les cris de maman ont fait place à des gémissements, le docteur fini son travail en la rassurant, « Voilà c'est terminé chère madame, je vous enlève le spéculum, j'espère que vous avez pris de quoi vous garnir, vous allez saigner un moment, vous allez vous allonger une heure et vous reposer dans une pièce à coté et dans une heure je vous appellerai un taxi. Bien sur vous allez éviter tout rapport pendant un certain temps, comme après un accouchement, un mois ou un mois et demi. Votre mari sera de retour pour noël m'avez vous dit? Hé bien il lui faudra s 'abstenir et votre fils aussi bien entendu! » Je perçois toute la perfidie de ses derniers mots.

La porte s'ouvre et il vient à moi, il a l'air sévère quand il me dit « Voilà j'ai réparé vos bêtises, la prochaine fois, prenez de vraies précautions quand vous voudrez baiser votre mère. Elle se repose à coté, vous pouvez aller la voir. » Il me désigne une porte et je me précipite vers elle autant pour l'éviter que pour retrouver maman. Elle est allongé sur un divan et elle pleure doucement en silence. Je m'approche d'elle et m'assois au bord du canapé. « J'ai joui! » me dit-elle à travers ses larmes, « Je n'ai pas pu m'empêcher de jouir, il m'a si bien masturbé que je n'ai pas pu. Ho! j'ai honte de moi, comme si tu savais comme j'ai honte! »

« N'aies pas honte maman, c'est un vieux salaud, c'est tout, il a profité de la situation et de ton état de faiblesse, n'y pense plus, nous allons partir et oublier tout cela. »

« J'ai mal, je me demande si je vais pouvoir rentrer. »

« Calme toi, repose toi, ça va s'arranger. »

Je lui prends la main et nous restons là dans la pénombre sans plus parler, de temps en temps, maman pousse un gros soupir à fendre l'âme, elle se tient le ventre, recroquevillée sur elle même sur ce canapé défraîchi. Je me demande combien de femme sont venu s 'allonger ici après avoir subi l'avortement pratiqué par le docteur, combien ont subi ses masturbations savantes et perverses.

Une heure se passe et la porte s'entrouvre pour laisser passer la tête ridée du toubib, « Tout va bien? » Lance-t-il avant d'ouvrir complètement la porte et de s'encadrer dans l'entrée. Maman a vaguement répondu un grognement, moi je regarde ce type avec un mélange d'horreur et de crainte, me demandant de quoi il est bien capable.

A ma grande surprise il vient à moi et me parle.

« Tu sais, tu n'es pas le premier à vivre ce genre de situation , j'en vois plusieurs par an. Des jeunes gens qui ont des relations sexuelles avec leur mère n'est pas quelque chose de rare. Le fait que la maman se retrouve enceinte non plus. J'ai vu de nombreuses femmes vivant cette grossesse jusqu'au bout. Dans les campagnes, vous savez, quand le père disparaît, le fils aîné prend souvent la relève, jusque auprès de sa mère dans le lit de celle-ci. C'est parfois une nécessité, une close de survie quand la ferme manque de bras. Alors quand la mère est encore assez jeune, elle se laisse engrosser par son fils et ainsi la pérennité de l'entreprise familiale est assurée. Dans l'ouest américain du siècle dernier c'était très courant, là, la survie de la communauté était directement liée au nombre de bras disponibles, il fallait de la main d'œuvre, peu importe d'où elle pouvait venir. »

Il me regarde de ses yeux perçants.

« Toi, ce n'est pas ton cas, tu es un jeune baiseur qui tire sur tout ce qui bouge, à commencer par ta mère. Au fond, c'est un bon début pour une éducation sexuelle non? tu as appris beaucoup je pense avec maman? » Je n'ose pas répondre, subjugué par ce vieillard qui perce mon âme à nu.

« Allons répond moi, maman est la première sur ta liste non? »

« Oui » ai-je réussi à souffler.

« Je le pensais bien, mais tu n'en resteras pas là, tu en auras d'autres des femmes. En tout cas, prend bien des précautions avec maman, tu as vu ce que ça fait de la bourrer de sperme, il y a des conséquences à prévoir, une femme, y compris sa propre mère peut être fécondée à tout instant, il faut penser aux conséquences de tes coups de bite mon garçon et si tu ne veux pas qu'on recommence cette séance pénible pour toi comme pour elle, mets une capote pour baiser, ou alors tu sautes en marche! » « Je saute en marche? »

« Oui, tu te retires avant de jouir. Je sais que ça n'a rien de drôle, mais ça évite les désagréments comme celui-ci. »

Finalement, il est de bon conseil le vieux lubrique, il sait mettre à l'aise et parler de choses pas faciles à exprimer.

« Alors, je vous appelle un taxi? »

Maman hoche la tète affirmativement. « Ca va aller? » je demande.

« Oui, rassure toi mon chéri, ça va aller. »

« Bon ,conclut le docteur, j'appelle, en attendant, restez couchée. »

Nous restons seuls à nouveau dans cette pénombre, chacun avec ses pensées. Le temps s'étire avant que le docteur ne réapparaisse pour nous dire que le taxi est là.

Maman essaie de se remettre debout péniblement, elle grimace et reste pliée en deux en se tenant le ventre. Je commence à me dire que jamais elle n'atteindra le taxi devant la porte. Lentement elle se redresse, son souffle est court et saccadé, elle se tient les cuisses serrées. « La tête me tourne! » dit-elle au médecin. « Restez debout un moment et ça va passer, je vais vous accompagner jusqu'à la voiture. » Maman se tient immobile et peu à peu je la sens qui se calme. Avec des précautions infinies elle fait ses premiers pas et parvient hors de la maison. Le taxi est là dans la cour, le docteur a ouvert la grille pour faire entrer la voiture, tout à coup je réalise que cela est plus discret pour lui mais implique une connivence de la part du chauffeur. Celui-ci nous a vu arriver et se précipite pour ouvrir la portière, maman parvient à se glisser dans le taxi. Je fais le tour pour m'asseoir près d'elle sur le siège et nous voilà parti pour le voyage de retour.

Le chauffeur nous regarde dans son rétroviseur, il ne dit rien, nous non plus, maman a trop mal pour dire quoi que ce soit et je suis dépassé par cette expédition au pays de toutes les hypocrisies.

Le voyage semble plus court qu'à l'aller, nous retrouvons nos rues familières les unes après les autres avant de retrouver enfin la notre. Le taxi s'arrête devant la porte de l'immeuble, maman paye la course et entreprend de descendre de la voiture. Autre moment difficile mais maman serre les dents et nous voilà sur le trottoir, juste quand madame Lefait arrive elle aussi.

« Je vais vous aider! » dit elle à maman en lui prenant le bras pour l'aider à monter les escaliers.

Montée pénible, longue et douloureuse. Maman est très pâle et sur le point de défaillir à tout instant. La montée n'en finit plus malgré les encouragements de madame Lefait.

Enfin, nous voici au terme de nos tourments, j'ai précédé les deux femmes pour ouvrir la porte de l'appartement et maman arrive enfin à son lit où elle s'effondre. Madame Lefait lui demande si elle veut quelque chose, « Oui, un thé. » répond elle faiblement.

Nous nous affairons dans la cuisine pour faire un thé à ma mère. « Elle a avorté? » me souffle madame Lefait, « Oui et ce n'est pas sans mal! », « Je me doute, elle a l'air de souffrir. »

Je porte le thé à maman et madame Lefait se retire, je la remercie et avant de s'en aller, elle me flatte la braguette comme l'autre jour dans l'escalier. « A bientôt! » me souffle-t-elle en refermant la porte.

Je me retourne auprès de ma mère allongée sur son lit de douleur. Elle me sourit douloureusement, « Demain, cela ira mieux. »

« Je ne voudrais pas que tu souffres autant! »

« Ne t'inquiète pas cela passera, laisse moi me reposer maintenant, va te reposer toi aussi. »

Je la laisse et referme doucement la porte. Une vaste fatigue s'abat tout à coup sur mes épaules et je n'ai que le temps de rejoindre mon lit et de m'y allonger avant de perdre connaissance.

*

La première semaine est dure, maman ressent de violentes douleurs au ventre, je fais de mon mieux pour lui apporter aide et confort. Madame lefait, qui est maintenant dans notre confidence, lui apporte quotidiennement ce dont elle a besoin et compatit fort à sa douleur. Puis avec le temps le mal recule petit à petit et maman reprend pied dans la vie de tous les jours , d'abord avec précautions, péniblement, puis avec plus d'assurance au fil des jours.

Moi, je continue de vivre comme avant, le Mercredi, j'attends que les scouts soient partis vers de nouvelles aventures et je vais rejoindre leur mère. Nous passons des moments délicieusement érotiques dans le grand lit conjugal, madame Lefait, Jacqueline, finissant mon apprentissage si bien commencé auprès de ma mère. Elle me suce divinement, moi je lui apprend l'amour anal qu'elle avait peu pratiqué et nous finissons toujours par une levrette qui la fait jouir à mort.

Le mois de Décembre est déjà là, papa nous annonce son arrivée vers vingt du mois. Je demande à maman si elle sera guérie pour alors? « A peine » me dit elle, et les affres de la découverte de nos frasques revient au galop. « Rassure toi, me dit maman, il n'en saura rien, j'inventerai une intervention du médecin sur un kyste mal placé. » Bon, me voilà rassuré pour notre Noël, tout sera donc normal mis à part que mon père devra se serrer la ceinture coté sexe.

Les jours défilent, c'est maintenant les vacances, papa est arrivé hier et la maison a pris un air de fête , ma grand mère elle aussi va arriver aujourd'hui et ainsi j'aurai mon petit monde autour de moi.

Le temps a décidé de se mettre de la partie, il fait froid et la neige va accompagner la fête. Je regarde les flocons descendre en une pluie lente et silencieuse sur la rue, derrière moi, les femmes parlent tout en préparant le réveillon, papa lit son journal, je trouve que sa joie est un peu forcée, mais finalement tout le monde semble heureux de ce noël blanc. Papa m'a offert un électrophone pour mon noël, un cadeau magnifique et rare en cette fin d'années cinquante, je suis comblé et j'écoute à longueur de journée le peu de disques que je possède, interrompant seulement mon plaisir pour aller faire la corvée de charbon à la cave. Je rencontre madame Lefait le lendemain de noël, toujours dans ce couloir sombre de la cave. Elle m'embrasse à pleine bouche et je lui rends son baiser. Nous nous pelotons, affamés que nous sommes l'un de l'autre, frustrés que cette période de fête nous éloigne un peu. Nous nous étreignons, elle a mis sa bouche près de mon oreille et me murmure doucement « Je suis enceinte! » j'ai fait un bond en arrière pour la regarder, effaré, elle me sourit malicieusement, «Rassure toi, le père Lefait est ravi et fier et cela ne changera rien entre nous, je t'attends dès que les fêtes seront passées, je te ferai signe. »

Je remonte à l'appartement, encore secoué par ce que vient de me révéler Jacqueline, un peu fier aussi, dans la mesure ou tout le monde est content, après tout, il aura une famille et un père cet enfant!

Et je remets sur le tourne disques cette chanson de Brassens :

.....Car le plus bel amour

Qui me fut donné sur terre

Je le dois au mauvais temps

Je le dois à Jupiter,

Il me tomba d'un ciel d'orage.

Post scriptum :

Maman n'a jamais plus voulu que nous reprenions nos relations incestueuses, sans doute avait-elle eu trop mal au corps et à l'âme. La prudence nous commandait de nous abstenir, madame Lefait, quoique étant une personne discrète, pouvait nous trahir, maman de son coté ne voulait pas vivre avec la crainte constante d'une grossesse, ce qu'elle avait vécu chez le médecin l'avait guéri à tout jamais d'un avortement.

Je reportais mon attention sur Jacqueline, elle était belle, sa grossesse la rendait plus jolie au fur et à mesure des semaines. Elle était plus vicieuse aussi, son état la rendait inventive et insatiable, chaque Mercredi il lui fallait

plus et plus de sexe. J'ai fini par inviter Jean-louis a nos petites fêtes, Jacqueline appréciait d'avoir deux jeunes queues pour s'occuper d'elle tour à tour ou ensemble. Nous faisions preuve d'ingéniosité pour lui faire l'amour et la laissions le soir, fatiguée et ravie, impatiente d'attendre jusqu'au Mercredi suivant. Nous l'avons baisé jusqu'aux derniers jours de sa grossesse, le dernier Mercredi fut une sorte d'apothéose et de rage de cul. Elle avait expédié les scouts chez sa mère pour les derniers jours et elle se sentait libre de donner libre cours à sa lubricité. Son gros ventre ne la gênait pas et elle nous suppliait de la prendre et de la prendre encore. Nous nous excitions sur ses seins lourds et gonflés de lait, lui tétant le surplus qui coulait de ses mamelles, nous la bourrions par tous les bouts et elle en voulait encore. Nous avons fini épuisés tous les trois en fin de journée.

Elle a ressentit les premières douleurs le soir même, dans la nuit j'ai entendu du remue ménage dans l'escalier, et à l'aube, le père Lefait nous a déclaré fièrement être le papa d'une petite fille prénommée Aline pesant 3kg et se portant bien ainsi que la maman.

J'ai ressentis une drôle d'impression, j'avais grandi d'un seul coup et Jean-Louis ne compris jamais pourquoi. Maman elle, plus intuitive, m'a regardé d'une autre façon, il y avait comme de la mélancolie dans son regard.

Jipai
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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Excellent récit, plein d'invention et d'érotisme. Dommage que l'orthographe soit parfois approximatif mais bon, là n'est pas l'essentiel.

Petit anachronisme que j'ai relevé : dans les années cinquante le jour de repos des élèves n'était pas le mercredi mais le jeudi ...

AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans
SVP, continuez d'ecrire

Vous etes merveilleux! Je vous prie, continuez d'ecrire.

A propos de cette histoire, ce serait bon s'ils ont un enfant ensemle avec sa mere. Je sais que c'est un probleme dans la vie reele, mais c'est un histoire fantasie. Merci bcp.

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