Une belle fille particulière

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Ma compagne, sa fille hermaphrodite et moi.
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J'avais 43 ans lorsque j'ai rencontré Stéphanie qui en avait 46, et après quelques mois passés ensemble elle m'a naturellement invité à venir vivre chez elle plutôt que d'emménager dans mon studio avec sa fille.

Depuis nous vivons sous le même toit en parfaite harmonie je dois dire.

Toutefois, le comportement de Chloé, ma belle fille de 18 ans me paraissait un peu étrange à certains égards.

En effet lorsque la conversation nous amenaient à évoquer ses sorties ou ses amis(es), cela tournait toujours très court et Stéphanie semblais aussi vouloir éviter le sujet afin de ne pas embarrasser Chloé.

Il m'arrivait souvent de m'interroger sur ces comportements mais sans en parler à sa mère. Peut-être que Chloé était lesbienne? Après tout Stéphanie avait eu dans sa jeunesse une passade « Femmes- Femmes », qui dura presque 2 ans avant qu'elle rejoigne « le troupeau » comme elle le dit de temps en temps en plaisantant.

Je dois dire que d'imaginer que ma compagne dans les bras, et le lit d'une autre femme me faisait fantasmer et cela pimentait bien notre vie sexuelle. En effet nous nous amusions souvent à agrémenter nos ébats amoureux par des récits torrides de ses expériences passées avec ses ex-compagnes.

Véritables orgies, dans lesquelles, toujours en talons aiguilles, bas ou collants, parées de godes ceintures elles se gouinaient comme des folles!

Bien que nous sachions tous les deux qu'elle exagérait, voir inventait la plupart de ces histoires, mais cela nous excitait au plus au point et nous faisait jouir comme des jeunes mariés. Donc, tout se passait à merveilles jusqu'au jour où un dimanche matin, après une nuit mouvementé du côté de notre chambre à coucher, j'entendis Chloé discuter avec sa mère dans la cuisine et puis soudainement ma belle-fille se mit à pleurer à chaude larmes! Je n'intervins pas mais me pressais de questionner Stéphanie dès que Chloé fut sortie.

Bon, je vais t'expliquer pourquoi Chloé a pleuré et pourquoi elle se sent mal à l'aise dès qu'elle nous entend faire l'amour. Ce qu'elle me dit après a fait basculer ma vie sexuelle et va vie tout court d'ailleurs!

Elle m'expliqua que Chloé était née avec une forme assez rare d'hermaphrodisme et qu'elle n'avait ni vagin ni clitoris mais des attributs masculins à la place. Mais est-ce quelle? .... S'il te plait ne m'interromps pas car ce que je m'apprête à te dire Olivier est très important et tu dois en parler à personne même à Chloé sauf si elle est d'accord. J'acquiesçais de la tête. Je ne sais plus où j'en étais moi!

Ah oui, donc si Mère nature s'était contenté de la lotir d'une verge et des testicules de tailles normales ça aurait pu être « acceptable » mais vu les dimensions de sa bite et de ses couilles, je me pose des questions.

Et attends, Le pire c'est qu'elle peut déverser des litres et des litres de sperme pendant près de 5 minutes et recharger illico! Je ne sais même pas si une femme oserait s'y aventurer sans une certaine appréhension.

Même le mieux monté des « hardeurs » de pornos ne serait pas fier de son asticot et de ses pauvres petites cacahuètes. A ce moment-là j'essayais de visualiser « l'engin » et en même temps j'imaginais Chloé giclant sa crème et remplissant les chattes et les culs de ces femmes hurlant leur bonheur de « salopes » comblées.

Et je ne te raconte pas, enfin pas tout de suite, car elle va bientôt rentrer, l'enfer qu'elle a pu vivre depuis qu'elle a réalisé qu'elle n'était pas comme les autres filles. Bon de ce côté-là ça va beaucoup mieux depuis qu'elle a rencontré Camille, il y a 2 ans, à la clinique où elle voit son Médecin spécialisé dans ces genres de cas.

Camille qui est comme elle à la différence près que sa mère ne prend pas du tout les choses comme moi et qu'elle aurait plutôt tendance à ignorer le problème et à ne pas en parler.

Là aussi, mon scénariste d'esprit lubrique ne put s'empêcher de me montrer quelques scènes du film de ce qu'elles se faisaient toutes les deux avec Camille. Bon, je l'entends qui arrive, on reprendra cette conversation plus tard.

Je suis désolé mon chéri d'avoir monopolisé la parole et j'imagine que tu as des tonnes de questions qui te viennent à l'esprit mais j'y répondrais tout à l'heure.

Des questions oui mais surtout une réflexion Stéf car quand tu dis que la mère de Camille ignore le problème et bien moi je pense qu'il faut plutôt prendre ça comme une chance au lieu d'un problème. Non?

Je suis contente et fière que tu le prennes comme ça mais surtout ne laisse pas deviner à Chloé que tu es au courant pour l'instant. Quand je sentirais le bon moment je lui dirais que tu sais et je pense que vous pourrez en parler ensemble.

Sur ce, elle quitte la pièce en me gratifiant d'un baiser sur la bouche (enfin je dirais même plus sur les amygdales) en passant furtivement sa main sur ma bite à travers mon jean.

Je vous épargne du couplet sur la dureté de ma queue que j'ai envie de branler mais je m'aperçois que j'ai « pré-juté » quelques gouttes de sperme dans mon caleçon!

J'entends la voie de Chloé qui rentre avec Camille et tout s'éclaircit dans mon esprit. Je comprends maintenant pourquoi Chloé ne va jamais à la piscine, vérifie toujours que je n'ai pas besoin de la salle de bains avant d'aller prendre un douche.

Pourquoi elles s'enferment dans la chambre pendant de longues heures même pendant leur série préférée, etc., etc.

Dès que je les entends rires mon cerveau m'envoie les images de ces deux petites salopes en train de se sucer goulûment et de s'enculer chacune leur tour! Cela est presque insoutenable quand j'embrasse Camille et que mon buste effleure sa généreuse poitrine qui doit bien faire un 95 d.

Wow, mon cœur s'emballe et j'en ai presque les jambes qui flageolent. Je ne peux absolument pas rester dans la même pièce quelles sans qu'elles s'aperçoivent que mon regard ne peut se détacher de leurs pantalons, essayant de d'apercevoir leurs énormes queues déformant le tissus de leurs vêtements.

De toutes façon elles vont forcément repérer que je bande comme un taureau! Stéphanie remarque immédiatement mon changement de comportement et me demande devant les filles : « Qu'est ce qui ne vas pas Olivier? T'es tout bizarre d'un seul coup! »

Comment ne serais-je pas bizarre avec ses deux déesses à bites assises à moins d'un mètre de moi?

« Oui tu as a raison, je vais aller m'allonger un peu ça me fera du bien ». Je regagne la chambre avec la tête qui tourne et me dis qu'il faut que je fasse quelque chose, je ne peux pas rester comme çà?

Quand Stéphanie vient me rejoindre je suis en train de me branler mais je ne pas peux pas lui dire que la seule chose que j'ai en tête c'est de sucer et baiser sa fille avec sa meilleur copine.

C'est dans ces moments qu'on se rend compte que les femmes sont de redoutables psychologues puisque qu'elle me dit : « Je suis sure que c'est Chloé et Camille qui te mettent dans cet état, je me trompe? »

« Tu ne te trompes pas du tout, ça me retourne le cerveau et ce n'est pas normal, c'est quand même ta fille de 18 ans et sa copine de 19. »

« Ce qui n'est pas normal c'est qu'elles soient nées comme ça, il n'y a absolument rien de malsain de ta part à avoir des pensées cochonnes les concernant, d'ailleurs j'aimerais bien que tu me raconte ce qui te passe par la tête, je suis sure que ça m'exciterait beaucoup.

Et puis ne t'inquiètes pas, moi aussi ça m'a obsédé pendant une période. Je m'imaginais avec elles dans des scènes où elles me baisaient et me remplissaient la chatte et le cul de leurs bonnes giclées de crème bien chaude ». « Et tu n'es jamais passée à l'acte? Non, mais quand j'étais célibataire j'ai bien failli basculer à plusieurs reprises quand je les entendais se gouiner toute la nuit dans la chambre d'à côté »

« Moi je n'ai jamais ressenti la moindre attirance pour le sexe masculin mais je dois dire que depuis ce matin je ne sais plus quoi penser, j'ai l'impression que toutes mes convictions volent en éclats!"

Pour l'instant je mets ça sur le compte du choc, on verra bien ce qui se passera après. » Le reste de la journée se déroula fort bien et je m'améliorais beaucoup à gérer mes émotions au contact des filles. A un moment, en chahutant je me suis même retrouvé avec Camille sur les genoux! J'avais d'ailleurs mis au point une technique de diversion de mon esprit pour ne pas perdre les pédales : dès que je sentais que j'allais me mettre à bander je visualisais ma Belle Mère et ainsi mes pensées déviantes m'abandonnaient instantanément.

Subterfuge qui ne fonctionnera pas très longtemps quand vous connaîtrez la suite!

Inutile de mentionner qu'avec Stéphanie, nous attendions le soir avec impatience pour nous retrouver enfin dans la chambre pour partager tout ça. Ce qui arriva vers minuit, Chloé dans sa chambre, et nous dans la nôtre. Stéphanie m'appris alors qu'elle avait dit à Chloé que j'étais au courant pour sa « différence » et que je considérais cela plutôt comme une chance et un cadeau au lieu d'un problème.

Ce qui apparemment eut pour effet de la soulager et de lui enlever un énorme poids dans la poitrine.

Mais après une journée comme celle-ci on est vite passés aux choses sérieuses, moi allongé et Stéf me chevauchant tendrement quand elle me dit à l'oreille : Chloé nous observe par la porte entrouverte!

La connivence de nos regards nous épargna de dire quoi que soit et Stéphanie se leva, ouvrit la porte et dit à Chloé : « Eh bien ma chérie tu voudrais bien nous regarder, c'est ça? Alors ne reste pas dans le couloir, entre. »

Je me recouvre du drap mais Stéphanie est toujours nue.

Quand elle entre dans la chambre mon cœur tambourine tant elle était magnifique dans sa chemise de nuit en soie.

Dans ses grands yeux noirs on pouvait lire deux sentiments qui reflétaient sa pensée à cet instant, le premier était celui de quelqu'un qui est sur le point d'accomplir une mission, avec toute l'excitation qui l'accompagne. Le deuxième était celui de quelqu'un qui sait qu'il va devoir être à la hauteur, avec toute la crainte et l'appréhension qui l'accompagnent aussi.

Dans un premier temps il fallait donc la rassurer afin qu'elle se sente le plus à l'aise possible. Ce que sa mère fut très bien faire sa mère en lui disant : «Tu sais que l'on peut tout ce dire ici ma puce, tu n'as aucune crainte à avoir de quoi que ce soit.

Tu peux rester tant que tu veux ou quitter la chambre si tu te sens mal à l'aise. Tu peux venir à côté de nous sur le lit ou rester en retrait. N'hésite pas à nous interrompre et à nous poser des questions, sur tout ce qui te passe par la tête, même si ça te parait idiot».

« Qu'est-ce que tu en penses Olivier? »

« Je crois que tu as tout dit, peut-être qu'on peut juste ajouter que tout ce qui ce passe dans cette chambre n'est que douceur, sensualité, humour et amour? Et toi Chloé tu en dis quoi? »

« Pour le moment je vais rester assise en vous regardant, faites comme si je n'étais pas là»

Nous tamisons donc la lumière et reprenons nos ébats. Quand je dis reprenons c'est inexact car on décide en fait d'être les plus sensuels possible, avec des massages-caresses, gratouillis, baisers, etc..

Et après dix bonnes minutes de préliminaires Stéphanie s'apprête à me prendre en bouche délicatement lorsqu'on entend Chloé, qu'on avait presque oubliés, qui gigote sur sa chaise en rotin.

« Tout va bien pour toi ma fille? Tu es assez confortable là? »

« Oui c'est bon Maman, ne vous en faites pas pour moi, j'aime bien voir ce que vous faites, c'est tellement doux! »

Je pense en fait que si elle bouge sur sa chaise c'est parce qu'elle ne sait pas quoi faire de son énorme queue qui doit être dure comme du bois. Alors, toujours et seulement animé par le souci de son bien-être je lui dis :

« Tu sais Chloé il n'y a aucun mal si tu te caresses en nous regardant, hein Stéf? ».e qu'on fait »

« Ok! Mais je n'osais pas, je ne voulais pas trop m'agiter pour pas vous déranger, vous avez l'air tellement concentrés sur ce que vous faites ».

Et là nous reprenons notre étreinte qui devient de plus en plus fougueuse, on se lâche un peu et on commence à se lécher, se sucer.

Stéphanie regarde sa fille dans les yeux quand elle enfourne ma bite dans sa bouche. Je la fixe tendrement du regard lorsque j'enfonce ma langue dans les fesses de sa mère qui pousse un râle de plaisir.

Enfin Chloé a dénoué sa chemise de nuit, les jambes écartées, sa somptueuse poitrine découverte, ce qui me permet de constater ce que m'avait dit Stéphanie au sujet des dimensions de ses attributs.

Oh mon Dieu! Cette verge de 25 centimètres, fièrement dressée et cette paire de couilles qui ont l'air si dures et si douces à la fois!

Je n'en revenais pas! Je lui fais un grand sourire accompagné d'un clin d'œil et d'un petit bisou soufflé. Elle fait de même.

Nous continuons, sa mère et moi à nous astiquer dans tous les coins pendant encore dix bonnes minutes quand on entend notre Chloé remuer comme une folle sur son siège, les yeux presque à la renverse, son corps tout entier secoué de soubresauts!

On se lève vite, s'agenouillant devant elle en lui prenant chacun une main dans les nôtres et lui disons : « Pas tout de suite ma chérie, on a tout notre temps, on vient à peine de commencer. »

Nous l'accompagnons jusqu'au lit et je la vois, enfin devant moi, debout d'une féminité à tomber par terre, son doux visage d'ange, ses magnifiques yeux noirs teintés d'un soupçon de lubricité avec sa large poitrine mais pas trop grosse (je sais qu'elle fait un 85 d), ses hanches sculptées à la perfection et tout cela agrémenté d'une belle «bite de femme» que je peux enfin détailler : elle doit bien atteindre les 25 ou 28 cm pour un diamètre de 5 ou 7 cm et encore elle s'est un peu ramollie, un filet de pré-sperme reliait l'intérieur de sa cuisse au bout de son gland et Stéphanie pose sa main sur sa peau pour retirer ce petit filet et sa queue réagi en une fraction de seconde, comme si elle avait reçu une décharge électrique elle met brusque un coup en l'air en giclant une grosse goutte qui atterrit sur mon visage!

Nous éclatons tous de rire et je sens la chaleur de cette chaude larme couler sur ma lèvre supérieure, je passe naturellement un coup de langue dessus que je remets dans ma bouche.

« Délicieux ma chérie »

Quand elles me voient faire ça, Chloé de remet à bander de plus belle et Stéphanie veux, elle aussi goutter ce succulent breuvage et lui lèche la cuisse ou il y avait encore un peu de crème.

Si ma mémoire est bonne je crois qu'elle peut en déverser des litres et des litres!

Stéphanie a une idée pour atténuer un peu la sensation tactile de nos mains sur sa peau « tu devrais enfiler une paire de collants ça sera beaucoup mieux tu vas voir. »

« Ok maman, par contre tu m'as dit que je pouvais vous demander des trucs alors j'aimerais bien que vous refassiez un 69 et qu'Olivier fouille tes fesses avec sa langue, j'adore vous voir faire ça ».

On s'exécute pendant qu'elle revêt son collant et nous rejoint sur le lit, sa belle queue enveloppée dans le textile soyeux de son écrin de Nylon. Nous lui caressons langoureusement les pieds, les chevilles, les jambes et les cuisses pendant qu'elle se tortille doucement en ronronnant. Notre ascension se dirige inexorablement vers sa verge qui commence à déformer le collant, Stéphanie lui masse la queue pendant que lui caresse et malaxe les couilles sans oublier quelques chatouilles avec mes ongles.

Elle est aux anges, gémit de plaisir et se lèche les lèvres en ondulant du bassin.

Dans la chambre, règne un calme plat. Seul le souffle de Chloé, de plus en plus saccadé vient donner du rythme à ce spectacle esthétique éblouissant de tendresse.

Stéphanie sort alors une paire de ciseaux d'un tiroir pour ajourer le collant et ainsi libérer le sexe et les testicules de sa fille.

Une fois la bite et les couilles à l'air libre, cuisses bien écartées Chloé nous demande avec son plus beau sourire : « Alors! Qui suce ma bite maintenant? » Au moins, on ne peut pas lui reprocher de nous saouler avec des circonvolutions verbales.

Je n'avais qu'une envie : me jeter la tête la première, bouche ouverte sur ce pénis et lui administrer la meilleur des fellations de sa vie, puis j'ai réalisé que je n'avais jamais pratiqué une chose pareille, à part une fois ou deux sur un gode pour faire le malin devant une compagne.

Finalement j'ai pensé à une alternative plus rationnelle et j'ai dit : « Je pense qu'en la matière, Maman a quand même plus d'expérience que moi, je ne voudrais pas te blesser belle fille chérie, ha ha ha...! »

« Vas-y Maman, toi Olivier tu vas lécher mes bonnes couilles pleines de sauce! »

Ce rôle de subalterne m'allait à merveilles et son franc parler commençait à bien m'exciter.

Prévoyant, comme je savais que l'on allait être occupés pas mal de temps je décide d'aller chercher une bouteille d'eau dans la cuisine.

Mais au lieu de m'y rendre directement je m'immobilise un instant derrière la porte en espérant entendre un phrase du genre « Alors, ça te plais? Le comportement d'Olivier te convient? ».

Au lieu de quoi j'entends « Maman t'aurais dû aussi faire un trou à l'arrière du collant, tu sais bien que ça me rend dingue quand tu me doigte le cul! » Puis, comme un bruit de claque sur les fesses et Stéphanie dire « Tais-toi! S'il t'entend on est démasquées! T'es folle, ou quoi? »

J'étais sur le cul, bouleversé. Un peu en colère, pour quoi d'ailleurs, parce qu'elle m'avait menti ou bien pour avoir été assez naïf d'imaginer qu'il ne se serait rien passé entre elles durant la traversée de leur désert affectif et sexuel?

Quel naze je fais! Bon comment j'opère maintenant que je sais qu'elles se « goui???nent », je ne sais même pas quel terme employer pour qualifier un acte sexuel de cette nature, qui me rend fou d'excitation par ailleurs. Je vais faire comme si je n'avais rien entendu, moi aussi j'ai droit à mes petits secrets.

Aussitôt, la mécanique audiovisuelle de mon cerveau m'inonde de courts-métrages dans lesquels je les vois se donnant du plaisir, Stéf godant le cul de la petite en lui dévorant la queue et Chloé lui fourrant sa bite je ne sais où!

Tout cela me rend fou et j'imagine des scènes dignes des plus grands pornos quand tout à coup un flash me revient : tout au début de notre relation, je passe chez elles après le travail et Stéphanie, chaude comme je ne l'avais jamais vu me saute dessus et au moment de la pénétrer une minuscule coulée de sperme sort de son vagin. Je lui fais remarquer et me répond « Tu ne souviens même plus qu'on s'ait vu à midi nigaud? He bien! Ça fait plaisir! »

Cela me parut inconcevable qu'elle garde ma semence en elle tout ce temps mais bon, c'était le début puis le chaud et doux fourreau dans lequel je venais de m'introduire eurent raison de ma logique et je chassais vite cette pollution de ma pensée.

Plusieurs autres moments aux déroulements déroutant me revinrent à l'esprit comme quand ...

« He! T'u es parti la chercher où cette bouteille d'eau? Si t'es descendu chez le Pakistanais j'espère que tu as pris mon imper sur la porte d'entrée car tes fringues sont toujours dans la chambre! » Suivi d'éclats de rires venant de la chambre. « J'arrive les filles, je me rafraichissais un peu ». Il est clair que pour être frais j'étais bien frais puisque j'avais passé au moins 5 minutes à poil devant le « frigo » la porte ouverte sans débander.

(Record à battre!)

De retour dans la chambre je file me réfugier sous les draps tellement j'ai froid.

Elles s'en aperçoivent et entreprennent de me réchauffer pour me remercier d'être allé si loin leur chercher de l'eau.

Leurs mains douces et chaudes sur ma peau me font le plus grand bien et si je ne bandais pas autant je me serai bien laisser aller à une petite sieste. Mais pas question de s'assoupir quand la bouche Stéphanie s'empare de mon sexe et que celle de Chloé se pose délicatement sur la mienne.