L'orage Revisité

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Nous nous effondrons sur le petit lit, haletant de nos efforts, mêlant nos sueurs et nos effluves, bouillant comme des chevaux après une longue course. Maman, sous moi se débat. Elle voudrait s'enfuir vers la salle d'eau et laver sa chatte de tout ce sperme qui bave de lui. Je me fais lourd sur elle, entrave ses mouvements, l'empêche de se redresser. Elle ahane et se bat contre mon inertie mais je résiste. Ses forces fléchissent et j'ai moins de mal à la retenir, la lutte est inégale, elle le sent et ça la panique, moi je rebande déjà, cette lutte a réveillé mon instinct et je revis, plus bandant que jamais, dur et tendu. Maman gémit « Lâche moi souffle-t-elle, tu sais que je dois y aller, ce serait trop bête, allons lâche moi! » . Mais je ne lâche rien, cette fois ma queue est contre ses fesses, ma mains remonte un peu la gaine par derrière et ma bite plonge entre les fesses. J'écarte un peu les lobes charnus et y glisse mon membre en le guidant vers le trou sombre de maman.

Elle se débat encore « Non! pas ça, non chéri laisse moi je ne veux pas! pas par là, pas par là... ho!!! » et ma bite force le conduit étroit de l'anus. Mon gland a déjà investi la place, le reste n'est que formalité et d'un coup de rein je force le passage. Maman a crié de douleur, je sais que je lui ai fais mal au passage, aussi je demeure immobile un instant, le temps qu'elle s'habitue à ce membre qui palpite en elle. Son sphincter se resserre autour de ma tige, d'abord fortement puis peu à peu il accepte ce corps étranger qui le force. Il cède et le vainqueur peut triomphalement pousser son avantage dans les ténèbres profondes où il se fraie son chemin.

Maman râle et je ne sais si c'est le plaisir ou la douleur. Cette fois je ne me pose pas de question et je repars à l'asseau fringant comme une première fois. Elle couine des « Haï » de douleur mais n'a plus la force de s'opposer à ce que je lui fais subir. Je reste longtemps à la pistonner, mon plaisir dure, le principal de mon sperme est sorti, je dois refaire mes réserves, j'ai tout mon temps. A la longue le plaisir lui revient quand elle cesse tout à fait de s'opposer, le sphincter relâché, ma bite est en elle et je la manœuvre à loisir. Son cul s'ouvre à mon membre et nous baisons profondément. J'ai le contrôle total de ma jouissance et ce n'est que près d'une heure plus tard que je me déverse dans ses intestins, quelques saccades rapides, ma tige crache son sperme pour la quatrième fois dans l'après midi.

Je me laisse aller sur le dos et ma queue échappe au trou où il était enfoui. Cela produit un pet étrange, le cul de maman laisse échapper les gaz que ma bite retenait au fond. Elle est trop épuisée pour s'en formaliser et s'effondre de tout son long dans le lit, sans force désormais. Elle ne bouge pas et je constate sans tarder qu'elle est tombée dans un sommeil profond.

Sans bruit je me glisse hors du lit et cette fois c'est moi qui file dans la salle de bains pour me laver la queue. Je dois dire qu'elle n'est pas si sale qu'on pourrait le croire et ma toilette est vite faite. Quand je reviens vers ma chambre, de grands ronflements remplissent l'air. Je jette rapidement un œil dans la chambre où maman gît en travers du lit, à plat dos, une jambe sur le lit l'autre pendante. La culotte sur le coté laisse son con apparent ; Je m'approche sur la pointe des pieds et m'accroupis entre ses jambes pour voir sa chatte de plus près. Les lèvres sont à peine refermées et laissent voir leur plaie béante d'où coule encore la cyprine mêlée au sperme blanc qui macule jusque ses cuisses. La corolle de son anus sombre palpite devant mes yeux, il est encore ouvert et porte les traces du passage de ma queue. Là aussi, le sperme coule en une rigole qui se perd entre les globes fessiers.

Sa poitrine nue se soulève doucement, je regarde ses aréoles sombres de brune, les tétons sont encore érigés et il me suffit de les effleurer pour attirer une plainte aux lèvres de maman.

« Ainsi me dis-je tu t'attendais à te faire enculer? ton cul était bien propret et ma queue ne s'est même pas salie en s'enfonçant en toi? Salope! ne puis-je me retenir de penser, elle avait préparé son cul pour la bite de son fils! brave salope de femme!

Ce n'est qu'une heure plus tard que maman émerge de ses songes, ses yeux s'ouvrent et se promènent sur le plafond, elle se demande où elle se trouve. D'un seul instant elle réalise sa situation et se dresse sur son séant, affolée, le regard perdu. Elle file d'un trait vers sa salle de bains sans me jeter un regard.

Sa toilette dure longtemps, j'entends l'eau couler pendant un bon moment avant qu'elle ne réapparaisse. Elle a enfilé un peignoir de bains et elle vient à moi le visage fermé. « Pourquoi ne m'as tu pas empêché de m'endormir? », je la regarde de mon air le plus innocent, « Tu dormais si bien » . Elle soupire, « Tu sais bien que je dois faire ma toilette aussitôt après... après... hé bien après quoi! ». Visiblement embarrassée elle ne sait comment m'adresser le reproche « J'ai pensé qu'il serait bien que tu te reposes, tu en avais tellement envie ». « Non, tu ne dois pas me laisser dormir après, je dois à tout pris faire ma toilette, tu le sais, et je ne veux pas courir de risque, désormais, tu m'empêches de m'endormir après » . « Oui maman »

Elle tourne les talons et s'en va à ses affaires pendant que je reprends les miennes.

La soirée fut longue avant le coucher, mais au moment de se mettre au lit, je la suis dans sa chambre et notre duo d'amour reprend dans son lit spacieux et douillet où nous baisons jusqu'à fort tard. Cette fois, maman garde toute sa lucidité et la salle de bains aura sa visite trois fois ce soir là. Je m'endors comme une masse, exténué par les efforts fournis tout au long de la journée.

Octobre nous surprend par sa fraîcheur, il nous faut un peu de chauffage dans l'appartement, maman me demande de faire la corvée de charbon qui en principe est dévolue à mon père quand il est là. Mais pour l'heure, je suis l'homme de la maison, je l'ai prouvé et le prouve à tout instant. C'est donc sans rechigner que je m'empare du seau pour descendre à la cave de l'immeuble chercher de quoi nous chauffer. C'est le soir et la nuit est déjà là, j'ai allumé la minuterie pour éclairer chichement le couloir qui descend dans les profondeurs de la maison. La cave est cet endroit obscur et mystérieux où l'on stocke tout ce qui ne sert plus mais « on ne sait jamais », il m'attire comme un aimant, il y a là, je le sens, des choses mystérieuses au coin de ces couloirs étroits et oppressants.

J'en suis là de mes réflexions lorsque tout à coup je butte contre quelqu'un, relevant le nez j'aperçois madame Lefait qui paraît aussi surprise que moi. « Pardon madame, excusez moi » je lui bredouille mes excuses en reprenant mes esprits. « Décidément, ça devient une habitude de se rencontrer! » me lance-t-elle pendant que je regarde cette femme belle et encore désirable qui alimente mes fantasmes nocturnes. Elle me sourit tout en barrant mon chemin vers notre cave, « Tu as beaucoup grandi ces jours-ci, te voilà un homme maintenant. Comme le temps passe mon petit Jean-Alain! ». Je ne sais que répondre et la regarde sans dire un mot. « Tu t'occupes du charbon, c'est bien, tu es fort, un vrai homme maintenant! » et se penchant vers moi comme pour une confidence elle me lance « Et tu t 'occupes bien de ta maman aussi! ». Je sens le rouge de la panique me monter au visage, une violente poussée d'adrénaline me tétanise sur place. Madame Lefait se rend compte de mon trouble et vient vite à mon secours, « N'aies pas peur, je ne dirais jamais à personne de ce que j'entends souvent depuis chez moi, je crois que tu lui fais beaucoup de bien à ta maman. ». Je la regarde, terrorisé par sa découverte, mais madame Lefait sourit avec beaucoup de bienveillance.

C'est le moment que choisit la minuterie pour s'éteindre et nous laisser dans le noir presque total. J'ai un mouvement pour aller à la recherche de l'interrupteur mais madame Lefait m'arrête en me retenant le bras. Je la regarde surpris, et distingue un sourire sur son visage clair. Sa main lâche mon bras et je la sens presque aussitôt sur ma braguette. Instantanément me voilà raide à nouveau en sentant ces doigts qui cherchent l'ouverture de mon pantalon, le trouvent et s'y glissent sans plus attendre. Elle a défait mes boutons prestement et c'est engouffré dans la brèche, ses doigts palpent mon membre et le tire hors de mon slip avec une rapidité et une dextérité qui me laisse sans réaction. « Tu as une belle queue me susurre-t-elle, ta maman a bien de la chance de l'avoir à disposition. J'avais envie depuis longtemps de la connaître, à entendre ta mère crier, je pensais bien qu'elle en valait la peine! ». Je suis tellement soufflé que je me laisse faire sans réagir, madame Lefait prenant les choses en main me masturbe maintenant d'un mouvement souple et régulier. « Mmmmm! la belle bite que voilà, quel régal pour une femme! » murmure-t-elle tout en me branlant la verge.

Soudain elle tombe à genoux, s'accroupit et sans prévenir je sens qu'elle a pris mon sexe dans sa bouche, je le suppose à la chaleur soudaine qui entoure mon membre et la douceur subite de la caresse sur lui. Je suis suffoqué de surprise, jamais personne ne m'a prodigué cela, je ne l'ai même jamais vu , et cela est si bon. Mes yeux écarquillés dans le noir, j'essaie de voir comment elle s'y prend pour me faire tant de bien. Je vois juste sa chevelure abondante qui ondule au rythme qu'elle imprime à sa tête. Ses lèvres ont pris possession de mon sexe et le sucent en absorbant tout entier la longueur qui leur est offerte. Le souffle léger de madame Lefait sur mon pubis me renseigne quand elle avance la tête pour prendre ma queue au plus profond de sa bouche.

Cette nouveauté est si inattendue que je ne tarde pas à décharger. Confus, ne sachant comment faire, j'ai laissé mon foutre jaillir sans plus de contrôle, honteux du résultat. Madame Lefait à ma grande surprise absorbe tout le sperme que je lui offre et l'avale en fermant les yeux comme si un met délicieux coulait dans sa gorge. Je la regarde médusé boire ma liqueur sans en perdre une goutte. Quand tout est fini elle lève les yeux sur moi et me regarde en souriant. « Alors, ma demande-t-elle, comment as tu trouvé cela? ». Je ne réponds rien, encore sous le choc de cette rencontre. « C'était bon non? » insiste-t-elle. Je peux juste hocher la tête en guise d'acquiescement. Alors elle se penche sur moi pour me glisser à l'oreille « On recommence quand tu veux » et elle disparaît aussi vivement qu'elle m'est apparue.

Je demeure un instant sans réaction, incertain de ce qui vient de se produire et me réveillant enfin je m'ébroue pour accomplir la mission qui m'a fait descendre ici.

Je dois être bien troublé lorsque je remonte car maman me regarde bizarrement, il est vrai que j'ai abandonné le seau à charbon au milieu de la cuisine et suis parti dans ma chambre comme un automate.

Maman, intriguée me suit et me trouve assis à mon bureau mais bien incapable d'y faire quoi que ce soit. « Que t'arrive-t-il? » me demande-t-elle avec inquiétude. J'ai le courage de répondre « Rien », juste dans un souffle. « On dirait que tu as rencontré le diable » lance ma mère, « Qu'y avait-il donc à la cave? ça te fait peur d'y aller la nuit?, si c'est cela j'irai moi même la prochaine fois », « Non, non, je suis un peu fatigué, c'est tout ». Mais j'ai du mal à justifier cet air ahuri qui est le mien à cet instant. Je sens maman intriguée par mon attitude et dans un dernier effort, je parviens à lui faire un sourire un peu crédible. Les sourcils froncés elle me fixe encore avant de quitter ma chambre. Je peux respirer et reprendre mes esprits, essayer d'analyser ce qu'il vient de se produire et méditer sur la concupiscence féminine. Madame Lefait nous a donc entendu et n'est pas dupe des cris qu'elle entend dans notre appartement, au lieu de s'offusquer elle décide cette brave femme mariée et mère de famille d'en tirer profit. Car madame Lefait est mère de deux enfants dont l'aîné, à peine plus jeune que moi est un compagnon de jeu. S'il savait que sa mère... Son mari quant à lui rentre tous les soirs à la maison et c'est là que je ne comprends pas. Ce brave commerçant doit bien lui faire l'amour de temps en temps, alors que lui arrive-t-elle? Le démon de la quarantaine probablement.

Je décide de prendre un peu de recul, ce n'est pas moi qui provoquerai une nouvelle rencontre, prudemment je me mets en réserve et décide que ce soir n'était qu'un accident.

C'est à partir de ce Dimanche soir que l'attitude de maman a commencé à changer. Le lendemain soir, je la sollicite pour un petit câlin car madame Lefait m'a bien excité en fin de compte. Mais je me heurte à son refus ennuyé et je repars avec ma grosse queue sous mon bras pour me finir à la main. Pour ça j'ai bien assez de fantasmes à ma disposition, madame Lefait n'étant pas le moindre, à la réflexion, je lui rendrais bien de petites visites de temps en temps. C'est en pensant à tout cela que je me branle lentement dans mon lit, intrigué quand même par le refus de maman. Jamais encore elle ne s'est ainsi dérobé lorsque je sollicitais des jeux sexuels. Bah! me dis-je ça ira mieux demain, sans doute a-t-elle senti venir ses règles et a préféré s'abstenir de faire l'amour. Et je m'endors sur cette certitude.

Le lendemain matin lorsque je me lève, maman est déjà dans la cuisine et prépare le petit déjeuner. La pièce embaume le café frais et rien que l'odeur me ragaillardit, en embrassant maman, je passe mon bras sous le sien et je masse délicatement son sein sous la robe de chambre. Maman a un mouvement de recul et échappe ma caresse dans une rotation de son corps. Je la regarde sans comprendre, d'habitude elle se laisse faire, c'est devenu le rituel du matin cette caresse sur son sein. Mais elle semble m'ignorer et continue sa préparation sans me prêter attention. Je l'observe pendant le petit déj, mais elle garde les yeux baissés et fuit mon regard. Je la trouve soucieuse, lointaine, nerveuse même. Je ne dis rien, ce sont des histoires de femme et ne veux pas être indiscret.

Je file à l'école et ne pense plus à l'attitude de maman de toute la journée.

C'est au retour de l'école que je croise à nouveau madame Lefait dans les escaliers, nous nous croisons et je ne sais trop quelle attitude prendre. C'est elle qui se penche vers moi avec un sourire complice et qui me murmure à l'oreille « Mercredi après midi si tu veux tu peux monter me voir, viens vers 13h30 » et elle s'enfuit.

Je reste seul dans les escaliers avec cette invitation qui tourne dans ma tête. Le mercredi après midi les enfants de madame Lefait vont rejoindre les scouts et monsieur est bien sur au travail, ce qui fait que madame est seule à la maison. Je me promets de réfléchir sérieusement à sa proposition. Si maman continue ses dérobades, pourquoi n'irai-je pas voir un peu ailleurs?

Maman, je la retrouve comme je l'ai quitté ce matin, ni plus ni moins. Elle a toujours cet air tendu et inquiet que je lui vois depuis deux ou trois jours. Elle me regarde à peine quand je viens l'embrasser et elle fuit toujours toute sorte d'attouchement.

La vie à la maison commence à être pesante, elle est si enjouée d'habitude, je ne comprends pas son humeur et je décide de lui demander ce qui la tracasse. « Rien, il n'y a rien » me répond-elle avec un pauvre sourire, mais je sens bien que le cœur n'y est pas. « Je vois bien que tu ne vas pas bien! » lui dis-je, histoire de lui montrer que je ne suis pas dupe. Elle soupire et regarde ailleurs, je n'en tirerai pas davantage ce soir. Quand à une éventuelle soirée de baise, il n'y faut pas compter d'avantage. Je suis triste moi aussi dans mon lit solitaire à me masturber sous les draps. Heureusement madame Lefait alimente mes fantasmes nocturnes et je jouis de longs traits de sperme en repensant à ce qu'elle m'a fait dans la cave. Et puis, mercredi c'est après demain et je me promets un joyeux après midi en sa compagnie.

J'ai dit que j'allais rejoindre les copains et je suis sorti. Je commence par descendre pour donner le change. Je vais jusqu'à la cave et je remonte. Dans le couloir du rée de chaussée, je croise les enfants Lefait habillés de culotte courte de bleu sombre, le chandail de même, le béret sur la tête, ils vont à leur camps scout. Je les salue avec un brin d'ironie et remonte l'escalier sans bruit. J'ai le cœur battant quand je passe devant notre porte et je continue vers l'étage du dessus. Celui qui a dit que le meilleur de l'amour est lorsque l'on monte les escaliers, ne sait pas à quel point il a raison à cet instant.

Lorsque j'arrive sur le palier du dessus, je n'ai même pas besoin de sonner, la porte s'ouvre sans bruit et je vois l'œil de madame Lefait dans l'embrasure. La porte s'ouvre d'avantage et je m'engouffre dans l'appartement. Déjà la porte s'est refermée sur moi et je me retrouve face à elle dans ce couloir sombre. Sans un mot, elle m'a pris dans ses bras et m'embrasse fougueusement en se collant à mon ventre. Je réponds à son baiser et nos langues se mêlent dans nos bouches. Ses mains explorent mon dos quand les miennes font de même de ses épaules à ses reins. Cette femme est complètement hystérique, je sens son corps qui tremble sous mes mains. Elle m'entraîne dans ce que je sais être sa chambre puisqu'elle correspond strictement à notre appartement, et nous nous écroulons sur le lit tout en continuant à nous peloter. Je prends connaissance de ses fesses que je sens bien rebondies, plus que maman. Madame Lefait est plus ronde, sa chair est plus plantureuse, peut être un peu plus molle mais plus abondante. Mes mains ne savent où se poser sur ce corps généreux, je palpe ses seins avec frénésie tout en défaisant les boutons de son corsage. Elle me laisse faire, amusée de ma hâte malhabile, et m'aide à la dégrafer complètement. Son soutien-gorge apparaît, mauve et plein de transparences prometteuses. Je suis ébloui par tout ce que je vois, je pelote de plus belle les rondeurs qui s'offre dans le fragile et délicat tissu. J'embrasse aussi la chair tendre et tiède de la poitrine rebondie qui darde vers moi.

Je ne peux m'empêcher de comparer les deux femmes que je connais, autant maman me paraît beaucoup plus réservée quand elle fait l'amour, autant madame Lefait me paraît être bouillante comme un volcan. A peine mes mains se posent elles sur sa peau que je la sens frissonner de la tête aux pieds, comme si je fus le premier à égarer mes paumes sur ses seins. Elle gémit au moindre de mes attouchements et quand je plonge dans son dos à la recherche de l'agrafe de sa jupe, elle cambre les reins pour me faciliter la recherche. J'ai acquis une certaine dextérité à défaire les jupes de ma mère, celle-ci ne me pose aucun problème et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire madame Lefait est en combinaison aussi mauve que son soutien-gorge et que sa culotte que j'aperçois à travers le tissu léger. Elle porte aussi un porte jarretelles des plus affriolant, c'est le premier que je vois ainsi porté et je le trouve très bandant. Sans plus attendre je lui ôte la combinaison et la voilà en dessous devant moi. « Tu veux que j'enlève le reste? » me murmure-t-elle, « Non, surtout pas, j'aime bien ainsi ». Elle entame alors mon dé habillage d'une façon carrément sauvage et à plusieurs reprises je dois anticiper le mouvement si je veux sauver mes fringues du désastre. En un clin d'œil me voilà à poil devant une femme qui me dévore des yeux et dont le souffle saccadé traduit la hâte et l'excitation. Sans dire un mot elle plonge vers mon sexe et l'embouche tout comme l'autre jour à la cave. L'émotion et l'excitation font que je décharge rapidement. Madame Lefait ne s'attendait pas à une arrivée aussi rapide et abondante du sperme et je la vois qui s'étouffe aux saccades qu'elle tente de maîtriser. Mais le flot est trop important et le foutre lui coule aux commissures des lèvres, elle essaie encore de déglutir, la liqueur part mal, dans une mauvaise direction et fait éructer la suceuse. Elle s'étouffe, tousse, tousse encore, elle en pleure et le sperme lui sort par le nez. Je regarde médusé le spectacle de la femme qui se noie dans ma semence.

1...45678...11