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Toutes les règles que tu as apprises par cœur, restent valables, d'autres viendront s'y ajouter. Tu ne vas plus travailler, ton travail c'est de t'occuper de tout dans cette maison, ni Mademoiselle ni moi-même ne faisons rien de l'entretien. En retour nous nous occuperons de toi pour te faire souffrir comme tu l'aimes, ce sera tes récompenses. Des souffrances supportables quand tu seras une bonne chienne, insupportable quand tu auras fauté, mais je suis certain que cela t'arrivera de plus en plus rarement.

Tu seras la poupée de Mademoiselle qui va te transformer comme Elle l'entend, puis t'exhiber. Nous avons une autre chienne dont il faudra que tu te charges de son dressage. C'est le frère de Mademoiselle, il est plus jeune, en pension depuis plusieurs années. Lorsque tu seras bien éduqué, je veux que tu en fasses le plus beau des esclaves, mais nous aurons le temps de voir tout cela.

Je suis heureuse de te voir ainsi décorer mon salon, tu me donnes envie »

Elle se leva, vint vers moi, les yeux flamboyants, levant sa cravache. Elle me cingla tout le corps, avec une violence de coups incroyables. J'hurlais sans discontinuer derrière mon bâillon, les coups tombant aussi bien sur la peau, que sur les poids du sexe, ou pire les pinces de mes tétons déchirés, ou même mon visage. Je m'évanouis douloureusement. Quand je repris conscience, les coups continuaient de pleuvoir, mon corps brûlait littéralement, j'étais sans force. Après un temps incroyable, Elle cessa.

« Bienvenu en enfer. Mademoiselle viendra te libérer, plus tard, ou demain, je ne sais pas ce qu'Elle a prévu. En attendant, pour fêter ton arriver, je vais te gâter. »

Elle prit le casse couille, fit tourner la mollette de trois tours entiers. Mes couilles seraient sans doute très endommagées. Avec horreur je sentis l'érection monter dans mon sexe. A folle, fou et demi...