L'inconnu de la Chambre 347

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Relation extra-conjugale avec un inconnu dominateur.
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Ma vie de trentenaire bien rangée, maman bien installée dans la vie active me pesait depuis déjà un certain temps. J'ai donc décidé un matin de poser une petite annonce sur un site de rencontre.

"Jeune femme, 30 ans, cherche 5 à 7 sans attache pour relation passionnée"

Et c'est là que je l'ai rencontré. Cachés derrière nos pseudos, SM366 et moi avons échangé durant plusieurs semaines jusqu'au jour où j'ai relevé son défi. Je ne saurais jamais qui il était et cela est très bien comme ça. J'ai adoré vivre ce moment qui restera un des plus beaux de mon existence.

Me voilà donc prête à partir un mercredi midi pour une chambre d'hôtel d'un établissement de l'avenue Louise. Ce jour là ma tenue est composé d'un chemisier blanc ouvert à l'encolure sur un soutien gorge rouge vif, d'une jupe noire au dessus du genoux fendue mi-cuisse sur une paire de bas autoportant semi-opaque, d'une paire d'escarpins noir 8cm et d'un blazer classique gris chiné, je ne porte rien d'autre. Autrement dit, aucune culotte.

Je monte donc chambre 347 et avant de frapper pour prévenir de mon arrivée, je me bande les yeux.

La porte s'ouvre sur une odeur boisée, musquée presque animale.

Il est là, je peux le percevoir. Il est grand, son souffle caresse mon front.

Je ne bouge pas.

Un doigt se glisse derrière les deux premiers boutons fermés de mon chemisier et une légère pression m'invite à entrer.

J'avance de 3 pas.

Il referme la porte derrière mois et me contourne à deux reprises.

Je suis inquiète et excitée à la fois.

Il est imposant, je peux le sentir, il dégage une chaleur incroyable et la tension de la pièce est à coupée au couteau.

Il ne dira pas un mot durant toute notre entrevue et aujourd'hui encore je trouve cela très excitant.

Il m'a déshabillé très lentement, en pliant mes affaires, ça je l'ai entendu, perçu tel un aveugle qui augmente la précision de ces autres sens.

Ensuite, il m'a conduit par la main le long du montant central du lit bordé par 4 colonnes, je pouvais sentir le bois le long de ma jambe droite. Il a sorti une corde semi rigide avec laquelle il a emballé mes seins pour les révéler, y a noué mes bras surélevés. L'extrémité de la corde à rejoins un crochet suspendu.

Cette simple opération était si excitante que mon entrejambe en était brûlante. Mes lèvres étaient si gonflées de désir que mon vagin me faisait mal, il me suppliait de le soulager. Ma respiration s'accélérait chaque fois que sa peau entrait en contact avec la mienne. Ses mains on caressé chaque cm de mon anatomie qui hurlait de recevoir plus; plus de passion, plus de violence.

Ensuite il a commencé à pincer et rouler chacun de mes tétons jusqu'à ce qu'il deviennent plus dur encore. Il y a accroché des pinces à linge et m'a indiqué de me pencher en avant.

Il a glissé sa main entre mes cuisses et m'a invité à les écarter.

C'est a ce moment là que la première est tombée... Sur ma fesse droite, totalement inattendue, brutale et ferme. J'ai sursauté, crié, plus par surprise que de douleur. J'en voulais encore, mon vagin se contractait de plaisir en attente de la deuxième qui ne venait pas. Lorsqu'elle est tombée, elle fut plus douloureuse mais terriblement excitante. Les suivantes également, plus douloureuses que je ne pensais le supporter et plus excitantes que je ne pouvais l'imaginer.

La tension dans mes bras supportant le poids de mon corps meurtri était presque insoutenable. C'est à ce moment là que ses doigts pénétrairent mon anatomie alors que sans m'en rendre compte je gémissait de plaisir. Un va et vient langoureux ce mis en place et au porte de la jouissance, il s'arrêta dans une exquise torture.

Je n'ai su qu'après que les pinces à linge étaient reliées par une cordelette car il y accrocha un poids qui accentua la douleur éprouvée.

Ses lèvres ont agrippées mon clitoris et sa langue à commencé à s'enrouler autour. La frustration de ne pas pouvoir passer mes mains dans ses cheveux était horrible. Mon souffle s'accéléra et j'haletait de plaisir. Il m'a ainsi fait jouir à 3 reprises. Une jouissance forcée que je n'aurai jamais tolérée si j'avais été libre de mes mouvements. Une sensation si incroyable.

Tout en désserant la tension des bras, il recula mon bassin afin que je puisse accentuer la cambrure et avec une grande délicatesse et tout en douceur il m'insera un plug anal.

La découverte de sa verge passa par une sensation légère et fugasse, une caresse contre l'arrière de ma cuisse puis le long de mon sexe. Il passa de nombreuses secondes à la faire glisser contre ma fente dans l'attente de l'introduire. C'en était insoutenable. Il attendait une supplication, alors je la lui ai donnée. "Prend moi" "s'il te plait" "fort".

Le premier coup de rein était inattendu et emplit parfaitement mon anatomie. Le plug bien placé accentuait les sensations produite par sa verge. Le plaisir qui en suivit était intense et la jouissance ne tarda pas à arriver.

Lorsqu'il se retira, j'étais lessivée, littéralement. Il hota le plug et me redressa. La douleur la plus fulgurante fut la seconde où il détacha les pinces à linge. Horrible libération.

Je n'avais plus de jambes et il du me porter jusque sur le lit après avoir décroché mes bras. Il m'a allongé là, et à dénoué les cordes. Je plannais dans une réalité alternative reprenant mes esprits et profitant de la redescente des sensations.

Je l'ai entendu se rhabiller et partir dans un claquement de porte.

Je ne sais pas combien de temps je suis restée allongée dans le noir à reprendre mes esprits mais certainement un long moment. Lorsque j'ai eu la force d'enlever mon bandeau, j'ai enfin pu observer la décoration de la chambre et les dizaines de miroirs exposants chaque détail de mon corps sous tous les angles à la perversité de son désir.

Je suis contente de ne pas en avoir eu conscience car la honte me montait aux joues et cela aurait freiné mon lâché prise. Je n'aurais pas pu m'abondonner à ce point.

J'ai rassemblé assez d'énergie pour me lever, prendre une douche et m'habiller. Je suis sortie de cette chambre en ayant l'impression de me réveiller après un rêve érotique. Sans savoir si ce que j'avais vécu était vraiment réel.

J'ai eu longtemps honte d'avoir pris autant de plaisir de façon si particulière en me regardant dans la glace. Et en même temps cette expérience à fait de moi une autre femme, plus assumée, plus épanouie, plus sûr d'elle, plus forte. J'avais l'impression que je pouvais tout affronter, que rien ne pouvait plus me diminuer. Je faisais partie de cette faible quantité de femme qui savait. Qui comprennait le sens de cette existence et les capacités de notre corps à éprouver des sensations incroyables. Qui savait quel pouvoir le corps d'une femme pouvait avoir face aux désirs inavouables d'un homme. Il allait falloir que je m'accorde avec ces nouvelles armes sans en abuser dans le respect de chacun, tout en laissant de la place à mon désir de femme. Vivre pleinement ma sexualité comme une facette importante de mon existence tout en gardant ma place de mère, de compagne et de femme d'affaire respectable bien en vue de la société.

Cette expérience restera une phase importante de ma vie de femme et je n'ai jamais su qui je devais remercier pour cette métamorphose.... Qui a permis à cette chenille de se transformer en sublime papillon. Alors même si tu as changé de pseudo par la suite, merci à toi.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Après cette révélation, j’espère pouvoir lire la suite des aventures du splendide papillon que vous êtes devenu…

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Avenue Louise à Bruxelles?

Très beau récit. Merci.

AurailiensAurailiensil y a 5 mois

J'aime aussi les histoires courtes... Merci

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