L'esclave Mystère Ch. 09

Informations sur Récit
Debbie se decide à envoyer Prue a des randez-vous.
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1

Partie 9 de la série de 12 pièces

Actualisé 03/06/2024
Créé 07/26/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Les légères interférences avec « Un Centre pour Roux » n'impliquent pas d'avoir lu l'autre histoire. L'univers est commun et certains personnages peuvent se rencontrer, ou se croiser.

Ceci est le chapitre 9. Il y a un petit résumé en début d'histoire.

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Escort Slave

A près ma soirée avec Max, j'avais la mâchoire et le cul endolori.

-C'est le métier qui rentre » se moqua Debbie, et au figuré, comme au propre elle avait raison.

L'expérience avait été humiliante, mais c'était le sort des esclaves, et après tout, je préférais cela au glory hole.

Alors que je trempais dans un bain chaud, Debbie vint me voir.

-Par contre pour une soirée il a payé trois fois plus que le Glory. » m'expliqua-t-elle.

-Il faudrait peut-être poser des annonces sur des sites d'Escorts, Maitresse? »

-Des sites d'Escorts? La prostitution a été interdite » me demanda ma maquerelle. J'étais amusée de l'entendre alors qu'elle vendait mon corps.

-Elle a été remplacée par le proxénétisme d'esclave , Maitresse. » dis-je. Le visage de ma Maitresse se ferma.

-Sous-entends-tu que je suis une proxénète? » dit-elle froidement, vexée.

-Pardon Maitresse. Non » dis-je en baissant la tête.

Quelques instants plus tard, je me retrouvais nue, les mains posées sur le lit de maitresse, les fesses vers elle.

-Un Maitresse, merci de corriger votre esclave » dis-je après le premier coup de canne. Heureusement Debbie frappait moins fort que d'autres personnes qui m'avait corrigée.

Etre corrigé était une chose normale pour les esclaves. Pour c'était encore nouveau. Quelques jours avant j'étais encore un manipulateur d'esclaves au Slave's Cock'n'Cunt Market (SCCM). Dans le plus grand marché aux esclaves de Géorgie, j'étais un des engrenages d'une mécanique destinée à déshumaniser les hommes et les femmes qui allaient devenir des esclaves. Ma curiosité envers ce que ressentaient ces derniers inquiétaient le directeur, Ryan Crawford. Aussi il me proposa un changement de poste pour m'éloigner des esclaves. Toutefois, avant cette mutation au marketing, il souhaitait une évaluation du processus production : J'allais être traité comme un esclave de l'admission à la vente. Il avait prévu une vente pour 20 ans avec un prix de réserve. Je ne risquais rien d'après lui. Un matin, sans que je ne sois prévenu, j'ai été accusé d'avoir laissé mourir une esclave. Evidement je me doutais c'était ma tâche d'esclave mystère, mais sans être sûr. J'ai ainsi testé les différents ateliers du Cock'n'Cunt. Thach, le vétérinaire, avait fait du zèle en me mettant la plus courte cage de chasteté qu'il avait. Paul, avec qui je travaillais quelques minutes avant, avait aussi profité de l'occasion. J'ai expérimenté la salle des ventes, avant d'être libéré au moment de la fermeture. En fait il était tellement tard, que Ryan m'a laissé partir avant de finaliser mon dossier. Il ne savait pas que je me déplaçais en métro. Emotionnellement épuisé, je n'ai réalisé mon erreur que quand les gyrophares se sont mis en route pour signaler la présence d'un esclave, ma présence, dans le métro. Rapidement je me suis retrouvé au Commissariat pour la nuit. J'y ai été corrigé pour ne pas avoir laissé des hommes libres me sodomiser, alors que j'étais un esclave. Le lendemain j'étais jugé. Ryan était interrogé, mais il a préféré confirmer ma fuite, plutôt que de risquer de d'être condamné lui-même pour non-respect des procédures. J'ai été transféré au SCCM, où j'ai reçu la marque des esclaves judiciaires, puis j'ai été vendu à Debbie. Elle m'a fait féminiser par l'ESCAR (Enslaved Servant CAre Center) une clinique spécialisée dans les transformations d'esclaves, puis elle a entrepris de me vendre dans un glory hole. L'un des clients lui a proposé de me louer pour une soirée. Il m'a entrainé aux gorges profondes, et à la sodomie.

-Il ne faut pas me contrarier, tu vois. » me dit Debbie en me massant les fesses qu'elle venait de marquer. La pommade me soulageait bien.

-Je ne voulais pas vous contrarier, Maitresse. Juste suggérer de passer par des annonces pour trouver d'autres clients. » tentais-je.

-Tu voudrais? » me demanda-t-elle. J'étais un peu mal à l'aise à ce moment-là.

-Je... suis ton esclave. Et si je dois rapporter de l'argent, se sera plus efficace. » dis-je. En fait j'avais bien remarqué que ma maitresse ne travaillait pas. Si je voulais éviter d'être vendu lors de sa faillite, il fallait que rapporte plus.

-Effectivement... je ne pensais pas que de tels site existent encore. » dit-elle.

-Le SCCM en propose un. » ajoutais-je.

-On t'inscrit dessus? »

-Il faut déclarer le propriétaire de l'esclave. » dis-je.

-C'et moi, c'est un problème? »

-Non, Maitresse. Mais il me semblait que vous vouliez faire une société. »

-Ah, oui... plus tard peut-être »

-Maitresse, ça pourrait être utile, surtout si vous voulez acheter d'autres esclaves. » insistais-je.

-Je n'ai pas assez d'argent. Je pensais que tu rapporterais plus. » me dit-elle avec une moue. Je n'osais pas insister.

Quelques jours plus tard, nous sommes repassés à l'ESCAR.

-Bonjour Prue, tu vas vraiment ressembler à une belle salope. » me dit l'infirmière.

-On va commencer par le visage. » dit le médecin derrière moi.

L'infirmière enleva le masque que je portais en arrachant le sparadrap.

-Oh, c'est impeccable »dit Debbie.

-Oui, je suis assez fier de moi » dit le médecin.

-Le travail du nez est très réussi » ajouta l'infirmière, sans que j'aie les moyens de voir à quoi je ressemblais maintenant. Je savais que c'était normal puisque j'étais une esclave. Ca restait assez frustrant, pour ne pas dire plus.

-Nous allons passer à la poitrine. » dit le médecin.

L'infirmière me demanda mon aide pour retirer le soutien-gorge.

-Ils sont beaux, mais je les trouve un peu petits » dit Debbie.

-Il faut attendre un à deux ans. Comme elle vient de commencer son hormonothérapie, ils vont continuer à prendre du volume. Quand ils seront arrivés à maturité, on pourra voir s'il faut plus. » tempéra le médecin.

Je les regardais comme je le pouvais, n'osant les toucher. Mes mains n'avaient pas été attachées mais je ne savais pas si ce n'était pas un oubli. Je préférais rester immobile et attendre le soir, pour me regarder dans un miroir une fois de retour chez Debbie. J'attendais avec une certaine impatience que cela se calme. Quand l'infirmière fit une pichenette sur la point de mon sein gauche. Je sursautais en poussant un cri.

-Ils sont bien sensible » dit l'infirmière.

-Le gauche en tout cas » objecta le médecin septique. L'infirmière testa le droit : il était sensible aussi.

-tester la contraction. » ordonna le médecin.

L'infirmière caressa alors mes seins et mes aréoles.

-Ses tétons sont petits, non? » critiqua Debbie.

-Oui, bien sûr. Encore fois, soyez patiente. Ce sont les hormones qui vont travailler. » expliqua le médecin, alors que l'infirmière caressait toujours ajoutant de la salive, et mes tétions commençais à se contracter : des petits tétons apparurent.

-Et bien je crois que tout est normal »

En quittant l'ESCAR, je recherchais chaque miroir mon reflet.

Dès que nous fûmes rentrés, Debbie m'ordonna de me mettre nue.

-On fait des photos pour l'annonce! » me dit-elle.

-Il en faudrait une en tailleur, Maitresse. » dis-je.

-En tailleur, une esclave? » rie-t-elle. Je n'insistais pas, et je la laissais faire.

Sur les photos, je passais du temps à regarder l'esclave qui me semblait inconnue alors que c'était moi.

Une des premières demandes fut un couple d'hommes qui voulait organiser une compétition. Le prix fut fixé par Debbie, et elle me conduisit chez eux.

-A poil ma salope! » dit Erik, le plus grand. Evidement, j'obéis immédiatement. Même si les esclaves sont sensés êtres nus, étant féminisé j'appréciais d'être habillée. Nue, je me sentais donc plus vulnérable.

-Vient ici, regarde Emily, est déjà là. » ordonna Jim.

-Bonjour, Prue, c'est ça? » me dit Emily. J'était un peu mal à l'aise de ne pas être une femme de naissance.

-Oui, bonjour Emily » dis-je.

-Ton pénis, il est attaché là? » me demanda-t-elle.

-Euh, il est accroché, mais je peux le décrocher. » expliquais-je.

-On verra ça après les filles. Venez là mes salopes. » Dit Jim de sa voix grave et chaleureuse. Était-ce sa longue chevelure et sa barbe qui me donnait cette impression? C'était nouveau cette sensibilité que j'avais pour les voix graves.

-Vous vous mettez face à face, et vous tenez cette barre » Expliqua-t-il. La barre en bois était basse, et pour la tenir, Emily comme moi, devions nous basculer vers l'avant. Les règles de la compétition n'avaient pas été données, mais déjà je me doutais que nos fesses allaient y jouer un rôle.

-Voilà celle de vous qui lâche la barre à perdu. » dit Erik. C'était posé et simple. Je serrais les mains sur la barre, mais à voir la couleur de ses mains, Emily eut la même idée que moi. Nous relevâmes la tête et nous nous fîmes un sourire.

-Que la meilleure gagne » dit-elle d'une petite voix.

-Que la meilleure gagne » répétais-je, d'une vois presque inaudible, en serrant les fesses, certaines que c'était là que les choses allaient se passer.

-Voilà, Erik va tirer deux dès. Il aura un score. Vous devrez donner un nombre entre 2 et 12. Si le nombre que vous donnez est le plus grand, on garde celui-là. Sinon, on prend le double du nombre des dès. » Dans ma tête aussi ce n'était pas clair. En tout cas, je savais que les règles des jeux avec des esclaves sont faites pour que l'esclave perde. Mais là nous étions deux esclaves.

-On aura trois manches : une à la main. Une avec des raquettes. Enfin une avec une cravache. » j'avais ma confirmation que nous allions jouer avec nos fesses. J'avais très envie de rentrer à la maison!

-Tirer un dès chacune » dit Jim. « le gland grand chiffre commence »

Nous lâchâmes la barre d'une main, pour lancer chacune un dès. Emily fit un 4, et moi un 1. Je la vit se tendre alors que je me relâchais un peu.

-Emily commence, Erik, lance les dès. » dit Jim

-Emily, un chiffre »

-Trois » dit-elle en tremblant. Elle avait compris que donner u chiffre trop grand allait être difficile pour ses fesses.

-Deux et quatre : six. On double, ça fait douze! » dit Jim. Emily eut une protestation qu'elle étouffa. Moi-même je réalisais que caractère sadique du jeu.

Jim appliqua les douze frappes sur le postérieur de Emily par six doubles frappes. Emily commençait à pleurer. Je pris l'initiative de l'embrasser.

-Prue, à toi. » Annonça Jim, alors que j'entendais Erik lancer les dès. J'avais du mal à réfléchir, mais Emily venait de me donner la preuve que donner un chiffre trop petit était dangereux.

-Six » dis-je, en serrant les fesses.

-Deux et un, trois. Ça fait six coups » expliqua Jim. Je me maudissais de ne pas avoir dit un chiffre plus bas.

Six frappes plus tard, j'avais quelques larmes dans les yeux, et l'envie furieuse de me frotter les fesses, et donc de lâcher la barre et perdre. Je fus surprise quand Emily m'embrassa.

-Quatre » dit Emily

-Trois et quatre, sept. ça fait quatorze coups » expliqua Jim.

-Oh non » plaida Emily. Mais comme la fois précédente, Jim frappa par série de deux. Emily ne retenait plus ses chaudes larmes, mais tenait toujours la barre. Je l'embrassais tout en la maudissant de ne pas l'avoir lâchée.

Huit » dis-je pour éviter de prendre quatorze coups en cas de sept.

-Double six, annonça Jim, ça fait 24 coups! » et il me mit derrière moi, et me frappa par série de deux coups. Je me rendis compte à ce moment que la première fois j'avais eu de coups simples : le score n'avait pas été doublé. Mais à là huitième série les cops tombèrent sur ma main : j'avais lâché la barre pour me protéger les fesses. Je venais de perdre la première manche!

-Allez mes salopes, vous avez dix minutes de pause pour vous mettre de la crème sur les fesses! »

Emily se pencha vers moi pour m'embrasser. Se senti ses seins sur les miens, puis elle me prit par la main pour me conduire sur le lit. Nous nous installâmes de manière à nous occuper l'une des fesses de l'autre. Je fus surprise de voir sur sa fesse une étoile : la marque des esclaves judiciaires du Texas.

-Merci d'avoir perdu » me glissa-t-elle.

-Au moins ça a arrêté ce jeu de massacre. » dis-je.

-ça va reprendre avec la raquette... » dit-elle en avec un sourire en coin qui avait l'air de dire quand on ne résiste pas aux fessées à la main, on ne résiste pas à celles données à la raquette. Elle n'avait pas complètement tort.

-Plus vite on a fini, moins on souffre » dis-je.

-Humm, il y aura une punition pour la perdante. » m'annonça-t-elle.

-Tu sais quoi? » demandais-je.

-Non, mais toi tu sauras bientôt » me dit-elle avec un sourire en coin encore une fois.

-Je peux voir? » me demanda-t-elle en désignant mon sexe. j'écartait les cuisses pour lui ménager un passage.

-Il est juste accroché » precisais-je alors que justement elle attrapait la bague qui était à la base de mon gland.

-Tu peux je redresser » demanda-t-elle.

-Non, castré, et la bague empêche de bander. Ça à l'air efficace »

-Dommage... » commençait elle à dire.

-Hep hep... j'ai dis vos fesses, les petites putes, allez revenez, manche 2 » dit -il.

Cette fois-ci c'est Erik qui tenait la raquette, et Jim qui lançais les dés, et je commençais.

-Six » dis-je, ça me semblait un bon choix.

-Deux et un, trois » dit Erik, avant de me donner six coups de raquette, un par un. Je tenait furieusement la barre, mais recevoir une fessée avec une raquette est plus intense qu'avec les mains, mais le pire est de recevoir une fessée avec une raquette après une fessée avec les mains! Le baisé d'Emily m'aida bien.

-Quatre » dit Emily.

-Quatre et six, dix, donc vingt! » annonça Erick. Comme Jim il donnait les frappes par deux. Mais à la sixième série Emily mis sa main protéger ses fesses : elle venait de perdre.

-Un partout, » dit Jim, avant de nous offrir une nouvelle pause avant la cravache.

Mon derrière déjà en feu j'angoissais avant la cravache. Manifestement Emily aussi. Elle me semblait plus penchée en avant que moi. Je pris la même position qu'elle. Et nos poitrines se touchaient. J'aimais bien. Je crois qu'elle aussi.

-Trois » annonça Emily.

-Trois et deux, cinq, soit dix » dit Jim qui avait la cravache en main.

-Non, non » dit Emily en se couvrant les fesses : je venais de gagner pensais-je.

-Non, tu dois au moins en prendre ce que tu as annoncé... » dit Jim. Tremblante Emily posa ses mains sur la barre tout en disant : Non, non, s'il vous plait, non »

Dès le premier coup ses mains quittaient la barre. Jim l'obligea à les retirer, et assena le second coup, puis de même pour le troisième. Emily pleurait. Je l'embrassais. Elle fit durer ce moment de tendresse entre deux esclaves en détresse.

-A toi Prue » sembla s'impatienter Jim.

-Euh... »

-Elle jouait en avance, maintenant c'est à toi. » me dit-il. Je ne savais pas quoi dire.

-Trois » dis-je en copiant Emily.

-Un et deux, trois. Ton chiffre n'est pas plus grand, ça fit six! » annonça-t-il.

-Quoi » m'indignais-je, en écartant les main pour exprimer mon incompréhension.

-C'est perdu aussi » dit Jim.

Comme Emily, je dus prendre les trois coups de cravache : mon dieu! comment les chevaux supportent-ils ça. J'était contente de n'être pas devenue ponyboy, ou ponygirl.

-Alors les pénalités : un coup de cravache sur votre clitoris par défaite. »

-Oh, non laissa échapper Emily. »

-On commence par Prue. »

Emily se mit derrière mois sur le lit, et me fit m'allonger sur elle. Je dus relever les cuisses, et bien les écarter. Jim positionna mon « clitoris ». Emily me tenait les cuisses. Jim frappa sur mon gland, et je poussais un cri strident, tellement la douleur fut intense.

-A Emily »

-Embrasse-moi l'oreille » me demanda-t-elle, alors qu'a sont tour elle s'allongeait sur moi, dans cette même position cuisses écartées qui laissait s'ouvrir sa fente. Je l'embrassais en tenant ses cuisses, et Jim se préparait. Mais au moment de frapper, Emily ferma les cuisses sans que je ne puisse l'en empêcher.

-Pardon, Maître » dit-elle en se remettant en position. Cette fois-ci le coup porta, et à entendre le cri de ma nouvelle amie, Jim avait visé juste.

-Vous devriez avoir un coup supplémentaire chacune. Si vous nous sucez bien, on va oublier » dirent nos maîtres de la soirée.

Emily fut amusée de me voir guider une verge dans sa fente baveuse, et a son tour elle guida l'autre dans mon anus.

-Tu as raison, on a un peu l'impression de participer » me dit elle en m'embrassant alors que Jim me ramonait et qu'Erik se laissait sucer pour retrouver la forme.

Quelques heurs plus tard elle ajouta : « J'aime bien quand il y a une esclave comme toi, on en prend moins dans le cul, et elle me fit un clin d'œil.

Déjà son maitre, et Debbie sonnaient pour nous retrouver.

-Le prix est intéressant, mais dans quelle était ils me mettent mon esclave » protesta Debbie dans la voiture.

Une fois à la maison, et elle était gauche avec la crème apaisante.

-Tu crois que j'en mets là? » me demanda-t-elle en mon montrant mon gland et sa grande zébrure rouge.

-Humm... oui, Maitresse » dis-je alors que ses doigts tournaient sur mon gland.

-Oh, c'est sensible on dirait » dit en riant, mais en continuant.

-Occupe-toi de moi maintenant » dit-elle après m'avoir fait éjaculer. Elle laissa glissa sa robe, apparaissant nue, de dos. Je le savais déjà, mais la marque en forme de canette sur sa fesse me rappelait qu'elle avait été esclave, elle aussi. Je me faisais la remarque que j'aimerais en savoir plus.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 5 mois

Courage à vous, j'espère que vous gardez le plaisir à écrire que l'on ressent à la lecture!

LePandaSeLaRaconteLePandaSeLaRaconteil y a 5 moisAuteur

Bonjour et Merci !

J'ai eu des problème familiaux, qui m'ont obligé à faire une pause.

Je reprends !

AnonymousAnonymeil y a 5 mois

Vos histoires sont exceptionnelles... hâte des prochaines!

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