Les plaisirs d'Anna -- 15 (maîtresse)

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« Oh, tu me donnes envie d'essayer ! Mais... comment le décider. »

« Fais-lui remarquer qu'il paraît excité par ce que tu lui racontes. Demande-lui si ça lui plairait que tu sois un peu coquine, juste un flirt. Tu n'es même pas obligée de toucher ton mari, mais regarde simplement s'il bande ou non. Si c'est le cas, demande-lui jusqu'où tu pourrais aller dans ce flirt. Des baisers? Quelques caresses? Progressivement pousse un peu plus loin les possibilités. Si tu sens qu'il est vraiment, excité, tu peux interrompre tes questions et t'empaler sur lui et fais-lui l'amour tout doucement. Puis, tu lui diras que, peut-être, tu n'arriveras pas à résister aux avances de cet homme et qu'il pourrais te prendre comme ça. Si ton mari éjacule en toi, tu as gagné. »

« Oui, tu me donnes envie, mais Alex ne voudras jamais que j'aille si loin. Nous n'avons que le préservatif comme contraception, alors... »

« Ne sois pas pessimiste ! Reviens sur le sujet, toujours lorsque vous serez au lit. Raconte encore quelques aventures inventées ou non, quelques caresses auxquelles tu n'auras pu résister. Dis-lui que c'est un collègue qui te propose un dîner avec lui, un soir, en tout bien tout honneur, mais que tu vas refuser. S'il te dit que tu as la liberté d'y aller puisque ça ce limite à un dîner, peut-être pourras-tu aller plus loin. A chaque fois que tu avances dans cet échange verbal, assure-toi de l'érection d'Alex. Tant qu'il bande, tu peux poursuivre. Ajoute que ton collègue te proposera probablement un dernier verre chez lui et que tu pourras difficilement refuser. Précise qu'il a souvent les mains baladeuses et qu'il pourrait bien en profiter, surtout si tu as trop bu pendant le dîner. Si Alex est toujours excité, là encore, fais-lui l'amour. Ce sera le moment de lui dire que, si ton collègue te caresse ce soir-là, tu ne pourras certainement pas résister et que vous finirez probablement au lit. Dis-lui que tu n'es pas sûre qu'il dispose de préservatifs, ou peut-être n'en veut-il pas? Mais ajoute tout de suite que la date du dîner tombe dans une période qui n'est pas trop dangereuse, contrairement à la semaine suivante. Si Alex atteint la jouissance à ce moment, c'est qu'il est prêt à te laisser cette liberté. Tu peux même aller plus loin, le lendemain, au lit, avec ton mari. Commence à lui faire l'amour sans rien lui dire. Je parie que c'est lui qui va te questionner à propos de ton rendez-vous. Tu répondras à Alex que vous avez, ton collègue et toi, repoussé la date d'une semaine. Ton mari pensera tout de suite que la période sera alors très dangereuse. S'il ne débande pas, dis-lui que tu as remarqué que tu fais beaucoup d'effet à ton collègue, si tu en crois l'énorme bosse que tu as vue dans son pantalon, aujourd'hui, lorsque tu lui as dit que tu acceptais son invitation. Si ton mari bande encore, donne-lui le coup de grâce en lui disant que ton collègue te plaît beaucoup avec sa musculature d'athlète et sa belle peau noire. »

« Tu es vraiment vicieuse, Anna, mais... je... je crois que j'ai envie de suivre tes conseils. »

« Bonne chance, Martha. »

Les deux amies se lèvent alors et s'embrassent sur la pas de la porte. Lorsqu'elle revient seule dans le salon, Anna se dit que Martha avait l'air à la fois émoustillée et fébrile après leur entrevue si érotique. Anna a la confirmation que sa copine était très perturbée, lorsqu'elle voit que Martha a oublié sa petite culotte sur la table du salon.

Le soir même, Jules, de retour de son bureau, est accueilli par Anna qui ne porte qu'un déshabillé transparent qu'elle a certainement acheté aujourd'hui. Elle est magnifique, excitante. Sa seule parure est une chaîne de cou à laquelle est accrochée une petite clé. Jules trouve cela fort joli. Il embrasse Anna et cherche à la prendre dans ses bras, mais elle le repousse. Jules sait bien que sa femme n'a plus envie de lui mais seulement de son amant, aussi pose-t-il la question :

« Chérie, dois-je faire un dîner pour trois? »

« Non, Abdul arrivera plus tard. As-tu préparé notre chambre? », questionne Anna.

« Oui, j'ai préparé la nôtre... enfin... la vôtre... et aussi la mienne », répond Jules.

Pendant leur repas en tête à tête, ils échangent des banalités. Jules sent bien que sa femme est comme absente, ne pensant qu'à son amant qui va arriver.

Le dîner terminé, ils s'installent dans le salon, côte à côte, sur le canapé. Jules, hésitant, finit pas passer son bras autour des épaules d'Anna, qui le laisse faire. Alors, il se lance :

« Je t'aime, Anna. »

Elle voudrait ou plutôt devrait lui répondre 'je t'aime aussi'. C'est la phrase qu'elle a en tête, mais elle finit par dire :

« Je... je ne sais pas. C'est Abdul que j'aime, maintenant. Pourrais-je aimer deux hommes? Non, je ne crois pas. Je n'arrive pas à savoir si je t'aime encore un peu ou plus du tout. »

« Alors...? Que... que puis-je faire? Je suis désemparé. J'ai du mal à imaginer la vie sans toi, mais mon plus grand désir est que tu sois pleinement heureuse. Alors...? », lui répond son mari au bord des larmes.

Anna, aussi perturbée que lui, essaie de mettre de l'ordre dans ses pensées et finit par dire :

« Je ne peux casser notre couple sans détruire notre famille. Je préfère que tu restes avec moi... enfin... avec nous. J'aime t'avoir près de moi pour que tu t'occupes bien de moi. J'adore savoir que je peux tout te demander, sans limite et aussi sans contrepartie. Je te veux à ma disposition pour toutes mes envies, tout le temps. Quand ça va mal, c'est agréable de pouvoir se reposer ou même se défouler sur quelqu'un. Imagine-tu le plaisir que peut prendre une femme à commander son mari, à le punir quand il n'y est pour rien, à l'humilier même devant les autres? C'est le summum du pouvoir, un pouvoir que les femmes n'ont jamais eu ! C'est comme une sorte de jouissance permanente à ma seule disposition. Alors, si tu es prêt à cette vie là, je te garde près de moi. Qu'en dis-tu? »

Sans le moindre temps de réflexion, Jules s'engage :

« Oui, oui, oui, ma chérie, tout ce que tu voudras », dit-il, heureux, en prenant les mains d'Anna dans les siennes.

Satisfaite, sa femme change de sujet :

« Bon, mais tu ne vas pas rester vêtu comme ça, alors que je suis en déshabillé ! Mets-toi tout nu. Ce sera ta tenue, tous les soirs, pour nous servir. Ça me rappellera que je pourrai me moquer tout le temps de ta petite bite de cocu, n'est-ce pas? »

« Oui, évidemment », répond Jules en se déshabillant.

C'est à ce moment qu'ils entendent la sonnette.

« Vas ouvrir », commande Anna.

« Mais... je ne sais pas qui... », dit un Jules hésitant.

« Qui veux-tu que ça soit? C'est l'homme que j'aime, évidemment ! Dépêche-toi ! »

Jules ouvre à Abdul, qui ne paraît pas tu tout surpris de sa tenue et se dirige vers Anna, comme sans le voir, le saluant seulement par un « bonjour, cocu ».

Abdul serre Anna dans ses bras en lui disant qu'elle est magnifique dans cette tenue. Leur étreinte est passionnée. Anna enlève la chemise de son amant ou plutôt la lui arrache. Abdul pelote avec fougue le femme de Jules, qui ne peut les quitter des yeux. Cette vision l'excite comme en témoigne la dureté de son petit zizi. Jules prend conscience qu'il ne devrait plus être là, alors ils se précipite dans leur chambre pour aller ouvrir les draps pour les deux amants et il les attend, là, assis, nu, dans son fauteuil de voyeur, sa place de mari cocu.

Anna et Abdul, maintenant nus tous les deux, se jettent sur le lit sans un regard pour Jules. Leur étreinte est tout de suite violente. Abdul s'est enfilé jusqu'au fond du vagin d'Anna, qui se sent totalement remplie par cet énorme sexe qui lui fait tant de bien. Il la baise à grands coups, à un cadence infernale. Anna crie de plaisir. Les gouttes de sueur de son amant tombent sur sa peau toute chaude. Jules se branle frénétiquement. Puis Abdul se retire et fait placer Anna à genoux pour la prendre en levrette. Il la pistonne avec une telle force qu'Anna est à chaque fois projetée en avant. Celle-ci crie à Jules :

« Regarde bien comme il me défonce ! »

Cet ordre était inutile car Jules n'a pas lâché sa femme des yeux. Son sexe devient douloureux tant il l'astique. Avec les « Han, han, han » d'Abdul, il a l'impression d'entendre un bûcheron. Les cris d'Anna pourraient l'inquiéter, mais il sait que ce sont des cris de plaisir. Et ça continue, ça continue, toujours avec la même force, longtemps, longtemps. Jules n'en revient pas de l'endurance d'Abdul. Cela fait plus d'une demi-heure que ce coït brutal dure.

Au bout de tout ce temps, Abdul n'a toujours pas éjaculé. Il se retire, puis se couche sur le dos. Son sexe, toujours aussi dur est vertical comme un mat de cocagne. Alors, Anna, vient se placer au-dessus d'Abdul, face à lui, et s'empale lentement sur ce pieu. Lorsqu'il est bien au fond, elle se penche vers son amant pour l'embrasser plusieurs fois, longuement. Elle n'interrompt ses baisers que pour lui dire :

« Je t'aime, je t'aime », mots qui sont si durs à entendre pour son mari.

Jules a dû ralentir les mouvements de sa main, tant son petit sexe est sensible. Il est heureux de voir sa femme se faire autant de bien. Ce soir, ce n'est pas seulement le plaisir physique d'Anna qui le réjouit, mais il est heureux de la voir si amoureuse, même si c'est d'un autre homme. Il a conscience de ne pas pouvoir lui faire de plus beau cadeau.

Anna, toujours empalée sur la grande pine de son amant, s'est redressée. Elle ondule doucement. Dans ce mouvement, elle masse le gland avec le col de son utérus. Ce mouvement qui associe lenteur et pression, contact profond et permanent, lui apporte énormément de plaisir. Regardant Jules, elle lui dit :

« Viens voir, mon mari cocu, viens voir comme mon amoureux me fait du bien. Approche-toi, regarde. »

Jules se lève et vient au bord du lit. Son petit sexe surplombe presque une des mains d'Anna sur laquelle elle s'appuie. Alors Anna se met encore à onduler dans un mouvement tournant. Sans s'arrêter, elle se tourne vers son mari et lui dit :

« Tu devines ce que je fais, n'est-ce pas? Je lui masse le gland avec le col de mon utérus. Tu sais bien que ça va le faire jouir, n'est-ce pas? Mon amant a joui en moi, hier soir, juste à cet endroit. Il m'a peut-être déjà engrossée, mais ce n'est pas certain, alors, ce soir, je vais encore augmenter mes chances d'avoir l'enfant de l'homme que j'aime. »

C'est à cet instant précis qu'ils jouissent tous les trois. Anna sent les fortes giclées de semence napper le fond de son vagin, alors qu'un orgasme foudroyant la traverse. Le dessus de sa main reçoit en même temps le sperme de son mari.

Après un moment de récupération, sans changer de position, car elle aime garder encore le membre de son amant en elle, Anna, l'air courroucée, se tourne vers son mari pour lui dire :

« Regarde, tu m'as encore arrosée ! J'en ai assez de te voir branler ta petite bite. Il faut que ça cesse. »

Alors, toujours nue, elle se lève et va chercher un paquet dans un tiroir de la commode. Elle lui montre l'objet métallique et lui dit :

« Tu vois, c'est une cage de chasteté. Comme ça, tu te tiendras tranquille. J'ai choisi la plus petite, évidemment. J'espère qu'elle ne sera pas trop grande pour toi. Elle se verrouille avec la petite clé que je porte sur ma chaîne de cou. Tu ne pourras l'enlever. J'ai pris une cage en acier qui se nettoie toute seule quand tu prends ta douche. Comme ça, il n'y a aucune raison de devoir l'enlever. Approche-toi, que je te la mette. »

Un peu inquiet mais toujours obéissant, Jules s'approche. Anna pense que, après l'éjaculation d'il y a quelques minutes, cela devrait être facile de faire renter cette petite bite dans la cage. Anna place la bague métallique autour de la base du sexe, juste sous les testicules. Mais, lorsqu'elle veut faire glisser la cage sur la hampe, elle s'aperçoit qu'une nouvelle érection va rendre cela plus difficile, aussi dit-elle :

« Mon cochon, il semble que ça t'excite, mais ne t'en fais pas, je vais arriver tout de même à la mettre en forçant un peu et c'est bien la dernière fois que tu bandes. »

Alors elle presse fortement. En effet la cage qu'il a choisie fait à peine 4 centimètres de long, alors que la petite bite de son mari fait bien le double en érection. Anna presse fortement, très fortement et elle arrive enfin à abouter les deux parties de la cage. Un petit tour de clé et un petit clic confirment la fermeture. Anna voit bien que, encore en une demi érection, le petit sexe de son mari est très à l'étroit, comme le montre le gland déformé par la pression et dont les boursouflures poussent entre les barreaux, mais elle sait que tout va rentrer dans l'ordre lorsqu'il sera bien ramolli.

Ceci fait, Anna montre du doigt à son mari la direction de la chambre d'amis et le congédie par ces mots :

« A la niche ! »

Demain, Jules et Anna vont devoir aller rechercher leurs trois enfants chez les grands parents. Les vacances d'été se terminant, il va en être fini de leur parenthèse de liberté. Ce matin, comme toujours, Jules va apporter le petit-déjeuner à sa femme et son amant. Pour la première fois, la nuit dernière, il est allé tout de suite se coucher dans la chambre d'amis, sa chambre maintenant, sans même regarder leurs ébats amoureux. Il est vrai que son rôle de voyeur est devenu difficile depuis la pose de cette cage de chasteté, qui rend douloureuse toute érection, et il a donc limité ses passages dans la chambre maritale. Malgré ses demandes répétées, Anna n'a jamais voulu le libérer, lui disant qu'elle le ferait peut-être comme une sorte de cadeau, à une date comme Noël. Elle s'était même reprise immédiatement en disant qu'il serait mieux d'attendre la Saint-Valentin, date beaucoup plus symbolique dans leur cas.

Jules sait que, les enfants présents, l'amant d'Anna ne pourra plus être là aussi souvent et il s'attend à devoir prendre encore plus en charge toutes les tâches du quotidien pour offrir à sa femme toutes les escapades amoureuses dont elle aura besoin.

Alors que Jules est reste nu, comme sa femme le souhaite lorsqu'il les sert, Abdul et Anna, déjà habillés, se dirigent vers la porte. Devant le regard étonné de son mari, Anna explique :

« Mon chéri, je passe cette dernière journée de liberté avec Abdul. Je ne rentrerai que tard dans la nuit. Tu trouveras bien à t'occuper dans la maison. Avant de t'habiller, regarde sur ton lit. J'y ai déposé un petit cadeau pour toi ainsi qu'une lettre que tu dois lire avant de l'ouvrir.»

Après leur départ, Jules se précipite dans la chambre pour y trouver un joli petit paquet et une lettre dont il commence immédiatement la lecture :

'Mon cocu chéri,

Tu es toujours le mari qu'il me faut mais d'un façon bien différente, en fait. Je suis heureuse que tu prennes tout en charge pour me permettre de profiter de tous les plaisirs de la vie. C'est parfait de me sentir aussi amoureuse, pas de toi, évidemment.

J'ai tout le plaisir que tu n'aurais jamais pu me donner avec ta petite bite ridicule dont te ne sais pas bien te servir. Je ne suis pas honnête, car il y a quelque chose que tu sait bien faire : c'est me nettoyer la chatte avec ta langue. Tu pourras continuer à le faire, à ma demande. Ce sera l'exception, le seul moment où tu auras le droit de me toucher.

Sur le plan sexuel et même affectif, j'appartiens maintenant à Abdul, l'homme que j'aime. Je vais tout faire pour lui. Il a aimé, je crois, cette parenthèse de plaisir à deux pendant un mois, mais je pense qu'il lui faut maintenant des situations plus érotiques avec moi.

Comme moi je suis ta maîtresse, lui est devenu mon maître. Ce qu'il voudra se passera non seulement chez lui, mais aussi chez nous quand les enfants seront absents. Tu dois savoir que je n'ai l'intention de refuser aucune de ses demandes, qu'elles qu'elles soient. Pour te donner une idée des possibilités, n'oublie pas le métier de l'homme que j'aime : c'est un souteneur, n'est-ce pas?

J'allais finir cette lettre par un 'je t'aime', mais ce n'est pas ce qui convient. Disons plutôt :

Je t'apprécie.

Anna.

PS : Ah, j'allais oublier ! Tu n'as peut-être pas remarqué que la petite clé n'est plus sur ma chaîne de cou. Je l'ai jetée à la demande d'Abdul.'

Au cours de sa lecture, Jules a senti son sexe bander durement dans la cage. Il lui faut maintenant quelques minutes pour laisser la douleur diminuer. Lorsque que sa petite bite s'est bien ramollie, Jules s'intéresse maintenant au joli paquet. Sous le papier cadeau, il trouve une petite boîte en carton, dont il extrait un petit objet en plastique. C'est un test de grossesse, positif évidemment !

Des pensées s'emmêlent alors dans la tête de Jules. L'accouchement d'Anna sera la honte de sa vie. Il ne sera, cette fois, plus possible de nier l'évidence. Son humiliation sera permanente.

Jules est dévasté, mais une forte douleur le tire de ses pensées. Jetant un coup d'œil vers le bas, il voit un sexe si gonflé que des bourrelets dépassent partout des barreaux de la cage de chasteté.

.... FIN ....

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3 Commentaires
JGUILLETJGUILLETil y a 8 mois

C'est beaucoup trop long et répétitif, 5 chapitre aurait suffit. Le tout tu l'érotisme de base.

AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Un des meilleurs récits de cocufiante que j’ai lu. Terriblement addictif car très bien écrit et parfaitement pervers.

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

C'est de l'hypocrisie , quand à faire la pute c'est meme pas la peine ! Bref rien de transcendant à part 1 recit pourri qui ne tient pas la route.

1 récit à gerber.

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