Les plaisirs d'Anna -- 15 (maîtresse)

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

« Laisse-la tranquille, tu as compris? », dit Abdul.

Bouma rétorque :

« Mais c'est une pute et tu as vu ce qu'elle nous a rapporté la dernière fois. C'est pas souvent qu'on trouve une salope qui accepte de se faire baiser sans protection au moment où elle est fertile. On peut recommencer et gagner encore plus, cette fois, si on fait un max de pub. Et puis, si elle se fait encore engrosser, on la garde avec son gros ventre. Il y a plein de mecs qui sont prêts à baiser une femme enceinte. Ça vaut plein de pognon, surtout si on la propose à des types qui aimeraient la taquiner un peu plus durement. Tu vois, on ne va pas laisser passer ça ! »

Abdul, qui immobilisait son frère par une clé au bras, durcit encore sa prise, tout en disant ou criant presque :

« Bouma, tu arrêtes ! C'est ma meuf, tu as compris? Elle est intouchable, mec ! N'oublie pas que tu es ici chez moi. Si je te fous dehors, ce sera fini pour tout ton petit business. »

Un « ouais, ça va » de Bouma permet à Abdul de le relâcher.

Lorsque Bouma est parti, penaud, Anna se jette dans les bras d'Abdul et pleure, pleure, serrée contre lui. Son amant se contente de lui caresser doucement les cheveux et les épaules. Anna se calme lentement. Après ce moment horrible, elle se sent rassurée, aimée. Elle est heureuse qu'il l'ait appelée sa 'meuf'. De plus, il s'est battu pour elle, comme le preux chevalier du Moyen-Âge de ses lectures enfantines. Anna est sous le charme. Elle se sent non plus comme une femme à la recherche des plaisirs mais simplement amoureuse.

Ils partagent tous deux un petit dîner rapide, puis c'est naturellement, qu'ils se retrouvent au lit dans la chambre d'Abdul. Très peu de mots sont échangés. Seules les caresses comptent. Abdul a bien senti qu'Anna avait besoin de douceur. Alors, il la caresse avec sa bouche, partout. Il reste longtemps entre les cuisses d'Anna, léchant les lèvres de sa chatte, poussant sa langue dans le vagin ou aspirant le clitoris. Ses mains palpent doucement les seins. Ses doigts font rouler lentement les tétons. Anna n'est pas en reste. Elle lèche la peau luisante de son amant, sur tout le corps. Abdul n'a pas pris de douche après sa bagarre avec son frère. C'est sa sueur odorante qu'Anna essuie avec sa bouche. Elle le fait avec ferveur. Elle embrasse son torse, ses aisselles. Sa bouche descend vers le bas pour passer sa langue tout le long de l'énorme sexe si dur et tendu. Elle prend en bouche le gland qui la remplit complètement et dépose un filet de liquide pré-séminal sur sa langue. Puis elle abandonne ce sexe pour aller sucer ou plutôt aspirer dans sa bouche chaque testicule, un à un. Anna, trop heureuse de faire plaisir à son sauveur, n'hésite pas à faire descendre sa bouche encore plus bas. Elle lèche le pourtour de l'anus de son amant, allant même jusqu'à y faire entrer le bout de sa langue. Elle sent bien, aux soupirs de plaisir d'Abdul, qu'elle lui offre quelque chose de rare.

Lorsque, enfin, son amant se couche sur elle, Anna sent le gros et long membre pénétrer lentement en elle et sait que, ce soir, il n'y aura rien de violent entre eux. Abdul presse lentement, mais inexorablement. Il ira jusqu'au fond du vagin, très lentement, pour qu'Anna sente le gland progresser en elle, centimètre par centimètre. Quand le bout du sexe presse sur le col de son utérus, elle remue lentement, en tournant. Elle est concentrée sur ce seul mouvement. Elle cherche à bien centrer le gland en elle pour que le méat soit bien collé à l'ouverture du col, comme deux bouches qui s'embrasseraient amoureusement. Le regard d'Anna accroche celui de son amant. Elle voit qu'il a compris son attente. Sans bouger, elle contracte son vagin, lentement mais fortement, plusieurs fois. Elle sait qu'elle est actuellement un peu trop tôt dans son cycle pour avoir une ovulation et elle le regrette vraiment. Elle aurait tant voulu se donner totalement à cet homme qui s'est battu pour elle. Aujourd'hui, elle ne peut faire plus. Lorsqu'elle sent le sperme gicler tout au fond, Anna maintient fermement sa position, méat et ouverture du col en parfait contact. A chaque giclée, elle sent que la semence de son amant remplit sa matrice et elle espère que rien ne restera dans son vagin. C'est à cet instant qu'Anna lui dit pour la première fois :

« Je t'aime ».

«Moi aussi », murmure Abdul.

Les deux amants finissent par s'endormir, enlacés, couchés en chien de fusil, le sexe d'Abdul restant au plus profond du vagin d'Anna pour y devenir flaccide. La longueur de ce membre au repos est telle qu'il va rester à cette place pendant leur sommeil.

La sensation d'une nouvelle érection dans son vagin réveille Anna, qui se met à se cambrer, poussant ses fesses vers son amant, qui reprend vite conscience. Là encore, les mouvements reprennent, toujours lentement, tout en force, jusqu'à ce mouvement d'Anna pour reprendre encore la même position, pour remplir de nouveau sa matrice. Elle veut vraiment vider complètement les couilles de son amant pour avoir, à chaque fois, toute sa semence au plus profond d'elle-même. Ils vont faire ça quatre fois, toujours de la même façon, dans une nuit entrecoupée de quelques heures de sommeil. En fait, 'nuit' n'est pas le mot qui convient car ce n'est que tard dans la matinée qu'ils émergent.

Après de longs baisers passionnés, Anna s'habille et s'apprête à quitter Abdul en lui disant :

« Si tu veux vraiment de moi, je ferai tout pour toi, sans limite. Si tu veux me garder pour toi seul, je ne toucherai plus aucun autre homme, même mon mari. Si tu veux m'offrir à d'autres, j'accepterai de coucher avec n'importe qui. Je ne refuserai jamais de faire ce que tu me demanderas. Tous les plaisirs dont tu auras envie seront possibles. Je t'aimerai, que tu sois doux ou violent. Tu pourras te conduire avec moi comme un amoureux ou comme un maître, selon tes envies du moment. Tu pourras m'aimer ou me faire souffrir mentalement ou physiquement. Tu pourras m'exhiber, m'humilier et même me vendre encore. Rien de sera jamais hors limites. »

« Pour l'instant, je me contenterai d'une femme amoureuse, pour moi seul », lui répond Abdul.

Sur le chemin du retour vers son mari, Anna se demande si, poussée par des circonstances exceptionnelles, elle n'est pas allée trop loin. Il est vrai qu'elle est tombée amoureuse d'Abdul, qu'elle est prête à tout pour lui. Mais, elle aime encore son mari... enfin, un peu. Est-elle prête à tout abandonner pour son amant? Son mari, peut-être? En tous cas, pas ses enfants ! Il faut qu'elle se reprenne. Elle est allée trop loin dans la passion du moment.

Jules a passé la nuit éveillé, attendant Anna. Il a pensé sans cesse à elle. Dix fois il s'est masturbé, sans jamais aller jusqu'à la jouissance, voulant se garder encore en forme pour le retour de sa femme adultère.

Lorsque le jour s'est levé, Jules s'est senti angoissé par cette anormalement longue absence. Il s'est d'abord occupé de sa petite Maroca, puis a préparé le petit déjeuner pour ses deux autres enfants. En entrant dans la cuisine, les deux ont dit quasiment en même temps :

« Bonjour Papa. Maman n'est pas là? »

Jules a alors improvisé un petit mensonge :

« Bonjour les enfants. Maman est partie très tôt ce matin. Euh... une de ses copines l'a appelée hier soir tard... elle voulait la voir d'urgence... alors, comme sa copine habite très loin... Maman est partie de très bonne heure... pour... éviter les encombrements. »

Ses explications ont paru les satisfaire et, après leur petit-déjeuner, ils sont partis pour l'école.

Quelques heures plus tard, Anna arrive. Jules la serre dans ses bras, lui demandant :

« Ma chérie, que t'est-il arrivé? »

« Ça va, rassure-toi. Viens dans la chambre. Je vais te raconter. »

A la demande d'Anna, malgré l'heure, ils se couchent nus sous les draps. Anna se veut amante pour son gentil mari, consciente d'avoir été trop loin en se disant prête à l'abandonner. Pendant que son mari lui suce la chatte, la nettoie du peu de sperme qui n'a pas été absorbé par son utérus, elle se dit qu'elle va oublier aujourd'hui, et aujourd'hui seulement, toutes les restrictions sexuelles qu'elle impose à son mari. Elle lui doit bien ça. Alors, tout en branlant doucement le sexe de son mari, elle raconte tout.

Lorsqu'elle en est au viol qu'elle a subi, elle entend son mari la plaindre, mais en même temps, elle sent le pénis de Jules durcir dans sa main. C'est incroyable, se dit-elle, ça excite ce cochon ! Elle n'a que le temps de serrer fortement le gland entre deux doigts pour bloquer une éjaculation que Jules, honteux, ne peut retenir. Il est puni par la douleur d'une jouissance bloquée brutalement. Quand elle raconte comment elle a été sauvée par Abdul, Jules veut paraître rassuré, mais il est mal à l'aise, sa petite bite devenant toute molle. Lorsqu'elle raconte sa nuit d'amour sans oublier le moindre détail, Anna sent durcir dans sa main le sexe de son mari au moment où elle explique ce qu'elle a fait pour bien recevoir la semence de son amant dans sa matrice. Là encore, elle bloque l'éjaculation de son mari, qui lâche un petit cri de douleur. Cette fois, Jules n'a pas débandé lorsqu'il demande :

« N'as-tu pas pris trop de risques? Tu imagines le résultat si tu te retrouvais enceinte d'un noir ! »

« Ne crains rien. Je suis à la limite entre deux périodes de mon cycle. Le risque n'est pas nul, mais me paraît très faible. Évidemment, dans quelques jours, ce serait différent », lui répond Anna, qui ajoute au bout d'un moment :

« Pour te rassurer, je prendrai maintenant ma température tous les jours pour détecter mon ovulation. »

Jules lui rétorque :

« Ça ne me paraît pas très sûr car le sperme peut rester actif plusieurs jours dans le vagin. Alors, quand tu détecteras ton ovulation, il sera peut-être déjà trop tard. »

« C'est vrai, mais tu te souviens comment le risque de grossesse t'excitait, mon chéri. Et, à sentir ton sexe dans ma main tout à l'heure, je sais bien que ça t'excite encore beaucoup, n'est-ce pas? Quant à moi, devine », lui rappelle Anna avec un d'autant plus grand sourire qu'elle sent la petite bite de son mari palpiter dans sa main. Leur sexe trahit toujours les hommes, se dit-elle.

A la fin de son récit, Anna hésite. Osera-t-elle lui rapporter mot pour mot ce qu'elle a dit à son amant avant de le quitter. Elle craint de rendre son mari très malheureux, trop même, puisqu'elle pense maintenant que ses mots ont dépassé sa pensée dans la fièvre de la passion. D'un autre côté, en rentrant, elle s'était promis d'être totalement honnête, de ne rien lui cacher. Elle va le faire mais ne sait comment il va réagir. En tous cas, Anna pense que la petite bite de Jules, qu'elle tient dans sa main, va vite se ramollir lorsqu'elle va lui raconter ce qu'elle a dit à son amant. Alors, elle ne touche plus le sexe de son mari, pour ne pas le sentir tout mou dans sa main, ce qui ajouterait à l'humiliation qu'il va ressentir en écoutant son récit.

C'est maintenant à l'oreille de Jules qu'elle parle, dans un murmure. Elle raconte lentement, s'arrêtant après chaque phrase, attentive à une réaction de son mari. Elle s'étonne intérieurement de son silence. Tout se passe comme s'il n'était pas concerné. Alors, juste après sa dernière phrase, comme si elle voulait le consoler, Anna pose sa main sur le sexe de Jules. Quelle n'est pas sa surprise lorsque le membre tout dur gicle au creux de sa main. Le cochon, même son humiliation l'excite, se dit-elle. Anna pense alors, radieuse, que cela peut lui ouvrir de nouveaux horizons.

Lorsque sa femme rejoint la salle de bain pour une toilette qu'elle a si longtemps repoussée, Jules réfléchit. Anna est amoureuse d'Abdul. Elle vient de franchir la ligne rouge qu'ils s'étaient tracée : n'avoir aucune limite dans le plaisir physique, allant même, comme elle l'avait fait, jusqu'à se faire mettre enceinte par un inconnu, mais en aucun cas se laisser glisser vers des sentiments amoureux. Le lui reprocher risquerait de casser encore plus leur relation. Ce serait peut-être même détruire leur famille, tout ce qu'ils ont construit ensemble depuis des années. Pourrait-elle aimer deux hommes à la fois, même différemment? Il pourrait être absent de ses plaisirs physiques, tout en restant près d'elle, pour recevoir un peu d'amour, purement sentimental. Ou ne l'aimerait-elle plus du tout, réservant plaisir physique et sentiments à son amant? Quoi qu'il en soit, sa décision est prise : il acceptera tout, car il l'aime et ne veut que son bonheur, même au détriment du sien. Il se contentera de la servir, son seul plaisir étant de la voir heureuse. Quelle plus belle preuve d'amour pourrait-il lui donner?

Le lendemain est le début des vacances scolaires. Les parents d'Anna ont proposé de prendre leurs deux petits enfants, les deux plus grands, pendant un mois complet dans leur maison au bord de la Manche. Pour ne pas être en reste, les parents de Jules ont proposé de garder la petite Maroca pendant ce même mois. Jules et Anna viennent donc d'effectuer successivement les deux conduites et se retrouvent maintenant, comme deux amoureux, se dit Jules, enfin presque.

Anna vient de répondre au téléphone et Jules n'a pas entendu la conversation. Il s'en inquiète.

« C'était Abdul. Ce soir, tu vas rencontrer mon partenaire, non, plutôt mon amant », lui dit Anna.

Ces mots font penser à Jules que sa femme est peut-être en train de lui échapper. Sans se rendre compte du désarroi de son mari, Anna poursuit :

« Il nous invite dans un grand restaurant parisien, alors je vais me faire belle pour lui et je veux que tu sois aussi très présentable. Pour une fois, je choisirai ta tenue », puis ajoute :

« Après dîner, nous l'inviterons évidemment chez nous. J'aurai trop envie de lui pour le laisser partir. Il va me prendre comme tu n'a jamais pu et ne pourras jamais le faire. Si tu es bien sage, tu pourras nous regarder baiser, non, plutôt faire l'amour. Tu verras ce que sait faire un homme, un vrai. Ce sera comme un apprentissage pour toi, mon petit cocu. En fait, non, ce ne sera pas ça parce que tu ne pourras jamais réussir à l'égaler avec la petite chose que tu as entre les jambes. Ce sera juste humiliant pour toi, mais je sais que c'est ce qui va t'exciter, petite bite. Tu vas aimer, n'est-ce pas? »

Jules ne sait que répondre, mais, rouge de honte, finit par dire :

« Euh... je... euh... je crois... oui. »

Un peu avant l'heure du dîner, la sonnerie retentit et Anna se précipite pour ouvrir la porte. Elle découvre Abdul, magnifique dans un costume de grand couturier. La couleur claire du vêtement fait ressortir sa peau sombre qui plaît tant à Anna.

« Bonsoir Anna. Tu es vraiment resplendissante ce soir », dit son visiteur.

Il est vrai qu'il en est ainsi car Anna a choisi une longue robe noire, à peine décolletée mais faite d'une sorte de tissu très fin et un peu élastique, qui moule son corps comme une seconde peau. Une grande fente remonte très haut sur une jambe, qui, lorsqu'elle l'avance, découvre la cuisse jusqu'à vingt centimètres de la taille. Des sous-vêtements auraient été bien trop visible sous cette robe moulante, Anna est donc totalement nue au-dessous.

Abdul la serre dans ses bras et l'embrasse à pleine bouche, mêlant sa langue à la sienne dans un long baiser passionné, sans même jeter un regard vers Jules. C'est enfin Anna qui fait les présentations :

« Voici Abdul, l'homme que j'aime », dit-elle à son mari.

Les deux hommes se serrent la main sans un mot.

« Allez, je vous emmène dîner », dit Abdul en prenant la main d'Anna, qui prend au passage une simple étole car la chaleur de cette soirée ne rend rien d'autre nécessaire.

« Où allons-nous? », demande Jules, ce à quoi Anna, qui paraît savoir, répond :

« Tu verras. Ça te plaira, j'en suis certaine. »

Effectivement, ils arrivent bientôt à un restaurant sur les quais de Seine où Jules et Anna sont souvent venus lors de grandes occasions, comme leurs anniversaires ou celui de leur mariage, ou encore à la Saint-Valentin. A chaque fois qu'ils y sont venus tous les deux, ils ont pu avoir une table dans une petite salle où ils pouvaient être seuls, ce qui était propice à quelques caresses discrètes. Ils y avaient aussi, plusieurs fois, partagé un dîner dans la grande salle avec leurs meilleurs amis, Axel et Martha. C'est dans cette salle que le maître d'hôtel les installe, à une petite table ronde. Ils sont ainsi tous trois à une même distance. Cependant cela ne paraît pas convenir à Anna qui rapproche sa chaise de celle d'Abdul, quasiment à le toucher. Un serveur, bien que surpris, vient cependant replacer assiette, verres et couverts bien en face d'Anna.

Abdul commande immédiatement du Champagne et ils trinquent alors.

« A notre nouvelle vie ! », annonce Anna.

Pendant l'apéritif, Abdul caresse par moments la joue d'Anna, assez discrètement, mais cela ne peut échapper à Jules, qui ne voit cependant pas que l'homme a laissé une main se poser sur une cuisse d'Anna, presque complètement dénudée par la longue fente de sa robe. Jules, face à elle, ne peut rien voir, la nappe la cachant, mais la plupart des autres convives ont une vue bien dégagée. Anna le sait mais elle a bien l'intention de continuer à s'exhiber ainsi pendant tout le repas.

A une petite table voisine, un couple vient s'installer. Quelle coïncidence ! Ce sont leurs amis, Axel et Martha, qui aiment souvent dîner ici. Alors qu'ils allaient s'asseoir, leurs deux amis remarquent leurs voisins. Ils sont surpris de les voir, mais Martha a repéré tout de suite la place anormale d'Anna ainsi que cette grosse main noire qui lui caresse la cuisse. Jules est le premier à les saluer et fait les présentations :

« Axel, Martha, voici Abdul, un très bon ami d'Anna. »

Maline, Martha choisit de s'installer à la petite table à une place lui permettant de bien voir sa copine. Pendant tout le dîner, elle jette des coups d'œil discrets mais très fréquents. Ce qu'elle voit l'intrigue : la position d'Anna est si proche de ce grand noir ! Elle remarque aussi que la main de l'homme ne quitte pas la cuisse de sa copine et remonte même parfois encore plus haut, disparaissant sous la robe. Elle se doute bien de l'endroit où les doigts arrivent, d'autant plus qu'Anna paraît un peu gigoter sur sa chaise à ces moments. Martha a bien remarqué que la belle robe d'Anna la moule d'une façon presque indécente. La forme des tétons est bien visible à travers la robe si fine. Martha, qui peut regarder sa copine de côté, s'aperçoit que, malgré la finesse du tissu d'une robe aussi ajustée, aucune marque de sous-vêtement n'est visible à la taille. Elle ne peut que penser qu'Anna est totalement nue sous sa robe et elle sent que cet idée l'excite. Sa chatte se mouille sous sa culotte. Elle est tellement concentrée pour épier son amie qu'elle perd le fil des discussions avec son mari. Il s'étonne de son inattention, qu'elle explique faussement par l'effet de la boisson alcoolisée. Martha se dit qu'il va falloir qu'elle questionne sa copine au plus vite.

A la table d'Anna, les trois convives profitent bien d'un dîner gastronomique qu'ils accompagnent de Champagne. Jules a bien du mal à entretenir la conversation. Habituellement il est facile de parler de profession, mais comment le faire avec un homme dont le 'métier' est souteneur? Heureusement, comme souvent en France, ce sont les aspects culinaires qui permettent d'alimenter la conversation. Lorsqu'ils en sont au dessert, Anna, qui a choisi une préparation avec une sauce à la mangue, fait remarquer :

« C'est très bon, mais je regrette que la sauce soit un peu fade. »

Abdul, dont la main fouillait le vagin d'Anna depuis un bon moment, d'une façon à peine discrète mais invisible par Jules, la ramène au-dessus de la table et pose un doigt humide entre les lèvres d'Anna, en disant :

« Tu préfères peut-être cette sauce qui a beaucoup plus de goût? », ce à quoi elle lui rétorque :