Les plaisirs d'Anna -- 14 (enceinte)

Informations sur Récit
Anna, enceinte d'un de ses 'clients', domine son mari cocu.
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Partie 14 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 04/26/2022
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Les plaisirs d'Anna - 14 (enceinte)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Depuis une semaine qu'Anna est rentrée de sa période de prostitution, les relations sexuelles avec Jules, son mari, ont été quasi inexistantes. Il est vrai qu'une grande inquiétude s'est installée dans le couple, surtout chez le mari.

Leur fantasme lié au risque de grossesse, qui les excite tant, avait conduit Anna à une semaine de prostitution sans aucune protection pendant une période dangereuse, allant même jusqu'à des rapports le jour de l'ovulation avec des clients qui payaient très cher pour l'engrosser. Les précautions qu'Anna avait essayé de prendre étaient dérisoires et le couple craignait qu'une grossesse soit inévitable. Les clients qui avaient le plus de chance de l'avoir mise enceinte étaient certainement un jeune lutteur de Sumo et un Marocain de 80 ans.

Depuis le retour d'Anna, Jules, malgré ses craintes, n'a pu résister à l'envie de questionner sa femme pour qu'elle lui raconte encore ses aventures de pute occasionnelle, alors qu'il se branlait à chaque fois jusqu'à la jouissance. A la troisième fois, lassée par ce récit répétitif, Anna dit à son mari :

« Ça suffit, maintenant ! J'en ai assez de te raconter toujours la même chose et de te regarder branler ton petit zizi. J'aime repenser à mes aventures, mais cela m'excite un peu moins maintenant. J'aurais besoin d'un homme, un vrai, pas comme toi, mais comme Abdul, qui est malheureusement parti en Afrique pour un an. »

Jules tente sa chance :

« Je pourrais tout de même te caresser et sucer ta chatte, ou même te pénétrer, si tu reviens sur ta décision de me priver de sexe. »

Anna n'est évidemment pas convaincue :

« Tu sais bien que je ne sens pas grand-chose avec ta petite bite, alors ce n'est pas la peine de revenir sur ce sujet. Je n'ai pas non plus l'intention de branler ton zizi alors que tu peux le faire toi-même. Je te rappelle que je me promène souvent nue ou en tenue excitante chez nous, dans l'intimité. Je le fais pour te faire bander. Et je te donne aussi à faire des tâches qui te plaisent bien, n'est-ce pas? »

« Oui, bien sûr », acquiesce Jules, « J'aime beaucoup mettre du vernis sur tes ongles de mains et de pieds. J'aime bien laver à la main tes jolis sous-vêtements, comme tu me l'as demandé, mais, la vaisselle, le ménage et toutes les courses, c'est trop ! »

« Ah, non, c'est normal », réagit Anna, « Tout cela, c'est du travail de cocu, surtout quand on a une petite bite. Depuis une semaine, mes relations sexuelles sont inexistantes, mais cela me manque cruellement et je ne peux m'empêcher de te le faire payer en ce moment. Quand je vais pouvoir reprendre des amants, il me faudra beaucoup de temps libre pour être avec eux, alors les tâches indispensables doivent bien être faites par quelqu'un. Tu auras tout de même tes petits plaisirs lorsque je te raconterai mes aventures et, parfois, tu pourras même nettoyer ma chatte avec ta bouche, comme tu sais si bien le faire. »

Jules veut profiter de l'occasion, en demandant :

« Là, maintenant, je pourrais te sucer et ça te ferait du bien, j'en suis certain. »

« Bon, je vais être gentille avec toi, mais tu seras déçu, car tu ne trouveras rien dans ma chatte bien chaste en ce moment. »

Anna se déshabille et s'installe sur le canapé, les cuisses bien écartées. Elle aime cette position obscène qui les excite tous les deux. Il y a un brin d'exhibitionnisme en elle. Alors, son mari s'agenouille entre les cuisses ouvertes et suce, suce, longuement, jusqu'à ce qu'Anna prenne son plaisir dans un orgasme léger mais réel. Il y a mieux, pense-t-elle, mais ce sera pour une autre fois.

Jules, frustré, s'assied sur le canapé à côté d'Anna et réclame un peu de plaisir :

« Moi, j'aimerais bien aussi un petit quelque chose. »

« Non, je ne vais pas te branler, c'est irrévocable », assène Anna.

Alors Jules, sans trop y croire, insiste encore :

« Je sais que tu me refuses la pénétration et que tu ne veux ni me sucer, ni me branler, mais peut-être as-tu une autre idée? »

Quelle surprise, lorsqu'elle lui répond :

« Je crois que je pense à quelque chose. Sors ton petit engin par ta braguette et fais-le durcir avec ta main. Il faut que ta petite bite soit bien tendue. »

Jules s'exécute. Sa bite est rapidement bien dure et un peu de liquide pré-séminal coule au bout. Anna repense à ce qu'elle a fait, la semaine dernière, au lutteur de Sumo dont la bite était minuscule. Alors, elle commence à passer un ongle sur le gland, s'approchant à chaque fois plus près du méat. Puis, tenant son petit doigt bien vertical, Anna introduit l'ongle dans le petit trou. Il y rentre facilement mais ne va pas très loin car ses ongles ne sont pas bien longs. Cette pénétration inhabituelle fait soupirer Jules d'excitation. Anna fait bouger, tourner l'ongle, ressortir puis rentrer de nouveau. Le gland se mouille un peu plus, preuve que cela fait du bien à son mari. Ce qu'elle fait excite Anna, consciente de son rôle peu ordinaire dans cette relation de pénétration, même par un petit ongle. Elle ressent une impression de pouvoir et pourtant elle se sent frustrée de ne pas aller plus loin dans l'urètre. Alors elle recommence avec son index. L'ongle n'est pas plus long, mais sa largeur plus conséquente écarte un peu trop l'ouverture et Jules laisse échapper un petit cri.

Anna trouve un peu de plaisir à cette réaction de son mari. Elle se dit alors qu'elle pourrait avoir du goût pour un peu de sadisme et elle rapproche cela du fait qu'elle avait été excitée par ce que lui avait proposé le médecin, la semaine dernière, avec ses jeux d'aiguilles. Serait-elle à la fois sadique et masochiste? Cela ne l'étonnerait pas, car elle sait que ces deux perversions sont souvent liées. Anna, entraînée par ses pensées, vient placer son pouce replié juste sur l'ouverture et elle appuie fortement, comme pour faire pénétrer dans le conduit cet ongle bien trop large. C'est un vrai cri de douleur que Jules laisse cette fois échapper, alors qu'il porte sa main sur le poignet d'Anna pour en bloquer le mouvement.

« Tu as l'air d'aimer ça », lui dit Anna, « même si tu fais semblant d'avoir mal. Voudrais-tu que l'on recommence une autre fois? »

« Oui, oui », répond-il, « mais fais tout de même attention. »

« Je vais améliorer ça », lui répond Anna, ce qui laisse son mari interrogateur.

Quelques jours plus tard, un paquet leur est livré au nom d'Anna, une commande qu'elle avait faite la van-veille sur Internet. Jules, curieux, voudrait savoir ce qu'il contient mais Anna lui répond :

« C'est personnel. Tu sauras ce que c'est quand j'en aurai envie. »

Les jours qui suivent sont difficiles pour Jules. Anna est souvent irascible. C'est son mari qui supporte ses critiques incessantes, alors qu'il essaie de répondre aux moindres désirs de sa femme. Au lit, Jules se fait caressant, mais Anna le repousse toujours. Elle finit même par lui demander d'aller coucher dans la chambre d'amis. Bien que Jules se sente repoussé, il met ce comportement sur la situation présente. Il sait bien que, après cette semaine de prostitution sans protection, Anna attend ses prochaines règles dans l'angoisse. De plus, elle n'a aucune relation sexuelle en ce moment, Abdul, son amant, étant absent pour très longtemps, mais en aurait-elle envie dans les circonstances actuelles? C'est ce que se demande Jules. Certains soirs, depuis sa chambre, il entend quelques râles. Anna doit se caresser elle-même et c'est certainement le seul plaisir qu'elle s'autorise, elle qui avait jusqu'ici une sexualité de quasi-nymphomane.

Un soir, alors que Jules vient de rentrer après son travail, Anna l'accueille sans même le petit baiser habituel et lui dit tout de suite :

« Chéri, dépêche-toi d'aller à la pharmacie avant la fermeture. Tu vas m'acheter un test de grossesse. »

« Pourquoi? », l'interrompt Jules, qui se rend instantanément compte de la bêtise de sa question.

« Parce que mes règles ne sont pas arrivées. Cela fait déjà 5 jours de retard », lui répond sa femme.

Jules s'acquitte de sa tâche. Dès son retour, Anna s'absente un instant, puis revient, tendant le test à son mari, sans dire un mot.

« Oh, mon dieu » , s'exclame Jules qui voit bien que le test est positif.

« Que vas-tu faire? », ajoute-t-il, d'une voix où l'inquiétude est perceptible.

Maintenant qu'elle sait à quoi s'en tenir, Anna semble différente, comme curieusement rassurée, malgré cette nouvelle qu'elle craignait, aussi lui répond-elle :

« Et bien, comme toutes les femmes, porter cet enfant pendant 9 mois. »

Devant la détermination de sa femme, Jules n'ose pas aborder la question de le garder ou non. Depuis cette prise de risque de grossesse adultérine, qui les excitait tant tous les deux, c'était cette solution qu'il avait imaginée. Au début, il avait pensé que la probabilité d'en arriver là était faible, car ils 'jouaient' à la limite de périodes dangereuses. Puis, après cette semaine à hauts risques, il s'était dit que cela serait presque inévitable. Cette décision de sa femme de garder l'enfant, Jules ne veut pas la remettre en cause, car il se sent responsable. C'est lui qui l'a amenée vers ces jeux dangereux. C'est lui qui a provoqué involontairement cette expérience de prostitution avec son cadeau d'anniversaire qui a mal tourné.

Ces pensées ont traversé l'esprit de Jules en quelques secondes seulement, mais Anne s'est rendue compte de l'attitude, comme figée, de son mari, aussi ajoute-t-elle :

« Cela va te donner le temps de ré-apprendre ton rôle de père. Et, cette fois, il faudra que tu participes beaucoup plus. Je compte sur toi pour bien t'occuper du bébé. Ça me laissera du temps libre pour rattraper tous les plaisirs que j'aurai ratés pendant ma grossesse. »

A cet instant, Jules prend conscience d'une forte érection, presque douloureuse, dans son pantalon. Il sait que, pour un mari cocu, il n'y a rien de plus humiliant que voir sa femme porter l'enfant d'un autre homme. C'est encore plus vrai quand l'épouse adultère ne sait même pas qui est le père. Jules se rend comte que c'est cette humiliation qui l'excite, mais peut-être y a-t-il aussi cette soumission nouvelle à sa femme, qui lui ouvre des horizons tout aussi excitants.

Jules n'a pas le temps de réfléchir longtemps à tout cela, car Anna vient d'appeler un cabinet médical pour un rendez-vous. Elle n'a pas souhaité voir leur généraliste habituel mais a plutôt choisi d'aller voir le médecin qui s'était occupé d'elle chez Abdul. C'est ce qu'elle explique à Jules, ajoutant :

« C'est lui qui va suivre ma grossesse , évidemment. Je viens de l'avoir directement et il veut me voir tout de suite. J'y vais. »

A son retour, Jules la questionne :

« Alors, que t'a-t-il dit? Comment cela s'est-il passé? »

« Il a évidemment confirmé la grossesse », lui répond Anna, qui laisse un instant son mari dans l'expectative, avant de poursuivre :

« Il m'a faite mettre complètement nue puis faite placer sur la table pour un examen gynécologique. Ça m'a rappelé le moment où son vieux père m'avait prise dans cette position. Je lui ai même dit que j'espérais qu'il fasse de même, mais le médecin m'a répondu que ce n'était pas le moment. »

« Il ne s'est donc rien passé? », questionne Jules, avec un regret sensible dans la voix.

« Mais si, mon cochon, je vais te le raconter. Tu vas être surpris », lui dit Anna, qui commence son récit :

« Il a d'abord téléphoné pour annoncer la nouvelle à son père, qui lui a dit sa fierté d'avoir réussi à m'engrosser. J'ai pensé, sans oser le lui dire, qu'il n'y avait aucune certitude. M'avait-il mise enceinte? A moins que ce ne soit le lutteur de Sumo, ou l'un des nombreux hommes qui m'avaient prise dans la semaine, voire même Bouma ou Abdul? Je l'ai laissé dans ses certitudes.

Tout à coup, me maintenant toujours couchée sur la table, le médecin m'a dit qu'il allait s'occuper de moi. Je l'a vu prendre une aiguille d'acupuncture. Il l'a piquée dans un sein... »

Jules interrompt sa femme :

« Cela t'a fait mal? »

« Pas du tout », répond Anna, « ces aiguilles sont faites pour se planter superficiellement, juste dans la peau. Ce n'était pas douloureux. Il en a placé plusieurs ainsi, dans le galbe du sein. J'ai senti une grande chaleur m'envahir. Je crois que ce n'était pas l'effet des aiguilles mais simplement l'excitation de penser qu'il me faisait ça et de me sentir à sa merci. A chaque fois qu'il plaçait une aiguille, il la piquait un peu plus près de l'aréole. Lorsqu'il a planté la dernière à la base du téton, j'ai sursauté car j'ai eu un peu mal sur l'instant, mais la douleur s'est vite estompée. Cela m'a toutefois fait de l'effet car je me suis mise à couler comme une fontaine, là où tu sais.

Alors qu'il prenait une autre aiguille et l'approchait de ma chatte, j'ai retenu sa main. Cette idée m'a excitée encore plus, mais je n'ai pas osé le laisser aller plus loin. J'imaginais la douleur et j'en avait trop peur. Alors, c'est avec sa main qu'il s'est mis à me caresser entre les cuisses. Il a glissé un doigt puis deux dans mon vagin.

Ses mouvements étaient doux et j'avais l'impression qu'il prenait soin de moi. Je sentais toujours, sur mon sein et mon téton, l'effet des aiguilles qu'il n'avait pas retirées. Cela participait aussi à mon excitation. Alors, lorsqu'il a replié un doigt dans mon sexe pour venir presser sur mon poing G, c'est une forte jouissance qui m'a traversée.

Quand j'ai repris mes esprits, il a retiré les aiguilles et, curieusement, je lui ai demandé de me les donner, souvenir d'un moment intense ou pour autre chose, je ne sais pas? Pendant que je me rhabillais, il m'a dit qu'il me verrait toutes les deux semaines, soit à son cabinet, soit chez nous. »

Pendant le récit de sa femme, Jules avait ouvert la braguette de son pantalon et sorti son sexe. Lorsque sa femme a terminé son récit, il se masturbe encore lentement, aussi lui dit-elle :

« Ça devient pénible. Tu ne vas pas te branler tout le temps devant moi. Si tu continues comme ça, tu vas m'obliger à prendre des mesures ».

Un peu penaud, Jules range 'ses outils', sans trop savoir ce que sa femme a voulu dire par là.

A cet instant, Anna lance un appel téléphonique. Jules est surpris de l'entendre dire :

« Bonjour. Ici Anna. Je vous appelle pour vous annoncer la bonne nouvelle. Je suis enceinte de vous. Ça vous fait plaisir, je suppose?... Ah, vous êtes heureux... Moi aussi, évidemment... Oui, je vais bien... Vous penserez à moi dans 9 mois... Au revoir. »

Dès qu'elle a raccroché, Jules l'interroge :

« Je ne comprend pas, je croyais que le médecin avait prévenu son père, alors pourquoi l'as-tu rappelé? »

« Mais ce n'était pas lui, gros malin. J'appelais le lutteur de Sumo. Il y a autant de chance que cela soit lui le père, comme presque tous les autres qui m'ont prise pendant cette semaine-là. Il avait tellement envie d'entendre ça, de savoir qu'il avait réussi à me féconder avec son sexe encore bien plus petit que le tien. Ça ne me coûtait pas cher de le rendre heureux. »

Cet instant de bienveillance n'était qu'exceptionnel, car Anna, toujours frustrée par ce manque de relations sexuelles, le fait payer tous les jours à son mari. Jules fait pourtant de plus en plus de choses pour elle. Il est attentif au moindre de ses désirs. Anna, quant à elle, devient de plus en plus dominante. Elle prend plaisir à demander, non, plutôt à commander. Elle s'enivre de ce nouveau pouvoir, d'autant plus que Jules ne s'oppose jamais. Anna s'est même rendue compte que son mari y prenait du plaisir, comme en témoignait, à chaque fois, la bosse qu'elle voyait sous son pantalon.

Mais, bientôt, commander ce mari si docile ne lui suffit plus. C'est trop facile. De plus, l'attitude de Jules ne lui apparaît plus comme celle d'un homme, un vrai !

'Abdul se serai-t-il comporté comme ça?', se dit-elle, 'non, évidemment !'

Anna se dit que son mari a abandonné devant elle toute virilité et une pensée la traverse :

'Peut-être Jules était-il prédisposé à cela, avec son si petit sexe?'

Pour cette raison, Anna a envie de pousser plus loin sa domination, mais elle ne sait que penser. Va-t-elle détruire son couple, alors qu'elle aime toujours son mari, mais, en fait... différemment? Supportera-t-il qu'elle pousse plus loin son avantage dans leur relation? C'est probable, puisqu'il a accepté qu'elle porte l'enfant d'un autre homme, ce qui est pourtant la façon la plus extrême de cocufier un mari.

Comme ces questions tournent en boucle dans sa tête, Anna se met à chercher des réponses sur Internet. Elle peut y passer beaucoup de temps, puisque, bien que femme au foyer, elle a délégué la plus part des tâches domestiques à son mari. Sur les forums spécialisés, Anna retrouve souvent cette même information : un cocu peut prendre beaucoup de plaisir dans son humiliation par sa femme dominante. Elle avait déjà commencé, mais elle doit pouvoir aller plus loin. Ces sites montrent clairement que beaucoup d'humiliation appréciées tournent autour des piètres performances sexuelles d'un sous-homme mal équipé par la nature. Les petits noms choisis pour le mari sont aussi très efficaces dans ce domaine. Certains vont même jusqu'à une certaine féminisation du mari impuissant, mais Anna n'a pas du tout l'envie d'aller dans cette voie. Elle veut rester la 'femme' du couple.

Alors, Anna commence par commander, le plus souvent possible. Il n'est plus question que ses phrases contiennent des 'pourrais-tu?' et des 's'il te plaît'. Elle ne l'appelle plus 'chéri', ni 'Jules', mais seulement 'cocu' ou 'petite bite'. Cela n'affecte pas Jules, bien au contraire, et elle s'en réjouit, en voyant que chacun de ses ordres le fait immédiatement bander. Ce qui excite le plus Anna, c'est de savoir qu'elle ne fera rien pour le soulager de ses envies. Ses visites sur les forums lui ont même montré tout le plaisir que pouvait prendre une femme en privant son mari de jouissance pendant très longtemps, jusqu'à ce que cela devienne extrêmement douloureux pour lui. Elle a bien aimé apprendre que les anglo-saxons appellent ça des 'bleue balls', d'une façon si imagée et si excitante !

Peu de temps après ses recherches sur le net, Anna autorise son mari à reprendre sa place dans le lit conjugal. Jules le ressent comme une réelle faveur de la part de son épouse. Pourtant, c'est loin d'être le cas. La décision d'Anna n'a été motivée que par sa volonté de lui empêcher toute masturbation, par sa seule présence. Elle est comme obsédée par l'envie de le voir en permanence avec de douloureuses 'bleue balls'. Anna va d'ailleurs profiter de leur proximité retrouvée pour exciter son ma              ri le plus possible.

Anna se promène souvent dans leur appartement en ne portant que des sous-vêtements les plus sexy possibles. Elle sait bien qu'avec son ventre qui commence à s'arrondir l'ensemble lui donne une apparence encore plus excitante. Elle va même jusqu'à acheter un soutien-gorge en dentelle noire qui ne soutient que la base des seins, laissant les tétons érigés bien apparents. Anna s'exhibe ainsi sans rien d'autre qu'un petit slip assorti, devant son mari, lui disant :

« Tu vois ce que j'ai trouvé, mon petit cocu. Je ne sais pas encore si je vais allaiter, mais c'est tout de même plus beau que ces horribles équipements prévus pour ça ! »

Anna, au lit à côté de Jules, repousse souvent les draps pour se caresser devant lui, n'hésitant pas à amplifier volontairement ses soupirs, sachant que son mari, comme beaucoup d'hommes, est incapable de déceler le vrai du faux. Si Jules se laisse alors aller à approcher sa main de son sexe en érection, il est vite rappelé à l'ordre avec un :

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