Les plaisirs d'Anna -- 15 (maîtresse)

Informations sur Récit
Anna, amoureuse de son amant, humilie totalement son mari.
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Partie 15 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 04/26/2022
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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Anna s'était sentie frustrée après son accouchement. Il y avait évidemment des points positifs. Elle était heureuse de voir ce joli bébé, cette petite Maroca qu'elle devait à une relation sexuelle non protégée avec un très vieil arabe, lors de cette semaine de prostitution dont son mari, Jules, portait selon elle toute la responsabilité. N'était-ce pas lui qui l'avait poussée à ces jeux dangereux? En fait, elle avait été au moins aussi attirée que lui par la réalisation de ce fantasme, mais elle ne pourrait jamais l'avouer. Le bébé n'était pas une charge pour elle, car c'était Jules qui s'en occupait principalement, mais Anna s'était sentie comme convalescente après son accouchement, moins femme, d'autant plus qu'elle avait été privée de relations sexuelles depuis trop longtemps. Jules, plein d'amour pour elle aurait bien voulu la satisfaire, mais elle avait limité cela à quelques caresses buccales sur sa chatte, puisque son mari était vraiment disqualifié pour toute pénétration.

Maintenant, tout s'arrange pour Anna. Son cycle normal a repris la semaine passée et son grand noir, Abdul, vient de rentrer d'Afrique après une très longue absence. Quelques jours d'attente et elle va retrouver cet amant qui lui donne tant de jouissance. Dès qu'elle annonce à son mari le retour d'Abdul, Anna ne peut s'empêcher de montrer sa joie à Jules, en lui disant :

« Tu te rends compte, mon petit cocu, je vais enfin me faire prendre de nouveau par un homme, un vrai. Toi, tu vas bien t'occuper du bébé et faire toutes les tâches ménagères, pour me donner le maximum de temps libre avec mon amant, n'est-ce pas? »

« Je veux ton bonheur, ma chérie, mais tout ça n'est pas très exaltant pour moi », lui répond Jules.

Mais Anna lui rétorque :

« Ce ne sera pas si mal que ça pour toi. Cette semaine, tu t'occuperas beaucoup de moi. C'est toi qui vas me préparer pour mon amant. J'ai envie de me sentir redevenir la femme sensuelle et excitante que j'étais avant ma grossesse. Tu me prépareras des bains, tu m'aideras à choisir mes tenues... »

Jules l'interrompt :

« Oh, oui, bien sûr. Je ferai tout ce que tu voudras. »

Anna poursuit :

« Je veux être certaine d'être la plus excitante des femmes et c'est toi qui va me servir de cobaye. Pendant la semaine, lorsque Maroca dormira et nos deux grands seront à l'école, tu pourras choisir la tenue que tu voudras, mais ta minuscule bite et tes petites bourses devront toujours rester bien à l'air. Quant à moi, je me promènerai devant toi dans les tenues les plus excitantes. Ton petit zizi tout dur confirmera mes choix. »

Après un moment pendant lequel Jules ne sait que dire, Anna ordonne :

« Allez, cocu, sorts tout ça ! »

Alors son mari, soumis, ouvre sa braguette et met tout à l'air.

« Tu vois, rien que d'y penser et ton petit engin est déjà tout dur. Mon petit cobaye, peut-être pourrais-je même parfois te récompenser par un peu de plaisir, mais si tu t'avises de débander tu seras puni. »

Après avoir réfléchi un moment, Anna poursuit :

« Finalement, cela me contrarie un peu de revenir sur ma décision de ne plus te toucher. La solution est peut-être pour moi de m'en tenir à des punitions dans tous les cas. Qu'en penses-tu? »

Jules est dubitatif mais si frustré de toute relation sexuelle qu'il finit par répondre :

« Je ne sais pas... peut-être... euh... oui... comme tu voudras, ma chérie. »

Le lendemain matin, après s'être occupé de Maroca et préparé le petit déjeuner pour tous, Jules fait couler un bain moussant pour sa femme. Dès que les enfants sont partis pour l'école, Anna s'y plonge et profite de la douce chaleur. La volupté qu'elle ressent la conduit à laisser sa main descendre vers son pubis. Ses doigts vont plus bas et son index vient caresser doucement son clitoris. Elle profite longuement des sensations qui l'envahissent. Anna ne veux pas d'une jouissance immédiate et préfère restée tendue vers ce plaisir qui viendra plus tard. Alors, lorsqu'elle se met debout dans la baignoire, elle appelle Jules :

« Chéri, viens me savonner. Je suis toute chaude. »

Lorsque son mari arrive, elle ajoute :

« Tu ne vas pas mouiller tes habits, tout de même ! Mets-toi nu avec seulement ton peignoir de bain. »

Jules, obéissant, s'exécute. Il met du gel douche au creux d'une main et c'est ainsi qu'il la savonne. Ses mains passent partout, mais s'attardent sur les seins, sur leur pointes qui deviennent bientôt dures et tendues. Ses mains vont aussi caresser l'entrejambe, s'y attarder, laissant un doigt glisser entre les lèvres de la vulve toute chaude. En même temps, l'autre main de Jules palpe les globes fessiers qu'il sépare, permettant ainsi à un doigt de venir s'attarder sur la rosette, qui s'ouvre un peu sous la pression. Ces deux caresses concomitantes conduisent à des soupirs de plaisir d'Anna, qui pourtant y met fin en demandant à son mari de l'essuyer. Avec une grande serviette, Jules sèche bien Anna, s'attardant encore aux mêmes endroits avec plus de force. Il est si excité que son sexe tendu espère une délivrance improbable, d'autant plus qu'Anna met fin à la séance en attrapant un fin peignoir de soie.

Laissant son mari encore une fois frustré, Anna vient dans le séjour s'installer sur un canapé. Toute chaude, elle veut profiter de ces instants de relaxation. Elle pense prendre un livre, mais son corps a envie d'autre chose, alors elle laisse ses jambes s'écarter. La sensation de la soie qui glisse sur ses cuisses et la découvre lentement est vraiment divine. C'est dans cette position que Jules la découvre. Il porte encore pour tout vêtement le peignoir de bain. Il s'arrête, debout face à elle, à moins d'un mètre, comme pétrifié par la vision érotique qu'elle offre avec sa chatte bien découverte.

La position pourrait être obscène, mais c'est tout le contraire. Ces cuisses écartées qui mènent à une vulve si attirante, comme offerte dans un écrin de soie tout ouvert, ne sont que beauté. Jules a l'impression de voir un tableau d'un grand peintre de la Renaissance et ses yeux s'y attardent longuement, avant de remonter, jusqu'à ce qu'ils se fixent sur le regard d'Anna, qui le paralyse tant il s'accroche au sien. Alors, voluptueusement, sa femme, si belle et si inaccessible, passe le bout de sa langue sur ses lèvres. Les yeux toujours rivés aux siens, elle vient poser sa main entre ses cuisses. Jules n'a d'yeux que pour cet index fin qui sépare légèrement le lèvres d'un sexe tout humide, puis coulisse en remontant vers le clitoris pour s'y attarder puis repartir vers la chatte avant d'y revenir encore.

Subjugué par cette vue, Jules laisse son peignoir s'ouvrir, découvrant un sexe, petit mais bien dur. Il se masturbe sans quitter des yeux la vulve de sa femme. Il synchronise ses mouvements de poignet avec ceux de la main d'Anna. Se sentir ainsi en symbiose avec sa femme l'excite. Jules se rapproche un peu plus d'Anna. Il aimerait la toucher mais il se doute bien qu'il n'en a pas le droit. Leurs mouvements deviennent plus rapides dans un crescendo qui ne peut conduire qu'à l'orgasme. Alors, quand Anna se met à jouir, ne laissant échapper qu'un petit cri contenu, Jules éjacule violemment. Son sperme gicle sur le pubis de sa femme, sur les lèvres de sa chatte, sur ses doigts. Alors la jouissance d'Anna est plus forte, ponctuée d'un long râle, lorsque ses doigts se mettent à fouiller rageusement son sexe, comme si elle cherchait à pousser tout ce sperme dans son vagin.

Maintenant, aucun mot n'est échangé. Chacun reprend son souffle. Anna, sans changer de position, s'étire voluptueusement. Jules, bien que contemplant toujours sa femme, sent son sexe se ramollir après une si forte éjaculation. Il se recule un peu, comme si il cherchait à s'excuser, puis reste figé, ne sachant ce qu'il doit faire. A-t-il outrepassé ses droits? Il sait que seule Anna a la réponse a cette question.

« Te rends-tu compte de ce que tu viens de faire? C'est inconvenant et, de plus, si j'avais été dans une période dangereuse, tu aurais pu me mettre enceinte », lui assène-t-elle.

« Mais... c'est toi qui a poussé mon sperme en toi ! », rétorque Jules.

Anna montre qu'elle n'est pas prête à l'admettre en répondant :

« C'était pendant ma jouissance et c'est toi le responsable, uniquement toi ! Cela mérite une bonne punition, alors ne bouge pas d'un pouce ! »

Anna, à moitié couchée sur le canapé, relève sa jambe. Son pied vient doucement soupeser le sexe ramolli de Jules. D'un léger mouvement qui fait bouger le pénis dans tous les sens, Anna s'amuse.

« Comment un petit machin tout mou comme ça a-t-il pu m'arroser autant? », dit-elle avec un grand sourire, puis elle ajoute :

« Bon, ce n'est pas la question. Ce qui compte maintenant c'est ta punition. »

Anna ponctue sa phrase par un coup assez fort sous la hampe du sexe qui saute en l'air. Jules laisse échapper un petit cri alors qu'il n'a pas vraiment eu mal. Au contraire, il en a ressenti une certaine excitation et son sexe bande maintenant déjà à moitié. Alors Anna redouble. Les coups suivants sont un peu plus forts. Le sexe part dans tous les sens. Jules se surprend à y prendre goût malgré une douleur certaine mais supportable. Voir le sexe sauter sous ses coups de pied amuse beaucoup Anna, mais elle ressent en même temps une impression de puissance qui l'enivre. Alors elle frappe plus vite, plus fortement, sous une petite bite qui bande maintenant complètement.

Jules se contente de quelques soupirs et petits cris. Jamais il n'essaye de s'échapper. Il se rend compte qu'il prend plaisir à cette punition, heureux de souffrir pour sa femme qu'il adore. Anna frappant plus fortement, ses mouvements deviennent plus difficiles à contrôler. Est-ce la raison pour laquelle le dessus de son pied vient frapper durement sous les testicules ou l'a-t-elle vraiment voulu? Pour jules, la douleur est là, insoutenable. Il crie et tombe à genoux, tenant son sexe entre ses mains. Anna a d'abord honte d'avoir fait subir cela à son mari si gentil, si amoureux d'elle. Elle cherche, pour s'excuser, des mots qui ne lui viennent pas. En même temps, elle est surprise de sentir une chaleur dans son bas-ventre et son sexe couler comme une fontaine, une forme de jouissance qu'elle n'avait jamais connue auparavant. Anna comprend que ce plaisir exceptionnel vient de ce pouvoir total sur son mari, de ce qu'elle a maintenant le droit de faire. Elle ressent intuitivement que ce nouveau pouvoir a peu de limites car son mari a accepté de souffrir pour elle, par elle, sans même se rebeller. Alors, elle se contente de dire :

« Viens, mon cocu chéri, approche-toi. »

Jules avance à genoux vers elle et pose son visage sur la pubis de sa femme. Il se sent bien à cet endroit, dans un mélange de chaleur et de parfum de jouissance, malgré le sperme qui lui colle maintenant à la joue. Dans cette position, son petit sexe complètement ramolli pend juste au-dessus du pied de sa femme, qui lui dit alors :

« Mon pauvre chéri, il semble que le coup sous tes petites couilles t'a fait complètement débander. J'ai rarement vu ton zizi aussi petit. Je pensais que des caresses à cet endroit, un peu violentes je l'admets, auraient eu l'effet inverse. Voyons ce qu'il en est. Il faut que j'en ai le cœur net. »

Jules ne répond rien. Anna sent seulement la chaleur d'un long souffle de son mari sur les lèvres de sa chatte. Voyant qu'il ne se révolte pas, Anna se demande si Jules n'aurait pas apprécié cette douleur pourtant si forte. Alors elle place de nouveau son pied sous les bourses de son mari, qui sursaute, bien que le contact ne soit qu'un effleurement. Anna continue de caresser doucement cet endroit avec le dessus de son pied. C'est toujours le même mouvement, avec la même lenteur, avec la même légèreté. Cela dure longtemps, très longtemps, et le petit sexe, qu'elle n'a même pas touché de sa main, reprend déjà de la vigueur. Alors Anna repose son pied au sol et reste immobile. Elle sent sur son pubis le halètement rapide de son mari soumis et elle comprend qu'il sait ce qui l'attend. Est-ce une crainte ou un désir ou les deux? Pour le savoir, Anna soulève violemment son pied. Le hurlement de Jules s'étouffe dans sa toison. Il n'a même pas cherché à se protéger. Un coup d'œil au sexe de son mari montre à Anna qu'il bande très fortement. Alors, elle recommence, enchaînant les coups sous les couilles à une cadence infernale et ne s'arrête que lorsqu'elle sent du sperme gicler sur son mollet. Pendant quelques instants, elle caresse amoureusement les cheveux de son mari qui n'a pas changé de position et récupère en soufflant profondément, avant de lui donner un ordre :

« Mon cochon, tu vas me nettoyer partout, m'enlever tout ce sperme, dans mes poils, sur ma chatte et mon mollet. »

Sans un mot, totalement dominé, Jules s'exécute, faisant tout le travail demandé avec sa seule bouche.

Le lendemain, lorsqu'ils sont de nouveau seuls, les enfants étant couchés, Anna fait mettre Jules 'en tenue', donc avec ses attributs à l'air. Il l'aide à choisir un haut assez décolleté et une jupe bien courte. En ce début d'été, Anna ne portera ni collant ni bas. Elle a choisi des chaussures d'été dont les talons sont un peu hauts. Il leur a fallu beaucoup de temps pour trouver un soutien-gorge. Anna avait pensé ne pas en porter, mais il aurait fallu qu'elle choisisse alors un fin tee-shirt qui ferait deviner les pointes. Comme elle voulait plutôt un beau décolleté, elle a fini par retenir un soutien-gorge 'push-up' qui donnera encore plus de galbe à sa poitrine et en couvrira à peine les tétons. Pour ces choix, Jules ne lui aura pas été d'une grande aide, car, quoi qu'elle ait essayé, son petit sexe était toujours aussi tendu. Cependant, lorsqu'il a fallu choisir entre le strings et l'absence de toute culotte, là sa forte érection ne pouvait pas la tromper : c'est nue sous sa robe qu'elle ira retrouver son amant.

Il ne reste maintenant à Anna qu'à parfaire sa coiffure, son maquillage et ses ongles. Lorsqu'elle sort enfin de la salle de bains, elle s'approche de Jules dont le sexe est toujours sorti.

« Que penses-tu de mes ongles? », lui dit-elle.

Jules est très surpris car il voit les faux ongles d'un rouge carminé qui sont d'une incroyable longueur. Cela lui paraît plutôt vulgaire, d'autant plus qu'ils sont assez recourbés. Des ongles de sorcière, pense-t-il, mais il n'ose pas le dire. Il se contente d'un :

« Je ne sais pas. C'est peut-être un peu trop... »

Jules ne sait comment finir sa phrase, mais il est interrompu par Anna.

« Pourtant ils sont intéressants, n'est-ce pas? », dit-elle en s'approchant de son mari dont elle caresse les dessous des testicules avec le bout recourbé des longs ongles.

Elle fait remonter ses doigts le long de la hampe bien tendue, en une sorte de griffure légère qui fait frissonner Jules. Puis elle serre fortement ses ongles sur le sexe, juste sous la collerette du gland, en disant :

« Tu vois, on peut aussi s'en servir pour serrer. »

Puis elle relâche sa pression douloureuse et vient caresser le bout du gland avec l'ongle de son petit doigt. Jules sursaute, mais la sensation est exquise lorsque l'extrémité de l'ongle s'accroche au méat qui laisse tout de suite échapper un peu de liquide pré-séminal.

« Oui, c'est bon, là, juste au bout », murmure Jules dans un souffle d'excitation.

Alors Anna fait glisser l'ongle dans le petit trou, montant et descendant, tournant même comme si elle voulait racler l'intérieur. Pour Jules, malgré sa crainte, c'est un plaisir inconnu qui lui fait dire :

« Oui, continue, ma chérie. »

Jules s'étonne de voir alors l'ongle ressortir, mais ce n'est que pour voir Anna poursuivre différemment. Elle vient de replier le majeur, dont l'ongle, encore un peu plus long mais surtout bien plus large, appuie sur le méat qui s'ouvre bien. Et, là, le même mouvement reprend plus profondément, plus fortement. Le contact, encore plus excitant, est aussi plus sensible. La douleur n'est pas loin, comme en attestent les halètements de Jules. Quand Anna retire son doigt, c'est avec l'ongle du pouce qu'elle vient chatouiller délicatement le méat ouvert. La respiration de Jules s'accélère car il voit bien que l'ongle, bien que plus court, est beaucoup trop large pour l'endroit. Alors Anna place l'ongle bien dans l'axe et presse fortement, arrachant un cri de douleur à son mari, qui espère son retrait. Anna maintient et même accentue la pression, écartant douloureusement le méat. C'est ce qui provoque la jouissance de Jules, excité par les sévices de sa femme. Ce sont plaisir et douleur mêlés car le sperme ne peut sortir, bloqué par le pouce qui bouche complètement l'ouverture. Cette sensation nouvelle pousse Jules à laisser échapper un « Oh, oui, oui ! »

« Ces faux ongles sont intéressants, n'est-ce pas? Mais cela s'arrêtera à ces petits jeux, vois-tu. Bien que sexy, ils me donnent un style un peu trop vulgaire. Je vais les retirer et tu vas revernir mes ongles. »

Cela fait, Jules accompagne sa femme à la porte, lui posant un chaste baiser sur les lèvres.

« Je rentrerai peut-être assez tard dans la nuit, mais je pense que tu ne vas pas aller dormir avant mon retour. Attendre sa femme adultère, c'est vraiment le rôle d'un mari cocu, n'est-ce pas? », lui dit-elle, avant de le quitter pour aller rejoindre Abdul.

Pendant le trajet, Anna se sent heureuse d'aller retrouver cet homme. Ce sont évidemment son énorme sexe en elle, son endurance, sa technique amoureuse et sa force qui lui apportent tant de plaisir, mais il y a aussi la beauté de ce corps musclé, couleur d'ébène. Anna aime la jouissance inégalable qu'il lui offre tant de fois et pendant si longtemps. Et elle se sent bien près de lui, si bien, même dans les moments sans plaisir physique. Serai-je en train de tomber amoureuse, se dit-elle? Elle rejette cette hypothèse en pensant que c'est cette si longue absence de son amant qui lui donne cette impression. C'est son gentil mari, son petit cocu, qu'elle aime. Ses partenaires de plaisir et maintenant son amant ne sont là que pour sa jouissance bien physique et seulement physique, se persuade-t-elle.

Lorsqu'elle sonne à la porte de l'appartement d'Abdul, c'est son frère, Bouma, qui lui ouvre. Avant qu'elle n'ait eu le temps de parler, il l'embrasse fougueusement sur la bouche en l'attirant à l'intérieur.

« Euh... je venais voir Abdul », dit-elle lorsqu'il met fin à son baiser.

« Il est parti faire une course et il va revenir bientôt. Viens, je vais te faire patienter », lui répond Abdul, qui l'entraîne sans ménagement vers une des chambres donnant sur le couloir.

Alors, il la jette et la plaque d'une main sur le lit. De l'autre, il relève complètement la jupe. La voir nue dessous fait monter d'un cran son envie. Toujours d'une main, il dégrafe son pantalon et sort son énorme membre déjà complètement tendu. Anna crie et gigote pour se dégager, mais rien n'y fait, il est trop fort. Elle se sent impuissante. Il va la violer, pense-t-elle. Bouma plaque une main sur la bouche d'Anna pour à la fois la maintenir sous lui et la faire taire. Au même moment, Anna sent une douleur fulgurante. Le gros membre de Bouma vient de s'enfoncer d'un coup jusqu'au fond de son vagin, sans aucune préparation. Pour elle, il n'y a aucune plaisir, lorsqu'il se met à la besogner tout en force. Tout n'est que brûlure. Rien ne va la rassurer lorsque Bouma, tout en ramonant son vagin, lui dit :

« Oui, je vais te baiser, salope. Et puis je vais te remettre au tapin. C'est pour ça que tu es revenue, hein? »

Anna n'a pas le temps de répondre que Bouma sur retire d'un coup. Une main vient de le tirer par le col de son tee-shirt. C'est Abdul qui vient d'arriver. Bouma n'a pas le temps de réagir qu'il reçoit un uppercut qui le projette au sol. Alors les deux frères, de force égale, entrent dans un long pugilat d'une rare violence. Les torses luisent bientôt de sueur dans l'effort. C'est Abdul qui finit par avoir le dessus. Il tient fermement son frère plaqué au sol.