Les plaisirs d'Anna -- 15 (maîtresse)

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« Monsieur, c'est très incorrect de manger la sauce avec ses doigts ! »

Cette remarque ne l'empêche pas de sucer longuement le doigt d'Abdul. Jules n'est pas trop sûr de ce qu'il vient de voir, mais se doute que tout cela n'est pas très catholique. Martha, quant à elle, après ce qu'elle a vu pendant tout le repas, n'a absolument aucun doute. Quelle salope, se dit-elle, pensant qu'elle va adorer les confidences d'Anna lorsqu'elles vont bientôt se revoir.

De retour chez eux, Anna entraîne les deux hommes vers la chambre conjugale. En y arrivant, elle dit :

« Abdul a été très gentil de nous inviter dans ce grand restaurant. Je crois que c'est à moi, de le remercier. N'est-ce pas, Jules? »

Sans attendre la réponse de son mari, elle laisse tomber sa robe et apparaît sublime dans sa nudité. Abdul, sans attendre une autorisation du couple, se déshabille entièrement. Jules est fasciné par la taille du sexe qu'il découvre. Au repos, il est déjà deux à trois fois plus grand et plus long que le sien en érection. Jules est comme paralysé à cette vue. Abdul le réveille par ses mots :

« Allez, déshabille-toi complètement et va t'asseoir dans le fauteuil, comme un bon mari cocu. Approche bien ton siège jusqu'au bord du lit. Tu es notre invité dans ta propre chambre, alors tu as le droit de tout voir de près. En plus, si tu es bien sage, Anna pourra peut-être te faire un peu participer. N'hésite pas à branler ta petite bite. Ça la rendra peut-être un peu moins ridicule. »

Jules ne trouve rien à répondre et sent son sexe durcir sans qu'il se soit touché. Tout en se déshabillant complètement, il s'étonne de voir qu'une telle humiliation l'a vraiment excité. Sa femme l'a remarqué également et se dit qu'elle va user et abuser de ces nouveaux jeux avec son cocu soumis. Jules voit alors Anna et son amant, debout, nus, enlacés, s'embrasser avec une fougue quasi juvénile. Les baisers ne sont qu'interrompus par des « je t'aime » échangés de part et d'autre et si douloureux pour Jules. Il place le fauteuil, au côté du lit, presque au contact, et s'apprête à s'y installer, mais il est interrompu par Anna :

« Viens plutôt te coucher sur le lit, sur le dos. Mon petit cocu, tu vas me préparer pour recevoir Abdul. Il faut bien que tu serves à quelque chose. »

Jules se place comme demandé et sa femme vient se mettre tête-bêche au-dessus de lui. Il sait bien ce qu'elle attend, alors il suce sa chatte. Il passe sa langue entre les lèvres vulvaires pour bien les lubrifier. Jules se rend compte que ce qu'il fait est bien inutile, car elle est déjà complètement trempée. Cela confirme ce dont il se doutait : Anna s'était faite doigter par son amant pendant tout le dîner. Cependant, il continue ce travail qui l'excite. Anna, qui pourtant refuse presque toujours de le toucher, caresse un peu son petit sexe, allant même par moments donner un petit coup de langue sur la gland pour y effacer une petite goutte qui perle.

Abdul se met alors à genoux sur le lit et son gros sexe tendu vient se placer à quelques centimètres de la chatte d'Anna, qui se cambre, prête à l'accueillir. L'énorme gland est juste au-dessus du visage de Jules, qui pense immédiatement qu'il ne pourra jamais soutenir la comparaison.

« C'est à toi, mon mari cocu, de m'offrir à mon amant. Alors, prend son sexe et pousse-le en moi. Allez, vas-y ! N'hésite pas ! »

Jules prend le gros sexe en main et pousse pour faire pénétrer le gland dans la vagin de sa femme. Il tient encore le membre qui est maintenant à demi rentré. Son aide n'est plus utile, mais il est si heureux de participer que, sans lâcher sa prise, il s'écrit :

« Abdul, je t'offre ma femme que j'adore, pour que tu lui donnes du plaisir, que tu la baises à fond, sans limite. Elle est à toi... », puis, après une hésitation, il ajoute sur un ton plus bas :

« ... rien qu'à toi. »

Le membre monstrueux s'enfonce plus profondément. Anna le sent buter au fond de son sexe. Elle râle de plaisir. Anna ne pense même plus à s'occuper de la petite bite de son mari juste sous son visage. Jules est aux premières loges, les yeux à quelques centimètres du vagin d'Anna. La mouille de sa femme coule sur la bouche de Jules qui essaie de tout boire. Il essuie les lèvres vulvaires avec sa langue, par petits coups, touchant parfois le gros sexe noir. Cela fait bientôt vingt minutes qu'Abdul baise Anna fortement, sans discontinuer, mais il se retire en disant :

« Cocu, enlève-toi de là. Je vais la prendre dans une autre position. »

Dès que la place est libre, Abdul fait coucher Anna sur le dos et lui relève complètement les jambes. Il demande même à Jules de placer un oreiller sous les fesses de sa femme, ce qu'il fait avant d'aller s'asseoir dans le fauteuil, les yeux rivés sur le spectacle qui s'offre à lui. En même temps, il se branle rapidement. Devant lui la baise a recommencé, forte, profonde. Anna le fait remarquer :

« Abdul, je te sens bien, là, tout au fond, encore mieux que tout à l'heure. Tu presses juste sur le col de mon utérus. C'est bon ! Continue ! »

Un orgasme violent traverse Anna, alors que le sexe de son amant reste planté tout au fond. Elle a l'impression que sa jouissance ne va jamais s'arrêter. Dès que l'orgasme s'atténue, le sexe bouge un peu en elle et il repend. Conscient de son pouvoir, Abdul recommence à chaque fois de la même façon pour entretenir l'orgasme qu'il voudrait sans fin, et ça marche. Anna veut parler à son mari. C'est le moment, mais ce sont des phrases hachées par l'orgasme qui sortent de sa bouche :

« Mon cocu... écoute-moi... ce matin, j'ai pris ma... température. C'est mon... jour... d'ovulation. Veux-tu qu'Abdul... se retire... ou éj... éjacule... en moi. Tu sais qu'un... orgasme... comme ça... fait... dilater... le... col de l'utérus... je risque... d'a... d'aspirer... sa semence. Que veux-tu? Dis-moi, vite ! »

Il faut qu'il se retire, bien sûr, c'est la seule chose à faire, pense Jules. Pourtant son sexe a pris le pas sur son cerveau et, tout en se branlant furieusement, il s'entend dire :

« En toi, en toi ! »

Entendant ça, Abdul éjacule fortement, longuement au fond du vagin, par grandes giclées, alors qu'Anna, qui a attrapé la main de son mari, repart dans un orgasme tout aussi violent, alors que le sexe de Jules coule sans qu'il se touche.

Les deux amants restent enlacés, repus de plaisir, le sexe d'Abdul restant en place.

Jules sent bien qu'il est maintenant de trop. Il doit leur laisser un peu d'intimité. Il va donc se coucher dans la chambre d'amis contiguë. Il dormira peu, car, à travers la cloison, il entend les râles de sa femme à chaque fois que les deux amants refont l'amour.

Le lendemain matin, Jules prépare un petit-déjeuner qu'il apporte aux deux tourtereaux. La forte odeur de stupre dénonce l'activité passée des deux amants. Anna est heureuse de voir son mari si attentionné, aussi dit-elle :

« Oh, merci ! C'est merveilleux d'avoir un gentil mari cocu. »

Après une bonne douche, Abdul prend congés, car il a des affaires à régler dans la journée, mais leur assure qu'il viendra coucher ici chaque soir après dîner, pour le plus grand plaisir d'Anna qui dit à son mari :

« Jules, tu vas devoir transférer toutes tes affaires dans la chambre d'amis. Ce sera plus pratique pour tout le monde. Mais, ne t'inquiète pas, tu pourras encore venir nous voir, sans intervenir, évidemment. Le fauteuil du cocu est là pour toi. Tu pourras même prendre des photos et filmer. Abdul est d'accord si ça reste seulement entre nous. »

Jules ne peut que remercier son épouse.

En fin de matinée, Anna reçoit un appel de son amie Martha qui aimerait lui parler. Anna lui propose de venir prendre un café en début d'après-midi, puis se reprend en disant qu'elle peut même venir déjeuner. Martha accepte et remercie, mais s'inquiète :

« Anna, sera-t-seule? J'aimerais te parler de choses plutôt... intimes. »

« Bien sûr, Jules travaille toute la journée et ne sera là que pour le dîner. Je t'attends », répond Anna.

Un heure plus tard, les deux amies déjeunent ensemble. Elles parlent de choses et d'autres, de la vie de tous les jours, des vêtements dont elles ont envie, des enfants. Ne voyant toujours pas où Martha veut en venir, Anna questionne :

« Je suppose que tu voulais me parler d'autre chose. Martha, c'est quoi le sujet? »

« C'est délicat... je préférerais que nous en parlions au salon, en prenant le café », répond Martha.

« Oh là là ! Ça doit être vraiment spécial ! », dit Anna en riant, ajoutant :

« Tu sais que l'on peut vraiment tout se dire. Bon, alors j'attends encore un peu. »

Un quart d'heure plus tard, les deux copines s'installent au salon pour prendre leur café devant la table basse en verre. Elle se font face, Martha assise sur le canapé et Anna dans un fauteuil. Elle sont toutes deux en jupes d'été assez courtes. Les assises très basses font que les jupes remontent bien haut, laissant même apercevoir par chacune la petite culotte de l'autre. Anna sert les cafés, puis la conversation si attendue commence :

« Allez, vas-y, Martha, je t'écoute. »

« C'est... c'est délicat... »

« Enfin ,vas-y, tu es venue pour ça. Je te répète que tu peux tout me dire. »

« Voilà, quand je t'ai vue au restaurant avec Jules et ton... copain... »

« Continue ! Tu vas finir par me dire ce qu'il y a, tout de même ! Je t'écoute. »

« Bon, je me lance, tu l'auras voulu, mais j'espère que tu ne vas pas m'en vouloir. »

« Martha, tu sais bien que non. Vas-y, on ne va pas y passer la journée ! »

« J'ai trouvé que tu étais bien proche de ton copain. En plus, il t'a caressée la cuisse pendant tout le repas. Comment se fait-il...? »

« C'est bien normal, Martha, puisque Abdul est mon amant. »

« Oh, mon Dieu ! Et ton mari avait l'air de ne se rendre compte de rien. »

« C'est vrai qu'il était moins bien placé que toi pour voir, mais il se doutait bien. »

« Et ça ne le gênait pas? »

« Non, évidemment, puisque c'est lui qui m'offre à d'autres hommes depuis bien longtemps. »

« Oh, mon Dieu, mon Dieu, je ne peux pas le croire ! »

Le visage de Martha est tout rouge d'une excitation qui ne s'arrête pas là. A la pensée de tout ce qui lui paraît interdit, socialement inacceptable, sa petite culotte se trempe. Elle a envie d'en savoir plus, mais elle ne sait comment s'y prendre. Martha en tremble, répétant :

« C'est incroyable, c'est incroyable ! Toi... oh là là ! »

« Ça t'intrigue et j'ai l'impression que tu voudrais en savoir plus, n'est-ce pas? », lui dit Anna.

Martha hésite un peu, puis dit :

« Oui, Anna, c'est vrai et, en plus... tu te rends compte... j'ai honte... mais ça m'excite de t'entendre raconter ça. »

Anna a remarqué que, depuis quelques échanges, sous l'excitation, Martha a posé sa main sur l'intérieur d'une cuisse. Ses doigts ont fini, sans qu'elle en ait pleinement conscience, à venir frôler l'entrejambe de sa petite culotte. Alors, Anna lui dit :

« Je vois bien que ça t'excite. Alors, si tu veux que je te raconte tout en détail, tu vas te faire du bien, te caresser en même temps. »

« Oh non, devant toi, ce n'est pas possible », répond Martha, alors que sa main dit le contraire puisque un doigt continue de glisser au bon endroit sur la fine culotte.

Leurs échanges, maintenant réellement érotiques, reprennent :

« Martha, si tu veux que je te raconte, tu vas d'abord retirer ta petite culotte, remonter ta jupe et bien écarter tes cuisses. Et tu vas caresser ton petit bouton. »

« Oh non ! Je ne peux pas faire ça devant toi... »

« Allez, je vais te montrer. Moi aussi cela va m'exciter de te raconter mes aventures et je vais me caresser. »

Alors Anna retire son string, remonte sa jupe jusqu'à la taille et, écartant largement les jambes, les pose sur la table basse. Sa chatte est vraiment exhibée comme jamais. Puis elle caresse son clitoris, écarte un peu les lèvres de son sexe et fait glisser un doigt entre elle, puis l'enfonce dans son vagin, le fait ressortir pour y revenir encore, accompagné d'un autre doigt, puis deux. Ses lèvres vulvaires sont visiblement trempées. Face à elle, Martha ne peut détacher ses yeux de ce sexe offert. Sa main frotte maintenant rapidement son entrejambe.

« C'est à toi maintenant, Martha. »

Voyant que son amie n'arrive pas à se décider, Anna s'approche, passe les mains sous la jupe qu'elle relève et fait glisser le petit slip. Martha résiste seulement un peu lorsque sa copine lui écarte les cuisses pour poser ses pieds sur la table basse. Alors Anna reprend la même position, face à elle, tout en disant :

« Il faut vraiment que je fasse tout ici ! Maintenant, nous allons nous caresser en même temps, chacune face à l'autre, en profitant d'une très belle vue, et je vais répondre à toute tes questions. »

Alors, Martha se décide enfin et elle se caresse comme Anna. Elle est encore bien plus trempée quand elle commence à questionner pour reprendre leurs échanges excitants :

« C'est Jules qui t'as poussée dans les bras d'autres hommes? »

« Bien sûr, cette idée l'excitait vraiment, mais j'en avais autant envie que lui. Tu sais, quand on se donne comme ça, on se sent désirée, vraiment femme. »

« Tu t'es lancée d'un coup? »

« Non, au début c'était du flirt, des attouchements, mais je suis très vite allée jusqu'au bout. C'est si bon de se faire baiser. »

« Etait-ce mieux qu'avec ton mari? »

« Oui, bien sûr, ce n'est pas difficile. »

« Pourquoi dis-tu ça? »

« Parce que Jules a une petite bite, trop petite, et, de plus il éjacule trop tôt, avant que je n'ai pu prendre le moindre plaisir. Tu te rends vraiment compte de la différence quand tu baises avec d'autres bien mieux membrés et plus endurants. »

« Tu en as eu beaucoup? »

« Oui, c'est vrai, des dizaines,mais je n'ai pas vraiment compté. »

Entendant ça, Martha, qui se caressait frénétiquement depuis un moment, laisse un premier orgasme l'envahir. La voir ainsi, face à elle, provoque le même chose chez Anna. Quelques instants plus tard, Martha relance la conversation :

« Tu vois, chez moi c'est différent. Axel a, je crois, un sexe dans la moyenne, donc je n'ai pas besoin d'aller voir ailleurs. »

« L'as-tu déjà mesuré? »

« Une fois, oui. C'était comme un jeu. J'avais trouvé un jour que son sexe était tout mou, tout ratatiné. Alex m'avait demandé de bien le branler pour me montrer comment il grandissait. J'étais allée chercher mon mettre de couturière et j'avais vu qu'il faisait bien 10 centimètres. »

« 10 centimètres, mais c'est tout petit, ça ! C'est comme Jules. Et Axel arrive à te donner du plaisir? »

« Oui, il me fait du bien, mais pour l'orgasme c'est plus souvent quand je me caresse tout seule, comme en ce moment. »

Se sentant un peu gênée par ce sujet trop intime, toujours excitée par les aventures d'Anna, Martha reprend ses questions :

« Je suppose que tu prends des précautions avec tes amants. »

« Tu sais, le préservatif est un 'tue l'amour'. Ça t'enlève beaucoup de sensations. C'est tellement bon de sentir le sperme gicler en toi. J'ai un peu peur du stérilet et le diaphragme n'est vraiment pas pratique. La pilule, ce n'est pas mal, mais... »

Sur ce 'mais', Anna s'attendait à avoir à donner des explications. Curieusement, Martha change alors de sujet.

« Tes aventures ne privent-elles pas ton mari? »

« Non, il adore ça et puis il a droit à mon récit quand je rentre. Ça l'excite. Il peut alors sucer ma chatte, ce qu'il fait très bien. »

« Même lorsque tu as laissé... »

« Tu veux dire mon partenaire éjaculer en moi? Bien sûr, me nettoyer avec sa langue est ce qu'il préfère. »

« Il boit... tout le sperme d'un autre homme? »

« Bien sûr, il en raffole. »

Là encore un orgasme traverse Martha avant qu'elle poursuive :

« Finalement, as-tu choisi la pilule? »

« Oui, à un moment, quand j'ai fait la call-girl pour toute une équipe de sportifs, par exemple. »

« Oh, tu as fait ça ! Je n'en reviens pas. Tu es vraiment... une... une... salope. »

« Tu ne crois pas si bien dire, car il y a pire. »

« Oh, mon Dieu, je ne le crois pas. Mais... tu m'as parlé de la pilule 'à un certain moment'. Cela veut-il dire que tu as eu souvent des rapports sans aucune protection? »

« Oui, c'est arrivé quelques fois à des périodes peu dangereuses et d'autres fois à des moments plus risqués. Nous nous sommes aperçus, Jules et moi, que, plus c'était proche de mon ovulation, plus cela nous excitait tous les deux. Tu vois, c'était le risque qui nous amenait à ce niveau d'excitation. »

« Oh, tu es incroyable ! Je... je ne sais pas si je pourrais faire ça... non. »

« Je suis même allée plus loin puisque je me suis prostituée pendant une semaine alors que j'étais en pleine ovulation. »

« Alors... j'y repense... ta petite Maroca... l'histoire des gènes qui auraient sauté plusieurs générations... c'était...? »

« Oui, c'était bidon. C'est un vieil arabe qui m'a engrossée, mais Maroca aurait pu être la fille de n'importe qui, puisque je m'étais faite prendre aussi par des blancs, des noirs, des asiatiques, jeunes ou vieux. C'était incroyablement excitant de ne pas savoir. »

« Oh là là... quelle salope... quelle salope tu es », s'exclame Martha, toute tremblante d'excitation, alors qu'elle enfonce en même temps trois doigts dans son vagin.

Martha, qui était jusqu'ici gênée par son exhibition, se fouille violemment la chatte en écartant ses cuisses devant son amie d'une façon encore plus obscène. En face d'elle, Anna fait exactement la même chose. Martha, s'apercevant de ce mimétisme, prend un malin plaisir à pousser plus loin ce jeu. C'est toute sa main qu'elle enfonce dan son vagin, en regardant Anna faire alors de même. Puis, perdant toute mesure tant son excitation est forte, Martha retire sa main, puis c'est son poing fermé qu'elle force en elle, tout en jetant à Anna un regard de supériorité, un regard qui voudrait dire 'pas cap'. Quand Anna se lève et s'approche d'elle, Martha pense avoir pris le dessus. Quelle n'est pas sa surprise lorsque sa copine lui attrape le poignet pour faire sortir son poing du vagin? Mais, c'est alors Anna qui enfonce brutalement son poing dans le vagin de Martha, lui guidant la main pour qu'elle lui fasse de même. Les deux amies se pistonnent violemment pendant quelques secondes avant de hurler leur plaisir dans deux orgasmes parfaitement synchronisés.

Lorsqu'elles retrouvent leur calme, les deux amies reprennent leur places, dans une position moins obscène, jambes moins ouvertes. La main de chacune reste cependant posée sur l'entrejambe, car il convient de calmer la chaleur intense de cet endroit. C'est Anna qui relance alors leur conversation :

« Martha, ça ne te donne pas un peu envie? »

« Je ne pourrais jamais aller aussi loin que toi, mais... une expérience avec un autre homme... peut-être... surtout si il est mieux équipé qu'Alex... peut-être. »

« Tu devrais essayer avec un noir. Ces hommes ont souvent un sexe énorme. Ils savent s'en servir et ont de la résistance. Quant tu y auras goûté, crois-moi, tu ne pourras plus t'en passer. Peut-être même, comme moi, tu ne voudras plus que ça. »

« Comme je ne veux pas tromper Alex, ça ne sera pas possible. »

« Peut-être aimerait-il ça, comme Jules? Tu devrais le tester. »

« C'est facile à dire ! Je ne saurais pas comment faire. Je ne voudrais pas mettre notre couple en difficulté en lui parlant de ça. Imagine ! Il pourrait être fou furieux et demander le divorce. »

« C'est simple, tu vas lui dire qu'un bel homme essaie de te draguer et que tu le repousses. Tu lui en parleras lorsque vous serez au lit, tous les deux. Invente les situations que tu vas lui raconter et laisse glisser ta main vers son sexe, juste posée dessus, sans le masturber. Tu sentiras bien si ton récit l'excite. Crois-moi, un homme sur deux rêve de voir sa femme prise par un autre. N'hésite pas à dire que tu es attirée par l'homme qui te fait des avances, mais que tu résistes car tu l'aimes, ton mari. »