Les Mésaventures de Laurence 05

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Une jeune femme tombe dans les griffes de son patron.
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Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 6 pièces

Actualisé 08/11/2023
Créé 07/19/2023
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3 ans plus tard...

Depuis 6 mois, Laurence a enfin décroché, après une période équivalente de chômage, un emploi à durée déterminée (à savoir un contrat de remplacement dans le cadre d'un congé de maternité) de responsable adjointe des ressources humaines au sein d'une société multinationale.

Elle est heureuse, d'autant que cette première expérience professionnelle lui a permis de décrocher, dans la foulée, un futur CDI à l'intérieur d'une institution publique. Au terme des 4 derniers mois de contrat de remplacement qu'il lui reste à prester, elle est donc certaine d'obtenir un job décisionnel, de surcroît correctement rémunéré.

Par ailleurs, depuis la fin de ses études, son passage au chômage et son nouvel emploi, elle fait uniquement, pour son plus grand soulagement, l'amour à son compagnon. Ses amants multiples non-désirés ou imposés se perdent désormais dans ses souvenirs passés. Mais ce samedi-là, dès l'aube, ses peurs ancestrales refont surface. A peine réveillée, Sébastien l'a en effet informée de la teneur de la soirée qui s'annonce :

- J'ai fait les courses ce matin, mon cœur! Ce soir, j'ai invité une personne que tu connais bien! Ne me déçois pas! J'ai acheté de quoi préparer le repas, ne t'inquiète pas!

Vers 19 heures, alors que la préparation du dîner est terminée, son compagnon lui donne ses instructions :

- Monte les escaliers et va dans notre chambre. Il y a une tenue qui t'attend. Dépêche-toi : il vient d'ici 10 minutes!

Laurence redescend bientôt. Elle est vêtue d'un costume noir de femme de chambre, particulièrement révélateur. Celui-ci est composé uniquement d'un tablier, court, dévoilant largement ses cuisses et la lisière de ses bas autoportants, également noirs. Hormis le plastron et les bas, elle est vêtue uniquement d'un string et de hauts talons de la même couleur. Son dos et ses fesses sont donc totalement apparents. Et si la partie supérieure du tablier couvre l'avant de ses seins, ceux-ci se trémoussent librement, le port du soutien-gorge lui ayant été interdit.

Toute personne a ainsi, sur les côtés, une vue extrêmement révélatrice de sa poitrine! Pour seul maquillage, un rouge à lèvres très marqué met tout spécialement en évidence les contours de sa bouche.

Mais déjà un bruit de sonnette se fait entendre :

-Va ouvrir!

La disposition du logement est telle que Laurence doit d'abord descendre une vingtaine de marches pour faire entrer l'invité par la porte du garage avant de remonter avec celui-ci au rez-de-chaussée du chalet. A la vue de son hôte d'un soir, la jeune femme manque de s'évanouir : Sébastien a convié son actuel patron, qui sans attendre son invitation, pénètre dans le garage. Elle l'invite à le suivre, celui-ci ne manquant de dévorer des yeux sa jolie assistante. Mortifiée, elle fait semblant de ne pas entendre le commentaire de ce dernier :

- Mon dieu, Laurence, je n'avais jamais remarqué combien vous aviez un cul magnifique!

Et joignant le geste à la parole, il se risque à poser ses mains sur les fesses qui, devant lui, roulent à chaque montée de marche!

Sébastien les accueille et, s'adressant à sa compagne, ordonne à celle-ci de servir l'apéro. La jeune femme s'en va dans la cuisine, revenant avec une bouteille de champagne et de nombreux amuse-bouche. La conversation s'engage entre les 2 hommes :

- Je suis sûr que vous n'avez jamais vu votre secrétaire ainsi vêtue, cher Monsieur Henricot!

Et le boss, un chauve bedonnant approchant la soixantaine, de répondre :

- Non! Et c'est un véritable plaisir des yeux!

- Je veillerai à ce qu'à l'avenir, elle aille au travail avec des tenues plus sexy pour mieux vous plaire! rétorque Sébastien. Puis celui-ci s'adresse à Laurence :

- Monsieur Henricot t'a donné ta chance dans le monde du boulot. Je trouvais donc normal que tu le remercie. D'où cette petite soirée pour que vous puissiez mieux faire connaissance, et ce, de manière très intime!

Alors qu'elle va de fauteuil et fauteuil pour servir son compagnon et son patron, chacun des 2 tient à lui adresser une remarque sexuelle ou à lui tapoter les fesses. Lorsqu'elle se penche une nouvelle fois pour servir son patron, celui-ci, profitant d'un moment d'inattention de la beauté naturelle, enroule ses bras autour de son dos, déplace ses mains rapidement et les glisse sous le devant du tablier, caressant sans la moindre gêne chacun des 2 seins puis les pétrissant. La fille parvient néanmoins à échapper à l'étreinte et se rue à nouveau vers la cuisine.

Lorsqu'elle revient avec les breuvages, Sébastien se lève alors de son siège, passe derrière sa compagne et lui parle, tandis qu'il commence à défaire lentement l'un des 2 liens -celui autour du cou- situés à l'arrière de la tenue de soubrette :

- Chérie, notre invité est très frustré, car il aimerait beaucoup voir tes seins. En tant qu'employée dévouée, il est normal que tu fasses plaisir à ton boss!

Résignée, elle ne lutte pas et laisse la partie supérieure du tablier tomber sur ses cuisses, dévoilant sa splendide poitrine, tandis que son compagnon commence à caresser celle-ci sans la moindre retenue. Ses tétons, sous l'effet de l'air frais, sont désormais en totale érection. Toujours derrière Laurence, il défait cette fois, avec des gestes au ralenti, le lien situé autour des hanches, le tablier tombant alors aux pieds de la jeune femme, sous le regard attentif de M. Henricot. Elle est devant lui, se tenant debout, avec seulement son string et ses bas autoportants. Sébastien lui donne une nouvelle injonction :

- Ma chérie, il est temps d'enlever ta culotte à présent. Immédiatement!

La jeune femme s'exécute, désormais quasi nue devant son patron. Son compagnon la félicite :

- C'est très bien, ma belle! Tu peux garder tes bas et tes chaussures! Comme cela, ta pudeur sera sauvée! Va maintenant t'asseoir près de M. Henricot.

La mort dans l'âme, la jeune femme s'exécute. Déjà son boss l'enlace. Les ordres de Sébastien fusent :

- Embrasse -- le! A pleine bouche! Ecarte-les cuisses!

Le sexagénaire découvre les charmes de sa secrétaire : il tâte ses seins, fait courir sa langue sur ses tétons, explore ses lèvres vaginales puis lui branle le clito.

Laurence aimerait rentrer sous terre, d'autant que cet homme la répugne physiquement.

Après une vingtaine de minutes à observer cette scène qui se déroule dans son salon, Sébastien reprend la parole :

- Ma chérie, veux-tu bien emmener M. Henricot dans la chambre d'amis? Il est temps qu'il goûte à tes charmes... en profondeur!

Puis s'adressant au patron de sa compagne :

- Je vous conseille d'utiliser ses 3 trous! C'est une excellente suceuse, une bonne baiseuse et son trou du cul est très accueillant!

Et Laurence de s'exécuter, précédant son patron. Sébastien, lui, reste dans le salon, sirotant un verre de vin rouge. Après environ 30 minutes, il monte à son tour les escaliers et se dirige vers la chambre. Entre-baillant doucement la porte, il découvre une scène particulièrement érotique et s'empresse de la filmer avec son GSM. Sa compagne, à 4 pattes sur le lit, est sauvagement prise en levrette par M. Henricot. Ce dernier, tandis qu'il pilonne la chatte de sa secrétaire, tire la tête de celle-ci en arrière, en lui empoignant violemment les cheveux.

Il éructe : - Répète, petite chienne!

Laurence s'exécute, le souffle saccadé par les coups de boutoir : - Je suis... une secrétaire salope... soumise à mon patron... et... j'aime la bite!

Satisfait de ce qu'il a vu, Sébastien referme la porte, affiche un petit sourire, se disant à lui-même : - Parfait! C'est un dominant! Elle va prendre cher!

Dans les jours qui suivent cette soirée, Laurence se rend habillée de manière très sexy au travail, d'autant que son petit ami a insisté pour choisir ses tenues.

Elle est, la plupart du temps, vêtue de mini-jupes moulant parfaitement ses globes fessiers et de chemisiers échancrés. Ce qui ne manque pas de la mettre dans l'embarras car le port de tout sous-vêtement lui ayant été interdit, elle a bien du mal à dissimuler sa forte poitrine.

Chaque jour, soit en début de matinée soit juste avant de repartir, elle est appelée dans le bureau de son Directeur qui la force à se déshabiller et ne manque pas de la peloter longuement, caressant ses fesses, soupesant chacun de ses seins. La situation reste néanmoins plus ou moins sous contrôle, M. Henricot s'étant juste contenter, une seule fois, d'une savoureuse fellation sous son bureau. Le lundi suivant, Laurence comprend toutefois que son répit va être de courte durée.

Dès son arrivée au boulot, elle est convoquée par son Directeur qui l'oblige à se déshabiller et, appuyée contre le bureau, à écarter les fesses.

Son boss sort de sa poche un plug anal en acier et un tube de vaseline. Enfonçant rapidement le sex-toy dans l'anus de sa secrétaire, qui ne peut réprimer un frisson en sentant l'objet froid pénétrer dans son cul, il lui explique ce qu'il attend d'elle :

-Tu garderas ce plug toute la journée, y compris quand tu es assise à ton bureau. Et pas question de l'enlever ou de le faire tomber! Cela t'entraînera à serrer tes sphincters! Tu viendras me revoir en fin de journée! Je vérifierai si tu l'as toujours bien dans ton trou de balle! Et le soir venu, tête de basse, la secrétaire entre dans le bureau de M. Henricot.

La fille se retrouve bientôt nue sur le canapé accueillant de temps à autre des visiteurs de marque. Son chef l'a obligée à se positionner en levrette, face à lui, de telle sorte que la jeune femme lui présente son postérieur de manière impudique. Enlevant le plug, M. Henricot, sort son sexe et commence à frotter le gland contre l'anus de Laurence. Ce faisant, il ne manque pas de lui adresser un compliment des plus humiliants :

- Ma chère, ton trou du cul est particulièrement bien élargi! Il est temps de t'enculer!

Et le patron de s'engouffrer sans ménagement dans l'anus de la malheureuse qui, bientôt, sent les couilles du sexagénaire frapper durement contre ses fesses! Pendant plus d'une demi-heure, elle est ainsi sodomisée sans répit, son boss s'amusant, à plusieurs reprises, à ressortir la totalité de son gland avant de le réenfoncer à nouveau. A l'issue d'un tel traitement, Laurence est enfin soulagée quand elle sent un liquide chaud lui remplir, par longues saccades, ses entrailles. -- Tu m'as bien vidé les couilles, petite chienne! Jusqu'à la dernière goutte! s'exclame M. Henricot, tout en tapotant l'une des fesses de sa secrétaire.

Cette semaine-là, chaque soir avant de quitter son travail, Laurence est longuement enculée par son chef. Et lorsqu'elle rentre chez elle, la secrétaire doit encore raconter dans les moindres détails sa journée à son pervers de compagnon. Excité comme un fou par le récit de sa dulcinée, Sébastien, à son tour, ne résiste pas à la tentation, après s'être fait longuement sucer, de la prendre à son tour « par la petite porte » ...

10 nouveaux jours se sont écoulés. Durant cette période, l'anus de Laurence, pour le plus grand bonheur de la jeune femme, n'a pas été mis à contribution. Tandis que son patron l'ignore, Sébastien, lui, se contente, chaque soir, de lui faire l'amour avec tendresse. C'est le calme avant la tempête.

Le jeudi matin, en effet, M. Henricot informe sa secrétaire qu'il l'a mis en congé l'après-midi même. Sans lui donner plus d'informations, il lui indique qu'elle devra le retrouver, dans une ville située à 20 kilomètres, à telle adresse, chez un certain Pierre qui, ajoute-t-il dans un sourire, « brûle d'envie de te connaître. Bien évidemment, Sébastien a été informé de ce rendez-vous et il a marqué un accord enthousiaste ».

Quelques heures plus tard, Laurence frappe donc à la porte en bois, finement ciselée, d'une maison de maître située en périphérie. La bâtisse est dans un quartier chic et est entourée d'un parc joliment arboré. Un homme, la cinquantaine, au corps de sportif et vêtu de noir, lui ouvre :

-- Bonjour Laurence, entrez, je vous prie et allez tout droit, vers la pièce du fond, celle à gauche. Votre patron vous y attend déjà!

Pénétrant dans la salle, la jolie fille ne peut manquer de ressentir une certaine terreur, à la vue de ce qui semble être un donjon des plus équipés : une cage, des barres d'écartement, des fouets, des badines, des cordes, des chaînes, des pinces à seins et autres accessoires sont ainsi largement exposés.

Mais déjà, l'attendant dans ladite pièce, M. Henricot prend la parole :

- Sébastien et moi estimons qu'il est temps pour toi de poursuivre ton éducation. Pierre, ou plutôt Maître Pierre, qui est un ami, à accepter de faire ton dressage. Maintenant, déshabille-toi et positionne-toi sous l'anneau, celui qui est accroché au plafond.

En quelques instants, terrorisée, la secrétaire, nue, un bandeau noir sur les yeux, se retrouve menottée au crochet du treuil et bientôt, les bras en l'air et contrainte de se tenir sur la plante des pieds. Son patron en profite pour allumer une caméra sur trépied.

Un fouet commence à claquer, plusieurs fois, sans pour autant toucher le corps nu et tendu de Laurence qui, pourtant, bondit. Mais les mains menottées au-dessus de sa tête ne lui permettent pas de fuir ou de refuser quoi que ce soit. Elle gémit :

- S'il vous plaît... pas cela... s'il vous plaît!

Le fouet s'enroule autour de son buste pour venir finir sa course dans son dos, laissant à chaque fois une marque rouge sur son épiderme peu habitué.

Le passage de la lanière sur sa poitrine génère en elle des sensations désagréables, mais c'est dans son dos que la morsure de la lanière est nettement plus dure. Sa poitrine, déjà bien « échauffée » par la première série de coups de fouet, voit apparaître de nombreuses marques et, l'écume aux lèvres, la jeune femme supplie de plus belle son tourmenteur d'arrêter.

Rien n'y fait. En proie à la douleur, elle n'a même pas entendu la porte du donjon s'ouvrir, Sébastien entrant à son tour dans la pièce. Maître Pierre continue à la fouetter, sur les seins, les fesses, les cuisses et même la plante des pieds. Pour Laurence, qui n'est pas habituée à un tel traitement, la souffrance devient bientôt intolérable :

- S'il vous plaît, arrêtez! Je ferai tout ce que vous voudrez! Absolument tout! Mais arrêtez!

Sentant la situation tourner dans le sens souhaité, Pierre prend alors la parole :

- Tout? Cela veut donc dire, par exemple, que tu préfères t'occuper d'une grosse bite, même celle d'un Black, que d'être encore fouettée?

Sans réfléchir, juste soucieuse de faire épargner à sa peau les morsures du fouet, la jeune femme répond par l'affirmative. Elle est alors soudain détachée et s'effondre sur le sol. Le Maître du donjon l'aide à se relever tout en lui donnant des ordres :

- Fais exactement ce que je te dis.

Après lui avoir passé un collier de chien, muni d'une laisse, il l'invite à le suivre, tout en la guidant. Ils sortent ainsi du donjon, marchent dans un couloir avant d'ouvrir une porte donnant sur une chambre. Pierre prend la parole :

- Voilà, Laurence, ton vœu est exaucé : tu vas pouvoir d'occuper d'une grosse bite noire.

Appuyant sur ses épaules, il l'oblige à s'agenouiller. La secrétaire sent un sexe appuyer contre ses lèvres. Vaincue, la fille ouvre la bouche et commence à appliquer des coups de langue sur le gland et la hampe du sexe fièrement dressé. Il est gigantesque, pense-t-elle, tout en s'activant. Pierre lui donne des ordres :

- Plus salope, ta pipe! Fais du bruit en suçant! Il va falloir que je t'apprenne à faire des gorges profondes! Mais rassure-toi : je vais te dresser!

S'étant faufilés dans la pièce, Sébastien et M. Henricot, qui filme tout, ne perdent pas une miette du spectacle de l'avilissement de Laurence.

Les commandements s'enchaînent. Toujours en laisse, la jeune femme est invitée à monter sur un lit où l'attend déjà l'homme qu'elle vient de pomper. Sans ménagement, Pierre empoigne la secrétaire par les cheveux et l'oblige à s'asseoir sur l'énorme pieu ébène :

- Et bien, vas-y, chienne! Sers-toi : c'est l'heure de ta ration de bite! Il est temps pour toi de faire du cheval! Et donne du plaisir à ton amant inconnu en bougeant bien ton joli petit cul! Sois une bonne salope!

Le fier membre pénètre difficilement dans l'organe distendu du vagin. La queue doit bien mesurer 25 centimètres, se dit la jeune femme.

Et elle est tellement grosse!

Mais à force de patience, la secrétaire arrive à accueillir en son sein le monstre noir. Remplie comme jamais Laurence n'aurait pu l'imaginer, la fille commence à gémir et accélère le mouvement de manière sensuelle, montant et descendant lentement sur le chibre tendu. Elle finit par laisser échapper un feulement, tandis qu'un violent orgasme la terrasse.

Elle a à peine le temps de se remettre que déjà Pierre l'empoigne à nouveau par les cheveux :

- A quatre pattes, maintenant, chienne! Ton amant t'a fait jouir : il est temps de le remercier en lui donnant ton cul!

Effrayée, Laurence tente bien de s'y opposer :

- Mais... ce n'est pas possible... il va me déchirer!

Déjà Pierre la coupe :

- Silence! On m'a dit que tu étais régulièrement enculée! Avec un peu de lubrifiant, cela finira bien par rentrer, ne t'inquiète pas! Rien n'est impossible!

Et l'inconnu que la secrétaire vient de baiser s'active immédiatement à lui masser l'anus et à enduire celui-ci d'une épaisse couche lubrifiante avant de s'en mettre aussi sur son propre sexe. Les dents serrées, la secrétaire sent l'énorme gland forcer le passage et s'engouffrer dans son conduit anal. Sa respiration devient irrégulière et elle ne peut retenir des cris de douleur.

Mais, centimètre par centimètre, le sexe progresse inexorablement dans le cul ainsi offert. Lorsqu'il y est entré tout entier, son propriétaire commence à la faire coulisser lentement, avant d'accélérer le tempo.

Laurence croit défaillir un instant, sous la douleur qui brûle ses intestins. Mais elle tient bon, tandis que son calvaire s'achève, une longue et puissante éjaculation se répandant dans ses intestins. La jeune femme, toujours les yeux bandés, s'effondre sur le lit, tentant de retrouver ses sens et sa respiration. Sébastien en profite pour s'éclipser, tandis que Pierre remet la fille debout et lui enlève le bandeau.

Après quelques secondes de vision trouble due au retour de la lumière, la secrétaire croit défaillir : l'homme qui vient de l'enculer et qui se tient nu devant est Mamadou, l'un de ses collègues, qui travaille comme ouvrier de production dans la même société. M. Henricot s'amuse à faire les présentations :

- Laurence, tu connais Mamadou, n'est-ce pas? Eh bien, bonne nouvelle, désormais chaque jeudi après-midi, tu viendras ici poursuivre ton dressage. Et pour te récompenser si tu es bien obéissante, tu apprendras à t'occuper de la bite de ton nouvel amant!

Et le boss de poursuivre son monologue ironique :

- Mamadou, tu sais aussi qui est Laurence. Ou plutôt je devrais dire que tu la connais maintenant très intimement. Je te présente donc celle qui sera ta salope blanche, à raison d'au moins une fois par semaine, voire plus si affinités!

Et le patron de s'esclaffer de sa propre blague, sous le regard amusé des 2 autres hommes. La femme, elle, se liquéfie, consciente d'être à nouveau réduite, tel qu'il y a quelques années, à l'état de simple objet sexuel dont on se sert quand et comme on veut! Cela ne finira jamais, se désespère-t-elle.

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 9 mois

il lui manque encore que passer par un bon pervers manipulateur qui sache lui faire aimer ce qu'elle devient.

là c'est beaucoup de contrainte par la crainte, on ne peut pas encore dire qu'elle soit pervertie

AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Excellente suite, il va y avoir de belles séances.

Rudy

AurailiensAurailiensil y a 9 mois

Quelle vie pauvre Laurence... mais pour notre plus grand plaisir

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