Les Mésaventures de Laurence 04

Informations sur Récit
Une jeune femme tombe dans les griffes de nombreux pervers
4k mots
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4
Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 6 pièces

Actualisé 08/11/2023
Créé 07/19/2023
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Après un petit déjeuner rapidement pris, les 2 voyageurs se remettent en route. Le trajet se passe tranquillement, la jeune femme parlant peu, encore sous le choc de la soirée d'hier. Jamais elle n'a été aussi dégradée. De temps à autre, Jacques lui adresse un petit sourire ironique.

5 heures plus tard, en début d'après-midi, la voiture se gare devant une belle villa isolée, et les esprits se portent sur le déménagement des valises. La maison de vacances compte 3 chambres, 1 salle de bain et 1 vaste espace salon-cuisine-salle à manger complètement ouvert. Il n'y a pas d'étage, le rez-de-chaussée s'avérant suffisamment spacieux et accueillant.

Dès leur arrivée, Dechambre et Laurence sont accueillis par 3 hommes dans la soixantaine.

L'étudiante est estomaquée : elle les connait tous. Il y a Henri Thill, qui était son professeur de religion lorsqu'elle était au lycée, dans l'enseignement catholique, mais aussi Thomas Albert, concierge dudit lycée et enfin Marcel Jacquard, l'un des voisins de ses parents!

-- Vous avez fait bon voyage? interroge l'ancien prof. La petite a l'air fatiguée?

-Ce n'est pas le trajet! répond immédiatement le collègue de son père. Elle s'est prise hier 11 bites dans le cul! Son trou de balle doit maintenant ressembler à une route de moto! Une vraie salope de bas étage!

Tête basse, la femme ne pipe mot. Les 5 touristes se répartissent les chambres : Laurence, soulagée, se retrouve seule dans l'une d'entre elles, tandis que Jacques et Henri partagent la même pièce à coucher, tout comme Thomas et Marcel. Elles sont relativement grandes et contiennent chacune un lit pour deux personnes et une armoire qui sert de rangement.

Après avoir tous pris une collation, Dechambre prend la parole :

- Bon, les gars, il est 14h. Il fait chaud, le soleil brille. On ne testerait pas la piscine?

Puis s'adressant à l'étudiante :

- Laurence, il y a un espace suffisant pour que tu prennes un bain de soleil! Allez, on se retrouve dans 10 minutes! Et tous en maillot et en bikini!

Retournée dans sa chambre, la nymphette se change et enfile un des micros bikinis achetés par le collègue de son père. La fille, le feu aux joues, sort enfin. Les hommes sont déjà dans l'eau et estomaqués -sauf Jacques évidemment- de la voir ainsi vêtue. Arrivant comme si de rien n'était, elle s'installe sur la serviette de bain qu'elle vient d'étendre sur la pelouse, à environ 2 mètres du rebord de la piscine. Couchée sur le ventre, elle a conscience de montrer l'intégralité de son cul à 4 vieux hommes.

Déjà, Dechambre l'interpelle :

- Laurence, tu vas cuire dans cette tenue! Heureusement, j'ai apporté de la lotion solaire. Que dirais-tu si Marcel et Thomas venaient t'en passer un peu sur ton dos et sur ton postérieur?

- C'est une bonne idée, Jacques, répond-elle, vaincue.

Les 2 sexagénaires ne se font pas prier et, s'agenouillant chacun d'un côté, versent à tour de rôle de la lotion sur la peau douce de la secrétaire.

Puis, ils frottent la chair, en prenant tout leur temps. Chacun s'attarde sur les globes fessiers de la fille, les massant. Dechambre reprend la parole :

- Les liens risquent de laisser des traces. Or, je pense que tu souhaites un bronzage intégral, non?

- C'est vrai, Jacques, murmure-t-elle, anéantie.

Alors, les 2 hommes entreprennent de dénouer le fin nœud qui, dans son dos, retient le haut, et ensuite les sangles qui, de chaque côté des hanches, maintiennent le bas. La beauté naturelle, sur les coudes, est contrainte de se lever légèrement, toujours allongée sur le ventre, afin de faciliter l'enlèvement de son deux-pièces. Désormais sans le moindre vêtement, elle sent que Marcel lui écarte les fesses tandis que Thomas verse de la lotion solaire sur son anus, descendant même afin d'en passer sur sa fente.

Laurence constate, horrifiée, les 2 érections qui distendent le maillot des vieux hommes. Ceux-ci, satisfaits du spectacle proposé, retournent néanmoins dans la piscine.

Une demi-heure plus tard, Dechambre reprend l'initiative :

- Chérie, tu vas brûler si tu restes toujours du même côté! Il est temps de te coucher sur le dos. Que penses-tu si cette fois Henri et moi-même venions te mettre de la lotion afin de protéger l'autre partie de ton corps, afin que ta magnifique poitrine et tes parties intimes soient épargnées par le soleil?

- Vous avez tout à fait raison, Jacques, se contente-t-elle de répondre.

Alors les 2 sexagénaires font gicler la crème solaire, tandis qu'elle est obligée d'avoir les jambes légèrement écartées, Henri regarde sa chatte en souriant.

Ses seins pâles, presque blancs, sont bien visibles. Ses gambettes sont belles et sexy. Le vieil homme commence par ses pieds et ses mollets, puis lui frotte les cuisses, la forçant à ouvrir celles-ci davantage. Le collègue de son père, lui, passe effrontément ses doigts sur son mont de venus, enduisant celui-ci de crème protectrice. La naïade se tortille, laissant échapper un souffle. Ses tétons commencent à pointer, tandis que Jacques commence à doigter profondément son vagin. Henri, lui, masse ses beaux gros seins.

Les 2 autres sexagénaires, qui sont sortis de la piscine, attrapent chacun l'une des jambes de la fille, à hauteur du genou, et les écartent. L'étudiante est ainsi totalement accessible. Le reste de l'après-midi n'est qu'une orgie des sens : elle est tour à tour pénétrée par des doigts curieux, obligée de sucer les 4 queues, puis de les chevaucher. Chaque homme la prend également par son joli petit cul. Epuisée, elle espère, en fin d'après-midi, en avoir fini. Mais c'est sans compter sur le côté insatiable des vieux vicieux.

Après le repas du soir, ceux-ci décident que Laurence n'ira dans sa chambre que pour se changer. Chaque nuit, elle devra la passer pour moitié tantôt dans le lit de Thomas et de Marcel, tantôt pour l'autre moitié dans celui de Jacques et Henri. Et durant de longues heures, elle est baisée ou enculée, tout en prenant une queue dans la bouche. Pour elle, chaque heure se ressemble. Elle n'est plus qu'une poupée de chair. Parfois, elle doit satisfaire les 4 mâles en même temps, devant branler la queue qui n'a pas su trouver place dans l'un de ses 3 orifices.

Aucun préservatif n'est utilisé, le collègue de son père estimant que Laurence doit sentir « pleinement chaque queue se vidant en elle, au naturel ».

Au moins je n'aurai pas à avaler un nouveau verre de sperme, se console la jeune fille.

Le lendemain, alors qu'elle se lève vers midi, épuisée, Dechambre l'informe du programme de sa journée, tandis qu'elle découvre avec horreur toute une panoplie d'objets et d'accessoires trouvables uniquement dans un sexshop :

- Aujourd'hui, petite salope, c'est ta journée de dressage!

Elle identifie, pêle-mêle : un énorme gode noir couplé à un stimulateur de clitoris, des plugs anaux de différentes tailles, un dildo blanc et de taille normale, un chapelet anal, des boules de geisha, une bâillon-boule, un collier de chien, une paire de menottes pour les poignets et une autre pour les chevilles, un écarteur buccal (pour empêcher la bouche de se refermer), une cravache, un plug anal doté d'une queue en crin de cheval. Laurence est mortifiée par tous ces ustensiles érotiques.

Jacques a en outre acheter un pot de vaseline et différents lubrifiants vaginaux. Tout cela ne lui dit rien qui vaille. Mais déjà le collègue de son père lui donne des injonctions :

- Bon, vas te coucher dans l'un des transats près de la piscine!

Après avoir été contrainte de s'enduire la fente et l'anus d'une épaisse couche de vaseline, cuisses largement écartées, elle est invitée à se branler avec le gode noir qui, en même temps qu'il pénètre son vagin, stimule son clitoris.

Les ordres fusent :

- Passe ta langue sur tes lèvres !

- Sors la langue ! Fais ta putain!

- Ecarte ta chatte avec deux doigts !

- Retourne-toi : écarte tes fesses! Ne bouge pas! Je vais te décorer le trou de balle!

Elle sent alors un plug anal s'introduire son œillet. Celui avec la queue en crin de cheval. Un bâillon-boule est également placé dans sa bouche, avant d'être fermé à l'arrière de sa nuque. Enfin, un collier avec une laisse est passé autour de son cou. Et voilà l'étudiante marchant à 4 pattes, une touffe de poils noirs dépassant de son anus, promenée comme une chienne et ne pouvant produire le moindre son :

- Salope, il est temps de t'apprendre l'obéissance! Je vais cravacher ton cul. Tu vas recevoir 10 coups.

Et Dechambre d'exécuter ses menaces. Prisonnière du gag, la fille hurle de douleur, mais est réduite au silence. Son postérieur prend une couleur de plus en plus rouge. La punition, donnée sans aucune raison, se termine enfin.

- Il est temps de l'enculer! éructe le collègue de son père. - Henri, tu commences?

L'étudiante sent l'homme se positionner derrière elle, tandis qu'elle est toujours à 4 pattes et bâillonnée. C'est Jacques qui tient la laisse. Elle sent qu'on lui retire le gode anal. Une queue dotée d'un énorme gland lui succède, forçant l'anus lubrifié par la vaseline et coulissant sauvagement dans son rectum, de plus en plus vite, sans se soucier de ses cris étouffés.

La bite plus qu'imposante lui ruine sa rondelle, violemment distendue par cette intrusion brutale, non voulue et, surtout, conséquente. Le vieux monsieur empoigne les seins de la jeune femme et les malaxe âprement, tandis que ses burnes frappent la croupe alors qu'il redouble ses coups de boutoir, le corps entier de Laurence étant secoué par les puissants assauts.

Henri se réjouit de l'enculer en plein air : il veut l'abaisser et la dégrader. Aussi se contrôle-t-il le plus longtemps possible. Mais, après un bon quart d'heure, il ne peut se retenir d'éjaculer dans le cul de sa malheureuse victime.

C'est ensuite au tour de Thomas de lui succéder et de loger sa queue dans l'anus couvert de vaseline et de sperme. Lui aussi est bien doté! Il est vrai que les 4 hommes n'ont pas manqué de prendre chacun une dose de viagra afin non seulement d'augmenter leur endurance, mais aussi la grosseur de leur pine. Une fois à moitié enfoui en elle, le sexagénaire se positionne mieux pour parfaire son intromission pour le moins violente.

Il se concentre quelques instants, compte jusqu'à 3 et d'un coup de rein l'embroche.

Elle ne peut retenir plusieurs geignements étouffés, tandis que des larmes coulent sur ses joues. L'homme la défonce ainsi sans ménagement pendant plus de 20 minutes. Enfin, ayant rempli son intestin de foutre chaud, il cède sa place à Marcel. Celui-ci, à son tour, entreprend de l'enculer vigoureusement, coulissant sans pitié dans l'œillet distendu. La torture dure un peu moins d'une demi-heure. Jacques, enfin, se contente de la baiser à même la pelouse, afin d'éjaculer sur son ventre et ses seins. Pendant un peu moins d'une semaine, tous les après-midis, Laurence est cravachée sur les fesses, les seins, les cuisses et même parfois sur la plante des pieds, avant d'être sauvagement baisée et enculée. Des stries bleutées ou roses marquent son corps. Suite à un tel traitement, elle est devenue totalement soumise.

Un claquement de doigts ou un simple sifflement suffisent désormais à la faire obéir aux vieux pervers : elle lèche leur scrotum, suce leurs doigts de pieds en mimant des fellations obscènes, se positionne à 4 pattes en écartant ses fesses pour mieux être sodomisée. Je suis devenue une poupée gonflable, une vulgaire boîte à queues, pense-t-elle, amère.

Il reste 2 jours de « vacances ». La veille, Henri, Thomas et Marcel ont quitté rapidement les lieux. Après une nouvelle nuit « orgiaque », l'étudiante a été contrainte de faire une pipe d'adieu à 3 de ses 4 tourmenteurs, suçant longuement chacun d'eux. De quoi avoir, après plus de 45 minutes de fellation, des mâchoires particulièrement ankylosées.

La veille du départ, Jacques invite soudainement Laurence à un séjour à la plage, afin de découvrir les beautés de la côte méditerranéenne. Sitôt dit, sitôt fait : en milieu d'après-midi, ceux-ci se retrouvent en bord de mer. Arrivant à l'endroit choisi par Dechambre, l'étudiante constate qu'il n'y a pas beaucoup de monde sur la grève, malgré cette journée chaude avec une légère brise. Elle est évidemment vêtue d'un micro-bikini.

La fille regarde autour d'elle. Il y a quelques personnes qui marchent le long de la longue plage et d'autres qui se font bronzer, étendues sur des serviettes ou sur des transats. Aucune d'entre elles n'est dénudée. L'invitant à marcher vers le fond de la grève, dans un coin relativement peu peuplé, le collègue de son père l'invite fermement à se déshabiller. Après une courte pause, elle obéit, dévoilant sa poitrine, puis son sexe et ses fesses.

Le vieil homme reprend la parole :

- Allons! Il est temps de commencer à marcher! Tu passes devant moi car je sais que tu aimes t'exhiber et montrer à tous ton beau cul!

La jeune femme commence à avancer sur la plage, sans la moindre protection textile, suivie par Dechambre. La scène semble surréaliste, tandis que son postérieur se lève et retombe ostensiblement à chaque pas. Même de dos, son tourmenteur peut voir les côtés de ses seins qui se balancent doucement. De rares promeneurs, masculins, regardent avec avidité les charmes de la jolie naïade, dotée d'un physique de rêve...

Les premières minutes se passent sans encombre, seuls 3 jeunes faisant du foot de plage près de l'endroit où, installée sur le sable, Laurence bronze dans le plus simple appareil. Jacques en profite pour s'éclipser, non sans lui avoir donné ses dernières instructions, très explicites :

- Tu te débrouilles comme tu veux, mais tu t'arranges pour aller baiser avec ces 3 jeunes mecs dans la dune ici derrière. Pas besoin de mettre des capotes : vu leur âge, ils ne doivent pas eu beaucoup d'expériences sexuelles!

S'exécutant, la fille adresse des sourires appuyés aux enfants, qui se ressemblent étonnement. Tous sont en effet roux et relativement laids. Engageant la conversation, elle apprend qu'il s'agit de 3 frères, l'aîné allant fêter ses 20 ans et les 2 plus jeunes, des jumeaux, venant d'avoir 18 ans. Ils l'invitent à jouer au ballon avec eux.

Nue, sa poitrine et ses fesses bougent lorsqu'elle le lance ou qu'elle courre pour le ramasser.

Les frangins lui lancent tous la balle de façon excessive, ce qui l'oblige à se déplacer sur quelques mètres pour le récupérer, alors que ses seins rebondissent.

Après 30 minutes, en sueur, elle n'oublie pas la mission confiée par Dechambre et, prenant l'aîné par la main, l'entraîne, suivi des 2 plus jeunes, vers la dune. Elle se retrouve seule, dans un endroit tranquille et discret, avec les 3 garçons, déjà plus que formés. Elle les invite soudain à toucher sa poitrine et à jouer avec ses mamelons. Après s'être laissée caresser et embrasser, elle se laisse tomber sur le sable, écartant les cuisses. Qui va être le premier à me passer dessus? s'interroge-t-elle.

Les garçons décident que l'un des jumeaux va commencer. La fille, elle, entend rester inerte. Le jeune homme, se positionnant au-dessus d'elle, lui mordille l'un de ses tétons, palpe ses seins et, sa queue à la main, farfouille dans sa fente, cherchant l'orifice tant convoité. Après quelques minutes, il s'engouffre enfin dans celui-ci :

- Oui! Je suis dans sa chatte! C'est fantastique! Je suis un homme maintenant!

Et il commence, tel un marteau piqueur, à la labourer de toute sa puissance. Il grogne de plaisir, étant entré pleinement dans la jeune femme. Mais manquant de la plus élémentaire expérience, il ne parvient pas à retenir son éjaculation et, moins de cinq minutes après avoir effectué sa première pénétration, il ressort tout penaud. Mais déjà son frère prend sa place. Des larmes perlent aux yeux de l'étudiante, alors qu'elle s'apprête à supporter un deuxième rapport sexuel non désiré.

Une seconde bite conquérante s'introduit en elle. Le jeune rouquin marque son contentement :

- Oooh, mon Dieu... C'est trop bon... Aahh... Ahhhh... Je vais jouir! Après une vingtaine de va-et-vient, il sent soudain les muscles vaginaux de sa partenaire enserrer sa queue dans une étreinte puissante, provoquant immédiatement son orgasme. Laurence, sans montrer la moindre émotion, vient d'accélérer les choses afin de mettre un terme rapide à cette situation dégradante. Le troisième à la rejoindre est l'aîné. A la différence de ses deux cadets, il a déjà eu des rapports sexuels et est bien décidé à faire jouir cette jeune femme aux charmes somptueux!

L'agrippant par les hanches, il empaume ses seins et les caresse tendrement avec ses pouces. Ainsi sollicités, les tétons ne tardent pas à durcir et à s'ériger, la respiration de la jeune se faisant un peu plus lourde. Lentement, il descend avec l'une de ses mains sur son ventre, ses cuisses, son mont de venus et atteint son clitoris. Il le mignote, le triture délicatement, tenant son sexe de l'autre main, prêt à s'engouffrer quand il le jugera utile, ce qu'il fait moins de dix minutes plus tard :

- Oooooh! gémit Laurence, lorsqu'elle le sent en train d'envahir son intimité. Il la baise maintenant vigoureusement, savourant sa chaque instant. Mais rien n'y fait : la fille se refuse à prendre du plaisir. Aussi simule-t-elle :

- Oh oui, continue! Accélère! Je vais venir! Baise-moi! l'encourage-t-elle, afin de mettre fin à ce calvaire. L'adolescent ne s'est rendu compte de rien.

Quelques minutes plus tard, les joues rouges, Laurence rejoint l'endroit où elle était installée, Dechambre la ramenant aussitôt à la villa. Le reste de la journée et la nuit se passe comme à l'accoutumée, le collègue de son père profitant largement de tous les charmes de la jeune fille.

C'est le moment du retour. Prenant place sur le siège passager, elle est habillée comme demandé par Jacques, à savoir un short en jeans qui, sans culotte, dévoile le bas de ses fesses. Le débardeur ne vaut pas mieux : échancré sur les côtés, il laisse apparaître, de côté, la magnifique poitrine.

Après plusieurs longues heures de voyage, les 2 touristes font halte dans un restoroute principalement fréquenté par des camionneurs. Il est 18 heures. A peine sont-ils installés à une table que le sexagénaire aborde 2 routiers assis à une table voisine. La conversation s'engage. De temps à autre, les regards des hommes se tournent vers Laurence et des rires fusent.

Celle-ci est particulièrement gênée même si elle n'entend pas les propos échangés. Après 15 minutes, Dechambre revient à table et lui explique ce qu'il l'attend :

- Voilà, salope, c'est ainsi que nos chemins se séparent. Tu termineras le voyage avec ces 2 messieurs. J'ai leurs noms et leurs GSM : il ne t'arrivera donc rien. Ils doivent faire une ou 2 livraisons et, comme c'est sur leur route, ils te ramèneront ensuite chez tes parents d'ici à après-demain midi. D'ici là, tu leur obéiras : si ce n'est pas le cas, ils me tiendront informé par SMS. Ce serait dommage que tes proches reçoivent les vidéos de Momo! Pour le reste, tu seras libre et ne me reverra plus. Il est temps que je retrouve ma femme! Et puis, avec ta chatte devenue aussi large que le grand Canyon et ton trou de balle qui ressemble désormais à un courant d'air, tu es moins intéressante! En outre, cela te fera du bien de baiser avec des hommes, car depuis quelque temps, tu ne couches plus qu'avec des vieux ou des jeunes mecs!

Satisfait de cette dernière humiliation qu'il vient d'infliger à la fille, il retourne avec elle à la voiture :

- Ils viennent te chercher dans 10 minutes avec ta valise. Tu as juste le temps de me faire une dernière pipe, bien lente et bien baveuse!

Elle s'exécute et satisfait la demande lubrique de Jacques. Celui-ci avant de partir, lui a remis du gel lubrifiant :

- Tu vas en avoir besoin! s'esclaffe-t-il.

Elle se retrouve à présent avec les 2 routiers qui, ayant mis ses affaires dans la cabine de leur camion, retournent avec l'étudiante dans le restoroute. Le repas se déroule tranquillement. A la fin de celui-ci, l'un des hommes, un grand gaillard solidement bâti et au crâne chauve, l'invite à le suivre dans un endroit spécifiquement réservé aux transporteurs, où ceux-ci peuvent prendre une douche. Pénétrant dans la cabine, Laurence et le routier se retrouvent bientôt nus.

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