Les Mésaventures de Laurence 06

Informations sur Récit
Une jeune femme tombe dans les griffes d'un chien.
3.6k mots
4.54
7.2k
5
Récit n'a pas de balises

Partie 6 de la série de 6 pièces

Actualisé 08/11/2023
Créé 07/19/2023
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Pendant plusieurs semaines, le dressage de Laurence se poursuit, à raison d'une séance par semaine. Après avoir été cravachée ou fouettée, enfilée par de gros godes vibrants dans la chatte ou dans l'anus, elle est contrainte d'offrir ses 3 trous à Mamadou. Maître Pierre, lui, ne l'a jamais touchée. En bon sadique, il se contente de jouir cérébralement des douleurs infligées. Alors qu'elle pensait quitter son emploi comme convenu pour obtenir un nouveau poste, elle apprend soudain par Sébastien que celui-ci a rencontré il y a quelques jours son patron. M. Henricot a proposé de l'engager à durée indéterminée, avec un salaire supérieur à celui de la fonction à laquelle elle était promise. Il tient à en faire sa secrétaire personnelle.

Son boss a également fait comprendre à son compagnon qu'il serait dommage qu'elle voie sa réputation ruinée si certaines vidéos étaient diffusées.

La mort dans l'âme, la jeune femme est contrainte d'accepter cette proposition indécente. Les séances de dressage s'arrêtent quelques jours plus tard, son patron ayant décidé de poursuivre lui-même son éducation. Pour sa première séance, il l'a fait venir, en fin de journée, dans son bureau dont il a fermé la porte à clef derrière elle. Elle se déshabille devant lui suivant ses désirs, lentement, prend les poses érotiques exigées.

Une fois qu'elle est entièrement nue, il change de ton, devient plus directif, plus exigeant, plus grossier. Il la traite de petite salope soumise, lui demandant alors de prendre des poses obscènes, l'obligeant à mimer une baise virtuelle, les jambes un peu écartées, en donnant des grands coups de rein dans sa direction comme si elle voulait s'empaler sur son sexe. Puis, il prend une cravache et du bout de celle-ci, lui caresse le visage, lui ordonne de lécher l'objet, avant de poursuivre ses caresses avec celui-ci sur les épaules, les seins, les tétons, le ventre, les cuisses, avant de remonter jusqu'à ses lèvres vaginales.

Il lui demande alors de se coller contre le mur, le pubis appuyé sur cette face toute lisse, avant de se positionner derrière elle. Les coups commencent à pleuvoir, tandis qu'il l'oblige à se frotter contre le mur comme une chienne. La fille obéit, noyée dans un océan de perversité. Sèchement il lui ordonne d'écarter ses fesses et de lui offrir son cul. Son patron entre un pouce dans son anus, le ressort, crache entre les fesses, enfonce à nouveau son doigt en le tournant lentement, puis un deuxième et un troisième suivent. Il retire alors ses doigts et présente sa bite contre l'œillet, le force et même si le gland a du mal à entrer, commence sa progression et finit par être tout au fond du cul, ses couilles touchant les fesses de sa nouvelle secrétaire personnelle. Il commence alors tout doucement à se retirer, mais avant de sortir, il se réenfonce cette fois plus brutalement.

Le va-et-vient continue pendant près de 15 minutes :

-- Vu vois, petite salope, tu vas devenir mon enculée favorite, commente son chef. Ton cul m'appartient désormais!

Il la pilonne avec force, les seins de la fille sautant au rythme de ses assauts. Il s'arrête brusquement, s'assoit sur son fauteuil de bureau et lui ordonne de venir s'empaler sur sa bite, jusque dans les tréfonds de son cul. Laurence sent alors le sperme chaud envahir ses entrailles. Il la repousse et lui demande de se rhabiller :

- Tu peux rentrer chez toi, soumise! Tu m'as bien vidé les burnes! A demain!

Les mois ont passé. Le dressage continue. Son patron la promène désormais en laisse, lorsqu'il la fait venir chez lui, dans son jardin. Il lui met également régulièrement des pinces aux seins et aux lèvres vaginales, tout en la fouettant de plus en plus durement. Laurence, certains jours, n'ose plus de déshabiller devant son compagnon, de peur qu'il ne découvre les nombreuses stries rouges ou bleues qui parsèment son corps. Elle remarque d'ailleurs que Sébastien est de plus en plus distant. Lui aussi l'utilise désormais comme « vide-couilles ».

Un nouvel été approche.

Et c'est un lundi que le monde de la jeune femme termine de s'effondrer. Son compagnon vient en effet de lui annoncer la fin de leur histoire d'amour, ayant rencontré une charmante demoiselle. Elle a un mois pour quitter le nid conjugal même si, ajoute son désormais ancien petit ami, elle ne doit se tracasser de rien : un accord a été passé avec son patron, M. Henricot. Elle vivra désormais chez celui-ci! Tous les détails ont d'ores et déjà été réglés entre les 2 hommes.

Laurence est anéantie...

Quelques jours suffisent pour réaliser le déménagement. Désormais, elle est contrainte de vivre avec son patron qui, depuis son divorce, vit seul depuis plusieurs années. Chaque soir, elle partage sa couche doit se soumettre à ses caprices. Au moins, se dit-elle, je ne suis plus obligée de subir ses humiliations au travail.

Les journées de boulot se déroulent en effet normalement. Par contre, à la maison, elle doit lui témoigner une obéissance totale. Et le week-end, être au service des amis de son boss, ses 3 orifices étant totalement libres d'accès. A chaque fois qu'un invité dort dans la demeure, elle doit pénétrer en pleine dans sa chambre, nue.

Ce soir-là, c'est un homme de presque 70 ans qui passe la nuit. D'abord interloqué par cette présence inattendue, le vieillard se laisse faire tandis que la fille enserre sa queue dans sa main et commence à masturber doucement le pénis, qui devient de plus en plus long et épais. Elle poursuit ses caresses sur la pine en érection. De l'autre main, elle masse les testicules poilus. Elle ne peut pas croire que le membre soit si imposant pour une personne de cet âge! La queue semble engorgée de sang. Elle sent son odeur virile et forte. Elle poursuit le lent mouvement de va-et-vient de sa main le long de la hampe. Elle remarque un léger suintement près du gland, et augmente de manière conséquente le rythme de son poignet, encourageant le vieux d'une voix faussement langoureuse :

- Vous allez venir, Monsieur? Est-ce que cela vous ferait plaisir d'éjaculer? Voulez-vous juter, Monsieur? Je veux que vous crachiez!

Elle est si vulgaire que, même si le retraité veut se retenir et prolonger son bonheur, il ne peut s'empêcher de jouir. Laurence voit la bite devenir encore plus gonflée, et soudain, se mettre à gicler partout :

- C'est cela, Monsieur, venez pour moi! Vous aimez que je vous astique? Vous adorez que je mette mes doigts autour de votre grosse queue?

Elle ne termine que lorsque l'éjaculation est complètement terminée. Puis elle prend un kleenex et nettoie le foutre. Se souvenant des consignes de son patron, elle entreprend de redonner vie au sexe flasque, cette fois à l'aide de sa bouche. La secrétaire, pour éviter une nausée, bave sur la bite, telle une salope bon marché. Elle bouge la tête de haut en bas sur la hampe, saisissant fermement la base du membre tout en le pompant et massant les couilles. L'homme l'encourage :

- Je veux que tu me fasses jouir, suceuse de bites! Je veux éjaculer en me servant de ta bouche, de ta langue, de tes lèvres. Je veux que tu me caresses les testicules et le pénis avec tes mains si fines et si douces... Je veux que tu branles mon vieux chibre... Je veux que tu embrasses mes boules molles et poilues... Je veux que tu lèches ma pine couverte de veines saillantes et bleutées... Je veux que tu suces mon gland violacé. Et enfin, je veux que tu avales toute ma semence, petite salope!

Couverte de honte, la jeune femme sent le pommeau du sexe masculin se dilater dans sa gorge, et se met à bouger plus rapidement de haut en bas, pour l'amener à un orgasme satisfaisant. Elle est pressée d'en finir et est soulagée lorsque, quelques secondes plus tard, du sperme lui remplit la bouche. Elle suce et avale aussi vite qu'elle peut, mais le liquide épais et chaud déborde sur son menton. Satisfait, le vieillard s'endort.

Le lendemain matin, à l'aube, Laurence pénètre à nouveau dans la chambre.

Cette fois, la tête inclinée vers l'avant, complètement à la merci de l'infâme débauché, elle laisse l'invité se délecter, dans un premier temps, de sa poitrine ronde et ferme, désormais située juste devant son visage.

Déjà, les mains du vieillard courent sur la poitrine de la fille : soupesant, palpant et pressant les deux globes, pinçant délicatement au passage les petits mamelons rosés rigides. La bouche et la langue du septuagénaire explorent et lèchent avidement, à grands bruits de succion, cette peau douce et lisse, se refermant sur les pointes dressées des seins

Les tétons sont maintenant luisants de salive :

- Tu as de belles loches... Humm... Ils sont magnifiques! ajoute le vieux en les enveloppant à nouveau de ses doigts calleux et sentant pointer les bouts désormais durcis.

Centimètre par centimètre, ses mains descendent vers le mont de vénus de la jeune femme. Les pognes fripées du vieillard traînent maintenant le long de la taille et des hanches de Laurence, avant de basculer vers sa croupe tonique sur laquelle elles se referment. Malaxant, comprimant le postérieur de celle-ci, il peut déjà fantasmer en imaginant toute la joie qu'elle va lui offrir lorsqu'il va la pénétrer analement.

Continuant toujours à tâter le cul de sa main gauche, le vieux type fait doucement glisser sa dextre droite pour revenir flatter à nouveau le ventre plat de l'assistante administrative, avant d'apprécier la forme arrondie de son sexe glabre. Allongeant son index, l'ancêtre libidineux touche le renflement des lèvres de la vulve. Il sent sa bite se dresser encore davantage. Il s'apprête à explorer avec ses doigts l'endroit le plus secret et le plus intime de la fille. Enhardi par cette première découverte, il retourne ausculter la cramouille charnue et en trouve facilement l'entrée : le majeur du vieux vicelard s'introduit dans le canal vaginal de la subalterne, qui le sent rentrer en elle en écartant les parois lisses :

- Ecarte les cuisses, salope! croasse-t-il, tandis qu'elle exécute l'ordre qui lui est donné.

Cette fois, c'est avec 2 doigts qu'il s'engage très délicatement et très profondément dans la chatte, fouillant et explorant ce chaud et spongieux réceptacle. Il s'occupe maintenant du clitoris, fièrement dressé, gardant, telle une guérite, l'entrée de la vulve. Doucement, il fait remonter son index le long du con de la jeune femme pour aller à la rencontrer de ce pieu gorgé de sang. À sa grande surprise, celui-ci a déjà quitté son capuchon, étant en érection. Elle pousse un cri étouffé.

Un cri de surprise, de déshonneur... De plaisir? La bouche entrouverte, sa respiration s'accélère, entrecoupée de légères plaintes. Va-t-elle jouir sous les caresses du vieil homme? Ce dernier, croyant sentir l'arrivée d'un orgasme qui secouerait le corps de la soignante, arrête subitement ses attouchements et lui ordonne d'une voix étranglée :

- Il est temps de venir sur moi!

Tandis qu'elle s'empale sur le membre turgescent, la main du vieillard, pelotant toujours une fesse, trouve l'entrée de son anus et y insère son pouce, Mortifiée, ondulant désormais des hanches sur le sexe de l'homme, elle s'active sur celui-ci. La tête basculant vers l'arrière, son visage se crispe sous le dégoût ressenti, tandis que perlent des gouttes de transpiration entre ses seins et au creux de ses reins. Soucieuse de mettre un terme à cette torture, la fille serre sa cavité vaginale, emprisonnant au fond de son ventre la bite du pensionné.

Elle doit s'appuyer sur les épaules du vieil homme pour ne pas perdre l'équilibre.

Elle pousse une série de gémissements, pour faire croire qu'elle vient d'atteindre l'apogée du plaisir. La voix du septuagénaire la ramène à cette réalité qu'elle veut tellement fuir :

- Tu as jouis, salope! Je t'ai amenée à l'orgasme. Tu as visiblement aimé ma queue... Maintenant, c'est à toi de me donner du bonheur! J'ai envie de te connaître de partout. Je vais donc découvrir ta petite porte du paradis! Il est en temps pour toi de guider mon sexe dans ton trou du cul. Ensuite, tu t'enculeras toi-même, en montant et en descendant sur ma bite, comme tu viens de le faire avec ta chatte... Compris, espèce de petite salope?

Opinant faiblement de la tête, la donzelle s'exécute, la mort dans l'âme. Après avoir sorti doucement de son vagin le membre du vieillard et mouiller son anus avec ses propres sucs, elle essaie de se détendre au maximum afin de faciliter l'intromission dans son rectum.

Aussi l'introduit-elle avec une grande délicatesse afin de s'éviter toute souffrance inutile. Inexorablement, elle le fait s'enfoncer dans son cul. Une fois l'admission de la pine complètement terminée, elle entame son mouvement de va-et-vient. Plus je serai sensuelle, pense-t-elle, plus vite ce sera fini. Après quelques minutes d'un pareil traitement, le vieil homme libère une éjaculation puissante et massive. Un flot de sperme se répand dans les entrailles de l'aide-soignante.

Elle se sent comme une prostituée forcée de satisfaire un « client » afin d'éviter qu'éclate un scandale qui détruirait sa famille et sa réputation. Comme les professionnelles, médite-t-elle, je me refuse à prendre le moindre plaisir. Elle a définitivement perdu toute estime d'elle-même, n'étant plus qu'une poupée gonflable aux mains de jeunes ou de vieux dégueulasses. Quand cet enfer finira-t-il? Si tenté qu'il se termine un jour...

Les jours passent, encore et encore.

Un jour, M. Henricot rentre avec un magnifique berger allemand, prénommé Zeus. Il vient de l'adopter dans un chenil pour animaux abandonnés. S'adressant à la jeune femme, il prononce des propos inquiétants :

- Désormais, j'ai un beau chien qui va tenir compagnie à ma petite chienne...

Et les soirs suivants, le patron s'amuse à promener Zeus et Laurence, nue, dans son jardin. La dernière soirée, sans doute excité par la présence d'une femelle à ses côtés, le chien saute de joie et devient de plus en plus excité, son maitre le retenant à grand peine. Le dard rouge et pointu du chien est clairement visible. M. Henricot s'adresse alors à sa secrétaire :

- Il faut le calmer! Prends sa bite très doucement dans ta main et caresse-le!

La jeune femme reste interdite un instant. Implorant des yeux son maître, elle comprend, à travers le regard inflexible de celui-ci que si elle n'obéit pas à cette demande, la punition encourue sera terrible. Alors elle s'exécute, même si le contact qui lui est imposé la dégoute profondément. Le chien finit par éjaculer dans la main de la fille. Son patron reprend la parole, ayant bien du mal à masquer son excitation malsaine :

- Eh bien, ma petite chienne! Il te reste à avaler tout le sperme que tu gardes dans la main. Je veux que tous tes doigts soient bien propres!

Elle reste agenouillée par terre et contemple quelques instants sa main souillée avant, désespérée et contenant à grand peine de violentes nausées, de porte ses doigts à sa bouche et de commencer à lécher le fluide visqueux :

- C'est bien, Laurence! Tu es une bonne petite chienne. La prochaine fois, je pense que nous pourrons aller beaucoup plus loin avec Zeus, tu ne crois pas?

La secrétaire n'a pas besoin d'autres explications pour savoir quel avenir lui sera réservé sous peu. Elle en est désormais certaine : la prochaine fois, le chien sera autorisé à s'enfoncer dans sa chatte. Dès lendemain soir, M. Henricot l'informe de ce qui l'attend. Elle entend avec horreur :

- Je t'ai mis en congé 1 semaine, mais il est hors de question qu'un animal dorme dans ma maison. Tu vas aller dans la niche que je viens d'installer, dehors. Tu y dormiras nue. Ah! J'oubliais, je t'ai amené un petit cadeau!

L'homme va chercher un paquet dans l'entrée, l'ouvre et en sort une masse de poils attachée à un cylindre creux de plastique. Elle comprend vite de quoi il s'agit lorsque son boss enduit rapidement le cylindre de lubrifiant, lui en mit une noisette sur l'anus et commence à l'enfoncer : c'est un gros gode avec une extrémité recourbée sur laquelle étaient fixés des poils synthétiques ayant l'allure d'une queue de chien de traîneau.

- Il est temps d'aller à la niche, poursuit son patron, l'emmenant par la laisse en compagnie de Zeus. Tu seras à la chaîne pour t'empêcher de filer. Je vous ai amené 2 boites de pâté et des croquettes pour chien, vous allez vous régaler tous les 2. Je vais aussi te mettre un collier antipuce puisque tu partageras évidemment la niche avec Zeus.

Aussitôt dit, aussitôt fait, et alors qu'elle arrive à 4 pattes près de son nouveau « logement » le chien commence à lui tourner autour. Son boss s'esclaffe :

- Ton mâle semble s'intéresser à toi! Ce sera d'ailleurs le seul mâle auquel tu auras droit pendant cette semaine. Profites-en!

Le berger met ses pattes sur le dos de la secrétaire. Affolée, elle veut se relever mais son patron l'attrape par son collier et la force à rester à 4 pattes. Elle perçoit un instant plus tard la bite de l'animal buter contre son sexe.

M. Henricot l'empêche totalement de bouger, l'étranglant à moitié. Brusquement, elle devine la pointe du gland du chien trouver l'entrée de son vagin et glisser dans son fourreau. Au bout d'un moment, elle sent avec horreur et dégoût la semence du chien se répandre dans son vagin. Zeus s'agite toujours en elle. Elle devine le nœud de l'animal la pénétrer et gonfler en elle, empêchant l'animal de se libérer. Le gland du chien mit près de vingt minutes à se dégonfler suffisamment pour qu'ils puissent se désunir. A ce moment, le sperme de l'animal s'est solidifié en une masse glaireuse qui adhère aux parois de son vagin. La dégradation de Laurence est maintenant complète. Elle n'est rien de plus qu'un animal soumis au bon plaisir de son Maitre, et de tous les mâles qu'il choisit pour elle, qu'ils soient humains ou animaux.

Son boss la complimente :

- Bravo, petite chienne. Tu as un nouvel amant bien vigoureux. Dès demain matin, tu le caresseras et le suceras pendant mon petit déjeuner pour me distraire. Lorsqu'il sera bien excité, il pourra t'enfiler par devant ou par derrière comme il voudra. Tu te débrouilleras pour l'aider. Pendant toute cette semaine, je veux que tu lui serves de femelle aussi souvent que possible. C'est bien compris?

Laurence a quelques difficultés à partager l'écuelle du chien et à manger les croquettes et les boîtes pour chien avec lui. Mais quelques coups de cravache particulièrement appuyés finissent par la convaincre du caractère gastronomique de cette nourriture.

Le lendemain matin, elle doit masturber Zeus devant M. Henricot, qui filme la scène. Dès que la bite sort de son fourreau, rose et pointue, elle reçoit l'ordre de la prendre en bouche et de la sucer. Ses protestations ne lui valent qu'une grêle de coups qui réduisent à néant sa résistance en un instant. Curieusement, l'animal se laisse faire sans difficulté. Sa bite grossit encore. Sur l'ordre de son chef, elle doit ensuite enlever le gode anal à la queue de chien qui encombre son fondement, se graisser l'anus avec de l'huile de table, se remettre à 4 pattes et tourner ses fesses vers le chien. Zeus prend appui sur son dos et présente son sexe. Elle tend l'une de ses mains entre ses jambes et attrape le membre de l'animal. Son patron pervers intervient :

- Tu l'as déjà pris dans ta chatte de salope! Alors qu'il t'enfile par le cul cette fois!

Docilement, la jeune femme dirige le sexe de l'animal vers son anus bien lubrifié. Elle pousse, comme pour faire ses besoins, pour s'ouvrir et faciliter la pénétration. Celle-ci est un peu difficile car le chien est déjà très excité.

Néanmoins, en quelques ruades brutales, il parvient à ses fins sous l'œil de la caméra, qui filme en gros plan la bite du chien entrant et sortant du cul de Laurence, le berger finissant par projeter son sperme dans ses intestins. Elle doit attendre quelques minutes encore pour que le gland dégonflé glisse enfin de son anneau avec un bruit visqueux.

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