Les malheurs de Clotilde Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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- Mercredi, je te jure, c'est horrible, c'est le trou noir.

Mercredi, je ne dis jamais de gros mots, pour moi cela équivaut à dire merde. Tout les parents comprendront.

- Tu n'as pas trompée ton mari au moins?

- Non, j'ai mon hymen. Enfin le faux.

- D'accord, c'est déjà ça. Et par derrière.

- Quoi? Tu veux dire...

- Je ne sais pas. Tu as mal à l'anus?

- Non.

- OK, touche, c'est comment?

Je me touche l'anus. Aucune douleur. C'est bien fermé. Je le dis à Greg.

- Bon, au moins tu n'as pas déconné de ce côté là.

J'ai du mal à continuée de parler. Tout tourne autour de moi.

- Je vais prendre une douche. Je suis crever, après je vais me recoucher. Je te rappelle demain.

- D'accord, repose-toi. A demain.

Je raccroche le téléphone. Mercredi, j'ai mal à la mâchoire, au commissures des lèvres. Et puis ce goût horrible, il faut qu'il parte, sinon je vais vomir. Je me motive, je me lève. Ma tête tourne, je marche en titubant un peu. Mais j'atteins la salle de bain. Je me regarde dans la glace, je suis couverte d'une pellicule blanche. Quelle idiote je suis, on ne joue pas avec un masque de nuit, même bourrée. Je prends ma brosse à dents, je mets le dentifrice, je me lave les dents. Mais même une fois fini, le goût est encore là, moins fort, supportable. Puis j'entre dans la baignoire. Je prend le pommeau de douche, je règle l'eau sur tiède. C'est incroyable comme l'eau chaude fais du bien. Si ça pouvait me redonner la mémoire, ce serait top.

Je me sens mieux une fois propre. Je retourne dans ma chambre, je suis en peignoir. Mon téléphone clignote. Un appel ou un SMS. Je le prends, je l'ouvre avec mon empreinte. Bizarre, le numéro m'est inconnu. Je lis. Je manque lâcher mon téléphone.

« Si tu veux savoir ce que tu as fais ce week-end, va dans ton sac, il y a une clé USB. Regarde la vidéo et appelle-moi. ».

C'est quoi ce délire. Je regarde dans ma chambre. Mon sac est au pied du lit. Je l'ouvre, il y a bien une clé USB dedans. Une 256 gigabit. Je la prends, je descend au rez-de-chaussée, dans la pièce qui me sert de bureau quand je travaille à la maison. J'ai la clé USB et mon téléphone avec moi. J'allume l'ordinateur, je m'assois. Une fois allumé, je met la clé dans le port USB. Il n'y a qu'un seul fichier. Un fichier vidéo. Il fait la totalité de la clé. Je le lance. Une vidéo apparaît. On est dans un WC fermé. Une voix robotique, sûrement trafiqué résonne.

- Caméra de lunette enclenchée. En route pour baiser ce putain de canon. Enfin si elle a dit vrai.

Je regarde l'heure et la date. On est dans la nuit de vendredi à samedi, il est cinq heures du matin, une heure après que je sois partie de chez Greg. La personne sort des toilettes. On est dans un bar que je ne connais pas. Il y a du monde, la personne s'approche du comptoir. C'est un homme, aucun doute, cela se voit à ses mains. Il demande deux coupes de champagnes au serveur. Ce dernier les lui donnent. Il attends quelques secondes, comme pour prendre son courage à deux mains, puis il avance entre les personnes le long du comptoir. J'apparais alors à l'image. Assise sur un tabouret, seule, un tabouret vide à côté de moi. L'homme s'assoit dessus. Il me tend une coupe. Je lui souris. Il me parle tandis que je prends la coupe qu'il me tend.

- Troisième coupe de champagne, j'ai tenu parole. A ton tour.

- Je n'ai qu'une parole, je la bois et je fais ce que je t'ai promis!

Je parle avec la voix pâteuse des personnes hautement alcoolisée. Je manque m'évanouir quand j'avale cul-sec, la coupe remplis de champagne. Je me lève, mon visage s'approche de la caméra. C'est horrible, je lui roule une pelle.

Il interrompt le baiser, je me lève, il me prend par la main. Il s'approche du barman, lui glisse un papier. Ce dernier le lit, puis lui fait un clin d'œil en souriant.

- Pas de soucis monsieur.

On s'approche des toilettes hommes. Heureusement c'est vide. On est au milieu de la pièce. Il parle.

- Vas-y.

- Chose promise, chose dû. Puis ça vaut moins que trois coupes de champagnes.

Avec horreur je me déshabille. Je me mets nue. Complètement.

J'ai la tête qui tourne, je continue quand même à regarder. A l'écran je me mets à genoux. L'homme s'approche de moi. Je tends les mains vers lui, je défais sa braguette et baisse son pantalon. Un sexe mou apparaît. Quand je le prends en bouche, j'ai juste le temps de mettre la vidéo en pause, avant de m'évanouir.

Je ne sais pas combien de temps je suis resté dans les vapes. Je me relève, heureusement le sol est en moquette épaisse, je n'ai aucune blessure. Je regarde l'heure sur l'ordinateur. Il est seize heures quinze. J'ai dut rester inconsciente un quart d'heure maxi. Je me rassois, je relance la vidéo. Je suce l'homme. Jusque au bout. Je l'entends grogner. Je sors la bite de ma bouche. Je l'ouvre, elle est pleine de sperme. Je lui montre sa semence, je referme ma bouche, et avec une grimace de plaisir, j'avale le tout. Je regarde la vidéo, je suis choquée, sidérée, hypnotisée par elle. J'ai le sentiment de me faire violer, alors que je vois bien que je suis consentante. Pour tout dire, c'est même moi qui est tout fait...

Je manque vomir. Surtout que la porte s'ouvre. Plusieurs hommes entrent. Je les sucent tous. Je les fais jouir dans ma bouche, sur mon visage, mon corps, mes cheveux. Je comprends enfin. C'est horrible, ce n'était pas du masque de nuit, c'était du sperme. Je comprends aussi d'où vient le goût horrible que j'ai dans la bouche. Je remets la vidéo en pause. Je me précipite aux WC et je vomis tout.

La vidéo continue, divers endroits, moi, suçant encore et toujours. Nouvelle pause de la vidéo, une nouvelle fois pour aller vomir. J'ai sucer six chiens à la suite, les faisant jouir dans ma bouche ou sur mon corps. Je fais tout moi-même, on ne peux pas dire que l'on m'est forcée. Je paraît totalement consentante. C'est quoi ce truc de dingue, je n'ai pas assez but pour être comme ça!

On sort du bar, il est six heures, heureusement il fait nuit, je suis nue et couverte de sperme. L'homme n'a pris que mon sac, mes vêtements sont resté là-bas. Après le bar, on va dans un truc bizarre. Une petite pièce, avec plusieurs trou dans le mur. Des bites apparaissent, je les sucent une par une. La vidéo dure tout le week-end, je n'ai fais que ça, sucer des centaines de bites. Dans des dizaines d'endroits. C'est lui qui m'a ramené et couchée dans le lit. Ce matin à six heures.

Je me rends compte que je suis en pleure. J'hésite, mais finalement je me décide, je compose le numéro du SMS. Une voix d'homme me répond.

- Allô?

- Bonjour, c'est Clotilde, j'ai vue la vidéo...

- Et?

- C'est... c'est l'originale?

- Non, c'est une copie. Moi, je ne suis pas stupide.

- Combien?

- Combien pourquoi?

- Pour l'originale?

- Je ne veux pas d'argent. Enfin si, mais pas que de la thune. Vingt mille euros.

- D'accord.

- Je veux aussi autre chose de toi.

Mon sang se glace dans mes veines, je ne sais quoi dire. J'attends sa proposition. Je reste silencieuse. Il brise le silence, énervé.

- Tu voudrais que ton mari et tout tes amis la reçoivent? J'ai cloné tout les numéros de ton portable.

Je le sais, je l'ai vu sur la vidéo, il a filmé en le faisant.

- Non, je ferais tout ce que vous voulez!

- Même me sucer?

J'hésite, c'est horrible, mais je n'ai pas le choix. Puis après toutes les fellations que j'ai faites ce n'est pas une de plus... Quoique celle-là sera la seule où je ne suis pas alcoolisée et dont je me rappellerais...

- Oui.

- Bien. Tu va te mettre nue, tu va ouvrir la porte de chez toi, en grand. Tu te mettra de dos, dans l'entrée et tu nous attendra.

- Nous?

- Oui, moi et un ami.

- D'accord. Je ne devrais bien ne vous faire qu'une pipe? Seulement à vous?

- Non, à nous deux, et on te fera ce que l'on veux. Même te baiser.

- Jamais, vous m'entendez, jamais. Vous n'oserez jamais diffuser la vidéo. Si vous le faîtes, j'irais porter plainte pour viol!

Je raccroche brusquement. Je pense qu'il va rappeler. Mais au bout de quinze minutes, rien.

Finalement mon téléphone sonne au bout d'une demi-heure. La demi-heure la plus longue de ma vie. J'en étais certaine, il va céder. Il n'aura que mon fric. Je prend mon téléphone. Je reste surprise. C'est Greg. Je décroche.

- Allô?

- Allô, Clo, je viens de recevoir une vidéo de toi, je sais ce que tu as fais ce week-end.

Je suis horrifiée, ce connard à tenu parole. Je fonds en larmes, enfin, je me mets à pleurer plus fort.

- Mon dieu, il l'a diffusée?

- Non, il ne l'a envoyé que à moi. Il n'y a pas d'autre destinataire dans le mail.

Je suis soulagée. Greg est une tombe, il ne dira rien. Greg reprend.

- Clo, c'est quoi ce bordel?

J'hésite, je lui raconte tout. Comment mon maître-chanteur m'a contactée, ce qu'il m'a dit, ce qu'il me demande. Greg reste silencieux. J'ai besoin de lui, ses conseils seront précieux. Cette fois c'est moi qui brise le silence.

- Greg, j'ai besoin de toi. Je dois faire quoi?

- Tu n'as pas beaucoup de choix. Soit tu ne cèdes pas et tu vas porter plainte. Là, le temps que les flics le trouve, si il le trouve, il aura le temps d'envoyer la vidéo à tout le monde. Y compris la mettre en ligne avec ton prénom et ton nom. Et ce que ce soit sur les réseaux sociaux et n'importe que autre site de vidéo amateur ou même porno... Enfin si la police bouge, parce que dessus la vidéo, tu es consentante, tu fais tout toute seule. Tu peux tenter le coup du chantage, mais ce sera ta parole contre la sienne. Il n'aura que à dire que c'est toi qui a demandée à être filmée et que c'est ta copie...

- Mon dieu...

Mon téléphone bip. C'est un message.

- Greg, j'ai un message, je regarde et je te reprends.

- D'accord.

Je regarde donc mon message. C'est le maître-chanteur. « Un destinataire à reçu votre vidéo. Si vous ne rappelez pas d'ici quinze minutes, je l'envoi à un autre contact. Et ainsi de suite toute les quinze minutes. Si les flics sont là, ou si des amis à vous sont là, sachez que la vidéo sera envoyée par un ami à moi ». Je le lis à Greg.

- Il le fera, ça on le sait maintenant. Ton autre choix c'est d'accepter. De payer et coucher avec lui et son ami. Tu n'as pas le choix si tu ne veux pas qu'elle soit diffusée.

- C'est horrible...

- Je sais, mais tu n'as que ces deux solutions. Moi, j'appellerais les flics. La vidéo, les autres l'oublieront. Même si certains te tourneront le dos.

- Jeff ma quittera...

- Oui, ça c'est certain.

- Et Rudolf?

- Rudolf te renverra sûrement, pas par ce qu'il verra. Ça il peut le comprendre, non, à cause de nos clients. Tu as les numéros de tous dans ton téléphone, eux, le prendront mal, ils exigeront ton renvois.

Mon dieu, j'avais oubliée ça. Les clients. Je n'ai pas le choix. Il va falloir que je cède à ce salaud.

- Greg, je n'ai pas le choix. Il va falloir que j'accepte...

- Si tu veux conserver ta vie, oui. Mais dis-toi que tu va le vivre comme un viol. Ce que ce sera de toutes façons.

- Je sais... Mais je ne veux pas tout perdre. Je vais le rappeler.

- D'accord. Rappelle-moi quand tu veux, je viendrais te soutenir quand ce sera fini.

On raccroche. Je regarde l'heure, il me reste cinq minutes. J'attends le maximum, puis j'appelle mon maître-chanteur.

Sa voix robotique résonne de nouveau dans l'écouteur.

- Allô?

- C'est Clotilde, j'accepte votre offre. Je coucherais avec vous et votre ami...

- Trop tard.

- Quoi? Vous m'avez dit...

- Je sais ce que j'ai dis. C'est l'offre que je t'ai faîtes qui est caduc.

- Ah?

Je me demande ce qu'il veut dire par là.

- Je veux cinquante mille euros maintenant. Je veux ta chatte, ta bouche et ton cul.

- Non, pitié, pas ça...

- Si ça. Puisque tu discutes mon offre, je veux que tu deviennes mon esclave sexuelle, chez toi, pendant un mois. Jusque au retour de ta fille. A moi et à mes deux amis.

- Vous m'aviez dit un seul...

- Les choses évoluent, je te l'ai dis.

Je reste sans voix. Il ne peut pas me demander cela. Le silence règne de longues minutes sur la ligne. Le temps que les mots de mon tourmenteur imprègne-bien mon cerveau. J'essaie de gagner du temps.

- J'ai... j'ai combien de temps pour réfléchir?

- Rien. Je te laisses encore deux minutes. Si tu ne m'as pas répondus d'ici là, je raccroche et j'envoie ton petit film à tout ton répertoire.

Une envie de vomir m'étreint de nouveau quand je lui répond.

- Oui...

- Oui, quoi?

- Oui, j'accepte.

J'entends un petit ricanement au bout du fil.

- Sage décision. Donc tu entrouvres la porte de chez toi, tu te mets à genoux dans l'entrée dos à la porte. Nue, les yeux fermés, les bras le long du corps et tu nous attends. On ne va pas tarder. Un seul manquement et on repart, diffuser ta vidéo.

- D'accord. Combien de temps?

- Je ne sais pas, entre dix minutes et une heure.

- D'acc... d'accord.

- A de suite ma belle.

Je raccroche et je me mets à pleurer, ma belle vie que j'aime tant, vient de plonger dans l'enfer le plus sordide.

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4 Commentaires
trouchardtrouchardil y a plus de 5 ans
très bien

Bon scénario, de bonnes descriptions et un récit dont on réclame la suite.

BrehatBrehatil y a plus de 5 ans
Que de fautes, mais que de fautes...

Ce serait pas mal mieux si vous vous relisiez avant de publier.

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
C'est mieux

Je trouve ce récit mieux que les autres qui listent des viols sans arrêt. Celui-ci commence avec une histoire, une situation... Pourvu que ça dure...

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans

Excellent scénario original bravo j'espère que la suite sera à la hauteur de ce début

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