Les malheurs de Clotilde Ch. 02

Informations sur Récit
Clotilde rencontre son maître-chanteur.
6.2k mots
4.34
39.7k
4

Partie 2 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes d'orthographe, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes de grammaire. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, éviter de le lire, si pour vous l'orthographe est plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Si une âme charitable, veut corriger mes textes avant parution, ou me donner des trucs pour m'améliorer, je suis preneur. Excusez-moi encore pour ce souci, et bonne lecture.

Je suis totalement amorphe, complètement sidérée. J'enlève mon peignoir, je descend nue, ayant l'impression d'être dans un film. Le brouillard m'entoure, tout tourne autour de moi. J'entrouvre la porte de chez moi. Je me mets de dos et je m'agenouille. Comme il m'a ordonné, je ferme les yeux et j'attends. Mon attente n'est pas longue, j'entends ma porte d'entrée grincer. Je ne sais pas pourquoi je me dis qu'il va falloir l'huiler rapidement. J'entends des pas sur le tapis de l'entrée. Ils sont bien trois. La porte se ferme. D'autre pas. Ceux d'un seul homme cette fois. Il me contourne, je le sens face à moi. J'ai du mal à ne pas ouvrir les yeux.

On me met un truc sur le visage, sur les yeux. Un élastique se colle à mes cheveux, à l'arrière de mon crâne.

- C'est un masque de nuit, tu peux ouvrir les yeux.

Je ne vois rien. C'est la même voix robotique qui a parlé. Elle me terrifie. J'ai du mal à ne pas me faire pipi dessus tellement j'ai peur. Une envie de vomir furieuse m'envahit, là encore, j'ai du mal à me retenir. Je dois être morte, je dois être en enfer. Peut-être un AVC? Je sursaute et lâche un petit cri aigu. Une main vient de se poser sur mon énorme poitrine. Une autre me touche les fesses. Deux voix, robotique là-aussi résonnent.

- Merde, ses seins sont naturel. Une poitrine aussi grosse, c'est dément!

- Et son cul, je te parle même pas de lui! Ferme à la peau si douce! On va s'éclater!

Oui, eux vont s'éclater, moi beaucoup moins. J'ai envie de leur hurler que c'est un viol qui va se passer. Que je ne suis pas consentante. Je vais seulement me laisser faire... Ils me battrait que cela serais la même chose au final. Ils vont me violer, point. En attendant je garde la position, je me laisse attoucher.

- Ouvre la bouche!

C'est celui devant qui a parlé. J'obéis, j'ouvre la bouche en grand. Je sursaute quand j'entends le bruit du zip d'une braguette qui descend. Il n'a pas perdu de temps, ça va déjà commencer.

- Au début, tu n'étais pas douée pour les pipes, mais à la fin, tu étais la reine des suceuses. J'espère pour toi que tu n'as pas perdu la main. Enfin, plutôt que tu n'as pas perdu la langue.

Le monstre, il rigole de sa propre blague. Derrière, les deux autres s'esclaffe aussi. Si je sais que j'ai déjà sucé mon tourmenteur, je me demande si j'ai sucée aussi les deux autres.

- Les bras dans le dos. Un de mes amis va te menotter, je préfère les pipes sans les mains.

J'obéis, le métal froid des menottes se pose sur mes poignets. Je lâche encore un petit cri aigu. De douleur cette fois. Le salaud qui m'a menottée à fermée les bracelets, sur mes poignets, au maximum.

Une main se pose alors derrière mon crâne, tandis qu'un truc mou se pose contre mes lèvres. Immédiatement je comprends que c'est le gland d'un pénis. Sans que la main ne force, j'avance ma tête. Faisant rentrer le membre ennemi dans ma bouche. J'ai un haut-le-cœur quand le gland touche ma langue. Je pleure, en silence, me retenant de faire du bruit pour ne pas leur donner ce plaisirs.

- Si tu vomis sale pute, on se barre et je diffuse!

- J'ai compris, je ne vomirais pas.

- Enfin, tu as le droit de vomir si rien ne sort, et si quand on se retire, notre bite est propre!

Mon dieu, jamais je ne pourrais faire cela. Mais je suis si terrifiée, que je ne peux désobéir, même si j'avais eus le choix.

Le pieu pénètre ma cavité buccale, jusque au milieu de ma langue. Il est énorme, très long, très large. Me faisant m'ouvrir au maximum de mes possibilités. Cela est très douloureux. La voix à qui le zizi appartient parle de nouveau.

- Allez, maintenant suce! Comme je t'ai appris samedi tôt le matin.

Je sens mes larmes couler de nouveau. Dire que j'ai eut tout le mal du monde à stopper mes pleures, pour ne pas qu'ils voient mes larmes en arrivant. Il va falloir que je suce cette saucisse molle dans ma bouche. Sans vomir...

Puis ma voix se met à parler dans ma tête. Elle me dit quoi faire. Il a dut me le faire apprendre par cœur pour que cela revienne. Alors que je n'ai toujours aucun souvenir des trois dernières nuits. Même la vidéo n'a pas fait remonter les souvenirs. Je l'apprendrais plus tard, mais j'ai été droguée, la mémoire me reviendra d'ici un ou deux mois. Si elle reviens...

- Alors tu suces oui ou merde?

La voix de mon bourreau me tire de mes pensées. J'écoute celle dans ma tête. « Fermer doucement les lèvres autour du sexe masculin. »

Je le fais. Je me doute qu'il a dut employer des mots plus grossiers, comme « bite ou braquemart », mais mon cerveau les traduits dans mon langage châtié. « Caresser le membre de la langue », « enrouler et dérouler la langue autour du membre. ».

J'ai du mal à le faire, mais j'y arrive. Et cette nausée qui monte sans cesse et que je repousse. « Tout en jouant de la langue, faire doucement aller-et-venir la tête le long du zizi. ». Voilà, j'y suis, je suce la bite du mâle. Il gémit, il doit aimer. C'est officiel, je suis une pute, sa pute. Quoique putain, je le suis depuis vendredi soir. Enfin je dis putain, mais ce serais plutôt salope, aucun homme n'a payé. Si cela avait été le cas, je pense qu'il aurait filmé, pour m'humilier et me détruire encore plus!

Ce monstre appuie un peu sur ma tête, s'enfonçant à chaque fois un peu plus loin dans ma bouche. Quand son gland cogne contre ma luette, je manque gerber, je ne sais pas par quel miracle je me retiens. Il la cogne de plus en plus souvent. Je finis par m'habituer. Il doit s'en rendre compte, je ne fais plus ces horribles bruits de gorges, comme si j'allais vomir.

Tandis que je suce mon maître-chanteur les deux autres continuent de me torturer les seins. D'un coup, je hurle à travers la bite. Il vient de violer ma gorge, me faisant lui faire une gorge profonde. C'est douloureux, je n'arrive pas à respirer. J'étouffe, c'est horrible. Puis ça revient, je respire de nouveau avec sa bite dans ma gorge, même si j'ai beaucoup de mal. Mes yeux pleurent, je ne le vois pas mais mon visage deviens rouge. J'ai la gorge ultra-sensible, les mâchoires douloureuses, je sens que mes lèvres gonflent à force d'être frappées par son ventre. Heureusement, sa bite est propre, c'est déjà ça.

Il baise maintenant ma bouche comme si c'était un sexe. A chaque fois son ventre heurte violemment mon visage, ses couilles tapent contre mon menton. J'ai mal, c'est horrible. Puis il se met à gémir, allant de plus en plus vite. Jusque à ce qu'il se fiche complètement en moi. Jouissant dans ma gorge, mon œsophage. Je n'avale pas vraiment, sa semence ce déverse directement dans mon estomac. C'est monstrueux, ça brûle. Un peu de sperme coule sur ma langue quand il se retire. C'est pâteux, visqueux, d'un goût dégueulasse.

Je n'ai pas le temps de reprendre mes esprits. A peine Mon maître-chanteur se retire de ma bouche, que déjà un de ses acolyte s'enfonce dedans. Il est plus court et un peu moins épais, mais cela ne change pas grand chose à mon enfer. Lui ne fait pas de chichis, il me viole directement la gorge, avant que j'ai put refermer mes lèvres sur son pénis. Comme pour mon premier violeur buccal, je décide de faire de mon mieux. Plus vite ils se videront dans ma bouche, plus vite ils partiront. Bien entendu, ma naïveté parle à ce moment, me faisant croire à leurs probable départs...

Mes lèvres de velours se referment sur son pénis. Ma langue bouge toutes seule dans ma bouche, comme si elle est pourvu d'une conscience propre. Lui me fait mal, il y va fort. Je hurle de douleur. Mais mes hurlements son absorbé par le bâillon de chair. Lui c'est un vicieux, il ne se retire pas de ma gorge. Quand il remonte sa hampe, le gland reste plongé. Je n'arrive plus à respirer, je panique. Mes yeux s'agrandissent, je vois des éclairs. J'ai l'impression que je vais m'évanouir.

D'un coup sa bite sort de ma gorge, de ma bouche. Aussitôt je me mets à aspirer l'air, dans un bruit ressemblant à la respiration de Dark-Vador. Ma bouche s'ouvre et se referme comme celle d'un poisson que l'on sort de l'eau. Son sperme frappe mon visage, une grosse quantité part dans ma bouche. Je la recrache aussitôt. Je la sens couler sur mes seins, mes cuisses. Cette texture tiède sur ma peau me fait pleurer encore plus fort.

Le troisième montre un peu de pitié. Il attend que j'ai repris ma respiration pour me donner son sexe à téter. Je m'exécute. Il ne me viole pas la gorge. Je reste immobile, mes lèvres refermé sur son pénis, ma langue le caressant.

- Fais- moi jouir seule. Tu garderas ton sperme dans ta bouche de pute quand j'aurais fini.

J'obéis en pleurant toujours. Au moins, il me fera moins mal. Mais j'ai l'impression d'être une putain à le sucer de moi-même. Comme si ce n'était plus un viol buccal, mais une fellation entre amants consentant.

Des trois, il a le sexe le plus petit et le moins épais. Même si il reste de belle taille. Je m'applique, je le caresse de ma langue. Je me dégoûte, je suis horrible, je suis une vulgaire traînée à le pomper comme cela. Mes larmes redoublent. Je me rends compte que je préfère les fellations que j'ai faîtes au deux autres. Au moins c'était des viols, par de la collaboration.

Le spectacle que j'ai donnée avec mes deux premiers violeurs à dut l'exciter. Il jouit en cinq minutes, dans ma bouche. Abondamment, mes joues se gonflent en gardant son sperme. Il se retire, je garde le sperme en moi.

- Ouvre-la bouche, et n'en fais pas tomber une goutte!

J'obéis, je penche ma tête un peu en arrière, pour que rien de son liquide séminale ne s'échappe. J'ouvre ma bouche, elle est pleine de sperme.

- Gargarise-toi et avale!

Je suis outrée, écœurée par son ordre. Mais je n'ai pas le choix, je m'exécute. Je me gargarise donc avant de tout avaler, sous le rire de mes trois tourmenteurs.

- Montre!

Je redresse ma tête, j'ouvre la bouche, tire la langue.

- Brave chienne, il n'y a plus rien.

Je suis humiliée, honteuse, détruite. Je n'arrive plus à penser correctement. En outre, j'ai la bouche en feu. Mais je me jure que plus jamais je ne collaborerais avec eux. Ils devront se montrer violent pour avoir ce qu'ils veulent de moi. Tant pis si j'ai mal, mais je ne serais pas leur putain. Je serais leur victime. Point.

- On la baise maintenant?

C'est mon dernier violeur buccal qui a parlé. « Non, pitié, pas maintenant, pas ça ». Je le pense dans ma tête, n'osant le dire à voix haute. Je tremble de peur qu'ils me frappent, même si aucune menace n'allant dans ce sens n'a été faite.

- Non, on va chez nous. On la garde nue, ses fringues et ses dessous sont trop pourries. Chez moi, il y a ce qu'il faut.

- OK chef.

Le maître-chanteur et chef du trio reprend.

- Mais on va lui enlever son bandeau. J'ai envie maintenant qu'elle nous voient!

Je sens que l'on détache le masque de nuit, qu'on l'enlève. La lumière m'aveugle, puis je m'y habitue. Je regarde les trois hommes, puis je m'évanouis.

C'est une bouteille d'eau que l'on vide sur moi qui me réveille. J'ai le visage et les cheveux trempés. Je ne connais pas l'homme qui fais ça. Il est gros, environs cinquante ans, un visage de tueur. Pas laid, non, presque joli même, mais il fait peur par la violence latente que l'on peut y lire. Par contre je reconnais immédiatement les deux autres. Je me mets à pleurer comme une folle. C'est Greg et Meyer. Ils ont participé à ça. Greg enlève l'appareil qu'il a autour du cou, et que les deux autres ont également.

- Greg, pourquoi?

Je hurle, un coup de pieds dans les côtes vient de m'atteindre, c'est Greg qui me l'a donné.

- Ta gueule, tu ne parles que quand je t'y autorise. Sinon la prochaine fois, c'est deux coups, trois la fois d'après et ainsi de suite. Compris?

- Oui...

- Je t'expliquerais tout le moment voulut. Maintenant debout, on va à ma voiture, elle est garée devant. Une demande particulière autre que des explications?

- Je peux... m'habiller?

J'ai entendu leurs conversations, mais je tente quand même le coup, il m'y a autorisé. Je panique à cette pensée, un seul coup de pied à suffit à me faire rentrer le fait de ne parler que sur son ordre.

- Non.

- Mais on va me voir nue...

- Oui, sûrement. En plus tu devrad être gentille avec Meyer et Jérôme. Ils pourront te peloter et toi, tu ne bougeras pas.

Je connais enfin le nom du troisième hommes. Je ne sais pas pourquoi je suis contente de pouvoir mettre un prénom sur mon troisième violeur buccal. Après tout on est intime maintenant... Et sûrement, bientôt ce sera mon violeur tout court...

Je suis toujours à genoux, les mains menottées dans le dos, pleurant silencieusement. Greg me fait ouvrir la bouche. Il y enfonce un bâillon boule. Je ne peux plus parler. Rapidement je me mets à baver, ça coule aux commissures douloureuses de mes lèvres. Je gémis de douleur quand ce monstre que je croyais mon ami me saisis par les cheveux, et me fait me relever. Il me passe un collier de chien, avec sa laisse, autour du cou. Mon dieu que c'est humiliant, heureusement je ne dois pas marcher à quatre pattes!

Je suis soulagée quand je sors de chez moi. Greg est venu en van. Il ouvre la porte latérale. Je monte à l'arrière avec Meyer et Jérôme. Greg conduira. Durant tout le trajet jusque à chez lui, les deux salopards n'ont fait que me toucher les seins et les fesses. Comme si j'étais un vulgaire morceau de viande. Ce qui après tout je suis pour eux. De la viande à baiser...

Quand ils me font descendre, alors que je pleure toujours, et que je bave de plus en plus, Greg me prend par l'épaule.

- Au fait, ce n'est pas ma résidence principale. Tu la verra bien assez tôt. En attendant, cela ira pour ce que l'on aura à faire tous ensemble.

Je ne comprends pas ce qu'il veut dire, mais je sais au fond de moi que rapidement je le saurais. Greg ouvre la porte de sa villa. On va dans le salon. Un salon que je ne connais que trop bien. Dernier lieu de ce que je me rappelle de la soirée qui m'a conduite dans cet enfer. Quand il me fait asseoir dans le canapé, je suis soulagée. On ne va pas dans les chambres, ils ne vont pas me violer de suite. Je me rends compte que enfin mes larmes se sont calmées.

Greg enlève la laisse et le bâillon boule. Il prend une serviette en papier sur la table et m'essuie le visage de toute la bave qui s'y trouve.

- Je te laisse le collier, tu le gardera à vie maintenant.

Je le regarde interloquée.

- Vas-y pose ta question, mais une seule.

- Je devrais le garder chez moi? Avec Jeff?

- Non, seulement quand tu seras avec moi.

Je ne comprends pas trop, mais là aussi je comprend que je le saurais bien assez tôt.

On reste quelques instants comme ça, dans le silence le plus totale. Les trois hommes me matent, je ne sais pas pourquoi, mais ils me trouvent vraiment à leur goût. Puis Greg se déshabille lentement. Mes yeux se révulsent d'horreur quand je vois son sexe bander à mort. Il est bien plus gros que celui de mon mari. N'ayant jamais sucer Jeff, je n'ai pas pus faire la comparaison tout à l'heure. Mais maintenant de visu, oui. Greg à un gros sexe, comme ceux qu'ont les acteurs X les mieux montés. Enfin je le suppose, je n'ai jamais vu de film pornographique de ma vie.

Une fois complètement nu, Greg fait un signe à Meyer. Ce dernier me remet ma muselière.

- Je n'ai pas envie que tu ameutes tout les voisins avec ce qui va suivre. C'est insonorisé, mais les hurlements que tu vas pousser risque de s'entendre à des kilomètres à la ronde.

C'est monstrueux. Il va me faire très mal, et il me le dit. Je panique. Mon cœur s'accélère, mon souffle devient plus rapide. Je me mets à trembler, je pleure de nouveau. Mes pupilles se dilatent, et mes yeux s'agrandissent de peur. En une simple phrase, il vient de me terroriser.

Il s'agenouille devant moi. M'écarte les cuisses. Je me laisse faire. Envolée mes belles certitudes de tout-à-l'heure, je ne résiste pas. Il me manipule, me fais descendre jusque à ce que ma vulve soit au bord du canapé. Je suis à moitié assise, à moitié allongée. Mon vagin est droit, face à lui. Face à son pénis monstrueux. Il va me violer. Je vais me faire dépuceler une nouvelle fois. Mais cette fois ce ne sera pas de l'amour, ce sera un viol. J'espère que mon faux hymen, ne me fera pas autant mal quand il l'arrachera avec son sexe, que le premier, le vrai. Même si Jeff avait été très très doux, j'avais souffert à ce moment. Je ne sais qu'une chose, moi qui n'ai jamais eut d'orgasme, je ne suis pas prête d'en avoir un, pas après ce qui va se passer.

Je sent son gland contre l'entrée de ma vulve. Je suis tétanisée, pétrifiée, incapable du moindre geste. Je prie pour que quelque chose arrive, quoique ce soit qui l'empêche de me violer. Un miracle arrive, je sens son sexe arrêter de presser le mien. Il éloigne son gland de mon sexe. C'est impossible, il se passe quoi?

Mais je déchante vite. Aucune intervention divine là-dedans

- Au fond, on va lui enlever son bâillon, j'ai envie de l'entendre gueuler comme la truie qu'elle est! Tant pis pour les voisins, de toutes façons la prochaine villa est éloignée. On ne risque rien.

Meyer m'enlève alors mon bâillon, libérant ma bouche.

Je voudrais le supplier, essayer de le faire changer d'avis. Mais le souvenir de ses coups de pieds est encore cuisant, et sa menace de m'en donner d'autres, bien présente dans ma mémoire. Alors je pleure, je ne dis rien. Il s'installe de nouveau entre mes cuisses, son gland cogne de nouveau les lèvres de mon sexe. Je vais être violer, et je ne fais ni ne dis rien pour me défendre. Je suis comme une vache que l'on emmène à l'abattoir. Sauf que là le couteau est un pénis. Et que au lieu de m'égorger il va forcer mon corps.

Je sens son gland se frotter contre mon vagin, de haut en bas, puis se presser contre mon clitoris. Il fait ça deux ou trois minutes. Sûrement dans le but de me faire mouiller. Mais point de cyprine. Je reste sèche, aride même tellement la peur m'a envahit.

- Désolé pour toi ma belle, mais je vais te baiser comme ça.

Je ne répond pas, je me contente de le regarder, à travers mes larmes, avec toute la misère du monde dans les yeux.

Il me sourit. Comment lui, mon meilleur ami, presque mon frère peut-il me faire ça? Je n'ai pas le temps de penser à ça. Son gland vient d'écarter mes grandes lèvres vaginale. Puis les petites. Je gémit autant de douleur que de surprise.

- Fais pas ta pleureuse, je n'ai mis que le bout de mon gland!

Mais le reste entre vite, déjà son gland cogne contre mon faux hymen. Il reste immobile, me souriant de toutes ses dents. Je ne sais pas ce qu'il attend. Mon cœur bat encore plus vite, je pleure encore plus fort, je respire encore plus difficilement.

Je le sens toujours légèrement en moi. Je craque, il faut que j'évite ce viol, il faut que je le supplie. Je balbutie.

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