Les Jumeaux D'amour Ch. 01

« oui Mais je dois te prévenir, je te désire comme une folle mais mon cœur appartient justement à un garçon! »

« C'est normal ma chérie, un jour ce sera mon cas aussi mais en attendant, rien ne nous empêche de nous amuser entre filles, non? » dit --elle en glissant son doigt sur la chatte de Léa. Cette dernière n'avait pas besoin de plus d'encouragements et s'empara de la vulve de son amie avant de laisser remonter ses doigts vers le clitoris qui semblait clignoter comme une ampoule de Noël au-dessus des grandes lèvres de la vulve. Elles étaient l'une et l'autre tellement excitées qu'elles jouirent presqu'immédiatement en s'embrassant avec frénésie.

Léa récupéra la première et , profitant du relâchement post-orgasmique de sa nouvelle amante, la renversa sur le lit et se précipita entre ses jambes pour laper la vulve qui l'avait tellement tentée durant toute la session de rasage. Mais à peine l'avait-elle effleurée de la langue que Tara sursauta et s'élança par-dessus son corps pour venir se placer en position de 69 au-dessus de la grande et s'attaqua elle-aussi au sexe de sa partenaire. En moins de temps qu'il ne le faut pour le décrire, les deux amies se léchaient à qui mieux mieux ,laissant échapper de plus en plus de gémissement à demi-étouffés.

« Tara... mmmh ... Tara ... met ton doigt .. » quémanda Léa « Aah , oui, là! »

De son côté, Léa , se souvenant encore de sa récente condition de vierge, explorait précautionneusement l'entrée du vagin de son amie mais en prenant bien garde de ne pas toucher son hymen tout en vissant sa bouche sur le clitoris de son amante qui commençait à vibrer de plus en plus fort.

« Léa... c'est si bon, aah tu me caresses si bien » gémit-elle avant de replonger sur la corolle de son amie.

Agrippées aux cuisses l'une de l'autre, les deux jeunes filles faisaient des efforts démesurés pour faire jouir leur compagne la première mais à ce jeu la compétition n'était pas égale ; Léa avait été entre les mains expertes des meilleures maîtresses du département alors que Tara et ses quelques séances à la sauvette de masturbations mutuelles entre filles maladroites et anxieuses ne pouvait rivaliser face à cette graine de championne.

Elle lâcha prise la première, abandonnant le sexe béant de son amie pour crier son plaisir sur son ventre

« LEAAA! C'EST TROP! LEAA! OOOH MON VENTRE! TROP CHAUD!!! AAAAYYYIII!

Léa parvint à la mener au bout de son plaisir, ignorant les contractions spasmodiques de son propre vagin qui appelait une bite ... des doigts ... un gode ... n'importe quoi pour mettre fin à cet intolérable besoin inassouvi . Alors qu'elle pensait avoir surmonté le gros de sa crise de manque, elle sentit les petits doigts de Tara qui revenaient fébrilement à l'assaut de sa cavité intime au moment où sa langue se réappropriait son clito saillant. Léa ne put résister et donna un violent coup de hanches pour enfoncer la petite main au plus profond de son vagin tout en écrasant son bouton sur les lèvres de sa conquête. Le monde explosa et, de très loin, elle s'entendit crier « TARAAAAA! »

Quelques minutes plus tard, elles avaient retrouvé toutes deux la tête de lit et échangeaient des confidences tout en se caressant presque distraitement les seins.

« Je me sens comme une gamine comparée à toi ma Léa ; tu es une amoureuse autrement douée que moi! »

« Il y a quelques semaines, j'en étais au même point que toi, tu sais! Et même moins! A part la masturbation, je ne connaissais aucun autre moyen de recevoir du plaisir! »

« Et qu'est-ce qui a fait le déclic , »

« J'ai découvert l'homme de ma vie et ensemble nous avons fait notre éducation sexuelle avec l'aide d'une puis deux amies. »

« Tu en as de la chance! Moi je n'ai jamais pu être seule avec un garçon! » Et ce soir, plus que jamais, j'en ai marre de rester vierge . Si la virginité ne sert qu'à être monnayée dans un mariage arrangé, je préfère l'envoyer tout de suite aux orties! »

« Hum, on pourrait demander à mon homme de te rendre ce service mais je ne crois pas que ce soit une bonne idée. J'ai bien senti que tu étais fort étroite et lui est plutôt dans l'artillerie de marine. Ce serait dommage qu'il te fasse mal alors que c'est un amant très attentionné! »

« Mais c'est qui ton super-mâle? Tu ne m'as jamais dit son nom? Je le connais? »

« C'est un peu gênant mais comme tu vas vivre avec nous, tu comprendras bien assez vite , c'est Loïc!»

« Loïc ... TON FRERE? Mais Léa , c'est de l'inceste! Pense aux conséquences! »

« Oui c'est de l'inceste mais entre adultes consentants, ce n'est pas légalement répréhensible tant que nous ne marions pas et oui, nous pensons aux conséquences : nous n'aurons jamais d'enfant ensemble. Pour le reste, tu es une des trois personnes à être au courant ... »

Tara s'était écartée de Léa sous l'effet de la surprise et d'une vague trace de répulsion mais Léa revint vers elle, entremêlant leurs jambes puis l'attirant à elle jusqu'à ce que leurs seins s'écrasent les uns sur les autres. Elle prit le menton de son amie dans sa main « Je te dégoûte? »

« Non, non Léa ... c'est seulement tellement surprenant «

Leurs pubis se touchaient presque et Tara sentait la chaleur qui émanait du bas-ventre de son amie tandis que ses gros seins la marquaient comme au fer rouge. Elle se colla contre son corps, entoura son cou de ses bras et prit l'initiative d'un long et passionné baiser. Leurs mains se croisèrent en descendant vers la chatte de l'autre et avant peu , elles se caressaient avec frénésie tout en se livrant à un duel endiablé de tétons ardents! Cette fois, ce fit Léa qui craqua la première, se crispant sous le coup d'un orgasme ravageur mais gardant un minimum de lucidité pour laisser ses doigts en contact avec le clitoris gonflé de son amie qui se fit jouir en se masturbant sur les doigts de son amante.

Leur calme retrouvé, Léa raconta son histoire des trois derniers mois à Tara qui l'écoutait fascinée. Ses questions et commentaires appelant précisions et descriptions détaillées, elles papotèrent en fin de compte jusqu'à quatre heures du matin avant de s'endormir dans les bras l'une de l'autre.

Peu après 10 heures, Loïc rentra dans l'appartement silencieux. Malgré les quelques heures de sommeil qu'il avait pu glaner chez Sylvie, il se sentait vanné. La veille au soir, elle avait invité une de ses relations féminines du monde scientifique et avait veillé à ce que Loïc la comble devant son invitée à plusieurs reprises. L'invitée était aussi une lesbienne et c'est Caroline qui la régalait de la langue tandis que la première se livrait à un voyeurisme en règle de l'accouplement hétéro .Par après, il avait été livré à Caro qui s'était servi de lui comme d'un sex toy vivant. Mon 'sybian ' comme elle disait et quoi cela veuille dire.

Avec Caro, il n'était pas question qu'il remue un cil. Le jeudi soir, elle l'avait sucé et masturbé près d'une demi-heure, s'arrêtant par intermittence pour souffler et le laissant à chaque fois dans un état indescriptible. Mais il avait l'interdiction absolue de se plaindre ou d'esquisser le moindre geste. Sylvie avait clairement établi la règle et le lui rappelait d'un froncement de sourcil dès qu'elle le voyait sur le point de trahir son rôle de statue.

Lorsqu'il avait enfin put jouir, après un nombre invraisemblable de 'presque jouissances' il était une véritable loque nerveuse et Sylvie avait dû payer de sa personne pour le remettre d'aplomb. C'était la première fois depuis qu'il avait des relations sexuelles avec la gent féminine qu'il frisait la panne. Il n'avait pas manqué la lueur de satisfaction dans le regard de Caro et cela lui avait donné le petit coup d'adrénaline qui lui manquait pour retrouver sa superbe. Il s'était alors vengé sur Sylvie en la prenant tel le palefrenier de Lady Chatterley.

Il avait craint que le même cirque ne recommence le vendredi soir mais les multiples orgasmes de Sylvie et/ou de l'invitée semblaient avoir échauffé les sens de Caroline car elle le monta comme une furie et même si elle ne fut pas aussi rapide à la détente qu'une vraie hétéro, elle avait fini par prendre son pied en criant son plaisir . Il était heureux d'avoir déjà pu éjaculer dans l'expérimenté vagin de Sylvie car une fois de plus, Caro ne lui avait laissé aucune possibilité de trouver sa propre satisfaction, exigeant de lui la plus parfaite immobilité. D'où son surnom de 'sybian'. Son plus grand regret était de ne pas avoir pu faire l'amour avec la mystérieuse invitée -- Nicole- s'il avait bien entendu une conversation chuchotée entre ses hôtesses.

Il revenait avec huit cents euro et considérait qu'il en avait mérité chaque cent même si les sessions avec Sylvie s'étaient avérées nettement plus satisfaisantes et moins épuisantes qu'avec Caroline.

Pensant que sa sœur était sortie, il se déshabilla dans la salle de bain pour balancer son linge dans le panier puis se dirigea nu comme un ver vers la chambre 'conjugale' comme ils l'appelaient entre eux. Il ouvrit la porte et se figea.

Devant lui sur le lit complètement défait, dans un entremêlement impossible de bras, de jambes et de seins , Léa dormait, tenant enlacée une autre belle endormie. Il était tellement fasciné par cet étalage de nudité qu'il ne reconnut pas tout de suite Tahira qu'il avait portant bien connue au lycée. Il avait gardé l'image d'une jeune fille très réservée qui remettait son foulard une fois hors de l'enceinte de l'école et voilà que sa sœur avait réussi à la dévergonder au point de faire coucher nue avec elle!

Et connaissant Léa, il avait dû s'en passer des choses avant qu'elles ne s'endorment! Sa verge pourtant encore assoupie commençait à se réveiller et il s'apprêtait à battre en retraite vers la chambre de réserve lorsque Léa ouvrit un œil. Elle mima un bisou et lui fit signe de s'étendre à son côté. Le temps qu'il la rejoigne, sa verge avait retrouvé sa pleine extension et elle la caressa en lui murmurant

« C'est gentil mon aimé mais j'espère que ce n'est pas trop urgent, j'ai besoin d'une douche et d'un bon brossage de dents. J'ai encore la mouille de Tara plein la bouche »

Loïc ne put retenir un gémissement de désir et elle l'embrassa chastement sur les lèvres

« J'ai plein de choses à te raconter mais pour le moment, je dois occuper la salle de bains! Prépare le petit dej pendant ce temps! »

Elle le poussa hors du lit, recouvrit son amie d'un drap et se hâta vers la salle d'eau, laissant le garçon avec une érection aussi triomphante qu'inutile se débrouiller dans la cuisine. Moins de dix minutes plus tard elle le rejoignait, nue, mal séchée et les cheveux en bataille mais tellement désireuse de lui raconter ses dernières 48 heures qu'elle n'avait pas pris le temps de se refaire une beauté comme elle en avait l'habitude.

Loïc ne s'en souciait d'ailleurs que très peu ; pour lui , sa sœur était la plus belle femme du monde même si elle s'était présentée à lui habillée comme une clocharde.

Pendant qu'ils buvaient leur café, elle lui fit le récit de l'arrivée de Tahira, de leurs démarches et évidemment de leur nuit d'amour avant d'en arriver au délicat chapitre des plans d'avenir. Comme Loïc aimait bien la jeune fille, il ne voyait aucune objection à l'héberger le temps nécessaire même si il craignait que cette présence n'altère quelque peu l'harmonie de sa vie de couple avec sa sœur.

« D'autant plus que tu ne pourras pas la baiser ... du moins pas tout de suite » asséna Léa

« Mais je n'y pensais pas .. »

« Mais si gros hypocrite, tu ne peux pas voir une femelle majeure sans songer à la pourfendre avec ton gourdin hypertrophié. Mais c'est ça le problème ; elle est beaucoup plus étroite que moi ou Soise et même plus étroite que Lulu et tu risquerais de transformer sa première expérience en cauchemar ou du moins en quelque chose de très douloureux. Elle a déjà assez de problèmes moraux à l'égard du sexe sans qu'on y ajoute les désagréments physiques ».

« Donc elle devra trouver un ouvre-boîte de petite taille avant de passer aux choses sérieuses? » demanda Loïc mi-figue, mi-raisin.

« Eh oui mon gros loup mais en attendant, cela ne l'empêchera pas de s'amuser avec nous. Elle est au courant et je peux t'assurer qu'elle a le sang chaud ; tu ne devrais pas être trop déçu... mais tu devras te contenter de moi pour épancher ton trop plein d'affection! »

« Hum, je pense que je devrais pouvoir m'en contenter en effet .. » la provoqua Loïc

« Idiot! Tiens, et avec Sylvie et Caroline, cela s'est bien passé?»

Loïc lui fit le compte-rendu de ses propres aventures, se plaignant quand même de son rôle parfois extrêmement passif mais cela sembla plutôt éveiller l'intérêt de sa sœur.

« Mmh, un bon gros loup sans défense et complètement à ma merci! J'ai quand envie d'essayer un de ces jours! »

« Avec toi je veux bien mais pas tout de suite. J'ai un peu mon compte de jouer au sex toy vivant! Ou un 'Sylvian' comme elles disaient. Même pour 800 euros »

Léa s'apprêtait à répliquer lorsque Tahira fit son apparition, enveloppée dans une des grandes serviettes qu'elle avait trouvé dans la salle d'eau. Elle dut se sentir incongrue dans cet accoutrement alors que les jumeaux , eux, étalaient leur splendide nudité à sa vue car elle l'enleva avant de venir embrasser Léa sur les lèvres et -- beaucoup plus timidement -- Loïc sur la joue.

Elle se jeta sur le café, le jus de fruit et sur le pain brioché que Loïc avait acheté en revenant à l'appartement et, toute honte oubliée quant à sa nudité, elle devisa gaiment avec les jumeaux, passant des souvenirs de lycée à ses projets d'avenir encore un peu dans le brouillard tout en acceptant en rougissant les allusions plus ou moins salaces de Léa à propos de leur nuit.

Loïc ne parvenait pas à débander. La vue de la poitrine de Léa le mettait toujours dans tous ses états mais la vision des deux seins de Tara qui battaient la mesure à l'unisson de la poitrine de sa sœur lui échauffait le sang et les sens au-delà du supportable.

Consciente de l'inconfort de son frère, Léa commença à caresser sa verge puis à la masturber au vu et au su de son amie.

« Tara ma chérie, comme tu vas vivre avec nous, tu vas devoir t'habituer à certaines de nos mœurs et notamment la traite de mon Lolo. Le pauvre est doté d'une constitution d'étalon de concours et pourvu d'une bite d'âne. Donc je dois régulièrement m'occuper de lui faute de quoi, il risque de devenir insupportable. Je propose que nous repassions donc dans la chambre pour ta première leçon de sexe appliqué même si pour le moment, tu seras surtout une spectatrice. »

Elle se leva, tenant la bite de son frère fermement en main et s'écria « Qui m'aime me baise! »