Les Jumeaux Croisés 07

BÊTA PUBLIQUE

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« Quel match ma chérie! » dit Lucie « mais j'ai l'impression que Bite d'Ane a gagné, non? »

« Il était déchainé » confirma l'adolescente « il a joui tellement loin en moi que j'ai cru que son sperme allait me ressortir par les narines mais cela ne l'a pas arrêté . Sa grosse bite a continué à me fendre en deux comme s'il n'avait pas joui. Et quand ça a été mon tour, je suis partie plus fort que tout ce que j'avais connu jusqu'ici, branlettes et léchouilles comprises»

« J'espère qu'il va vite éliminer Sylvie du jeu » se plaignit Françoise « Avec Lucie on s'est bien amusées mais cela ne vaut pas un bon curetage en profondeur »

Les trois amies se tournèrent vers le bord où le jeune Don Juan s'occupait à nouveau de la maîtresse des lieux. Il s'était tout d'abord dirigé vers elle toujours couchée, le braquemart à la main. Pris d'une soudaine inspiration, il avait envie de la dominer voire de l'humilier. Il s'agenouilla de part et d'autre de ses seins et laissa retomber son sexe sur son visage en lui disant d'un ton sans réplique « Nettoie-moi! » Domptée, la douairière comme fascinée par le monstre que Loïc agitait devant des yeux se mit à le lécher, récupérant le mélange de sperme et de cyprine qu'avaient sécrété ses deux jeunes invités. Elle ne savait pas si c'était l'image du magnifique corps de Léa ou les démonstrations de puissance de son amoureux qui l'excitaient le plus mais , pour la première fois de sa vie, elle se sentait entièrement soumise à leur aura sensuelle. En moins d'une heure, elle était devenue leur esclave sexuelle.

Comme elle n'allait pas assez vite, le garçon l'empoigna par le chignon et la força à avaler sa verge, la fourrant jusqu'à la glotte au fond de sa gorge puis se retira avant qu'elle ne s'étrangle puis revint en elle avec la même détermination. Sylvie essayait d'obtempérer aux ordres de son jeune amant et suçait désespérément le monstre de chair , avalant au passage toutes les substances qui la couvraient. Sans ôter sa verge de la bouche distendue, Loïc pivota sur lui-même et se mit tête bêche avec son amante. Il écarta les grandes lèvres et les lécha avec application puis , délogeant le clitoris de sa gaine, en fit de même avec le petit bouton de la --presque-vieille dame. Lorsqu'il la sentit redevenir sensible à ses attouchements, il se redressa, la tourna sans ménagement sur le ventre et lui ouvrit les jambes en deux coups de genoux. Il empoigna ses hanches, les souleva et s'enfonça en elle d'un même mouvement.

« AAARRGH! » cria la rombière. Elle se sentait comme pourfendue de part en part par celui que Françoise appelait avec affection Bite d'Ane. Il ne bougeait plus mais, prenant appui sur ses hanches, la faisait se mouvoir elle de haut en bas de sa verge démesurée. Pour accentuer le balancier, il lâcha les hanches et empoigna ses seins, s'étonnant un instant de leur fermeté avant de sentir les coussinets de silicone qui y avaient été logés. Légèrement dégoûté, il se vengea en augmentant la cadence de ce quasi viol. Il la besogna près de dix minutes avant qu'elle ne pousse un dernier cri de douleur et de plaisir mêlés.

« OOH! STOP! PAR PITIE! JE SUIS MORTE! »

Françoise se précipita au secours de son amie/cliente et embrassa un Loïc en pleine fureur génésique.

« Finis en moi Lolo , je suis prête » et elle tourna son gros postérieur vers lui afin qu'il abandonne la vieille chatte épuisée et pistonne la sienne. Loïc ne se fit pas prier et laissa tomber Sylvie sur le matelas pour littéralement sauter sur Françoise qui s'était allongée sur le dos sur le matelas. Comme promis, elle était ouverte et particulièrement mouillée après toute l'excitation causée par la vue de la redoutable séance de baise qu'il avait infligée à leur hôtesse après l'assaut sur sa sœur . Le garçon retrouva avec satisfaction les énormes seins bien naturels de son amie et se courba pour les téter avec avidité pendant qu'il la ramonait avec presqu'autant de vigueur que sa précédente victime. Mais ni Françoise ni son amant, tous deux dans un état de surexcitation extrême, n'avaient encore beaucoup de ressources et ils ne tardèrent pas à jouir l'un et l'autre ; Loïc le premier dans un grondement guttural expulsa ses dernières gouttes de sperme suivi presqu'immédiatement par la rouquine qui se contorsionnait sous lui pour profiter au mieux des derniers soubresauts de la verge épuisée.

Lucie s'était approchée et s'était anxieusement penchée sur Sylvie inerte en lui demandant « Sylvie, Sylvie, tu vas bien? » mais elle fut très vite rassurée par la vieille dame qui ouvrit les yeux en lui souriant « Dire que j'ai attendu d'avoir soixante ans pour enfin savoir ce que voulait dire être baisée à mort » . Soulagée, la doctoresse lui caressa la joue en disant

« Je crois que Soise l'a calmé maintenant . Tu vas pouvoir récupérer mais si tu as un tube de pommade hydratante, je t'en recommande vivement l'usage! Il laisse des traces de son passage cet animal! Il m'a fallu trois jours pour récupérer du week-end passé! »

«Il m'en faudra bien plus » renchérit Sylvie « je suis tellement irritée que j'ai l'impression qu'il est toujours occupé à me ravager le vagin. Mais quel souvenir! »

Puis à voix basse « Est-ce que tu crois que je pourrais les convaincre de revenir dans une semaine ou deux? A mes conditions habituelles? »

« Là tu m'en demandes trop » répondit Lucie sur le même ton. « Tu devras négocier cela toi-même ; je ne suis pas leur impresario ... »

Les corps épuisés réclamaient une pause et ils passèrent le restant de l'après-midi à deviser gaiement autour de la piscine, ne se levant que pour faire honneur au pique-nique ou se baigner dans la piscine. Sylvie interrogea longuement les jeunes gens sur leurs projets d'avenir à et après l'université. Elle leur décrit son pied-à-terre près de la Gare de Lille-Flandres qu'elle utilisait régulièrement lorsqu'elle passait la soirée à Lille.

« Que diriez-vous de passer un ou deux jours à Lille avec moi avant la rentrée? » demanda-t'elle . « Vous pourriez explorer le Vieux Lille et les environs de l'Université et le soir nous irions manger dans un de mes restaurants favoris. Je vous laisserai ma chambre pour la nuit (« après t'être fait copieusement sauter» pensa Lucie) ; j'ai un lit d'appoint très confortable pour une personne qui me convient très bien.

« Ce serait chouette non? » demanda Loïc à sa sœur

« Oh oui, cela nous éviterait de devoir rentrer déjà en fin d'après-midi » répondit-elle le plus innocemment possible mais elle avait repéré la petite lueur dans l'œil de son frère (« mon étalon veut de nouveau se taper la vieille ») se dit-elle (« bah, après tout, tant que je participe et que j'y trouve mon compte .. »).

Peu après, ils se rhabillèrent et passèrent eu salon pour prendre l'apéro que Sylvie servit avec hésitation, s'excusant de ses maladresses « C'est ma dame de compagnie qui s'en charge d'habitude » expliqua t'elle. Elle avait commandé des pizze et une salade pour Françoise qui semblait décidée à tenir ses bonnes résolutions. « Ce n'est pas drôle mais si je ne fais pas attention, j'aurai bientôt un cul comme ta commode Louis XVI » expliqua t'elle à Sylvie. « XV » rétorqua machinalement celle-ci « Louis XV ».

« Mais j'aime ton cul comme il est! » s'exclama Loïc

« Merci mon grand et je ne le sais que trop bien . C'est un souvenir impérissable »

« Quoi! » s'exclama Sylvie « ne me dit pas que tu as réussi à accueillir ce colosse dans ton fondement? »

« Fichtre ma chère » se moqua Françoise, il m'a ENCULEE avec délectation et il a déjà sodomisé Léa à plusieurs reprises et même Lulu y est passée récemment. Il n'y a que toi ici qui y a échappé »

« Bonté divine, je n'ose même pas y penser . Je ne parviens pas encore à fermer les jambes alors s'il devait passer l'autre porte, je finirais à l'hôpital »

« Mais non Sylvie, je vous assure que mon Lolo est un sodomite très doux et tendre (« sauf quand il est en rut » ajouta t'elle in petto). Vous devriez essayer un de ces jours! (« Et voilà mon homme, je t'ai préparé le terrain , à toi de transformer l'essai! »)

Sylvie resta pensive, le regard fixé sur le seul mâle de la soirée qui recommençait à sentir une crampe se développer dans son bas-ventre. Heureusement, Lucie détourna la conversation sur les projets de vacances.

Loïc fut un peu déçu d'apprendre que Lucie et Françoise partiraient ensemble au Club Med les quinze premiers jours d'août (« mais j'aurai Léa pour moi tout seul » se rassura-t'il). Cette seule pensée le fit bander à nouveau. Pas la grosse érection qui exigeait un assouvissement rapide mais tout de même suffisante pour l'obliger à se déhancher quelque peu pour laisser plus de place à son membre gonflé.

Lucie s'aperçut de son manège et dit précipitamment « Bon, ce fut une chouette journée, mille merci ma chère Sylvie mais Soise doit encore récupérer sa voiture chez moi avant de rentrer chez elle »

Sylvie s'éclipsa un instant et lorsqu'elle revint, tendit une enveloppe à chacun de ses jeunes invités en leur disant avec toute sa superbe retrouvée « Je vous en prie, accepter cette petite gratification en témoignage de ma reconnaissance! »

Interloqués, les jumeaux l'embrassèrent sur la joue qu'elle leur tendait et suivirent leurs deux compagnes jusqu'à la voiture. Une fois installé, Loïc ouvrit son enveloppe et y trouva cinq billets de cent euro. Dans son enveloppe, Léa en trouva trois et demanda « Quelqu'un peut m'expliquer à quoi cela rime? »

« Heu, grum ... ben heu » s'entortilla Lucie, "disons que Madame d'Arcques, depuis qu'elle est veuve, a pour habitude de remercier pour toutes les prestations rendues à coups de billets de banque. Et plus c'est confidentiel, plus haut est le tarif »

« Donc, elle nous remercie pour avoir été ses gigolo et gigola? » demanda Léa « alors pourquoi plus pour Loïc que pour moi? J'ai encore les marques de ses dents sur mes seins! »

« C'est parfois un peu compliqué mais en gros, elle récompense les orgasmes reçus et donnés de la même façon. Aujourd'hui, c'est Lolo qui a produit le plus donc c'est lui qui remporte la palme »

« C'est ce qu'on appelle une cougar alors? » demanda Loïc

« Une cougar ne paye pas nécessairement pour ses ébats amoureux. Regarde-nous! » rétorqua Françoise. « Et Sylvie c'est un peu différent ; elle pourrait très bien se taper des petits jeunes et petitEs jeunes à l'œil mais elle préfère payer pour ne pas avoir de comptes à rendre sur le plan sentimental ou autre »

« Mais vous n'êtes pas des cougars » protesta Léa

« Mais si ma chérie, pense à notre différence d'âge ; à notre âge, nous aurions pu être votre mère! »

« Tu ne vas quand même pas me payer pour qu'on couche ensemble? » s'enquit Léa, inquiète et indignée.

« Au rythme où nous allons, je n'en n'aurais pas les moyens « s'esclaffa Lucie. « Ceci dit », reprit-elle d'un ton nettement plus sérieux « il faudra qu'un de ces jours nous vous racontions notre jeunesse. Cela peut être instructif » termina-t'elle évasivement.

Ils arrivèrent devant la maison de Lucie qui se gara juste devant la voiture de Françoise. Celle-ci leur fit des adieux particulièrement tendres et reprit la route vers son domicile non sans leur avoir fait promettre de se revoir très bientôt.

D'un commun accord, Léa, Lucie et Loïc abandonnèrent le panier pique-nique avec les reliefs du repas et leurs affaires personnelles dans le hall et se dirigèrent vers la chambre. Les filles avaient l'intention de dormir immédiatement mais à la vue de leurs corps dénudés, Loïc eut une érection -inattendue au vu de ses performances de la journée- dont Lucie, qui avait été un peu sevrée dans l'après-midi, décida de profiter séance tenante.

Evidemment, plus question pour Léa de dormir alors que son amant et son amie s'en donnaient à cœur joie juste à côté d'elle. Elle embrassa son frère qui était chevauché par une Lucie en furie et lui demanda « Ne jouis pas ; garde tes forces pour moi » . Loïc fut héroïque car Lucie ne se contenta pas d'un seul orgasme et le monta comme une vraie cow-girl de rodéo jusqu'à ce qu'elle obtienne une deuxième fois satisfaction en criant son plaisir. Complètement vidée. Léa dut l'aider à descendre de sa monture pour pouvoir prendre sa place.

Elle se coucha à moitié sur son frère tout en s'empalant sur lui à un rythme plus lent que Lucie. Ses gros seins se balançaient juste au-dessus du torse de Loïc qui ne put résister aux tétons ardents et les pinça pour lui donner le diapason de son désir.

« N'oublie jamais que c'est toi que j'aime, Léa ma lionne » murmura le garçon entre deux coups de reins. « Lucie, Françoise et même Sylvie sont de fabuleuses partenaires pour le sexe mais il n'y a que toi qui compte vraiment »

« Moi aussi , mon gros loup je t'aime » répondit-elle sans perdre son rythme « mais que dirais-tu si je couchais avec d'autre garçons voire des vieux mecs et devant toi en plus?». Elle eut l'impression que le verge de son frère prenait encore plus de volume tandis que ses coups de reins se faisaient plus puissants.

« Je serais obligé de te baiser deux fois plus fort après coup pour te rappeler que tu es à moi! grommela-t'il plus excité que fâché. « Je te défoncerais la chatte et le cul jusqu'à ce que tu ne puisses plus te rappeler que tu as été baisée par un autre »

. « Je t'appartiens ; c'est toi mon homme ; il n'y a que toi » murmura Léa « mais je veux un homme par femme que tu as eue ou que tu baiseras à partir de maintenant »

Cette évocation les excitait diablement tous les deux et leur accouplement prenait une tournure bestiale tandis qu'ils imaginaient chacun de leur côté Léa couverte par d'autres hommes. Loïc les fit basculer pour se retrouver au-dessus de sa sœur. Il ne fit aucun effort pour soutenir son propre poids ; au contraire , il se vautrait sur elle, goûtant particulièrement l'écrasement de ses seins bien fermes contre son torse puissant. Il la martela de son sexe avec une énergie redoublée tout en jouant des hanches pour lui écarter les cuisses au maximum, favorisant ainsi la pénétration de son pilon jusqu'au plus profond de son vagin.

Léa adorait sentir son frère aussi excité et elle n'hésita pas à en remettre une couche pour pousser son frère à sa limite. Elle lui murmurait à l'oreille

« Tu pourras me regarder frérot pendant que d'autres hommes prendront ma chatte et mon cul . Tu aimerais que deux hommes m'enfilent en même temps? Plus un qui jouirait dans ma bouche. Toi tu te branleras et tu n'éjaculeras pas et tu resteras bien dur. Et quand les autres hommes auront pris leur plaisir en moi, tu pourras baiser mon minou plein du sperme d'un autre et le remplir à nouveau avec le tien »

Loïc rugit en réponse « Tu n'auras jamais autant de plaisir avec un autre homme qu'avec moi! »

Mais Léa continuait à le persécuter « Si, j'aurai beaucoup de plaisir car je saurai que tu me regardes et que ta bite d'âne est tendue à exploser comme maintenant »

Soudain le visage de Lucie vint se glisser à côté des leurs et elle intervint

« Mais peut-être que je serai là aussi et que je sucerai Bite d'Ane jusqu'à ce qu'il se vide dans ma bouche? »

Loïc avait atteint les limites de sa résistance. Entre les images de sa sœur prise en sandwich par des inconnus et l'idée de son voyeurisme soulagé par Lucie, il sentait un flot de lave brûlant émerger de son bas ventre et se précipiter dans sa verge. Il eut encore le temps de gémir

« C'est trop, je viens mon amour, je viens! AARGH!»

Il donna un ultime coup de reins et se vida longuement dans le vagin de Léa qui n'attendait que ce signal pour exploser à son tour en hurlant sa joie. Lucie les enlaça et les couvrit de baisers. Gourmande, elle ne put résister à la tentation d'intercepter la verge mollissant du garçon lorsqu'il s'extirpa du vagin de sa sœur. Elle le suça avec délectation, savourant leurs sécrétions mêlées jusqu'à ce qu'elle les ait complètement remplacées par sa propre salive.

Loïc apprécia ce traitement de faveur même si il n'était plus capable de la moindre érection. Même le frottement des seins de sa sœur contre son flanc ne put ranimer son désir. Celle-ci conclut alors la soirée en disant « Bon, maintenant que tout le monde a eu son compte, je ferais bien un petit somme » « Bonne idée » bailla Lucie guère plus fringante. Loïc dormait déjà.

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