Les Jumeaux Croisés 08

Informations sur Récit
Les émois érotiques de Léa et Loïc Chapitre 8.
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Partie 8 de la série de 12 pièces

Actualisé 07/23/2022
Créé 12/19/2014
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Chapitre 8 : L'Evocation

Le lendemain matin, ils déjeunèrent tranquillement. Malgré une bonne nuit de sommeil, ils ressentaient encore tous les trois les abus des deux derniers jours. Les filles surtout avaient le sexe légèrement irrité mais même Loïc éprouvait une certaine gêne à l'entrejambe.

Léa profita de cet épisode de calme dans leurs relations jusqu'ici enfiévrées pour interroger Lucie « Hier soir, tu nous as dit que tes histoires de jeunesse nous seraient instructives Lulu ; de quoi voulais-tu parler? »

Lucie se renfrogna quelque peu puis se décida à parler

« C'est un peu difficile pour moi et certainement pas l'épisode le plus glorieux de mon existence mais comme vous allez bientôt entrer à l'unif, il vaut mieux que je vous en parle ; cela pourrait vous éviter quelques déboires.

En fait, j'ai rencontré Soise sur les bancs de la fac de médecine en première année ou plus exactement, on s'est rencontrées sur les banquettes du train Orchies-Lille et on s'est rendu compte qu'on fréquentait la même faculté. Après quelques semaines, nous avions pris l'habitude de ne plus nous quitter de la journée ; que ce soit dans le train ou dans les auditoires, nous étions devenues inséparables. A Orchies, nous nous séparions pour prendre chacune un car différent vers nos patelins respectifs mais l'un dans l'autre, nous étions ensemble 12 heures par jour.

Physiquement, nous étions évidemment plus attirantes que maintenant Soise était beaucoup plus mince et moi j'étais tellement fine qu'en proportion mes seins semblaient gros. On s'était échangé un tas de confidences, entre autres sur nos aventures amoureuses et elle m'avait avoué qu'elle avait déjà couché avec des filles. Cela m'avait à la fois inquiétée et excitée ; je me demandais comment je réagirais si Françoise essayait de me faire du plat. Moi j'avais déjà couché avec des garçons mais aucun ne m'avais laissé de souvenir impérissable. Et je n'avais encore jamais ne fût-ce que songé à faire l'amour avec une fille.

C'est un peu après Noël que s'est produit le premier incident d'une chaîne d'événements qui allait changer nos vies. Grève surprise à la SNCF ; nous nous sommes retrouvées un vendredi soir devant la gare de Lille-Flandres sans possibilité de rentrer chez nous vu que les parents de Soise étaient en vacances et que les miens n'avaient pas de voiture pour venir nous chercher.

A nous deux, nous n'avions même pas de quoi nous payer une chambre à l'Etap Hotel dans le Vieux Lille pour une nuit. On a commencé à errer dans les rues glacées à la recherche d'un repas chaud et surtout bon marché en se disant que si on pouvait déjà passer quelques heures au chaud , ce serait déjà cela de gagné. Nous étions en train de nous lamenter sur les prix pour la énième fois de la soirée quand nous avons entendu derrière-nous une voix qui disait quelque chose comme « Mesdemoiselles qui m'avez l'air en détresse, permettriez-vous à un vieil homme de venir à votre secours? »

Je voulais chasser l'intrus mais Françoise qui était -- déjà- plus dégourdie que moi a sauté sur l'occasion. Elle a expliqué à ce monsieur d'une cinquantaine d'années que nous étions étudiantes et que nous étions coincées en ville suite à la grève. En moins de 3 minutes, nous nous sommes retrouvé invitées au Vieux Louis. Apéro, re-apéro puis confit de canard avec une bouteille de Cahors. J'étais un peu pompette. Nous avions déjà expliqué à Jean-Pierre que nous étions à court d'argent pour une chambre d'hôtel et il avait proposé de nous en prêter. Nous allions passer au café quand la patronne qui nous avait entendu parler de train et de grève nous a averti que la radio locale annonçaient une prolongation du mouvement pour tout le week-end.

J'étais catastrophée. Trois nuits à l'hôtel, même à l'Etap, cela représentait mon budget d'un mois. Jean-Pierre avait dû lire dans mes pensées car il après avoir siroté son café, ils nous a dit qu'il avait un grand appartement avec une chambre d'amis et que cela lui ferait plaisir de nous accueillir jusqu'au lundi. J'étais embêtée. C'était la solution à mes problèmes de trésorerie mais coucher dans l'appart d'un inconnu? Une fois de plus, Françoise a foncé tête baissée et, avant que j'ai eu l'occasion de dire quoi que ce soit, elle avait accepté en notre nom à toutes les deux.

Bref, avant d'avoir réalisé ce qui m'arrivait, je me suis retrouvée avec Soise chez Jean-Pierre. On a encore bu un verre d'alcool puis il nous a montré une très belle chambre avec une salle de bains privative et il s'est retiré. On a décidé de dormir nues pour épargner nos sous-vêtements puisqu'on avait rien pour nous changer. Mais j'étais à peine sous la couette que j'ai senti Soise se coller à moi dans le noir. Puis ses mains ont commencé à me caresser. Grâce à l'alcool , toutes mes inhibitions étaient tombées et je me suis laissée faire. Et petit à petit, j'ai commencé à la toucher à mon tour. Françoise a même allumé la lampe de chevet pour mieux me voir sans que cela me gêne ...Et c'est ainsi que j'ai eu ma première expérience lesbienne. C'était aussi bon qu'inattendu .»

« Je n'ai pas eu besoin d'autant d'alcool et je n'en ai pas fait toute une histoire » commenta Léa un peu acide.

« Attends, ce n'est que le hors d'œuvre! » poursuivit Lucie

« Le lendemain matin, nous avons rejoint Jean-Pierre assez tard pour le petit-déjeuner . J'avais encore un peu mal de tête après tout l'alcool ingurgité la veille. Malgré l'heure tardive, il était tout guilleret et s'est révélé un hôte aussi charmant qu'au restaurant. Il a proposé de nous emmener au Prisunic -- c'est un Monoprix maintenant- pour que nous puissions acheter du linge de rechange . J'ai dû rougir vu que je n'avais pas plus d'argent que la veille mais il a tout de suite ajouté qu'il se chargeait de « l'aspect pécuniaire ». Dans le magasin, j'ai foncé sur les marques bon marché dont j'avais l'habitude mais je me suis retrouvé toute seule! Soise et JP avaient mis le cap sur les marques de luxe! Et ils avaient l'air de bien s'amuser! Ils discutaient avec animation et au bout d'un moment, Soise m'a fait signe de m'approcher pendant que JP s'éloignait un peu.

« Ma chérie » m'a-t-elle dit « JP nous offre un rééquipement complet en lingerie à condition que nous lui organisions un petit défilé! »

« Mais tu es folle » ai-je répondu « On sera presqu'à poil devant un type qu'on connaît à peine »

« Pour une culotte La Perla, il peut bien me voir à poil. Et s'il m'offre le soutien, les jarretelles et les bas, il peut même me baiser si cela lui chante! » a-t-elle répondu. J'étais effarée.

« Mais Soise »

« Y a pas de Mais Soise qui tienne. J'en ai marre d'être mal fagotée. Je veux de beaux sous-vets dans lesquels je me sens belle. Si je dois me faire sauter par un vieux pour les obtenir, tant pis! »

« Je ne pourrais jamais ... »

« Mais si, réfléchis un peu! Tu as vu son appart? C'est pas les 2.000 balles de lingerie qui vont lui manquer. De toute façon, ma décision est prise, je l'ai même envoyé acheter des capotes! Et je te parie qu'il est prêt à mettre plus du double si on est deux à lui faire des gâteries. A propos, il a des caméras dans la chambre d'amis et il a bien aimé notre petite session d'hier soir qui nous vaut déjà 500 francs parce qu'il paraît que tu étais diablement attirante et que j'ai des orgasmes spectaculaires. »

Lucie continua « Je vous passe les détails mais on s'est retrouvés chez JP ; on lui a fait un petit show de lingerie puis il a déposé une enveloppe sur la table du salon en demandant si nous nous étions décidées pour la suite. Et on s'est retrouvés dans son lit à trois . A ma grande surprise, c'est moi qu'il voulait sauter en première mais ce devait être combiné avec Soise parce qu'elle en a profité pour me « préparer » et continuer à me caresser pendant qu'il me baisait. Malgré son aide, je n'ai pas joui mais lui a rempli son préservatif . Puis il a pris une pilule bleue et 20 minutes plus tard , il s'est tapé ma meilleure amie qui elle a joui comme une garce.

A la fin du week-end, on avait 6.000 francs -1.000 euro - à se partager sans parler des sous-vêtements. Après cela, on a revu JP une dizaine de fois mais il a commencé à se lasser alors il nous a présenté à des amis à lui du même milieu tandis qu'on lui rabattait des filles de l'unif pour prendre notre suite.

Entretemps, on s'était pris un appartement près de l'Opéra donc on a pu recevoir des messieurs riches et esseulés et parfois même des dames voire des couples. Parfois seules, parfois à nous deux . On a même une ou deux fois participé à de véritables orgies dans un hôtel du centre-ville mais c'était un peu trop pour moi. En plus ; la priorité restait mes études donc je me limitais à ce qu'il me fallait pour payer ma part de loyer, payer mes cours et vivre sans grand luxe. Inutile de vous dire que je n'avais pas le temps d'avoir un copain régulier. Je n'en n'avais pas vraiment besoin d'ailleurs ; j'avais fini par m'habituer à me faire monter par des inconnus et j'arrivais à prendre mon pied avec tout ce qui passait par mon lit.

Soise par contre s'est laissée séduire par ce mode de vie. Après la première année qu'elle avait pourtant réussi comme moi, elle a abandonné la fac et a vécu de fêtes et de sexe. On continuait à bien s'entendre et elle me tuyautait de temps en temps quand j'avais besoin de 'travailler' mais nos styles de vie nous éloignaient de plus en plus .

Cependant, alors que j'allais entrer en dernière année, Soise a commencé à avoir moins de succès . A force de passer de fête en fête, elle avait pris du poids en même temps qu'elle avait perdu la fraîcheur de la jeunesse. Moi aussi mais pour d'autres raisons : quand je ne passais pas mes nuits à étudier, j'étais de garde ou -de moins en moins souvent -- le jouet sexuel d'un vieux ou d'une vieille. Pas vraiment une vie reposante.

Heureusement, Soise a vite compris que son avenir de call-girl était derrière elle . Elle a donc complètement changé son fusil d'épaule et a commencé des études d'infirmière, beaucoup plus courtes que les miennes. Nous avons terminé nos études en même temps et on a recommencé à travailler ensemble mais légalement cette fois alors que nos relations intimes reprenaient une meilleure tournure.

Ceci dit, même si Françoise aime son métier, elle regrette toujours d'avoir gâché son potentiel en choisissant une vie facile et c'est pour cela que je vous raconte notre histoire. Lille a une face cachée qui peut apparaître très séduisante à un beau jeune couple de la campagne mais tout se paye tôt ou tard »

« Et quand avez-vous connu Sylvie alors? » demanda Loïc « C'était pendant vos études? »

« Non, Sylvie c'est un peu une réminiscence de notre passé trouble. Elle est un jour venue consulter chez moi il y a un peu plus de cinq ans parce que son gynécologue attitré était absent. Elle n'avait pas de problème particulier mis à part un énorme manque refoulé d'une bonne partie de jambes en l'air. Et comme Soise avait quelques problèmes de trésorerie à cette époque, j'ai 'prescrit' à Sylvie quelques séances de relaxation sexuelle avec elle tout en lui conseillant de ne pas s'arrêter là et d'essayer de trouver des hommes -- ou des femmes - discrets pour améliorer son niveau d'endorphine. C'est comme cela qu'elle a commencé son système de 'gratifications' comme elle dit. Il m'est arrivé de participer moi-aussi à une mini partouze à la villa d'Arcques quand elle veut offrir de la chair plus fraîche à ses vieux amis masculins ou féminins sauf que moi je lui donne un récépissé pour la sécu en échange de sa gratification! Et c'est ma seule incartade dans le domaine de la relaxation sexuelle!»

« Tu crois qu'il y a un marché pour les couples? » poursuivit-il.

« Tu trouves de tout dans le monde de la nuit » répondit Lucie « mais je vous en prie, faites attention et ne vous laissez pas prendre dans ce cercle vicieux. Vos parents ont assez d'argent pour vous offrir des études dans de bonnes conditions ; profitez-en pour vivre comme des étudiants normaux! »

« Lucie a raison espèce d'obsédé! » intervint Léa « Nous n'avons pas besoin de financer nos études et si tu as peur de mes semaines menstruelles, tu as toujours Lulu, Soise et même Sylvie pour te défouler, sans parler de ma bouche ou de mes mains! »

Le mobile de Lucie se mit à vibrer et afficha le nom de Sylvie d'Arcques.

« Quand on parle de la cougar » grommela-t'elle

« Bonjour Lucie ... Oui très bien ... oui, ils sont ici avec moi ... Non, tout le monde est un peu out de l'entrejambe .... Je vous avais prévenue ... Ah, je vais leur demander mais Françoise et moi serons aux Canaries à ce moment-là. Tu restes en ligne?

Les enfants, Sylvie organise une fiesta chez elle dans 15 jours et si j'ai bien compris, elle voudrait que vous soyez les invités d'honneur . Il y aura un de ses amis célibataires et deux autres couples du même âge et ce n'est pas pour jouer aux cartes! La gratification sera conséquente d'après ce qu'elle m'a dit. C'est à vous de décider ; vous êtes majeurs»

Les jumeaux se regardèrent. « Cela te dit, trois vieilles la même soirée » demanda Léa? « Et toi, trois vieux cochons libidineux? » la taquina son frère en retour.

« Est-ce qu'on peut quitter la fête si on ne se sent pas à l'aise ou pas capable de jouer le jeu? » s'enquit Léa . « Si on peut avoir une clause d'essai sans que cela ne fâche qui que ce soit ; je suis prête à essayer »

Lucie la regarda un moment avant de reprendre sa conversation avec Sylvie.

« Tu as entendu Sylvie? .... Tes amis vont apprécier cette innocence? Très bien alors. Mais je compte sur toi pour prendre soin de mes jeunes amis. Je ne veux surtout pas qu'ils aient de mauvaises expériences en mon absence..... Non, je leur prêterai ma voiture pendant mon séjour au soleil! Oui, au revoir et amusez-vous bien avec mes tourtereaux! »

« C'est vrai, tu vas nous prêter ta voiture pendant deux semaines? » demanda immédiatement Loïc

« Je préfère. Comme cela si la fête ne vous convient pas, vous pourrez mettre les voiles sans problème. Et j'ai la faiblesse de croire que vous ne ferez pas les idiots avec ma voiture le reste du temps »

« C'est très gentil » dit Léa en venant l'embrasser sur la joue « Et je te promets que nous ferons attention! N'est-ce pas frérot?»

« Oui bien sur »

« Et pour te remercier », continua la jeune fille, « je te prête Lolo toute la semaine avant tes vacances. Tu pourras le garder pour toi ou le partager avec Françoise, comme bon te chante ; moi je serai temporairement indisponible. Enfin j'espère! »

« J'accepte volontiers et je le partagerai certainement avec Françoise sinon je ne serai jamais en état d'arriver jusqu'à l'aéroport. Une semaine de Bite d'Ane! Les G.O. du club med vont être déçus de notre manque d'intérêt hi hi »

« Tu n'as pas envie d'une petite avance? » intervint Loïc que cet échange avait émoustillé

« Non mon beau, moi je suis out pour la journée mais si tu as une crampe, je veux bien te sucer! »

Loïc repoussa sa chaise vers l'arrière et sans mot dire, baissa son jeans , révélant son sexe en extension déjà bien marquée. Lucie vint se mettre à genoux devant lui et prit sa verge dans sa bouche tout en dégageant ses testicules pour les caresser avec tendresse. Elle gobait la colonne de chair avec application tandis que ses deux petites mains masturbaient le garçon à un rythme endiablé .

Léa 'approcha également, ouvrant son chemiser pour dégager sa poitrine qu'elle utilisa pour lui caresser le visage. Loïc se saisit du lourd et ferme sein gauche et le porta à ses lèvres pour le téter avec avidité. Sachant à quel point il était sensible aux délires érotiques, elle commença à lui murmurer.

« Vas-y frérot, profite bien de mes seins. Bientôt tu devras te taper trois vieilles avec des machins artificiels mais tu pourras toujours regarder les trois vieux qui se vautreront sur moi pour jouir en moi en bavant sur mes jeunes seins que tu aimes tant. Et peut-être qu'ils banderont assez pour aussi me sodomiser et jouir dans mon cul. Alors tu te vengeras en baisant et en enculant les vieilles peaux avec ton canon et elles seront tellement dilatées qu'elles ne sentiront plus leurs mecs après que tu les auras ramonées à fond. Et quand elles seront toutes épuisées, tu me prendras devant elles et tu jouiras en moi toutes les réserves de foutre que tu leur auras refusées. »

Loïc lâcha le sein de sa sœur et prit la tête de Lucie entre ses mains pour accélérer la cadence des allées et venues autour de sa verge. Il fixa sa sœur dans les yeux, ahanant un peu

« Je vais uh d'abord jouir dans ah Lucie puisque tu vas me prêter aah»

« Je ne prête que ce qui m'appartient. Et tu es à moi mon gros loup. » Elle prit ses seins dans ses mains et les caressa sous les yeux de son frère de plus en plus excité. « ton sperme m'appartient aussi et j'ai décidé que tu le donnerais à Lulu MAINTENANT! » Et elle pinça ses tétons, les faisant saillir hors des mamelons sous les yeux exorbités de son frère qui força la bouche de Lucie à descendre encore plus loin et il se cambra en poussant un gémissement de plaisir

« AAARRGH! Je viens ma lionne, je viens! »

Il avait l'impression que ses couilles ne finiraient jamais de se vider au fond de la gorge de Lucie qui, stoïque, parvint à maîtriser les contractions de sa glotte pour laisser la verge éjecter sa semence le plus loin possible en elle. Léa embrassa son frère en lui caressant la joue puis pressa son visage entre ses seins en murmurant

« C'est bien petit frère, donne ton bon foutre à Lulu, donne-lui tout! »

Le bassin de Loïc retomba et il relâcha le pression sur la nuque de son amante, lui permettant de déglutir et de respirer à nouveau. Il se dégagea de l'étau des seins de sa sœur et lui sourit. « Merci mon amour! J'aime quand tu me prêtes à tes amies»

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