Les Dames de Piques - Partie 04

BÊTA PUBLIQUE

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Alors qu'elles dansent toujours en jouant avec le godemiché et que le numéro gagnant approche ému, un black libidineux gras et boudiné. Ophélie voit le sol de la scène s'ouvrir et un étrange lit apparaît, mû par un système hydraulique qui permet de le faire monter ou descendre à l'étage inférieur.

Cristina prend la main d'Ophélie et la conduit à la table où elle l'invite à s'allonger. La jeune étudiante se laisse coucher sur cette couche étrange où elle se retrouve jambes écartées, surélevées et sa tête pendant dans le vide. Cristina la sangle, elle ne peut plus bouger. Étrangement, au lieu de l'inquiéter, cela la rassure. Elle ne voit pas l'homme qui vient entre ses cuisses, qui après avoir reçu le faux sexe des mains de Cristina le montre aux spectateur, comme un trophée, symbole de sa victoire.

Devant son visage, Ophélie voit le pubis nu et glabre de Cristina qui lui demande de la remercier. Elle comprend ce qu'on attend d'elle et sort sa langue. En même temps, elle sent une langue passer entre ses cuisses, c'est le vainqueur qui la lèche et qui commence à frotter le gode sur ses muqueuses. Ophélie mouille de plus en plus et gémit. Cette sensation est complètement différente des jeux de langues avec ses copines, c'est beaucoup plus fort, plus intense! Puis, l'homme s'arrête. Elle sent l'objet devant l'entrée de son vagin. Elle réalise alors ce qu'il veut faire et comprend l'annonce. Elle hurle et se débat coincée par la moule de Cristina, ce qui excite les spectateurs. Un autre numéro est appelé pour s'occuper de sa poitrine. Elle sent alors des mains presser ses seins, pincer ses tétons, les étirer. Puis des pinces reliées à une chaînette sont posées sur ses tétons. La chaînette passe par une poulie fixée à un bras réglable, cela se tend quand le bras se soulève, permettant d'appliquer une tension réglable sur sa poitrine.

Le gode entre ses lèvres continue de frotter sans la pénétrer. Elle a peur. Sa poitrine étirée est douloureuse. Elle a mal, mais elle sent une drôle de chaleur dans son ventre. Elle suffoque, pleure, crie et demande plus. Inconsciemment, elle tend son bassin vers le gode, le numéro 12, prend cela pour une invitation.

Et comme dans un stade, les spectateurs qui voient les réactions du corps de la jeune fille sur un écran géant, font monter la pression en tapant dans leurs mains de plus en plus vite. Ils font un décompte 10... 9... 8... 7... 6... 5... 4 la tension monte, elle tremble ... 3... 2 .... 1... et...

L'homme introduit d'un coup tout le gode dans la moule d'Ophélie qui pousse un petit cri de surprise. L'homme aperçoit un mince filet de sang sortir de son vagin. Elle était vraiment vierge, se dit-il.

Il laisse le gode immobile quelques secondes avant d'entamer un mouvement de va et vient. En même temps, Cristina lâche de la cyprine dans la bouche de la jeune fille.

Un autre gagnant est invité à essayer la bouche d'Ophélie tandis que l'on propose à celui qui lui caresse les seins de se vider dessus. C'est une explosion de joie dans la salle quand le haut-parleur annonce que tout le monde pourra jouir d'elle. La pauvre fille attachée s'affole mais elle sent pourtant un orgasme arriver. Elle jouit sous les vivats du public, le gode planté dans sa chatte.

***

Le fauteuil commence à descendre dans une salle plus petite et plus sombre. Le client 12 retire le gode et plante sa queue dans la chatte d'Ophélie, tandis que le vainqueur de sa bouche la lui force et la lime sans délicatesse. Celui qui lui maltraite ses seins se branle maintenant au-dessus de son torse.

Ophélie ne peut que subir. Le foutre jaillit sur ses mamelles étirées. Le gros gagnant la fourrage sans vergogne, finissant, trop excité, par lui remplir la chatte de sa semence. Elle s'inquiète et s'affole de cette acte qui risque de la féconder réalisant qu'elle ne prend aucun contraceptif. Mais, elle n'a pas le temps d'y penser qu'une autre bite la remplit au moment où sa bouche reçoit la production du troisième qui est aussitôt remplacé. Elle a à peine eu le temps de déglutir. Sa poitrine reçoit de nouveaux jets de foutre car maintenant, c'est par quatre qu'ils se masturbent au-dessus d'elle. Le foutre s'accumule, étalé par certains plus vicieux. Sa bouche se remplit à nouveau ainsi que sa moule dévastée. Elle pense qu'elle va être violée dans son petit trou et reste surprise que cela ne se produise pas.

Malgré l'incongruité de sa situation, elle ressent plusieurs orgasmes plus ou moins forts. Elle n'en peut plus d'ingurgiter du foutre, heureuse finalement que certains préfèrent lui refaire le maquillage. Le sperme coule de partout. Elle ne sait plus combien de queues l'ont souillée mais elle ne sait plus si elle doit regretter ou apprécier ces jouissances répétées. Elle finit même par apprécier les douleurs induites par ces pénétrations ininterrompues.

Cela dure et dure jusqu'au bout de la nuit. Combien ont abusé d'elle 10, 20, 30, plus? Elle ne sait pas, elle ne sait plus. Cela devient plus sporadique puis, petit à petit, sans qu'elle ne s'en rende compte, cela se calme.

Dans un ultime spasme jouissif, elle tombe dans les pommes. Monsieur Henri clôture la soirée en promettant aux clients que cela se reproduira. Ils s'en vont rassasiés.

***

Ophélie est détachée bien après minuit. Cristina et Ahmed la ramènent dans les loges et la couchent sur un divan. Amina, la grosse esthéticienne, la réveille en douceur, en lui caressant la tête qui repose sur sa grosse poitrine. La jeune fille est recouverte de foutre gluant. Elle émerge. Elle réalise ce qui vient de se passer. Elle éclate en sanglots. Les quatre acteurs présents, Monsieur Henri, Ahmed, Amina et Cristina attendent qu'elle se calme et demandent ce qui lui arrive.

— Je n'ai pas de contraception, dit-elle dans un sanglot.

— C'est pas grave, s'entend-elle répondre.

— Prends cette pilule abortive au cas où? Plus tard on verra! Lui dit Amina en lui tendant un comprimé et un verre d'eau

Elle émerge complètement, prise entre les jouissances et la déchéance. Elle ne sait que penser quand, après l'avoir doucement allongée sur un grand lit et fait écarter les cuisses, Amina lui fait plusieurs piqûres dans ses lèvres intimes, son clitoris, autour de son anus et dans ses aréoles. Ophélie sursaute.

— Qu'est-ce que c'est?

— Des vitamines, lui répond Amina de manière sibylline. Des vitamines qui vont améliorer ton aspect physique et psychique!

Quelque peu sonnée et déstabilisée, elle a quand même du mal à bien cerner ce qui s'est passé et la raison de ces injections à ces endroits si particuliers. Elle retient les orgasmes, ces jouissances répétitives qui lui ont fait beaucoup de bien malgré les douleurs. Mais d'un autre côté, la honte la submerge et l'humiliation l'envahit, tout en la chauffant

***

Finalement, il est deux heures du matin quand Ahmed arrive devant la maison de ses parents, sans qu'elle ne se soit lavée, des plaques de sperme pas encore complètement sèches font coller son haut à ses seins.

Quand Ophélie sort de la voiture, Ahmed lui demande d'ouvrir la porte-conducteur pour venir le "remercier". Malgré sa fatigue, elle contourne la voiture, ouvre la porte et, sur ordre, elle se penche sur la queue raide du chauffeur qui lui dit : "tu aimes montrer ton cul à tes voisins!" En effet, elle est dans la rue de son lotissement, parfaitement visible, même si personne n'est dehors à cette heure. Elle frissonne de cette remarque et lâche un timide "oui" pour éviter le pire au cas où. Elle gobe le priape bien dur les mains dans le dos comme on le lui a dit. Ahmed remonte encore sa jupe et sort ses mamelles le temps qu'il se fait pomper. Affolée, elle s'applique consciencieusement souhaitant être vite remplie. Ce qui ne tarde pas, Ahmed répandant son jus dans sa bouche. Il la laisse partir.

***

Elle rentre discrètement sans allumer pour ne pas réveiller ses parents qui dorment bien après une bonne galipette, Sophie étant de plus en plus excitée, sans être comblée, par les nombreux messages qu'elle reçoit de Monsieur Ali. Ophélie est obligée de se coucher couverte et remplie de sperme, prendre une douche réveillerait ses parents.

Elle s'endort comme une masse, épuisée. Sa nuit est tourmentée et agitée. Elle sue beaucoup sous l'effet des piqûres qui se rappellent à elle, par de tout légers picotements, qui la laissent dans les bras de Morphée.

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3 Commentaires
stephanois62stephanois62il y a 12 jours

bonsoir ce serait bien d avoir l histoire de la copine camille

AnonymousAnonymeil y a 12 jours

Une histoire excitante même si la dernière scène aurait pu être un peu plus longue et détaillée

On attend l'implication de ses parents

Au plus vite !

AnonymousAnonymeil y a 12 jours

Une magnifique suite qui était attendue depuis bien longtemps.

En espérant que l'auteur va continuer sur sa lancée.

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