Les Culottes de Maman

BÊTA PUBLIQUE

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Elle baissa la tête d'un air honteux et se tut. Je devais passer à un autre niveau.

« Enlève ta culotte, Maman! Là, tout de suite! », lui ordonné-je en continuant à me branler.

Elle me regardait incrédule, le souffle coupé :

« Oh non mon chéri, oh non! Oh non, s'il te plaît! »

Je lui souris, sûr de moi à présent devant son air paniqué :

« Oh si Maman, ta culotte! »

Elle parut horrifiée et resta immobile pendant un instant. Puis, comme je n'en doutais pas, elle saisit l'ourlet de sa jupe et, les yeux clos, la releva jusqu'à la culotte. Celle-ci, qu'elle devait avoir mise après avoir ôtée la rose il y avait peut-être un quart d'heure à présent, était d'un bleu pâle. Décidément, la garde-robe intime de Maman réservait bien des surprises. Je me demandais si mon père était au courant ou si cette collection multicolore avait été achetée tout récemment en mon honneur et dissimulée à son seigneur et maître. Elle sembla hésiter, puis, vaincue, descendit cette nouvelle parure. Sa honte était maintenant à son comble.

Je continuai :

« Tu sais ce qui te reste à faire? Je veux te sentir pendant que je me branle! »

Effarée, elle garda un silence stupéfait pendant ce qui me sembla être une éternité. Puis, en fermant les yeux, elle déposa le tissu bleu ciel sur mon visage.

J'avais beau être maintenant certain de sa docilité, je ne m'en émerveillais pas moins de sa reddition. Je reniflai longuement son odeur. A mesure que je m'imprégnais de la moiteur de sa culotte, ma bite palpitait d'excitation.

« Dis-moi Maman, tu viens juste de la mettre et elle est déjà mouillée... Tu as commencé à te branler en l'enfilant, c'est ça? »

Elle ne répondit pas mais le fard qu'elle piqua soudain parlait pour elle. Nous restâmes ainsi un long moment, puis une autre idée me traversa l'esprit. Je lâchai ma bite et me tendis vers ma mère en lui ordonnant :

« Mets ta culotte sur ma queue... »

Elle hésita un instant, puis la retira de mon visage, déplaça sa main vers mon entrejambes et drapa ma queue du tissu en prenant soin de ne pas me toucher. Je ne l'entendais pas de cette oreille.

« Mieux que ça! Enroule-la autour de ma bite!'

Je l'entendis gémir, sans savoir si c'était de gêne ou d'excitation. Elle ramena lentement sa main droite vers ma bite et enroula la culotte autour d'elle.

"Tu vois que tu peux quand tu veux, Maman! lui dis-je ironiquement. Maintenant branle-moi!"

Elle gémit une fois encore. Elle tenait ma bite dans sa main, mais allait-elle se résoudre à faire ce que je lui demandais? Je n'eus pas longtemps à attendre pour le savoir. Je sentis au bout d'un instant sa main prendre vie lentement et commencer à bouger le long de ma tige dressée. Appuyé contre la table pour me soutenir, je ne pus me retenir :

« Ouiiiii salope, comme ça! »

C'était la première fois que je lui parlais ainsi mais ce ne serait pas la dernière.

Elle sembla ne rien avoir entendu et continua à me masturber sans me regarder. Je décidai alors d'aller plus loin. Je tendis mes mains vers ses épaules sur lesquelles j'appuyai doucement mais fermement pour la contraindre à s'agenouiller. Elle sursauta lorsque je la touchai, toujours sans me regarder.

« Suce! », ordonné-je.

Elle frémit à ce mot et pour la première fois depuis de longues minutes me regarda.

« Oh non, s'il te plaît, Luc, pas ça, ne m'oblige pas! Pas ça!»

Je crains que le sourire que je lui adressai alors ne fût quelque peu pervers.

« Mais je ne t'oblige à rien, ma petite maman. Tu sais bien que tu en as envie... »

Elle gémit alors une fois de plus en baissant les yeux. J'accentuai ma pression sur ses épaules et elle se mit lentement à genoux devant moi. Je retirai alors sa culotte de ma bite et, avec ma main gauche, la portai à mes narines. En même temps, je dirigeai ma queue vers sa bouche, lui intimant :

« Allez! »

Elle n'avait plus la force de résister. Elle avança ses lèvres lentement jusqu'à toucher mon gland.

« Ouvre! » ordonné-je.

Elle ouvrit docilement la bouche.

« Tu ferais mieux d'y aller vite, Maman. Tu ne ne voudrais pas que Lise nous surprenne maintenant, n'est-ce pas?", lui dis-je

Elle leva les yeux vers moi, apeurée soudain à cette idée, et commença à me sucer avec ardeur. Je l'attrapai par la nuque et la forçai à engloutir mon membre plus profondément. Ce n'était pas ma première pipe, mais je me souviendrais longtemps de celle-là! Elle me suçait à présent avec une frénésie qui trahissait l'intensité de son excitation et au bout d'un moment, n'y tenant plus et tout en continuant sa fellation, elle ôta sa main gauche de ma queue et continua à me branler de la droite pendant qu'elle portait à son con pour une masturbation simultanée celle qu'elle venait de libérer. En quelques secondes je sentis que j'allais jouir et je pressai solidement sa tête au moment où je giclais. Elle jouit en avalant ma jute.

Ses premiers mots lorsque nous nous fûmes apaisés furent cependant teintés de reproche, comme si elle s'y sentait obligée par pudeur :

« Oh Luc, dire que je n'ai jamais laissé ton père se finir comme ça dans ma bouche! »

J'étais complètement enivré par le pouvoir tout nouveau que je venais d'exercer sur ma mère et, avec ce qu'il faut bien appeler un peu de suffisance, je lui déclarai :

« Je ne suis pas Papa, et les choses avec moi vont être différentes à partir d'aujourd'hui. »

Et j'ajoutai, machiavélique :

« Tu vas voir jusqu'à quel point tu vas aimer désormais... »

Je me plaçai alors derrière elle et posai mes mains sur ses hanches en me pressant contre ses fesses.

"Tu es toute chaude, salope", lui murmurai-je à l'oreille pendant que mes mains caressaient ses flancs. Je glissai lentement mes mains par devant et pris ses seins en coupe, la faisant inspirer profondément.

"S'il te plaît, arrête Luc, j'ai fait ce que tu voulais," dit-elle doucement, mais sans conviction.

Je continuai à palper ses nichons jusqu'à ce que je constate la dureté de ses tétons.

« Et tu diras encore que tu n'aimes pas ça... », lui ai-je fait remarquer.

J'ai joué avec eux pendant un long moment et je lui ai murmuré à l'oreille :

"Est-ce que ma petite maman salope aime que je joue jouer avec ses tétons?"

"S'il te plaît, non", supplia-t-elle, mais le ton sur lequel elle disait non voulait dire que oui.

Je commençai à lui embrasser le cou et à lui mordiller les oreilles. Ma bite était redevenue dure à mesure que je tordais et pinçais ses tétons et je la pressai contre son cul en relevant sa jupe qu'elle avait rabattue. Elle gémissait doucement encore et encore pendant que je m'occupais de ses nichons. Je finis par glisser ma main droite sous son ventre jusqu'à ce qu'elle atteigne son entrejambes et la posai sur sa motte, touchant pour la première fois la chatte maternelle et creusant du doigt le sillon de sa fente. J'attirai en même temps son corps contre le mien, lui faisant sentir la rigidité de ma bite contre son cul.

Elle pleurnicha :

« S'il te plaît, non, Luc!», mais une fois de plus, elle ne fit aucun geste pour m'arrêter.

J'enfonçai deux doigts dans sa chatte, que je trouvai incroyablement chaude et humide.

"Tu es trempée, Maman", lui murmurai-je à l'oreille, et elle émit un petit couinement pour toute réponse.

Je fis aller et venir mes doigts dans sa moule béante pendant un moment, effleurant de temps en temps son clitoris tout en continuant à lui malaxer les nichons. J'étais prêt pour la prochaine étape de notre jeu et je lui chuchotai à l'oreille :

"Tu es prête à te faire baiser par ton fils, salope?"

Elle eut une sorte de cri étranglé et supplia :

"S'il te plaît, non Luc, tout sauf ça! Je te sucerai encore si tu veux, mais s'il te plaît, pas ça, pas ça!"

Mais elle ne fit aucun effort pour s'échapper. Je pensai donc que c'était là sa façon de préserver sa dignité et sa pudeur.

"Oh non maman, ton petit garçon va te sauter aujourd'hui, et tu sais très bien que tu ne demandes que ça. "

J'abandonnai ses nichons et provisoirement sa chatte et je la courbai sur la table. J'étais quelque peu surpris qu'elle n'oppose aucune résistance et qu'elle écarte simplement les bras sur les côtés. Je reculai un instant pour admirer ce spectacle bandant, puis je relevai sa jupe par-dessus ses fesses.

"Écarte les jambes maintenant, salope!", lui intimé-je, surexcité.

Elle ne bougea pas.

"J'e t'ai dit d'écarter les jambes! » m'écriai-je, et, furieux de son immobilité, je lui claquai les fesses avec vigueur, bien décidé à ne m'arrêter que lorsqu'elle m'obéirait.

Bizarrement elle ne protestait pas. Je ne m'attardai pas sur le moment sur cette attitude surprenante,, mais je devais comprendre plus tard que c'était là pour elle une façon de provoquer la fessée, un des plaisirs sur lesquels sa nature soumise la portait à fantasmer. J'y reviendrai peut-être dans un autre récit.

"Aïe," finit-elle enfin par crier, s'il te plaît, arrête Luc, s'il te plaît mon chéri! »

Mais je ne me laissai pas fléchir.

"J'arrêterai quand tu apprendras à faire ce que je te dis! »" répondis-je en continuant. Elle cria de nouveau, puis ouvrit les jambes sans plus résister.

"C'est mieux, salope!", dis-je, tandis que je creusais lentement du doigt sa fente, dans laquelle j'introduisis un doigt vite noyé dans une mouille abondante. Je décidai de la taquiner un peu et lui demandai :

"Alors, tu as porté cette jupe courte pour moi aujourd'hui, ma petite maman?"

Et comme elle ne répondait rien, j'insistai :

« Je n'ai rien entendu... »

Un petit « oui » gêné, quai inaudible, me parvint alors. Ainsi, même si sa tenue n'avait pas dépassé les limites de la décence, elle s'était habillée pour m'exciter... L'envie soudaine me prit de la faire rouler sur le dos et de lui faire écarter les cuisses pour lui lécher la chatte comme je l'avais cent fois rêvé, mais ma bite réclamait pour l'instant d'être apaisée. Je la fis se plaquer dos au mur jupe relevée et ma bite pénétra sa chatte mouillée. Je fus surpris de constater à quel point elle était serrée, mais elle était trempée et ses muscles m'aspirèrent profondément. J'agrippai ses hanches et commençai à la labourer à longs coups de boutoir. Elle gémissait doucement à chaque poussée. C'était maintenant une femelle en rut que je montais. Ses gémissements se muèrent en cris de plus en plus aigus, puis elle émit une série de grognements alors que son corps se convulsait contre le mien. Sa chatte palpitait autour de ma bite et je finis par gicler au plus profond d'elle.

Nous reprenions peu à peu notre souffle quand je pris conscience que la maison était depuis un moment devenue silencieuse. L'aspirateur ne fonctionnait plus... Paniqué, je me tournai vers la porte. Dans son embrasure se tenait ma sœur Lise debout, les yeux vitreux, la jupe relevée autour de sa taille et sa main à l'intérieur de sa culotte jaune en train de se branler.

Pour le meilleur ou pour le pire, les choses allaient vraiment devenir intéressantes à la maison!

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Anonymous
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4 Commentaires
titanic1865titanic1865il y a environ 1 mois

super vivement la suite

AurailiensAurailiensil y a 3 mois

Oui, histoire très bien écrite au rythme soutenu partagé entre l'appétit dominateur du fils et la honte soumise de la mère. Le pas étant fait il va falloir garder de l'intérêt à l'histoire... qu'elle ne tourne pas simplement à la baise en famille

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Une histoire bien écrite et qui va devenir encore plus excitante avec l'arrivée de la fille

Vivement uns suite !

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

tres bon texte

hate de lire la suite

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