L'emmenagement En Banleiue, Suite 01

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Le fils est obligé de doigter sa mère morte de honte.
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Dans l'allée du supermarché réservée à la lingerie féminine, l'employée en train de regarnir les rayons me dévisagea avec un sourire ironique aux lèvres en voyant mon air gêné et la rougeur qui envahissait mon visage.

-Vous voulez que je vous aide, Monsieur?, me demanda-t-elle.

Son ton disait clairement qu'elle me croyait à la recherche de sous-vêtements féminins pour mon usage personnel. J'étais à ses yeux un jeune travesti complexé. Impulsivement, je voulus la détromper, sans me rendre compte sur l'instant que je m'enferrais.

-C'est... c'est pour ma mère..., bégayai-je.

-Ah... Et si je ne suis pas indiscrète, elle est plutôt classique ou... un peu coquine, votre maman?

Elle s'amusait manifestement. Je me souvins des ordres du jeune voyou et c'est en virant au cramoisi que je répondis :

-Un... un peu coquine...

-Je vois, dit-elle en accentuant son sourire, je vois... Un peu coquine et... gentille, n'est-ce pas?

Ce qu'elle « voyait » n'était que trop clair! Je n'étais plus un travesti complexé mais le jouet d'une mère perverse qui avait ce jour-là tiré son plaisir à m'humilier en m'envoyant lui acheter une lingerie intime suggestive.

-Eh bien, que pensez-vous de cette petite culotte? poursuivit-elle. Elle m'en montrait une en soie noire transparente qui ne laissait guère de doute sur l'effet que rechercherait celle qui la porterait.

-Non, non... m'empressé-je de dire, pas de culotte. Seu... seulement des bas et un porte-jarretelles!

-Hum... pas de culotte bien sûr... Elle aime se sentir... plus libre, n'est-ce pas? Tenez, voici un joli porte-jarretelles suggestif et des bas résilles... ça vous plaît?

Elle ne se donnait même plus la peine de parler par sous-entendus. Elle me le faisait bien comprendre, j'étais pour elle un vicieux qui entretenait avec sa mère une relation incestueuse et qui ne savait où se mettre d'être en se voyant démasqué. Si elle avait su... Je voulus prendre rapidement les articles qu'elle me désignait et m'esquiver le plus vite possible, mais elle tint à m'accompagner jusqu'à une caisse fermée, où elle demanda à une collègue de les envelopper dans du papier de soie.

-Tu sais, lui dit-elle à haute et intelligible voix, le transparent, qu'on voie bien ce joli porte-jarretelles et ces jolis bas résilles... et tu le noues avec un joli ruban rose... C'est un cadeau pour sa maman... Elle va être gâtée, sa jolie maman...

Sa collègue entra dans son jeu et lui demanda en feignant l'étonnement :

-Monsieur n'a pas pris de culotte?

-Non, non, sa maman est une maman moderne... répondit ma vendeuse. Monsieur aussi a bien de la chance ;;;

Dans la queue qui jouxtait la caisse voisine, les gens me regardaient, la plupart goguenards, quelques-uns manifestement émoustillés et quelques femmes avec un air faussement scandalisé. Je ne savais où me mettre et quand enfin je pus quitter le supermarché, je me jurai de ne plus jamais y remettre les pieds. Comme si j'avais eu le choix... Ma réputation était désormais faite dans le quartier, je devais très vite m'en rendre compte.

Quand j'arrivai à l'appartement, je reçus le choc de ma vie : dès le vestibule, j'entendis une voix gouailleuse qui s'adressait manifestement à mon père :

-Oh le cocu, tu te magnes? On te dit de lui écarter les cuisses! Tu voudrais quand même pas qu'on ait à faire tout le boulot nous-mêmes!

Le cœur battant, je m'avançai et pénètrai dans le salon. Et là... Oh je n'oublierai jamais la scène qui s'offrait à moi! Sur le canapé que le voyou avait quitté, ma mère, jupe relevée jusqu'à la taille et à qui on avait ôté sa culotte, tentait désespérément en sanglotant de cacher des deux mains sa chatte dénudée tandis que mon père, obéissant à l'ordre qu'on lui avait donné et les mains tremblantes, s'efforçait de les lui enlever.

Une voix retentit alors :

-Mais qui voilà que v'là, les gars! Eh, Kevin, vise le fiston à sa maman, qu'est-ce qu'il nous ramène de beau?

Un rire gras général accueille ces paroles. Le dénommé Kévin, le chef de la bande, se fendit quant à lui d'un mince sourire.

-Alors mon mignon? Montre-nous ce que tu as trouvé pour Môman... On va voir si tu as bon goût!

Je lui tendis en rosissant la paquet que m'avait remis la vendeuse. Lorsqu'il l'ouvrit et découvrit son contenu, il siffla avec approbation.

-Super, mon p'tit gars! Un vrai harnachement de pute! J'aurais pas choisi mieux. C'est toi qui va la mettre en tenue, ta petite maman.

J'étais tétanisé, et je me mis à trembler lorsque je l'entendis ordonner à mon père :

-Changement de programme! Tu nous ouvriras ta salope tout à l'heure. Pour l'instant, tu la fous complètement à poil. C'est le jeune homme qui va prendre le relais.

Ma mère, en larmes, me lança un regard éperdu pendant que mon père, désormais entièrement soumis et résigné, commençait à dégrafer sa jupe, son chemisier et son soutien-gorge sans qu'elle oppose à présent la moindre résistance. Comme mon père, comme moi, elle avait compris que toute résistance était inutile et qu'il ne fallait pas qu'elle compte sur son époux. Quand elle fut nue, Kévin lui fit enfiler les bas résilles que j'avais achetés, en me faisant ajuster le porte-jarretelles avant de les y fixer. Il me fallait pour cela toucher les cuisses de ma mère et j'eus beau m'efforcer de simplement l'effleurer devant la douceur et la chaleur de sa peau je bandai pour la première fois de cette affreuse journée.

Les voyous s'en aperçurent et éclatèrent de rire. Le chef s'esclaffa :

-Tu vas pas jouer les chochottes, mon mignon! Je t'ai pas demandé de prendre le relais de ton père pour te voir jouer les frôleurs. Tu vas lui mettre la main au con, à ta petite maman, et commencer par lui creuser la fente... Je veux que tu la fasses mouiller.

Ma mère eut un sursaut et eut la force d'articuler :

-Oh s'il vous plaît, s'il vous plaît!

-Et comment que ça nous plaît! la coupa-t-il.

Et il ajouta en ricanant à l'adresse de la bande :

-Pas vrai les gars , que ça nous plaît?

Les rires s'amplifièrent.

C'est ainsi qu'hésitant et fébrile, je portai pour la première fois la main à la chatte de ma mère, pendant que celle-ci, morte de honte, se cachait le visage des siennes. Bientôt cependant je sentis mes doigts s'humidifier et ses cuisses s'entrouvrir imperceptiblement malgré elle...

(à suivre)

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 heures

beacoup moins bien que la 1ere partie dommage....

titanic1865titanic1865il y a 6 jours

bonjour super histoire mais les chapitres sont bien trop court :o . svp faite plus long même si ils aura moins de chapitres

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