La débauche de Manon

Informations sur Récit
Un père surprend sa fille et ne peut résister.
2.1k mots
4.38
31.1k
6
0
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 04/06/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Le claquement des chairs résonnait dans la chambre de Manon. A l'écran, un homme d'une trentaine d'années, corps musclé et hâlé par une cabine UV hors de prix pénétrait à grands coups de reins dans la fente humide d'une jolie blonde à peine majeure, attachée sur un lit, bras et jambes écartées.

Manon savait très bien que cette vidéo n'était que du cinéma. En tant normal, elle aurait souhaité une vidéo plus amateure, car selon elle, rien ne valait la vraie vie. Mais ces acteurs étaient incroyablement séduisants et le scénario était un de ses préférés.

Bon d'accord, il n'y avait pas vraiment de scénario : la blonde était une jeune fille rentrant de l'école, surprise par son père en train d'essayer des tenues aguicheuses pour son petit copain et... une chose en entrainant une autre, elle se retrouvait totalement à la merci d'un homme qui l'utilisait comme une salope.

Manon se mordit la lèvre et baissa le son de l'ordinateur, priant pour que personne n'entende. Bien qu'elle eût fermé sa porte, elle ne voulait pas qu'on vienne la déranger. Déjà, elle voulait profiter à fond de son moment d'intimité, et elle ne pensait pas qu'elle puisse surmonter l'humiliation.

D'une main fébrile, elle vint à se caresser la poitrine du bout des doigts. Elle n'était pas très sensible des tétons, mais imaginer qu'un garçon puisse la toucher ainsi... Ses petits bouts de chair étaient durs et pointaient sous son tee-shirt, malgré la présence de son soutien-gorge. Les yeux fixés sur la queue de l'acteur, entrant et sortant de cette chatte dégoulinante de cyprine, hypnotisée par le caractère sexuel et obscène de la scène, elle ne put s'empêcher de rouler des hanches sur sa chaise de bureau.

Putain... elle aussi voulait sentir en elle une bite bien chaude et dure, venant la caresser de l'intérieur et trouver l'endroit qui lui procurerait le plus de plaisir. Mais elle ne voulait pas se toucher pour autant. A peine effleurerait-elle son clitoris qu'elle jouirait immédiatement, elle le savait. Et Manon adorait faire durer le plaisir.

Encore vierge à l'âge de 18 ans, quand toutes ses amies avaient eu leurs premiers rapports ces deux dernières années, Manon devait se contenter de ses doigts, devenus experts par la force de l'expérience.

De nature réservée, elle ne semblait attirer l'œil de personne. Et dès qu'un garçon croisait sa route, elle rougissait et baissait les yeux, prête à faire un large détour pour éviter de croiser la route du spécimen masculin. Elle ne se sentait pas spécialement belle, et savait que la plupart des garçons du lycée ne la regardaient même pas de cette façon. Mais le côté prude qu'elle montrait aux autres était sûr de ficher en l'air toutes ces maigres perspectives de trouver un partenaire amoureux.

Pourtant, toutes ses copines étaient les premières à dire qu'elle n'avait pas de quoi avoir honte. D'accord, elle ne faisait pas du 36 et avait un petit ventre rond, mais ses fesses bien rebondies et ses seins assez amples pour remplir la paume d'une main avec aisance étaient des critères qu'elles voudraient bien avoir aussi. Ses lèvres étaient charnues, ses yeux noisette tiraient au vert sous les rayons du soleil. Une magnifique chevelure descendait jusqu'au milieu de son dos, et une fossette venait ponctuer sa joue lorsqu'elle souriait, détournant l'attention de ses dents un poil trop grandes pour sa bouche.

Un jour, elle trouverait quelqu'un. En attendant.... Elle profitait d'un moment de solitude, et se dit qu'elle devrait enlever son jean si elle ne voulait pas le salir. Son jus intime avait déjà complètement trempé sa petite culotte et elle le sentait dégouliner entre ses cuisses jusqu'à la rainure de ses fesses.

Elle déboutonna son pantalon, et ne put s'empêcher de glisser une main à l'intérieur. Si ses doigts venaient juste effleurer les lèvres de sa chatte...

-Manon? Tu veux quoi pour le dîner?

Elle sursauta et d'un bond et se retourna, le visage cramoisi et le cœur battant à tout rompre. Merde, merde, merde !

La porte venait de s'ouvrir sur son père, la main prise dans la culotte.

-Qu'est-ce que tu fais?

Un moment de silence gênant s'empara de la pièce, silence rompu uniquement par les râles de plaisir venant de l'ordinateur.

Sortant de sa transe, Manon ferma l'écran d'un coup sec et prit une profonde inspiration.

-Je.... Regardais un truc. Rien d'intéressant.

La gorge nouée et les larmes aux yeux, elle n'osait pas se retourner.

Elle entendit quelques pas s'approcher d'elle et son cou s'enfonça dans ses épaules. Que n'aurait-elle pas donné pour disparaître à cet instant !

-Ecoute ma chérie... On va faire comme si rien ne s'était passé, d'accord? Y a pas de quoi... enfin, tout le monde a déjà regardé...

-Papa, s'il te plait tais-toi.

Il soupira et Manon essuya une larme qui coulait le long de sa joue.

-Je ne dirai rien à ta mère.

Sans répondre, elle hocha la tête et prit une profonde inspiration avant de se tourner légèrement vers lui.

Il semblait mal à l'aise, les yeux sur le sol, mais ne voulait apparemment pas quitter la pièce sans preuve que tout irait bien entre eux encore.

La jeune fille se racla la gorge et passa une mèche de cheveux derrière son oreille.

-Merci.

A ce moment-là, il croisa son regard et lui jeta un sourire attendri.

Manon, toujours confuse, lui sourit à son tour mais quelque chose attira son attention.

Quelque chose à hauteur de son visage, entre les jambes de son père. Quelque chose qui semblait être un peu plus impressionnant que d'habitude.

-Oh...

Est-ce que son père aurait une érection, là, tout de suite? On dirait bien que oui ! Son entrejambe n'était pas aussi voyant d'habitude... A cet instant, une forme allongée se dessinait sous le jeans de son père, qui descendait légèrement vers le haut de sa cuisse. Manon se surprit à se demander à quoi ça ressemblerait, sans le pantalon. Coincé dans un boxer, prêt à sortir sous l'excitation, le membre dressé et fier prêt à s'engouffrer dans un trou humide et étroit...

La jeune fille resserra les poings sur ses genoux et leva les yeux difficilement vers ceux de son père.

Le regard sombre et la mine grave, lui aussi avait compris ce qu'il venait de se passer dans la tête de sa fille chérie.

Il fit un pas de plus vers elle, et Manon se força à respirer. Les battements de son cœur, qui avaient commencé à se calmer, venaient de repartir de plus belle.

Il tendit la main vers son visage et la posa sur ses cheveux dans une tendre caresse.

-J'espère... j'espère que je ne te fais pas peur, de réagir comme ça, dit-il dans un murmure.

Elle secoua la tête et observa à nouveau son bas-ventre. Il semblait avoir encore grandi. Manon serra les cuisses et ferma les yeux. Les doigts de son père venaient de quitter sa chevelure et traçait désormais un chemin le long de sa joue, contre sa pommette brûlante de nervosité, jusqu'à atterrir le long de sa bouche asséchée par l'envie.

Un léger gémissement sortit de la bouche de la jeune fille quand le pouce de son père vient effleurer sa lèvre inférieure.

-Tu es tellement sexy comme ça, Manon...

Le compliment lui fit l'effet d'un électrochoc. Elle ouvrit immédiatement les paupières, plongeant son regard dans celui de l'homme qui se tenait en face d'elle. Ce n'était plus son père, mais un homme, et elle une femme qui brûlait d'envie de quelque chose. Elle ne savait pas encore quoi, elle savait juste qu'elle accepterait n'importe quoi venant de lui s'il lui permettait d'étancher sa soif de plaisir.

-Tu as une très belle bouche.

Il passa son pouce à travers ses lèvres, qu'elle entrouvrit avec avidité. Il le laissa reposer sur sa langue, et elle commença à le suçoter lentement, ne lâchant pas son regard.

Nicolas était un homme grand, il devait bien faire une tête de plus qu'elle. Brun comme elle mais grisonnant aux tempes, il avait les yeux noirs et le teint mat, contrairement à la peau blanche de Manon. Il était déjà séduisant en général, selon le dire de ses copines, mais à ce moment-là, elle le trouvait plus excitant que tous les hommes qu'elle avait croisés auparavant.

-Défais mon pantalon Manon.

Mains tremblantes, elle s'exécuta en un instant, comme si ce qui se trouvait en dessous était un délicieux gâteau après avoir passé un régime de vingt ans. Ce qui était assez vrai en soi...

-Gentille fille.

Elle frissonna à nouveau sous le compliment, ce qui n'échappa pas à l'œil attentif de son père.

-Tu aimes ça? Qu'on te dise des choses?

Elle n'en savait rien. Personne ne lui avait dit des choses avant. Mais vu sa réaction, il y avait de fortes chances pour que ça soit le cas.

Nicolas dégagea le pouce qu'il avait dans sa bouche et se pencha vers elle. Son souffle caressa son visage et elle appuya sa joue contre sa main, telle une chatte en manque d'affection. Si elle pouvait ronronner, elle le ferait.

-Suce moi Manon. Sois une belle petite suceuse et prends-moi dans ta bouche. Je sais que tu en as envie.

-Oui papa.

Une fois le pantalon défait, elle le baissa le long des cuisses de Nicolas, juste assez pour avoir accès à son boxer. Comme elle se l'était imaginée, la queue de son père semblait à l'étroit dans le bout de coton bleu marine. Il semblait long et assez épais, mais elle ferait tout ce qu'elle pourrait pour le prendre le plus profondément possible. Avec une main, elle caressa le membre à travers le tissu, explorant la partie intime de son père qu'elle allait désormais connaître de plus près. Il était tellement dur déjà... Au bout, une perle de liquide venait de traverser le coton, laissant une trace sombre qui venait souligner le gland. Manon voulait le goûter, alors elle posa sa langue dessus et gémit sous le goût salé de l'essence de Nicolas.

-Manon... grogna-t-il.

Sans attendre plus, elle glissa ses doigts sous le rebord de son sous-vêtement et le fit glisser pour libérer son sexe tendu.

Il resserra son emprise sur sa tête et l'approcha de son pénis. Elle ne se fit pas prier, ouvrit la bouche et tira la langue vers le gland brillant de jus salé.

Doucement, elle commença à le lécher, chassant toute trace de sperme du bout de sa bite avant de cheminer le long du membre. D'une main, elle empoigna sa queue et recommença ses coups de langue félin de bas en haut, s'attardant de plus en plus sur la source de liquide blanc.

-Mmmh, quelle bonne petite salope tu fais...

Mon dieu, un élan d'excitation s'empara de son con trempé. Oui, Manon était une salope ! Une petite pute prête à tout pour satisfaire son père. Elle n'était qu'une bouche bonne à sucer les queues des hommes.

Avec encore plus d'ardeur, elle engloutit le bout du pénis de Nicolas et commença à le sucer plus longuement. Inconsciemment, elle écarta les cuisses et fit rouler sa chaise de bureau toujours plus près de cet homme, posant les mains sur ses hanches pour le prendre plus facilement.

-Bordel Manon, ta bouche est divine.

Elle fit des mouvements de va et vient avec sa tête, faisant glisser sa bite toujours plus loin dans sa bouche. La queue chaude dégoulinait de salive et le parfum entêtant de son père ne faisait qu'accroître son envie de baise. Elle se sentait tellement excitée qu'elle pourrait presque jouir sans toucher sa chatte en feu.

Elle déplaça une main et alla la déposer sous sa queue, pour effleurer ses couilles de ses doigts légers. Elle avait vu une vidéo où l'actrice prenait un malin plaisir à malaxer les boules de son partenaire, le tourmentant de la plus délicieuse des façons. Aussi, elle décida de l'imiter, ce qui sembla exacerber l'agressivité de son père.

La main de celui-ci commença à l'accompagner de plus en plus vite, pour qu'elle le prenne de plus en plus profondément. Tous ses sens n'étaient que sexe et plaisir, et le feu dans son bas-ventre était toujours plus intense.

-Putain Manon, je vais jouir !

Elle grogna d'approbation et redoubla d'efforts, même si elle commençait à avoir mal à la mâchoire. Maintenant qu'elle avait goûté Nicolas, elle voulait absolument le goûter tout entier. Le dévorer. L'engloutir. Elle était affamée de son foutre, voulait sentir son sperme dans sa bouche, contre sa langue, au fond de sa gorge, glissant en elle et absorber la moindre goutte de ce liquide précieux.

-Oh Manon !

Yeux écarquillés, il admira sa fille qui avala son foutre avec délectation.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Le Vrai Métier de Maman En me payant une escorte, je fais une sacré découverte...
Mon Père Un récit que j'ai vécue en rêve,
Mon oncle Henri 01 Impétueuse je perds mon pucelage.
Éducation Maternelle Une mère doit s'occuper de son enfant.
Ma Sœur Et Moi (01) Ma sœur et moi... Et une amie !
Plus d'histoires