Les Chiennes de L'entraineur...

Je m'appelle Guillaume, 19 ans, étudiant en médecine et footballeur amateur au club de foot de Moulins, ville de province très collet monté ou j'habite avec mes parents. Ce club est une fierté locale car son entraineur , Bruno Fortini, est une ancienne gloire de l'équipe de France. Dans les années 80, c'est grace à un but mémorable de Fortini que la France avait gagné la Coupe du monde. Depuis, monsieur Fortini avait pris sa retraite à Moulins ou il s'occupait des joueurs amateurs du club. Il était de notoriété publique que parfois les sélectionneurs des grands clubs nationaux demandait à Fortini si il n'aurait pas des poulains dans son équipe qui pourrait devenir les futurs Zidane ou Benzema. Tout les joueurs esperaient un jour être selectionnés. Et parfois les parents encore plus que les joueurs.

Mon père, François, n'est pas souvent à la maison. Il travaille sur Paris et ne rentre que le week-end. Et encore...

Ma mère s'appelle Chantal. 48 ans. Grande , blonde, Maire-adjointe chargée des Sports à la mairie de Moulins. Ce qui m'a bien aidé pour faire parti du club de foot de Moulins.

Ce dimanche un match devait avoir lieu contre l'équipe adverse de la ville voisine.

Coup de sifflet. Les joueurs rentrent sur le terrain. Les spectateurs dans les tribunes applaudissent. Il s'agit surtout des parent, amis et passionnées de foot de la ville. En tant que maire-adjointe, ma mère, Chantal, est dans la tribune officielle, si l'on peut appeler ça comme ça. Je l'observe de loin. Elle est magnifique dans un tailleur blanc qui la moule comme un gants. Ses jambes croisées très haut devoilent ses cuisses gainées de bas blancs.

Elle est en grande discusion avec notre entraineur en attendant qu'il nous rejoigne. A ses coté, madame Sandrine Bertier exhibe également ses jambes gainées de bas gris fumés. Sa jupe noire s'arrete à mi-cuisses. Madame Bertier est l'épouse du notaire de Moulins et surtout la mère de mon meilleur ami Alain. A coté d'Alain, sa petite copine, Caroline. Moi qui n'ai pas de copines, je suis un peu jaloux d'Alain. Caroline est vraiment canon. Elle porte un short en cuir sur des collants résilles noirs avec des bottes.

Deuxième coup de sifflet. Le match commence..,

A la mi-temps , nous étions en tête avec deux buts à zéro.

Nous nous rendons dans les vestiaires. Je vais pisser un coup et j'attends la reprise. J'entends un cri venant de la pièce qui sert de rangements . Je ne comprend pas. Je vais jeter un œil.

Je reste stupefait par ce que je vois.

Madame Bertier, jupe troussée, dévoilant ses bas auto-fixants, sans string, debout sur ses talons aiguilles, se fait doigter par Caroline sous les yeux de mon entraineur monsieur Fortini.

Madame Bertier halète la bouche ouverte en secouant la tête de droite à gauche. Caro agite ses doigts dans la vulve dégoulinante de la mère d 'Alain. J'entend les clapotis de ma cachette. Je bande devant cette scène hallucinante. Monsieur Fortini a sortit son membre en pleine érection et se masturbe lentement en regardant l'épouse du notaire se faire branler par la copine de son fils.

J'entends Caro insulter « belle-maman ».

- Petite chienne! T'aime ca salope, te faire branler....

Madame Sandrine Bertier se mord les lèvres tout en ondulant du bassin...

- Oui....Oui....Bafouille t'elle...

Caroline obligea Sandrine à s'acroupir devant l'entraineur. Il enfonça sa bite dans la bouche de l'épouse du notaire forçant le barrage de ses lèvres rouges. Madame Bertier eut un haut le cœur et manqua recracher le sexe de l'entraineur. Je me fait la reflexion que pour son âge, plus de 65 ans, monsieur Fortini bande de façon fort raisonnable.

Caroline guide Sandrine en la tenant par les cheveux faisant coulisser la bite de Bruno Fortini dans la bouche de la mère d'Alain. Tout en continuant de la doigter et en tapottant sa vulve ce qui arrache des plaintes à madame Bertier. L'entraineur fait coulisser sa bite de plus en plus vite entre les lèvres de Sandrine qui salive dessus, lèche la hampe, titille le gland avec sa langue. Monsieur Fortini poussa un grognement rauque et il éjacula libérant un torrent de sperme qui gicla sur la figure de l'épouse du notaire qui se retrouve barbouillé de sperme.

Au même moment, retentit le sifflet annonçant la fin de la mi-temps et la reprise du match....

Les hurlements et les cris de victoire couvrirent le coup de sifflet de l'arbitre annonçant la fin du match. Mon équipe était victorieuse haut la main. Alain vient me taper dans le dos. Le pauvre....Si il savait que je viens de voir sa mère faire une pipe a notre entraineur tout en se faisant doigter par sa copine....

Nous sommes tous dans les vestiaires. Exultant notre joie. Bruno Fortini nous félicite et nous dit que nous avons jouer collectif...

Caroline débarque soudain avec madame Bertier et ma mère. Chantal a l'air mal à l'aise de se retrouver dans les vestiaires d'autant que la moitiè des joueurs ne sont pas encore rhabillé. Je la regarde surpris et aussi géné qu'elle. Elle commence un petit discours félicitant les joueurs sur leurs performances et remercie monsieur Fortini qui n'arrête pas de reluquer ses jambes.

Caroline pousse la mère d'Alain vers les douches. Elle pouse un petit cri en découvrant les joueurs dont son fils totalement nue. Alain s'en apperçoit.

- Mais Caro enfin! Dis à maman de partir...

Caroline eut un sourire sadique.

- Tu sais ta mère c'est une vraie chienne....Elle suce la queue de ton entraineur....

Stupeur des joueurs et d'Alain. Caroline poussa madame Bertier vers l'entraineur qui sortit sa bite de son pantalon. Caroline courba madame Bertier en avant. En équilibre sur ses talons, elle prit en bouche le sexe de l'entraineur sous le regard médusé des joueurs.

Alain les yeux hors de la tête pousse un cri.

- Maman!! Enfin...

Mais sa mère bouffe la queue de Fortini qui grogne sous les caresses de l'épouse du notaire.

Pendant ce temps, ma mère voyant ce spectacle immonde tenta de quitter les vestiaires. Mais l 'arbitre et des joueurs la rattrapèrent. Elle se retrouve encerclée par des joueurs qui se collent à elle lui montrant bien qu'ils bandent comme des malades devant le spectacle de la mère d'un des joueurs en train de pomper leur entraineur. Les mains s'égarent dans l'échancrure de la veste de son tailleur, on lui palpe les seins, les fesses sont malaxées. On parvient à retrousser sa jupe dévoillant les jarretelles ou sont accrochés les bas blancs satinés. Cris et sifflement emplissent les vestiaires. On ouvre la veste du tailleur et les sifflements redoublent quand on découvre que ma mère, la maire-adjointe porte un guepiêre blanche. Chantal, rouge de honte, le souffle court , tente de se dégager mais les mains des joueurs la malaxent, les doigts s'engouffrent dans la fente de maman. Celle ci hoquette, gémit, decoiffée, en sueur, elle titube sur ses talons.

Avec Alain nous tentons de sortir nos mères respectives du guêpier ou elles viennent de tomber. Mais nous sommes vites maitrisés par nos potes qui nous attachent avec des serviettes malgré nos supplications. Nous sommes ligotés sur des chaises et nous assistons, impuissants, à la déchéances de nos mamans.

Chantal se retrouve à genoux devant trois bites qui s'enfoncents dans sa bouche la faisant s'etouffer. Les larmes aux yeux, elle a des haut le cœur tentant de recracher les bites qui s'enfoncent malgrés tout dans sa bouche.

Sandrine, machoire déformée par la bite de l'entraineur et celle d'un autre joueur, salive dessus. La bave coule sur ses seins qui ont été dégagé du soutient-gorges. Derrière elle, des doigts s'égarent dans sa fente.

Devant mes yeux, Chantal, ma douce maman, se retrouve debout sur ses talons aiguilles, penchée en avant elle pompe la bite d'un joueur pendant qu'un autre la tenant aux hanches la pilonne comme fou. Son ventre vient claquer contre ses fesses.

Sandrine empalée sur la queue de l'arbitre s'agite sur sa bite, ses seins ballotant dans tous les sens pendant qu'elle suce la queue de l'entraineur. Les cris et les gémissements emplissent les vestaires. Je vois distinctement et à mon grand desespoir ma mère se faire tringler comme une chienne par mes copains de foot. Un d'entre eux donne de violents coups de reins faisant gémir ma mère, rouge, décoiffée...

La femme du notaire se retrouve empalé par une bite, enculée par une autre pendant qu'elle doit donner des coup de langue sur la chatte de Caroline. Horrifié, Alain regarde sa mère lécher la chatte de sa copine. Celle ci ondule du bassin pour mieux sentir la langue. Madame Bertier pousse de longue plainte pendant que les deux joueurs la bourrent sans ménagements.

Debout, un pied posé sur le banc, ma mère est positionné devant moi. On me dégage la bite. Je bande comme un fou et tout le monde éclate de rire.

On oblige ma mère malgré ses supplications, de me prendre en bouche. Je ne peux m'empécher de pousser un soupir d'aise en sentant la lange de ma mère me titiller le gland. Très vite, la mère d'Alain doit faire la même chose. Nous nous retrouvons donc Alain et moi pomper par nos propres mères. Chantal me suce la bite comme une pro. Salivant dessus, me léchant les couilles...A quatre pattes, Sandrine pompe la bite de son fils pendant que l'arbitre continue de l'enculer. A ce ryhtme là nous ne tardons pas à jouir Alain et moi. Notre sperme giclent allant s'écraser sur le menton et le nez de nos deux mères....

Mais l'orgie continue dans les vestiaires. Chantal et Sandrine seront baisées comme des chiennes pendant deux heures. Enculées, obligées de sucer des bites à la chaine. Elles sont recouvertes de foutres. Tous les joueurs éjaculent sur leurs seins, leurs visages...Des filaments de sperme tombent par terre et on les contraint à nettoyer le sol avec leur langues a grand renfort de claques sur les fesses.

La nuit était tombé quand les joueurs, l'arbitre et l'entraineur ainsi que Caroline, qui n'était plus la copine d'Alain , est il besoin de le preciser, nous laissérent tranquille. Chantal et Sandrine nous détachèrent et nous demandèrent d'oublier cette effroyable histoire....

Le lendemain matin, je rentrais des cours plutot que prévue, un prof étant absent. Je pousse la porte de notre pavillon et je reste interloqué devant le spectacle qui s'offre à moi.

Madame Bertier, l'épouse du notaire, simplement vétue d'escarpins rouge dont les talons aiguilles sont en acier est à quatre pattes au milieu de notre salon. Elle se fait enculer par Caroline équipée d'un gode-ceinture qui lui donnant de violents coups de reins pendant qu'elle suce la bite du.....père d'un des joueurs de mon équipe.

Je tourne la tête, ma mère Chantal, pompe la bite d'un autre père d'un des joueurs. Les salauds ont prevenus leurs pères qui veulent tous profiter du cul et de la chatte de ces deux respectables bourgeoises....

Ma mère debout sur ses talons à brides, vétue de bas résilles accrochées à un portes-jarretelle en vinyle, gémit sans discontinuer sous les coups de reins de l'entraineur monsieur Forsini dont le gros ventre vient claquer contre ses fesses.

Je compte une dizaines de types dans notre pavillon.

Sandrine est entrainée dans notre jardin et, à quatre pattes, Elle gémit sous les coups de reins d'un père et de son fils qui la prennent en double.

Ma mère se retrouve dans notre garage, plaquée sur le capot de notre mercedes, elle subit les assauts répetés de trois pères de joueurs qui la baise sans relâche.

Toutes les pièces de notre pavillon y passe. Chantal se retrouve empalée sur le gode de Caroline assise dans notre canapé. Ma mère gigotte sur la bite en latex, les yeux exhorbités, les cheveux en bataille, elle pousse des cris. Sandrine a été entrainée dans la cuisine pour le motif de préparer le diner et je l'entend gémir et crier...

Je m'y rend et découvre la mère d'Alain allongée sur la table de la cuisine ou on fait coulisser un concombre dans sa chatte trempée pendant qu'elle suce des bites.

- J'ai une idée, cria soudain l'entraineur, Y va baiser sa maman....

Chantal et moi, nous protestons mais rien y fait.

Ma mère est poussée vers la table de notre salon, debout sur ses escarpins.

Sous les encouragements du groupe, je sort ma bite, déjà bien bandée, et je pénètre ma mère qui pousse un cri rauque.

Je l'attrape aux hanches et je commençe un va et vient d'abort lent puis de plus en plus rapide. Mon ventre vient claquer contre ses fesses. Ma mère pousse des gémissements. A coté d'elle, Sandrine se fait baiser par l'entraineur. Leurs cris résonnnent dans le pavillon. Complètement excité, je jouie en lachant des trainées de sperme sur les fesses blanches et tremblantes de ma pauvre maman.....

N'en pouvant plus, la dizaines de types qui se trouvent dans notre pavillon éjaculèrent sur les visages ravagées de Chantal et Sandrine. Recouvert de sperme, elles restent prostrées sur la moquette de notre salon pendant qu'ils prennent tous congès nous abandonnant la.

Le dimanche suivant, il devait y avoir un autre match. J'arrive à l'entrainement à l'avance et me rend dans les vestiaires. Je comence à me préparer qaund j'entends des cris.....Non....Ce n'est pas possible...

Je me précipite vers le locale.....

Ma mère, Chantal, un pantalon de cuir baissée sur ses chevilles, les seins dégagées de son haut blanc qui gigottent sous les coup de pine de Bruno Forsini, halète, en se mordant les lèvres. L'entraineur me surprend à jouer les mateurs.

- Eh! Guillaume, au lieu de mater, viens donc te faire sucer par ta chienne de mère.....

Lâchement, je m'avance dans la pièce....

Fin?

A suivre...?

Franchement, je ne sais pas....

A vous de me dire....