L'entretien

BÊTA PUBLIQUE

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-- Je rajoute tout cela à votre dossier, c'est extrêmement intéressant. Je pense que nous allons pouvoir avancer sur ces éléments là.

-- Si vous le dites.

-- Revenons un peu sur le port de la cage de chasteté si vous le voulez bien. Est-ce que vous avez été amené à la porter souvent?

-- Oui, un peu tout le temps je dirais.

-- Vous voulez dire que vous la portiez sur de longues périodes?

-- Exactement. Pour être plus précis, le port de la cage était devenu la norme dans notre vie de couple et dans notre vie sexuelle.

-- Oh... je note tout cela... Et à combien estimez vous le nombre de libérations sur une période... de je ne sais pas... disons 1 fois par mois?

-- Madame, vous êtes très loin du compte. Léa sortait les clés de ma cage de chasteté environ 1 fois par an seulement; à l'occasion de mon anniversaire généralement, où j'avais le droit de faire ce que je voulais avec elle.

-- mmm et qu'est ce que vous désiriez faire dans ces cas là?

-- Je vous laisse imaginer...

-- Non, j'ai besoin de l'entendre de votre part. C'est important pour votre dossier.

-- Bon, et bien c'était pour moi l'occasion de profiter d'une fellation, de pouvoir la pénétrer et si l'envie me disait, j'étais même autorisé, à... passer par derrière vous voyez?

-- Une aubaine pour vous j'imagine.

-- Oui, cependant Léa imposait une seule limite. Je n'avais le droit qu'à une seule éjaculation.

-- Une seule?

-- Oui. Une seule. Je vous ai déjà parlé de sa passion pour le contrôle de mes orgasmes. Cependant, cette fois il n'était pas question d'orgasme ruiné, ou de "torture post-orgasme", c'était pour moi l'occasion de jouir pour de vrai, completement, sans réserve.

-- Joli cadeau d'anniversaire... Du coup, cela signifie que vous avez enfin eu le droit à votre "première fois"?

-- Oui bien-sûr. Ça a d'ailleurs eu lieu un peu après l'événement de la remise des clés.

-- En parlant des clés. Les gardait-elle dans une cachette ou bien y aviez-vous accès?

-- Léa gardait les deux clés sur elle en permanence. L'une accrochée à une fine chainette en argent autour de son cou et l'autre sur la même chaînette, mais autour de sa cheville.

-- Pardonnez ce trait d'humour, mais on peut dire qu'elle s'était fait une parure avec vos bijoux de famille.

-- Très amusant docteur.

-- Pardon. Plus sérieusement, est-ce que vous aimiez porter votre cage?

-- En définitive je dirais que oui. Alors évidemment c'était souvent difficile. Surtout au tout début où les nuits étaient horribles. Il a fallu du temps pour que mon corps s'habitue et que la contrainte ait raison des quelques érections rebelles qui pouvaient venir me perturber. Et toutes les relations sexuelles que j'ai pu avoir avec Léa étaient une vraie torture pour être honnête, mais lorsque je la retirais, je me sentais totalement nu (en plus d'être systématiquement nu lorsque Léa me la retirait). Ce que j'aimais plus que tout, c'était le sentiment d'appartenance, c'était le sentiment d'avoir un objectif, d'avoir une ligne de conduite et surtout c'était la reconnaissance de Léa qui rendait la chose très supportable.

-- Pourriez-vous me raconter votre première fois? Je pense que nous pourrions y trouver des éléments intéressants pour votre dossier.

-- Bien-sûr. C'est une histoire très courte cependant...

-- Vous m'intriguez, allez-y.

Et bien à cette occasion, Léa m'avait chauffé toute la journée avec des tenues complètement hors contextes mais qui m'excitaient énormément. La soirée débutait lorsqu'elle me demanda de me déshabiller. Je me rappelle qu'elle utilisait un langage plus cru qu'à l'accoutumée. Par exemple, elle saisissait ma cage en serrant mes testicules et me chuchotait à l'oreille : « mmm C'est qui l'étalon qui va me prendre comme une chienne? Je suis sûre que tu t'imagines déjà me remplir avec ça. » Elle détacha ensuite la clef qui était autour de sa cheville puis ouvrit ma cage de chasteté. Mon érection déjà bien présente éjecta quasiment le tube. Elle regarda puis me prit en main : « mmm et bien on dirait que tu es prêt. » à quoi je répondis que oui j'étais prêt. « Calme tes ardeurs jeune homme, je vais te demander de ne pas prendre de mauvaises habitudes et de te présenter dignement avant toute pénétration. Il faut me chauffer un peu. » Léa s'allongea sur le lit pour que je puisse embrasser son entre-jambes. Après quelques minutes de plaisir pour elle et d'impatience pour moi (je ne pouvais m'empêcher de donner des coups de reins sur le matelas) elle m'autorisait à rentrer en elle. Je m'insérait, la sensation était magnifique. Elle ne disait rien. Elle me laissait faire. Une fois rentré le plus au fond possible, je fus surpris par la rapidité et la puissance de mon orgasme. Tous mes membres tremblaient. Léa me dit : « Tu as déjà fini? Normalement on est censé faire plusieurs va-et-vient avant de jouir. » avec un sourire légèrement moqueur. Je lui demandais si au moins elle avait pris un peu de plaisir. Je m'excusais platement. Tout en sortant mon pénis. Instinctivement, pour me racheter, je repris ma place entre ses cuisses pour terminer ce que j'avais commencé un peu plus tôt. Je ne pensais même pas au fait que j'avais joui en elle que j'allais forcément retrouver la semence que j'y avais laissé. Qu'importe. Le plus important pour moi était de contenter ma partenaire. J'y étais habitué maintenant. Après quelques coups de langue seulement elle faisait beaucoup plus de bruit que pendant ma pénétration. Elle jouissait enfin. Une fois notre soirée terminée, elle m'annonçait : « J'espère que tu as apprécié ta première fois. Tu ne seras pas libéré avant un long moment. La prochaine fois, il faudra travailler un peu ton endurance. C'était... Mignon. »

-- Vous savez, les premières fois sont généralement très courtes et rapides.

-- Oui je le sais bien. Mais bon sur le moment j'ai pensé à mon plaisir uniquement et je m'en suis voulu.

-- Et dites moi, cela ne vous a pas dérangé de manger votre semence?

-- Non c'était même plutôt excitant et je crois que ça lui a beaucoup plu.

-- C'est tout à votre honneur vous savez. Beaucoup d'hommes sont répugnés par leur propre sperme alors que ces mêmes hommes demandent à leur compagnes de les sucer jusqu'à l'orgasme.

--...

-- Voulez vous aborder un autre sujet?

-- Oui, mais c'est un moment qui me gêne un peu. Notre vie de couple ou du moins sexuelle à connu à chavirement à un moment donné. Je n'en ai jamais parlé à personne.

-- Très bien, racontez moi simplement comme vous le sentez, telles que les choses vous viennent.

Après 3 ans de relation, nous avons décidé de nous marier. C'est moi qui ai fait la demande. Elle a accepté immédiatement.

Nous avons mis 8 mois à organiser la cérémonie, les invitations, le repas etc. Nous étions tous les deux extrêmement heureux. Durant toute la cérémonie, le vin d'honneur et le repas, planait une énorme tension sexuelle entre nous. Elle passait son temps à effleurer ma cage à travers mon pantalon de costume. Elle m'avait aussi fait comprendre qu'elle ne portait pas de culotte. Les festivités terminées, les invités partis sauf quelques-uns qui dormaient dans la demeure que nous avions loué pour l'occasion, nous nous retrouvâmes enfin seuls dans la chambre nuptiale.

Elle me sauta littéralement dessus et arracha ma chemise. Elle se frottait sur ma jambe tout en m'embrassant. Je savais que j'avais une chance d'être libéré exceptionnellement pour l'occasion. L'idée de jouir à nouveau en elle me comblait d'avance. Puis vint le moment où Léa ouvrit mon pantalon « Ooh mince j'oubliais, ce n'est pas le jour de ton anniversaire, je ne peux pas t'ouvrir. » Je tentais une argumentation comme quoi j'avais tellement envie d'elle et de lui faire l'amour pour notre nuit de noce. « Mais mon amour, tu vois bien que je n'ai pas tes clés avec moi. Je les ai laissé à la maison exprès pour ne pas céder à la tentation de te libérer. » Son regard transpirait la préméditation et l'envie de me frustrer au plus haut point. « En revanche, j'ai quand même très très envie de faire l'amour, ou plutôt de me faire prendre très sauvagement. Mais hélas tu ne vas pas pouvoir être très utile ce soir. » J'étais dégouté. Je lui ai demandé ce que je pouvais faire pour elle. Je la suppliais de me laisser la satisfaire. « Et bien il y aurait bien une solution... Appelle Marc. » Marc était mon témoin et accessoirement mon meilleur ami. Il a toujours été très proche de notre couple et s'entendait à merveille avec Léa. J'étais sous le choc. Léa voulait que j'appelle un autre homme pour pouvoir la soulever le soir de notre mariage.

-- Ne me demandez pas de me justifier ou même une quelconque logique, j'ai pris mon téléphone et j'ai appelé Marc en lui disant de venir dans notre chambre. Je lui expliquais que j'avais besoin de lui, quelqu'un de confiance pour un gros service.

Une fois le coup de fil terminé, étant toujours sur le dos, Léa remonta puis m'étouffa sous sa robe de mariée, entre ses cuisses. « Maintenant, lèche moi! » Elle me chevauchait le visage, à croire qu'elle était possédée par une succube. Puis quelqu'un frappa à la porte. Léa invitait Marc à entrer. Il était estomaqué par le spectacle que nous offrions. Léa se leva puis alla vers lui. Elle lui dit : « Marc, je suis insatiable ce soir. Veux-tu te joindre à nous? » Elle se mit à genoux devant lui puis commença à baisser son pantalon dans le but de lui faire une fellation. « Tu vois mon chéri, je pense que la cage te fait sacrément rétrécir. C'est à ça que doit ressembler une vraie queue.... Et si en plus elle peut tenir plus de quelques secondes... » Elle le prit en bouche comme jamais elle ne m'avait pris. J'étais jalou et tellement excité en même temps. Marc, à la vue des arguments que Léa lui exposait acceptait "notre" proposition. Ses paroles avaient retenti comme un air de défi aux oreilles de Marc : « Ne t'inquiète pas Léa, tu as bien fait de m'appeler pour ton petit problème. » Il porta Léa sur notre lit et la jeta sur le dos. La secousse m'ejecta du bord du lit. Je restais assis par-terre avec le regard qui pointait du l'horizon du lit conjugal. Je demandais si Marc comptait se protéger avec une capote. C'est Léa qui me répondit : « Non pas besoin. Je veux sentir sa queue en moi. » Marc rentrait en Léa. Ce moment me semblait être une éternité. Léa commençait à jouir à haut volume. J'étais là, mais les deux m'ignoraient complètement. Juste ils baisaient comme deux beaux diables. Ce que je n'appréciais pas, c'était que je cela m'excitait plus que tout. Ma cage contenait mon érection, mes boules étaient bleues de frustration et surtout très douloureuses. Marc avait un sacré coup de reins. 15 minutes que je les regardaient s'envoyer en l'air. 15 minutes que je me touchais la cage comme si je pouvais me masturber. Je les enviais. Leurs corps luisaient de sueur. Je ne comptais plus les orgasmes à répétition de Léa. Puis Marc sortit de Léa pour la retourner. Il prit ses deux mains pour lui maintenir dans le dos pendant qu'il la prenait en levrette. Une troisième voix se mêlait à la leur. C'était moi. Je venais d'éjaculer sur le sol. Au moment où je regardais la petite flaque de sperme que j'avais créé, les deux démons s'arrêtèrent un instant pour me regarder puis éclatèrent de rire. Je riais aussi. J'étais gêné.

Enfin Marc prit appui sur Léa pour se maintenir le plus au fond et marqua une pause bruyante où il jouissait à son tour (ce n'était pas trop tôt. Une vraie machine ce mec). Léa trouvait encore un peu d'énergie pour jouir une nouvelle fois.

Marc sortit de mon épouse. Épouse qui le remerciait en haletant encore. Il se rhabilla, nous salua bien bas puis quitta la pièce : « Surtout les amis si vous avez encore besoin de moi, ce sera avec grand plaisir! ».

Ma femme était en létargie sur le lit. Je la désirais plus que tout. J'avais encore plus envie d'elle. Je grimpai à mon tour sur le lit puis saisit ses cuisses humides et poisseuses pour y mettre ma bouche. Il était hors de question que cette nuit de noce se déroule sans ma participation. Je goutais Marc et faisais Jouir encore et encore Léa. Qui finit par abdiquer : « Stop, stop... Je n'en peux plus. » L'objectif était rempli (et pas seulement l'objectif).

-- Vous vous êtes fait cocufier lors de votre nuit de noce? C'est incroyable.

-- Je sais. Mais tout est vrai.

-- Et cela a-t-il changé votre mode de vie?

-- Oui complètement. Léa entretenait plusieurs relations. Pour que cela reste sain et que je sois au courant, toutes ses conquêtes terminaient dans notre lit conjugal. Parfois j'étais autorisé à regarder, mais la plupart du temps j'étais enfermé dans la pièce d'à côté où je ne faisais qu'entendre les cris de mon épouse.

-- Mais elle vous laissait toujours la toucher?

-- La pénétrer vous voulez dire?

-- Oui.

-- Non plus du tout. Je suis resté extrêmement précoce, en plus mon pénis s'est mis à s'adapter à la taille de la cage. Nous avons dû changer de modèle à deux reprises pour prendre toujours plus petit.

-- Plus d'éjaculation du tout?

-- Si, lors de mon anniversaire, si je n'avais plus le droit de la pénétrer, j'avais en revanche le droit de me masturber pour jouir. J'ai fini par prendre l'habitude de me masturber avec ses pieds. Comme ça je pouvais faire cela pendant qu'elle était sur son téléphone, sans trop l'embêter. Dans tous les cas, cela ne prenait pas beaucoup de temps. Quelques secondes généralement.

-- Et actuellement à combien estimez vous la taille de votre pénis?

-- Je dirais entre 7 et 8 cm en érection. Moins de 10 c'est sûr ça!

-- Bien. C'est parfait, je pense que j'ai toutes les informations qu'il me faut pour votre dossier de candidature. En tant que Doctoresse de l'institut Ivy Green, je vous confirme l'acceptation de votre candidature dans notre centre d'enseignement gynarchique. Bravo et bienvenue.

-- Euh merci.

-- Votre rôle au sein de notre institut sera d'assister toutes les résidentes quelles qu'elles soient. Cela ira des corvées, du ménage, du rangement des chambres et de tout ce qui vous sera ordonné par nos résidentes. Nous vous affectons au bâtiment A, étages 4 et 5. Votre prédécesseur a été banni pour cause de comportement inapproprié. Il faut comprendre que nous recherchons de parfaits dévots. Bien que certaines corrections puissent être appliquées en cas de manquements, certains cas sont malheureusement incorrigibles. Une sorte de tare innée à l'homme. Vous serez logés dans les combles de votre bâtiment avec vos congénères, votre nourriture sera composée des restes que vous débarrasserez, vous n'aurez le droit à aucun vêtement personnel. Vous serez tenu d'être parfaitement propre et imberbe. Des sanctions corporelles pourront être prises à votre encontre si l'une de nos résidentes nous remonte l'information. En clair, et pour votre intérêt... Ne les contrariez pas. Faites ce qu'elles vous disent et vous mènerez une existence correcte. Aussi, tous nos employés sont condamnés au port de la cage de chasteté dès l'entrée en poste. Elle ne sera retirée qu'à la fin de votre contrat. En cas de bannissement, elle restera en place et la serrure sera condamnée par soudure à froid. N'espérez aucun acte sexuel avec nos résidentes, ce n'est pas vraiment le genre de la maison. Elles auront plutôt tendance à prendre plaisir à tourmenter leur service d'étage dès lors que vous passerez dans leurs chambres. En cas de marques trop importantes ou bien de blessures une infirmerie vous sera dédiée. Le but étant que vous puissiez assurer votre fonction. Je vous le répète. Ne contrariez pas les résidentes! Il n'est pas rare que l'un de vos congénères finisse au pilori pendant plusieurs jours sur la place centrale du campus. C'est là que l'on peut assister aux mœurs les plus perverses de nos filles.

-- Bien, je serais à la hauteur.

-- En termes de salaire, outre le fait que vous n'ayez besoin de rien, une traite mensuelle vous sera autorisée. Elle sera faite par électro-stimulation ou bien par pénétration. Ceci étant à but médical et non pour vous faire plaisir. Au vu de votre expérience passée, cela me semble plus que généreux.

-- Merci madame.

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2 Commentaires
Au_piedsAu_piedsil y a 2 moisAuteur

Quelques inspirations liées au vécu oui, mais pas plus hélas. Merci !

AurailiensAurailiensil y a 2 mois

Passionnant... et très excitant ! A se demander si c'est du vécu... Bravo et merci

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