La Coloc

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Nathan brise la confiance de sa coloc.
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Le Commencement

C'était pour terminer mes études de droit que j'ai dû monter sur Paris, mais bien évidemment compte tenu des loyers exorbitants dans cette ville et le fait que mes parents aient voulu "m'apprendre la vraie vie" en ne souhaitant pas me payer un appart sur place que j'ai dû trouver une coloc. Oh alors oui, mes parents m'ont bien apporté un peu d'aide à ce niveau-là, ils ont des amis qui ont un fils qui bosse déjà sur place et qui a un bel appart avec une chambre en trop. Le genre de fils à papa à qui tout tombe tout cuit en bouche. C'est donc ainsi que j'emmenageais avec Nathan. Le garçon était mignon, environ mon âge et tout gentil. Afin que la colocation se passe le mieux possible, nous payions nos propres courses, notre propre part du loyer bien-sûr (encore que, lui n'en payait pas vraiment puisque papa et maman étaient là), le ménage était défini selon un roulement et tout allait parfaitement. De même pour que la cohabitation homme / femme ne pose aucun problème, nous avions défini quelques règles :

1. Pas de copine/copain à l'appart,

2. Il ne se passera jamais rien entre-nous,

3. Au moindre souci, il faut en parler tout de suite!

J'insistais beaucoup sur la seconde règle car j'avais rapidement compris que je pouvais lui plaire et qu'il était surtout libre de toute relation (je n'étais d'ailleurs pas bien certaine qu'il en ai déjà eu une...) Bien-sûr je n'en profitais pas. Enfin pas trop. Il arrivait parfois que je lui demande de m'emmener chez une copine ou bien de venir me rechercher, mais cela relevait simplement du service (c'est ça aussi quand on a le permis et une voiture et pas moi!)

Les chaussettes

À l'appartement, finalement nous ne nous croisions que le soir. Ses horaires de boulot étant plus importants que mes horaires de cours, j'avais régulièrement des après-midi de libres avec l'appart pour moi toute seule et si parfois il commençait plus tard le matin, c'était le contraire. Cet après-midi là donc, j'allais pour faire une tournée de linge (seulement mes vêtements, c'était chacun son tas, et chacun ses tournées de linge). Comme régulièrement je cherchais mes chaussettes sales un peu partout dans l'appartement. Comme si elles se cachaient toutes seules à des endroits improbables. Alors je sais que parfois je les retire n'importe où, mais très souvent je les retrouve sous mon lit alors que je suis absolument certaine de ne jamais les jeter là. Je ne sais pas pourquoi, mais j'eu envie d'aller jeter un œil dans la chambre de Nathan. Je fus très surprise et en même temps bien curieuse de savoir ce que trois de mes chaussettes sales faisaient sur son lit. En les récupérant, ce fut par-contre le dégoût qui m'emportait lorsque je vis que l'une d'elle était toute raide, elle tenait quasiment debout toute seule!! Euurk, ce gros porc se branlait dans mes chaussettes sales. Je veux dire, que ce soit crade, c'est une chose, mais surtout j'avais confiance, enfin disons plutôt que je ne soupçonnais absolument pas ça de lui.

Je n'allais pas pouvoir laisser passer une telle chose. J'avais la tête en pleine ébullition. J'avais envie de le faire payer pour ça. C'était indécent, je me sentais souillée.

Remise en place

J'attendais donc qu'il rentre à l'appart et qu'il se pose quelques minutes dans sa chambre pour bien aller le cueillir dans sa zone de confort. J'entamais la conversation d'un ton calme :

- "Nathan, je peux rentrer?"

- "Oui bien-sûr, qu'est-ce qu'il y a?"

- "Ce qu'il y a, c'est que j'ai trouvé ça cet aprèm en cherchant mon linge sale!" Je lui jetais mes vieilles chaussettes engorgées de sperme séché.

- "Hum oui ok, ce sont tes chaussettes et...?" me sortait-il avec un naturel à peine dissimulé, comme un mensonge un peu trop bien préparé.

- "Nathan, ne te fous pas d'moi! Tu te branles dans mes chaussettes sales!! Et tu me prends pour une conne en prime?" Disais-je en criant cette fois-ci.

A voir son regard fuyant, il ne s'attendait clairement pas à une telle offensive. Il n'y avait désormais plus une seule trace d'arrogance ni dans son attitude, ni dans son regard, j'avais en face de moi un ado tout merdeux assis sur son lit que l'on aurait attrapé en train de fumer de l'herbe en secret.

Il tenta une vague excuse foireuse : "C'est que je, euh non, en fait, c'est pas ça du tout, elles sont tombées dans... je sais plus trop en fait et je voulais te les rendre propres..."

L'oscar de la meilleure impro est décerné à... Nathaaaan (non). A ce moment-là, il devint rouge et ses yeux commençaient à se gorger de larmes : "Excuse-moi, j'ai tellement honte, je suis désolé. Vraiment crois moi!" Maintenant que la coquille s'était brisée, je pouvais travailler sur une bonne base. Il se sentait honteux? Parfait! Je voulais le briser. Je m'asseyais à coté de lui et le prenais dans les bras :

- "Bon bon, ça va calme toi, je ne voulais pas te crier dessus comme ça... "

- "Pardon pardon pardon mille fois."

- "Oui j'ai compris. Maintenant, tu veux bien me dire ce qu'il y a en réalité? Tu aimes les pieds c'est bien ça?"

Il m'avouait que oui, tout en sanglotant de plus belle.

- "Et tu aimes MES pieds?"

- "Oui... beaucoup".

Il se calmait. Malgré tout, il n'osait plus me regarder dans les yeux.

- "J'ai besoin de réfléchir à tout ça. Je vais dans ma chambre."

Puisqu'il ne disait rien, j'envoyais une dernière brimade : "Nathan, surtout ne t'avise plus jamais de recommencer ça.", il ne répondait pas, mais je pense avoir bien touché un point intéressant.

Piégé

Après quelques longues minutes passées dans ma chambre à jubiler sur mon téléphone en réfléchissant aux futurs plans que je réservais à Nathan, je l'invitais à me rejoindre : "Nathan, tu peux venir s'il te plaît?"

Il vint, mais il fuyait toujours mon regard.

- "J'ai bien réfléchie : bien que cela aille à l'encontre de nos petites règles, je veux bien que tu t'agenouilles et que tu embrasses mes pieds. Tu peux aussi utiliser ta langue si tu veux." Il s'exécuta sans poser de questions, je le sentais en pleine explosion émotive. C'était comme un immense soulagement pour lui. Discrètement je prenais quelques clichés très peu flatteurs avec mon téléphone. Ensuite je sortais mon plus grand jeu d'actrice avec quelques gémissements de plaisir pour le chauffer encore plus. Il y mettait tout son cœur, cela se voyait. La sensation de ses baisers sur mes pieds n'était pas désagréable, mais c'est surtout de le voir sans défense qui me faisait de l'effet. Je le filmais donc tout aussi discrètement : "Alors ça te plaît, c'est exactement comme cela que tu l'imaginais?"

- "Oh oui, c'est encore mieux, tes pieds sont juste sublimes." me répondait-il en décollant à peine sa bouche de mes orteils."

- "Et selon certaines conditions, tu voudrais que t'autorise à recommencer de temps en temps?"

- "Oui, contre tout ce que tu voudras."

- "Oui s'il te plaît."

J'arrêtais de filmer, je le repoussais de mon pied : "Aller aller, stop ça suffit pour ce soir." Il était horriblement frustré et cela se voyait. J'y prenais un véritable plaisir. Je savais aussi que désormais il était accroc à ce que j'avais pu lui offrir ce soir. En lui montrant mon téléphone et surtout le petit clip vidéo que j'avais pu prendre de lui en train de lécher mes orteils je lui annonçais : "Maintenant il y a deux ou trois petites choses qui vont changer dans notre colocation, sans quoi ces quelques photos et vidéos vont rapidement se trouver dans les boites mails de mes parents et surtout des tiens."

- "Mais... mais pourquoi? Je croyais que tu aimais ça aussi."

- "Oh oh mais oui, j'ai aimé te voir à genoux devant moi, à embrasser mes pieds, et crois moi ça va continuer. Tu vas ramper pour moi. Par contre je n'ai pas aimé que tu violes mon intimité, j'ai horreur que tu te sois vidé dans mes sous-vêtements et que tu aies fantasmé sur moi pendant toute notre cohabitation!!"

- "Je suis tellement désolé, je me suis déjà excusé, je me sens tellement mal à cause de ça."

- "Ca je veux bien te croire, mais pour le reste je n'ai plus confiance. Ce petit film, c'est un premier pas, une première étape vers ta rédemption. La seconde : je veux que tu prennes en charge ma part du loyer. Tu travailles, cela ne devrait pas être difficile pour toi hein?"

Il acceptait mes premières conditions sans se plaindre.

En me couchant ce soir-là, je passais ma meilleure soirée depuis longtemps. Nathan lui passait l'une des pires de sa vie; partagé entre humiliation, excitation, honte et frustration. Je l'entendait pleurer pendant la nuit depuis sa chambre. Douce mélodie à mes oreilles.

Plus loin encore

La mise en place de ce chantage avait été trop facile. J'en voulais encore plus. Le lendemain matin j'annonçais à Nathan que j'étais en vacances scolaires pour les 15 prochains jours et que je retournais donc en train chez mes parents. J'allais faire en sorte qu'il ne m'oublie pas pendant ce temps.

- "Nathan, pendant les vacances, bien-sûr tu vas t'occuper du ménage correctement, et puis d'ailleurs dès mon retour, c'est toi aussi qui t'en occupera pour nous deux n'est-ce pas?"

- "Oui bien-sûr, j'ai compris le message. Enfin je crois."

- "Dis toi que c'est pour la bonne cause, si tu fais ça correctement, ça te fera moins de poussière à lécher sous mes pieds." Je le voyais rougir et une bosse commençait à se dessiner sur son caleçon de pyjama. "Oh puisque je te tiens d'ailleurs, j'ai besoin de commander un petit cadeau pour toi. Va chercher ta carte bleue et déshabille-toi."

- "M'enfin, tu es certaine que... "

- "Pardon??" dis-je fermement. "Je te donne l'occasion de te racheter, alors ne foire pas tout s'il te plaît."

- "Ok je reviens".

Il revint avec sa CB. Je ne sais pas pourquoi, mais cela m'excitait énormément. Oh bien-sûr je n'avais absolument pas envie de lui, ça c'est certain, mais par contre, cela me donnait encore plus envie de lui faire du mal.

- "Allez hop hop hop, dégage moi ce pyjama pourri, je veux voir un truc."

Il se déshabilla rapidement comme pour ne pas me décevoir. Avant d'utiliser sa CB, j'avais besoin de voir ce qu'il avait entre les jambes. En regardant sa verge, j'échappais un pouffement de rire.

- "C'est... mignon... dis moi, tu arrivais à toucher le fond de mes chaussettes quand tu te masturbais avec?"

- "... "

- "Aller j'ai ce que je voulais, maintenant tu peux embrasser mes pieds pendant que je commande ton petit cadeau".

Il se remettait à genoux devant moi et commençait à baiser le dessus de mes pieds.

- "Euh non finalement mets toi sur le dos pour que je puisse mettre mes pieds sur ton visage."

Bon sang, ce gros naze bandait comme pas possible. J'avais beau le traiter comme de la merde, il aimait ça. Malgré tout, je ne faisais plus de commentaires et l'ignorait complètement pendant que j'allais sur un love shop en ligne. Là je cherchais une cage de chasteté mon très cher Nathan, et avec ce que j'avais pu voir, il me fallait donc un modèle plutôt S. Bien évidemment j'aurais pu prendre un modèle au rabais, mais avec sa CB en main, il me semblait plus amusant de prendre quelque chose de correct aux alentours de 150€.

- "Voila c'est commandé. Ça devrait arriver d'ici 3 ou 4 jours. Dès que ça arrive ici, tu me téléphone. Compris?"

Je lui jetais sa carte bleue par-terre, quittais ma chaise et commençais à préparer mes affaires pour repartir chez mes parents. Nathan ne savait tellement pas où se mettre qu'il restait par-terre sur le dos avec sa vieille trique.

- "Oh le larbin! Va t'habiller, c'est toi qui m'emmène à la gare!" Je tentais une petite insulte gentille pour tester. Il ne dit rien. C'était pitoyable.

Une fois arrivée à la gare, je claquais la porte de sa voiture sans même le regarder ni lui adresser la parole. Nos prochains échanges seraient dans quelques jours. D'ici là j'espérais hanter ses pensées 24h/24.

Les vacances

Dès le début de mes vacances chez mes parents, j'en profitais aussi pour revoir mon copain qui lui était aussi du coin. On ne s'était pas vus depuis la rentrée. Bien que j'avais pu lâcher un peu de ma frustration sexuelle sur mon nouveau larbin, la compagnie d'un vrai homme m'avait manquée. Surtout celle de cet homme là. Notre relation était passionnelle, jamais je n'avais ressenti cela et le sexe... un véritable festival!! J'avais déjà joui auparavant, mais avec Nico, je ne comptais plus les orgasmes depuis bien longtemps.

Bref, nous profitions de nous revoir pour se mêler l'un à l'autre lorsque la maison était libre ou bien dans des endroits un peu plus insolites comme la cave à vin au sous sol qui bénéficiait d'une isolation sonore exceptionnelle, sa voiture ou bien plus bucolique, le sous-bois non loin de là.

Durant l'une de nos entrevues, Nico me demandait :

- "Alors ton pervers de coloc, ça avance?"

- "Ahah oui, je l'humilie toujours comme je peux et il lèche mes pieds quand je lui demande. Mais tu te souviens de ce dont tu m'avais parlé, la cage de chasteté là?"

- "Ouais possible."

- "Et bien... Je lui en ai acheté une sur le net."

- "T'es sérieuse?"

- "Oui nan mais rassure toi, j'ai utilisé sa carte bleue ahahah." Rien qu'à m'en rappeler, je me souvenais de la sensation enivrante de pouvoir que j'avais pu ressentir à ce moment-là. Mon entrejambe se réchauffait.

- "Mais c'est lui qui l'a choisi ou..."

- "Nan, je lui ai fait baisser son pantalon pour voir sa queue. C'était pathétique. Franchement ça ne t'aurait pas intéressé."

- "C'était pour savoir. Tu sais je me plais vraiment avec toi. Je n'ai pas envie de garçons en ce moment."

Encore échaudée par mes souvenirs, je commençais à prendre les choses (et pas que...) en main.

- "Et bien si tu me le prouvait maintenant?" dis-je en enfourchant Nico. La suite, je n'ai pas besoin de l'expliquer...

Le colis

Quelques orgasmes jours plus tard, je reçu un texto de Nathan : "Coucou, j'ai bien reçu le colis ce matin, je peux t'appeler?". C'est moi qui l'appelais en visio. Sans formule de politesse je commençais la discussion par :

- "Aller vas-y ouvre la boîte."

Nathan avait la pression, il ne savait pas exactement ce qu'allait contenir la fameuse boîte. Seul indice qu'il avait eu c'était le tintement que le contenu faisait. Une fois le colis ouvert, il pu retirer un sachet en tissu noir.

- "Woh c'est assez lourd, qu'est-ce-que c'est?"

- "Bah fini d'ouvrir et tu verras."

Il prit les différentes parties métalliques de la cage de chasteté puis les assembla :

- "Mais c'est... euh... quoi exactement?"

- "Alors ça mon brave Nathan c'est ta rédemption. Une cage de chasteté. L'anneau va derrière tes boules et la cage va autour de ta queue. Comme tu peux le voir c'est un modèle Small pour correspondre à ta morphologie. Enfin tu fermes le cadenas avec la clef."

- "Je ne suis pas certain de comprendre."

- "Ça m'aurait étonnée. Ca va t'empêcher de bander en reniflant mes pieds et ça va surtout t'empêcher de te branler dans mes chaussettes pendant mon absence! Ce que je veux que tu fasses Nathan, c'est que tu t'habitues à porter cette cage pendant mes vacances. Tu pourras encore la retirer pendant cette période, mais je te conseille de t'habituer dès maintenant. Dès mon retour à l'appart, tu me donneras les clés. "

Avant que Nathan puisse poser ses questions stupides, je coupais la communication. Je pense que les prochaines semaines à venir vont être très très amusantes. Je reçu encore quelques messages de la part de mon coloc. Messages auxquels je prenais un malin plaisir à ne pas répondre. Bien-sûr je faisais état de toute cette situation à mon tendre amant. Étrangement, je devenais toute excitée en évoquant mes plans futurs et Nico n'étant pas insensible à mon excitation remplit de nouveau son rôle d'étalon.

Retour à l'appart

Mes 15 jours de vacances avaient filé à une vitesse folle. Bien que mon retour ne se soit pas fait en train, j'avais demandé à Nathan de m'attendre à la gare. Simple petit plaisir sadique. J'invitais Nico qui m'avait ramené en voiture à rentrer dans l'appart. Nous faisions une dernière fois l'amour avant de nous séparer pendant quelques semaines. Rien de trop extravagant cette fois-ci, si ce n'est d'avoir terminé en levrette sur le lit (et plus particulièrement sur l'oreiller) de mon cher colocataire. Il dormirait ce soir parmi quelques-unes de nos traces très certainement. Ce n'était que justice.

Une fois remise de mes émotions et tout le monde bien rhabillé, j'envoyais un message à Nathan pour lui dire de ne pas m'attendre et que j'étais déjà à l'appartement. 20 minutes plus tard, il arrivait. Je préviens Nico en douce : "Laisse-moi faire, compris?" Il acquiesça d'un regard complice.

- "Nathan, je te présente Nico mon copain. Il sait déjà tout de toi et notamment de ce que tu es. Je te conseille de le traiter avec respect. Aussi je veux que tu lui montres que maintenant moi aussi tu me respecte." Sans rien dire d'autre, je retirais mes chaussettes que j'avais remises après m'être fait lever dans la moitié des pièces de l'appart. De là, Nathan déduisit de lui-même ce qu'il devait faire : il s'agenouilla et embrassa chacun de mes pieds avec passion.

Bien qu'humilié par la présence de mon copain, je le soupçonnais d'y prendre un peu trop de plaisir.

- "Nathan, je crois que Nico attend son tour!" Nico qui était sur le point de partir avait déjà remis ses chaussures mais mon petit larbin ne se laissa pas déstabiliser et embrassa les chaussures de Nico qui riait dans sa moustache. Son regard disait "Mais c'est quoi ce truc de dingue?"

J'ordonnais à Nathan de se relever : "Bon tu portes bien ta cage là?"

- "Oui exactement comme tu me l'as demandé".

- "Ok donne moi la clef."

Nathan alla dans sa chambre puis revint aussitôt avec la clef ainsi que le double associé.

- "Bien. Nico, voici les clés de la cage de chasteté de ce pervers. Tu vas repartir avec. Essayes de ne pas les perdre." Disais-je accompagné d'un clin d'œil. "Tu comprends, le pauvre est encore puceau, je ne voudrais pas qu'il perde espoir si jeune de pouvoir un jour tremper son biscuit. Ahaha"

Le visage décomposé de Nathan était un régal. Jamais il ne s'était attendu à être dépossédé des clés de sa cage de cette manière. J'embrassais langoureusement Nico pour lui souhaiter bonne route. "A très bientôt, on se tient au courant." Lui disais-je avant qu'il ne franchisse la porte.

Première fois

Après le départ de Nico, je changeais de ton avec Nathan. Je le prenais cette fois-ci avec un peu plus de douceur.

- "Nathan, tu sais, ne t'en fais pas. Ce n'est pas définitif, et je peux aussi t'assurer que le port de cette cage va t'offrir de nouvelles perspectives."

- "Ah bon vraiment? Comme quoi par exemple?"

- "Et bien, avec cette cage, tu ne peux plus vraiment être considéré comme un homme tu sais, donc tu ne représentes aucun danger pour mon copain. Par conséquent, je ne vois aucun inconvénient à ce que tu apprennes à me faire plaisir comme on fait plaisir à une vraie femme."

- "Mais je ne comprends pas. Tu parles de quoi? De sexe? Avec ma cage?"

- "Nathan, si je parles de plaisir féminin, c'est bien évidemment que ton sexe n'est pas impliqué. Vient avec moi."

J'emmenais Nathan dans ma chambre. Je me déshabillais à nouveau puis lui montrais mon intimité. "Maintenant je te demande de m'embrasser là. Puis lorsque tu en as envie, tu vas pouvoir me caresser avec ta langue. Je te guiderais. Mais attention!!! Si tu t'arrêtes avant que je t'y autorise, les clés de ta cage iront directement dans la chasse d'eau. Je me fous que tu aies mal à la langue ou à la mâchoire!"

Autant Nico était un dieu avec sa queue, autant les jeux de bouche n'étaient pas sa passion. Alors pourquoi ne pas former un petit nouveau à prendre de bonnes habitudes pour me faire plaisir? Nathan était aussi appliqué à flatter mon entrejambe de sa langue qu'il l'était à lécher mes orteils. Le plaisir montait en flèche. Je jouissais une première fois, mais j'en voulais encore plus! Je me retournais alors et poussa Nathan sur le dos, allongé sur mon lit. Je tirais son pantalon et son caleçon pour voir sa cage. Il devait souffrir là-dedans. Ses testicules étaient bleues et son pénis tentait de se gorger de sang. Je m'asseyais sur son visage en appliquant bien mes parties contre sa bouche et son nez. Je le faisais suffoquer. "Si tu veux que je te laisse respirer, je te conseille de lécher!!" A cet instant, je réalisais que Nathan était non seulement en train de faire connaissance avec moi de manière très personnelle, mais aussi avec Nico qui avait joui moins d'une heure auparavant en moi. Cette idée, en plus de la vue de cette toute petite queue en train d'agoniser dans cage me fit exploser de plaisir. Au-delà d'un nouvel orgasme d'une puissance encore jamais vue, je venais pour la première fois "d'exploser" littéralement.

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