Le Pt'io... Fin

BÊTA PUBLIQUE

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Farid a été tellement surpris d'un tel comportement qu'il s'est laissé faire et bientôt, aux mouvements de ses hanches, j'ai compris qu'il aimait le traitement que lui infligeait le môme.

Le jeune l'a sucé lentement, en profitant à fonds de la bitte très dure. Son nez plongeait dans les poils. Les mains du gamin étaient partout sur le bas ventre de mon pote. Farid a poussé un soupir d'aise et lui a même caressé les cheveux.

Je regardais le jeune faire. Pas de doute, il avait vite appris. Ses mains et sa bouche étaient tout autour du sexe et des couilles, à caresser, sucer, lécher, serrer, branler la tige bien dure et les couilles à nouveaux pleines.

Farid n'a pas pu supporter un tel traitement très longtemps, et très vite 1l s'est incliné en poussant un râle. Le mec à tout avalé sans perdre une goutte. Nous étions dégoûtés de ses prédispositions au cul.

Aussi curieux que cela puisse paraître, le môme avait à nouveau gagné une manche. Une fois sa besogne finie, il s'est tourné vers moi toujours à genoux m'indiquant par la même, que si je le souhaitais, il était à ma disposition.

Son visage était tellement angélique. On lui aurait donné le bon dieu sans confession. Il a ouvert sa bouche et est resté sans bouger attendant que je m'avance vers lui.

Farid tout penaud et gêné était en train de se rhabiller. Néneh est revenue de la salle de bain en chantonnant. Je n'ai pas laissé le Ptio me sucer. Je ne voulais pas. Pourtant j'avais à moitié la gaule

- Vas te nettoyer môme

J'ai pas reconnu le ton de ma voix. Je voulais un ton autoritaire et c'est un ton de grand frère qui est sorti de mes cordes vocales.

- Attend Martin. Néneh s'est tournée nue vers nous. Son prénom c'est Martin mais je suis sure que vous ne lui aviez jamais demandé.

Elle avait encore raison. Elle s'est approchée de moi, très câline et m'a enlacé par le cou. Elle sentait le savon. J'ai frissonne de plaisir quand elle m'a doucement mordue l'oreille avant de me parler. Elle chuchotait et seul moi pouvait entendre ce qu'elle voulait.

- Tu l'a bien enculé le jeune?

- Oui

Je lui embrassais le cou. Je me régalais de son odeur et du grain de sa peau fraîche contre mon corps. J'ai mis ma jambe entre les siennes.

- T'as aimé le dépuceler?

- Oui

Elle était collée contre moi et je commençais à bander sérieusement. Farid nous regardait intrigué. Martin attendait sagement mais j'ai pas aimé la lueur dans son regard. Il y avait autre chose derrière la soumission.

- Il aimerait essayer un homme

- Qui?

- Martin voyons

- Je ne comprends pas

Pendant que vous étiez dans la salle de bain, il m'a dit qu'il aimerait enculer un homme. J'ai pensé à toi.

J'ai débandé tout de suite, malgré la douceur du corps contre le mien.

- Ca ne va pas la tête?

- Ecoute Alex, il est bien ce petit.

- C'est pas une raison.

- Alex, ce jeune est super bien. Je l'aime bien et je suis sure que tu ne le regretteras pas. Accepte de lui filer ton cul.

- Non je te dis.

- Tu te laisses bien enculez par Farid non?

Je pouvais rien dire à cela puisque c'était vrai. Ma voix tremblait.

- C'est pas pareil

Fine mouche, elle a senti le changement de ton.

- Pourquoi c'est pas pareil? Je suis sure que ce môme et très sympa. Autant que Farid. Il mérite notre amitié.

Je ne savais plus comment m'en sortir.

- Je sais pas moi. Farid et moi, on se connaît depuis tout petit

- Et alors? Martin est petit aussi non?

J'ai regardais Farid. Il a vu mon désarroi, mais ne pouvait rien faire pour moi. Je ne savais plus comment m'en sortir et surtout je tentais de ne pas succomber à ma propre faiblesse. Les ongles de Néneh me griffaient doucement les fesses.

- Fais le pour moi Alex, s'il te plaît . Ce petit est un mélange de Farid et toi. Je te jure Alex.

Je sentais que j'allais craquer. Le petit me plaisait. Et c'est vrai que j'aimais bien me faire enculer par Farid même si nous ne le faisions pas souvent. Mais aucune autre queue ne m'avait jamais enculé. Je bandais à nouveau. Néneh a pris ma bitte et m'a branlé.

- Allez Alex laisses le te mettre. Pour moi. Tu ne le regretteras pas.

J'ai regardé Farid. Le petit attendait sagement. Comme d'habitude, on lui aurait donné le Bon Dieu sans confession à ce petit salaud. Mais il bandait comme un âne ce p'ti con.

Néneh m'a tiré vers le lit. Je n'ai pas opposé de résistance et je l'ai suivi. A sa demande, je me suis mis à genoux par terre, torse sur le lit et jambes écartées. Je ne voyais que le mur.

La fille était assise à côté de moi et me caressait les cheveux. Martin était maintenant à genoux lui aussi, mais entre mes jambes ouvertes. J'ai à peine entendu Néneh demandait à Farid de me mettre de la crème. C'est elle qui m'a enduit la raie. J'avais un peu honte. Mais à peine.

Le gland était contre mon trou. J'ai serré les dents. Il a poussé plusieurs fois. La bitte du petit est entrée. Je n'ai pas eu mal quand le gland a traversé mon trou. Ou à peine. Il s'est enfoncé dans mon ventre. J'ai sentis une barre brûlante mais très douce perforer lentement mes intestins. Il m'a possédé centimètre par centimètre.

Sa jeune bitte ouvrait lentement mon passage intime sous les yeux de mes amis. J'ai gémi tout au long de sa première pénétration, puis j'ai serré les dents. Il a poussé sans aucune faiblesse jusqu'à ce que son sexe entre jusqu'aux couilles dans mon fion. Exactement de la même manière que quand je l'ai dépucelé. Il me rendait la monnaie de ma pièce.

Malgré la crème, j'ai salement dégusté sans rien dire. Il est resté bon moment sans bouger, sa bitte bien plantée. Ma rondelle s'est élargie pour épouser la taille du sexe fiché en moi.

Puis le Pt'io m'a enculé devant mes potes. Je me suis laissé faire. Je sentais son pieu coulisser souplement le long de ma rondelle de plus en plus ouverte. Je n'avais presque plus mal. Il allait de plus en plus vite et je me laissais faire sans bouger, lui tendant même mon cul pour mieux le sentir au fonds de mes entrailles. Sa bitte me semblé de plus en plus épaisse et la douleur revenait. Il profitait bien de mon fion ce putain de môme!

Il m'a limé en variant les rythmes et je me laissais faire. Il m'a claqué les fesses et j'ai accepté sans rien dire. Pour s'enfoncer encore plus loin, il a agrippé mes épaules pour me tirer sus sa bitte. La tête dans le matelas, je me laissais enculer sans bouger. J'avais la rondelle irritée, envie de chier, de pisser, et surtout très mal au cul. Je n'ai jamais mal avec Farid.

Heureusement cela n'a pas duré longtemps. Il était trop fougueux pour pouvoir se contrôler longtemps. Sa bitte tapait de plus en plus vite le fonds de mes reins. Au bout d'un moment qui m'a semblait interminable, il a crié, bien vissé au fonds de mon cul dilaté. Mon trou s'est remplis de son foutre gluant et très chaud.. Néneh n'a pas cessé de me caresser les cheveux ou les joues tout le temps de l'opération. je ne pouvais pas voir ce que faisait Farid.

Le môme est resté contre moi quelques secondes avant de me libérer. J'ai eu froid aux fesses quand il s'est décollé de moi. Je venais de me faire enculer par le gamin que j'avais dépucelé un mois auparavant. Cela, à la demande de ma meilleure amie, et devant mon meilleur pote.

Pourtant, je n'éprouvais aucune gêne ni remords ou regrets d'avoir accepté et de m'être donné en spectacle de la sorte.

Le môme est parti dans la salle de bain. J'ai pas eu le temps de me relever.

- Reste comme cela Alex. Le môme m'a donné envie aussi. Bouge pas mon pote. T'as la bonne position.

J'ai gardé la même pose. Néneh est restée aussi assise.

- C'est vrai que tu as un joli cul Alex. Un jour je t'y mettrai un gode mon grand. Je suis sûr que tu aimerais te faire enculer par une femme.

Farid est venu à son tour entre mes jambes. J'ai sentis ses poils rêches le long de l'intérieur de mes cuisses. Cet enfoiré là, n'a pas mis de crème. Sa bitte a remplacé celle du gamin. J'ai gueulé quand son gros gland est entré.

- Y a longtemps que je t'ai pas fourré mec

Il m'a limé rapidement, à sa manière que je connaissais bien et qui m'excitait un maximum. Il était bien plus fort que le gamin et il me défonçait de toutes ses forces. Il savait le faire et je criais.

Mélanges de douleur et de plaisir. J'ai à peine entendu Néneh

- Fais gaffe Farid tu lui fais mal

- T'inquiètes, il aime Mais d'habitude, il se tait. Vas-y, branles toi.

Je me suis branlé en même temps qu'il me cassait le fion. Nous avons jouis ensembles. La bitte n'a pas traîné dans mon cul et Farid s'est relevés après m'avoir caressé doucement les fesses.

Je me suis assis par terre, mon trou brûlant et irrité. Néneh m'a embrassé et m'a dit merci. Farid m'a souri. On a fumé en attendant que le môme revient de la salle de bain.

Mon cul coulait et devait tacher le sol, mais je m'en foutais. J'avais les fesses gluantes de crème et de spermes. Je n'arrivais pas encore à réaliser que je venais de me faire mettre par un môme. Mais honnêtement, je n'étais pas fâché, loin de là. Simplement surpris de n'en vouloir à personne.

Il est revenu, les cheveux mouillés et le corps brillant de gouttelettes d'eau. Néneh l'a couvé du regard. Je crois que nous aussi, on avait la même expression que la fille. Ce môme était vachement attachant. J'ai vu sa bitte au repos et au fonds de moi, je l'ai trouvée très belle.

À ce moment-là, j'ai compris que nous étions quatre pour la vie. Je crois que les deux autres l'ont compris aussi. Nous étions contents et soulagés.

Pour ne pas capituler tout de suite, Farid d'une voix bourrue, lui a demandé de ne pas mettre de slip. Il a rigolé et parlé à voix haute pour la première fois.

- Avec vous je n'en ai pas besoin. Je suis content de ne plus être seul. Je vous aime bien. J'espère qu'on refera çà souvent. Faut que je m'entraîne pour vous ressembler.

On a tous rigolé comme des cons avant de trinquer ensemble.

Fin

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