Le Pt'io... Suite.

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Tel est pris qui croyait prendre...
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Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 01/26/2022
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Le Pt'io

Auteur : AndreRP95

Suite

Néneh retourne s'asseoir sur le lit. Elle garde ses jambes écartées. On devine sa chatte derrière les boucles brunes. Un sillon rouge carmin chaud et profond. J'ai envie d'elle et m'avance entre ses jambes. Elle rigole.

- Comment vas-tu Alex?

- Bien. Très Bien. Et toi?

- Mieux maintenant que mes examens sont passés.

- Tu les as réussis?

- Comment peux-tu en douter?

C'est vrai c'est idiot de poser cette question. Elle réussit tous ses examens. De toute manière, elle réussit tout ce qu'elle entreprend. Avec son intelligence et sa volonté de fer, rien ne lui résiste.

- On dirait que tu as une petite envie mon grand?

- À toi d'en juger. Il suffit de regarder à l'intérieur

Toujours ce rire. Elle ouvre mon pantalon. Je la laisse faire. Mon fut et mon slip tombent autour de mes chevilles.

- T'as toujours une aussi belle bitte toi.

- Elle est toujours à ton service

- Mais il faudrait s'en occuper un peu pour qu'elle soit encore plus belle. T'as rien contre mon grand?

- Et la mienne alors, elle est moche?

-T'inquiètes Farid, la tienne aussi est belle. Mais la sienne est celle d'un blanc et j'aime cette couleur. J'aime les glaces à la vanille.

- T'as raison, vu d'ici, il a aussi un joli p'tit cul de blanc.

Néneh penche sa tête vers mon bas ventre. J'avance ma bitte vers la bouche de la fille qui se tait et prend mon pieu dans une gaine de velours brûlant. Elle commence une fellation magnifique. Mon chibre grossit à toute vitesse.

C'est une des rares filles que je connais à pouvoir prendre un pieu d'une telle taille entièrement dans sa bouche. L'effet est fantastique. Mon gland entre carrément dans sa gorge. Je la laisse me tailler une pipe, et ma bitte qui vibre dans la chaleur de sa bouche, devient le centre de mon corps. Je ne fais plus attention à mon pote ni au gamin. Tout ce qui compte pour moi, c'est cette tête plaquée contre mon pubis.

Brusquement, le môme pousse un cri. Je tourne la tête. Farid lui a foutu une claque. Devant mon air interrogatif, il me précise que le jeune à tenter de se tirer et qu'il ne veut pas se foutre à poil.

- Fais ce que tu veux. Mais ne l'amoches pas. Il ne faut pas que sa mère se doute de quelque chose. Vas-y en douceur. Pas de traces.

Ma bitte est tendue au maximum entre les lèvres de Néneh qui se délecte goulûment. Je la laisse jouer avec mon gland et mes couilles. Ses mains agiles me caressent les boules, les roulent, les écrasent, les lèchent. Les lèvres pulpeuses tètent mon gland et l'aspirent en puissance. C'est la super pipe du siècle. Néneh se déchaîne sur ma tige. Ça va être très dur de résister longtemps.

Le môme lui, est en train de se dessaper sous les ordres de Farid. Son slip est taché devant et derrière. Ses fringues tombent une à une sur le sol. Farid lui fait tout enlever. Même les chaussettes.

Complètement à poil, il se met à genoux devant mon pote, qui s'en plus attendre, sort sa queue de son caleçon et la lui fourre dans la gueule ouverte.

Nous nous laissons sucer en silence. Les bruits de déglutition des deux bouches m'excitent. Néneh me suce divinement bien. Les mains cannelles, me caressent les fesses ou me serrent les couilles en me branlant.

- Il suce bien. Il a fait des progrès depuis la première fois.

- Ouais, mais il va falloir qu'il s'entraîne avant de faire aussi bien que Néneh.

Elle lâche ma bitte et son rire superbe éclate dans la pièce. J'ai une vision plongeant sur sa poitrine, secouée par les éclats de rire. Elle regarde un moment le gamin et Farid et nous propose de changer de partenaire. On accepte.

Bien sûr, ce n'est pas la même chose, mais c'est pas désagréable de plonger sa bitte dans cette jeune bouche aux mâchoires écartelées. Je regarde les lèvres sensuelles de la fille autour de la belle bitte de Farid. Un bel engin circoncis très brun. Un très gros gland au-dessus d'une tige courbe et très épaisse, mais pas très longue. Des couilles lourdes dans une forêt de poils noirs très frisés.

Farid n'a pas un poil au-dessus de la ceinture, mais est très velu en dessous. Il a des poils partout même sur ses fesses. Un vrai singe, à partir de la taille. Il est aussi musclé que moi. Nous entraînons ensemble. Nous avons la même taille et la même corpulence. Bien sûr, Il a le teint très bronzé et cela crée un contraste étonnant quand nous sommes à poils tous les deux. Moi très poilus partout, très blond et lui très brun avec ce contraste de poils noirs sur le corps.

On se laisse sucer de longues minutes avant de libérer les bouches. Nous avons carrément fais un décompte pour lâcher en même temps nos purées dans les bouches accueillantes. Aucune goutte n'est perdue.

Néneh libère la bitte de Farid.

- Eh les mec? Je peux sucer votre pote.

- Pourquoi pas. Mais il ne bande pas beaucoup.

- Il ne bande même pas du tout.

- Il n'a peut-être pas envie.

- Laissez-moi faire les mecs et vous allez voir s'il n'a pas envie.

Nous poussons le môme entre les cuisses écartées de la fille qui aussitôt plonge sa bouche vers le sexe recroquevillé. En quelques secondes, la bitte se déploie pour atteindre rapidement une bonne taille. Il a une jolie bitte le môme. Ton triomphal de Néneh

- Vous voyez bien qu'il aime aussi les femmes votre pote

A voir le visage crispé de bonheur et la bitte à son apogée, nous ne pouvons plus en douter. C'est la première fois qu'il bande devant nous. Néneh le suce très lentement. Je suis sûr qu'elle le fait volontairement, pour qu'il en profite bien. Elle le laisse savourer sa première pipe.

Farid et moi regardons le spectacle. Nous ne bandons pas, mais je sens l'envie revenir au grand galop du fonds de mes reins. Mon pote doit aussi avoir envie, car il commence à me branler. Je lui rends la pareille.

C'est la première fois que le petit se fait tailler une pipe et qu'il est avec une femme. A ses crispations, nous devinons qu'il ne va pas tarder à lâcher sa purée. Néneh le sent aussi et accélère sa fellation en serrant les petites couilles à peine velues.

Le Pt'io lâche un long couinement avant de se répandre dans la bouche. Contraste incroyable de cette tête noire aux cheveux longs et crépus collée contre le bas ventre blanc de ce jeune garçon. La fille le suce encore un peu avant de lâcher le membre qui reste tendu.

- C'est la deuxième fois qu'il jouit et il en veut encore on dirait. Il est comme vous ce marmot, insatiable. Ça te dirait de me bourrer P'tit? Tu veux goûter à une chatte de femme?

Sans attendre de réponse, elle bascule en arrière sur le lit en entraînant le môme qu'elle enlace dans ses bras. Il n'a pas le temps de dire ouf qu'il se retrouve sur elle.

Pendant quelques secondes, il ne sait pas quoi faire. Néneh se trémousse sous lui et appuis sur ses fesses joufflues et très hautes. Elle l'aide à trouver le passage secret. Il s'y engouffre maladroitement. Il est en elle.

Après quelques hésitations, le petit trouve vite le rythme, et le voilà qui commence à tringler la fille qui ne demande que cela. Nous regardons le couple sur le lit qui tangue. Le môme donne des coups de reins de plus en plus profonds et la fille l'encourage

- Vas-y P'tit ... Plus Fort... Oui... Comme çà... Ralenti.... Ralenti... A fond... Va tout au fond et prend ton temps.

Farid a lâché ma bitte. Il commence à me caresser les fesses. Je me laisse faire. Il passe à genoux derrière moi. Je me branle en regardant le couple baiser. Je sens les mains de Farid jouer avec mes fesses.

- Penches toi un peu Alex

Je le fais en écartant les jambes. Farid adore ce qu'il s'apprête à faire. Ses mains musclées m'écartent les fesses et bientôt sa langue balaie ma raie offerte du haut de ma raie jusque sous mes couilles.

J'adore qu'on me lèche le cul et Farid le fait divinement bien. Sa langue pousse sur mon anus. J'écarte bien les jambes en me penchant un peu plus. Le bout de sa langue arrive a entrer dans mon trou. Elle force mon muscle anal comme une petite bitte. Elle titille ma rosette, avant de lécher l'arrière de mes couilles.

oooOOooo

Entre Farid et moi, cela s'est fait naturellement, au cours d'un jeu, avec une volonté commune. Je ne me souviens plus en détail. Uniquement les temps forts de nos relations, et bien sûr, la première fois ressort avec plus d'acuité.

Cela s'était passé dans cette pièce, il y a environ trois ans. Nous venions de tirer deux cassettes porno dans un hyper et nous avions rejoint la chambre pour les regarder peinards. C'était au mois d'août et nous n'avions levé ni une fille ni un mec depuis une bonne semaine.

On regardait la première cassette, couchés en travers du lit, dos appuyés au mur. Farid a sorti sa queue en premier et a commencé à se branler. J'ai rapidement fait de même. Comme il faisait très chaud, on s'est vite retrouvé nus. Ce n'était bien sûr pas la première fois qu'on était à poil, puisque on avait déjà eu pas mal d'expériences ensemble avec ou sans la présence de Néneh.

Le film était assez excitant. C'était un film bisexuel, assez rare à l'époque. Une des scènes montrait un homme en train de branler un autre. La main de Farid a remplacé la mienne sur ma queue. J'ai laissé faire sans rien dire. Nous regardions la télévision fixement. J'ai pris sa bitte en main. Sa poigne musclée coulissait sur mon sexe au rythme de la mienne sur le sien.

Notre excitation est montée d'un cran. Sur l'écran le mec s'est mis à sucer l'autre. Nous nous sommes regardé. Connivence de deux amis qui avaient la même idée en tête. Il n'y avait aucune gêne entre nous. Pourquoi ne pas connaître ce que ressentaient les mecs qui nous suçaient.

C'est encore lui qui a fait le premier pas. Sa tête a plongé entre mes cuisses. Chaleur de sa bouche sur mon gland. Je connaissais déjà ces sensations, et c'est autre chose que je voulais connaître.

Nous nous sommes retrouvés tête-bêche. Son gland est entré dans ma bouche. Bizarre comme sensation. Très gros, dur et pourtant souple, très doux. J'avais l'impression d'avoir quelque chose de vivant dans la bouche grande ouverte. Son sexe s'est enfoncé dans mon palais. Visage collé contre son pubis. J'aimais l'odeur très forte, les poils qui me grattaient le visage, le gland qui tapait au fonds du palais.

Je me suis aussi rendu compte, que ce n'était pas si facile de bien sucer une queue. Farid me faisait mal de temps, et je devais aussi lui faire mal. On a appris ensemble à bien se sucer. Nous devions aimer cela puisque aucun de nous n'a arrêté. L'excitation était trop forte et j'ai prévenu Farid que j'allais jouir. Il a libéré mon sexe et j'ai jouis en me branlant. Il en a fait de même. C'était curieux comme comportement. Inexplicables. Malgré notre intimité, nous ne voulions pas avaler nos foutres.

Après nous être nettoyés, nous avons repris nos places sans prononcer un seul mot. À moitié couchés sur le lit, nous avions le regard brillant et nous sentions encore plus proches. Nous avons regardé la fin du film en nous caressant les bittes doucement. Chacun s'occupait de celle de l'autre. Nous faisions les gestes presque machinalement. Chacun perdu dans ses pensées.

Dès le début de la seconde cassette, nous bandions à nouveaux. La bitte de mon pote était toute droite dans ma main. Comme la mienne.

- Alex?

- Ouais mec?

- Est-ce que t'as envie de jouer à un jeu plus corsé?

- Ça dépend quoi

- Aux dés

- T'appelles çà un jeu corsé toi?

- Ça dépend de la mise

Je regardais l'écran sur lequel une vieille salope se faisait prendre en sandwich par deux étalons. Ce n'était pas très bandant. Pourtant j'avais la gaule très dure. Ce n'était pas grâce au film. Non. Je le voyais arriver mon Farid. J'attendais. Puisqu'il avait commencé, autant le laisser finir. Il devait avoir trouvé une bonne excuse pour reprendre nos jeux du précédent film.

- Explique

- Si t'es pas d'accord tu le dis mais tu gueules pas hein?

- Accouche mec

- Simple, le perdant fait ce que l'autre demande. Il peut refuser sans aucun problème.

- Je comprends pas. Il est ou le jeu si le perdant peut refuser? Et d'abord, 1l doit faire quel genre de chose le perdant.

- Simple. Partie en dix coups. Le gage dure cinq minutes. Le perdant devient la femme du gagnant. Uniquement des gages cochons. Pas le droit de prendre son pied avant le dixième coup. Tout gage refusé double le temps du gage suivant.

- Dis donc mec, t'as inventé çà tout seul!

- C'est venu comme çà, à l'instant.

- Et si tu refuses tous les gages?

Il m'a regardé droit dans les yeux. Visage sérieux.

- En tout cas, moi je n'en refuserais aucun Alex.

Il était sérieux ce con. Et il mettait en plus la barre très haute. Je me devais de lui tenir la même promesse.

- OK mec. Moi non plus.

Il éclate de rire. Moi aussi. Il est parti chercher deux dés. J'ai changé de cassette, pour remettre la première. J'avais un dés jaune. Lui un rouge. Nous nous sommes assis nus, face à face autour de la petite table de cuisine.

Nous lançons.

Egalité. On rigole

Nouveau lancé

Nouvelle égalité. Nous restons silencieux.

Les dés roulent à nouveau sur la table.

Son dé s'arrête en premier sur le quatre. Nous suivons du regard le mien qui finit par se positionner sur le deux. J'ai perdu. On se dévisage. C'est moi qui romps le silence.

- Alors? Mon gage.

- Viens devant moi

Je me lève. M'approche de sa chaise. Il me regarde méticuleusement. Me détaille longuement. Nous avons l'habitude d'être nus ensembles, après le sport ou pendant des séances de baise. Je connais son corps et il connaît le mien. Pourtant, il semble me découvrir.

Assis, il caresse mes tétons. Descend sur mon ventre. Prend ma bite. Dévoile mon gland. Prend mes couilles dans sa main, les soupèse, les tire. Je laisse faire, silencieux et immobile

- Tourne toi

J'obéis. Ses mains se posent sur mes fesses. Les écartent.

- T'as un joli cul Alex. Pas un poil.

Il malaxe les globes. Les écarte au maximum, dévoilant ma raie. Je frémis quand une de ses mains entre dans ma raie.

- T'as la raie profonde... Ton petit trou est tout rose, c'est marrant.

Il me connaît mieux que moi, puisque moi, je n'avais jamais pensé à me voir la raie et le trou du cul.

- Eh mec les cinq minutes sont passées.

Avant de reprendre ma place, j'ai le temps de voir sa bitte tendue. Moi je ne bande pas. Je suis légèrement mal à l'aise.

Nouveau lancé. Il gagne à nouveau.

- Reviens et penches toi cette fois

Je le fais, même si je n'aime pas.

- Écarte bien tes jambes Alex. Ouvre-toi les fesses.

Ses mains sur ma raie. Elles descendent. Me prennent les couilles. Tirent vers l'arrière. Ma bitte suit, gland pointé vers le sol. Je sens mes boules contre ma raie. Il trait ma bitte en me serrant les couilles. Je serre les dents. Il lâche. Deux doigts courent sur ma raie. Un doigt sur mon trou. Il caresse. Pousse un peu. Mon muscle se tend.

- T'as un très joli cul Alex. Dommage que le temps passe vite.

Je me rassois. On lance. Il gagne encore.

- T'es sur que tes dés ne sont pas truqués.

- OK, on annule ce coup et on échange les dés.

Nouveau lancé. Malgré l'échange des dés, cet enfoiré gagne encore.

- T'as pas de chance aujourd'hui Alex

Il rit. Pas moi.

- Viens me sucer

Je me retrouve à genoux entre ses guiboles poilues, avec sa tige dans ma bouche. À nouveau cette sensation de chaleur et de douceur. Son gros gland palpite contre mes joues. Je le suce lentement. Avec application. Mes lèvres coulissent le long de sa bitte. II se laisse faire. Je continu. Ses odeurs intimes me soûlent. Je sais que les cinq minutes sont passées. Je lui tète le gland. C'est lui qui me dit de stopper.

- Alex t'es trop intelligent. T'as voulu me faire jouir pour que je perde. Non mon pote. On va aller jusqu'au bout.

Je me relève, les lèvres humides. Ma bouche garde le goût âcre de sa bitte. J'enlève des poils accrochés à ma langue.

Nouveau lancé. C'est moi le gagnant. Je vais prendre ma revanche

- À mon tour mon pote. Viens là et présente-moi ton cul. Penché, fesses écartées et tout et tout.

Il le fait. Putain, ce qu'il est poilu. Même ses fesses et sa raie. Une forêt de poils couvre sa peau. Ses grosses couilles pendent entre ses jambes. Il a les fesses très dures. Je pose mon doigt directement sur son trou.

- Ton trou est tout brun et ta raie très poilue mon pote.

Je pousse doucement. L'entrée reste fermée. Je caresse sa rosette. Revient à la charge avec un doigt enduit de salive. Le muscle de son cul est très dur. Difficile de rentrer. Je continue le manège en ajoutant de la salive. Je pousse avec deux doigts. Ils entrent à peine. Les fesses se referment brusquement.

- Fini mon pote.

La voix est un rien menaçante. Il n'a pas apprécié. Mais alors, pas du tout. Tension dans la pièce. Il lance son dé d'un geste sec. Je l'imite. Notre partie de dés est en train de tourner au combat.

Sixième lancé. Egalité On rejoue. Je gagne.

- Viens me tailler une pipe.

Il le fait à genoux. Je ne bande pas. Lui si.

- On dirait que t'as du mal à bander Alex

- Tais-toi et suce

- Pourtant, avec d'autres mecs tu bandes bien.

- Suce, le temps passe. |

Il me taille une pipe. Ma queue reprend un pou de vigueur. Mais je sens que je ne resterai pas en forme. Pourtant, il me suce du mieux qu'il peu. Mais avec lui j'arrive pas. Dès que les cinq minutes sont passées, il arrête. Je débande. Il regagne sa place en souriant méchamment. Sa bitte est tendue en arc de cercle vers son nombril.

Nouveau lancé. II gagne.

Ça va être ma fête. Je le sais. Il se lève. Sa chaise tombe.

- Va te mettre en levrette sur le lit.

On se dévisage. Il attend que je dise non. Je prends la position demandée. Ses mains puissantes écartent mes fesses, dévoilant ma raie en totalité. Je m'attends au pire. Ce ne sont pas ses doigts qu'il va me mettre.

A ma grande surprise, son visage se plaque contre mes fesses. Sa langue se pose sur mon trou. Il commence à me lécher la raie. Sa langue coure sur le long de mon sillon, s'attarde sur mon anus. C'est bon. C'est même très bon. Je me cambre pour bien lui offrir ma raie. Il salive abondamment. Sa langue tourne autour de ma pastille fermée. Elle pousse dessus. La salive coule sur mes couilles.

Je bande. Ma bitte grandit. J'ai des frissons dans tout le corps.

Les cinq minutes sont passées mais je ne dis rien. Farid continue à me lécher le cul que je lui tends. On ne m'avait jamais fait ce truc et c'est super bon. Il arrête.

- T'as eu du rab de temps mec mais c'est pas grave.

J'aime pas sa voix. Je retourne vers la table. Mes fesses glissent à cause de la salive. Farid a le visage mouillé.

Nous relançons les dés. Ils roulent sur la table avant de me désigner gagnant.

- Tu me refais la même chose mec.

Je reprends la même position. Le manège reprend. Sa langue dépose un paquet de salive sur mon trou. Le force, le lèche. Je me branle en même temps en me cambrant au maximum.

- Vas-y. Lèche bien partout.

Je suis à deux doigts de jouir. J'arrive à peine à me contrôler. Farid est déchaîné sur ma raie et surtout sur mon cul. Sa langue est entrée dans ma rosette. Je vais perdre.

Heureusement le temps est passé. Mes fesses dégoulinent de salive. J'ai les couilles mouillées.

C'est l'avant dernier lancé

On y va.

Il gagne. Il me regarde en silence.

Alors ce gage?

Il ne me répond pas, se lève, va à sa table de nuit, ouvre un tiroir et revient poser quelque chose sur la table. C'est un tube que je reconnais. On utilise la même marque lui et moi. C'est un lubrifiant intime. Je regarde le tube. Pas besoin de faire un dessin pour comprendre le gage.

- Je veux enculer ton beau petit cul de français Alex.

Je ne réponds pas. Mes yeux ne quittent pas le tube sur la table. J'en ai utilisé pas mal depuis que je baise. Je prends une profonde respiration

- Tu peux refuser Alex.

Sur l'écran, un mec est justement en train de se faire enfiler et à voir son visage, il aime beaucoup.

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