Le Pt'io... Fin

Informations sur Récit
Tel est pris qui croyait prendre...
5.5k mots
4.71
3.2k
00

Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 01/26/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
ANDRERP95
ANDRERP95
24 Admirateurs

Le Pt'io

Auteur : AndreRP95

Fin

Devant l'air interrogatif de la fille, je prends le relais de mon pote.

- C'est pas tout à fait cela Farid. Tu lui demandes poliment et tu lui montre les biftons.

Exclamations ébahies de Néneh

- C'est pas vrai!!!!

- Eh si ma poule

- Sa mère est une pute?

Le môme ne dit rien et reste figé contre le mur.

- Oui

- En ville?

- Non en forêt à trente kilomètres d'ici. Elle a un camping-car stationné sur une grande aire de repos pour routiers.

- Ouais, il est vachement bien aménagé même son camping-car

- C'est incroyable, vous déconnez les mecs!

- Si tu veux pas nous croire c'est ton problème.

- Mais comment vous l'avez connue?

- Un jour on était en moto, à nous balader et on s'est arrêté en forêt pour voir si il y avait quelque chose à draguer. Il y a souvent des nanas qui font du jogging dans le coin. Il n'y avait personne, sauf ce camping-car garé au fonds du parking. On n'y a pas fait attention. On fumait un clop tranquillement, quand une femme est descendue de l'engin. Elle nous a demandé directement si on voulait une petite gâterie moyennant finance. Elle avait l'air sympa. On lui a répondu que d'habitude c'est plutôt les meufs qui nous payaient.

- Et alors?

- Elle a rigolé en disant qu'on n'était pas des concurrents puisque que elle, c'était les mecs et pas les nanas. On a ri ensemble. On lui a offert une cigarette et elle nous a proposé de venir prendre un café dans son camion. On a accepté...

Je suis sûr que le môme était au bord des larmes. J'entendais sa respiration lourde et des reniflements. Farid a continué

- On a bu un premier café. On lui a demandé si les affaires marchaient. Elle a répondu que c'était plutôt calme, et nous a offert un autre café. Il faisait chaud, on était bien. Elle avait vraiment l'air sympa. Comme elle était proche de moi pour me servir, je lui ai caressé le genou et le bas de la cuisse. Elle a rien dit. J'ai continué. Elle portait une jupe assez courte.

- Par ce temps??

- Oui par ce temps. Et elle n'avait pas de slip si cela t'intéresses.

- Ça m'intéresse même vachement continue Farid

- Elle a posé la cafetière sur la petite table et ma caressé la joue. C'était sa manière à elle de dire qu'elle n'avait rien contre ce que J'étais en train de faire. Alors mes deux mains sont remontées le long de ses jambes, sous la jupe. Elle a juste dit que j'avais les mains froides.

- Et toi tu faisais quoi Alex?

- Rien je regardais en buvant mon café.

- Çà ne la gênait pas de se laisser peloter devant toi?

- Pas du tout.

- Continue Farid

- Mes mains on atteint sa chatte. Elle n'avait pas de culotte non plus. C'était chaud. Elle a posé ses mains sur mes épaules, en fermant les yeux et en respirant très profondément. Moi j'avais les mains sur sa chatte au milieu de ses poils. Elle devait avoir envie de se faire sauter vu l'humidité de ses poils. Je me suis pas privé. Je lui ai caressé la chatte, en y mettant bien les doigts au fonds. C'était bien mouillé. Je lui ai remonté sa jupe autour de la taille pour qu'Alex puisse voir. Il lui a dit pour rire, que pour elle se serait gratos.

- Ouais, je voulais pas qu'elle croit qu'on allait la payer...

- Elle a répondu que pour nous aussi. On a pris sa remarque comme une demande. Elle voulait qu'on l'a tringle. On en a profité, surtout que c'est une très belle femme. On s'est plus retenu. On l'a dessapée. Çà a été rapide vu qu'elle ne portait que sa jupe et un pull assez moulant qui faisait ressortir ses nichons.

- Continu Alex... Moi j'ai soif.

- On s'est retrouvé tous à poil. Elle a fermé la porte du camping-car à clef et on s'est foutu les trois au pieu. C'est petit un lit dans un camping-car. Surtout quand on est trois dedans. On lui a fait son affaire et on s'est tirés.

- Vous avez fait quoi? Racontez? Soyez pas vache!.

- On continue mais tu nous branles en même temps. OK?

- Pas de problèmes

Nos queues se sont retrouvées prisonnières dans les mains de Néneh. Elle a commencé à nous branler et nous avons raconté la suite. Le môme ne bougeait toujours pas au fonds du pieux le visage toujours tourné contes le mur. Farid a repris

- Ce qu'il y a de bien avec ces filles, c'est qu'il n'y a pas besoin de préliminaires. On l'a juste caressée un peu partout avant qu'elle écarte ses cuisses toute seule et qu'Alex commence à la fourrer pendant que je m'occupais de ses seins. Elle a de très longs tétons. Comme des petites bittes. Elle gémissait quand on les prenait dans la bouche. On s'est relayés d'abord sur ses seins, puis dans sa chatte. Elle semblait aimer. Cela devait la changer de ses passes rapides.

- Cela devait surtout la changer des vieux salauds qui viennent la tringler rapidos avant de retrouver bobonne. Qu'est-ce que vous avez fait d'autre?

- On l'a mise en levrette. Pendant qu'elle bouffait une queue, l'autre la tringlait. Nous changions régulièrement de trous. Nous, on ne bougeait pas, c'est elle qui tournait. On sentait qu'elle aimait çà.

- Ouais, a un moment elle nous a demandé de lui bouffer la chatte. On l'a fait et cela l'a faisait rugir de plaisir. On bandait un maximum. On a changé de position. Alex s'est couché sur le dos et elle est venue le chevaucher. Une très bonne cavalière hein mon pote?

- Oui, j'avais l'impression que son ventre aspirait mon pieu. Elle était couchée sur moi et ses lèvres effleuraient ma bouche.

- Et moi pendant ce temps je lui caressais les fesses et sa raie.

Nos queues étaient très dures dans les mains de Néneh qui continuait machinalement de nous branler en écoutant notre confession. Nous nous sommes arrêtés un moment de raconter pour savourer la branlette, mais elle nous a serrés les couilles en nous demandant de continuer.

- Farid lui a demandé de se mettre couchée sur le dos sur la petite table, les jambes dans le vide. Elle n'a pas rechigné et elle a posé ses mollets sur ses épaules. On avait une vue superbe sur sa chatte et son cul. Elle se rasait les poils de la chatte. C'est une vraie blonde. Elle a ri quand Farid lui à dit qu'elle avait un cul d'enfer. C'est lui qui lui a demandé si elle était d'accord pour se faire enculer. Elle n'a rien répondu et Farid l'a lui a mise à fonds dans le fion. Elle devait avoir l'habitude car elle n'a pas eu mal et moi non plus. Elle a un trou qui s'ouvre facilement. À peine un peu de salive. Ma queue est entrée d'un coup jusqu'aux cuis. sans la moindre gène. On s'est aussi passé le relais dans son cul et on l'a niquée un bon moment dans cette position. C'est comme cela qu'elle a pris son pied. Avec nos bittes dans le cul.

- Je croyais que les putes ne jouissaient pas avec les clients.

- Ouais peut être. Mais nous on n'était pas des clients... Nous, on a craché gratos dans sa chatte et dans son trou. Chacun son tour. Une fois dans le cul. Une fois dans la chatte. À un moment de la séance elle nous a demandé nos âges et quand on les lui a donnés, elle a dit, comme si elle se parler à elle-même, qu'on était à peine plus vieux que son môme. Ca m'a étonné qu'une pute puisse avoir des enfants.

- Pourquoi pas? Ce sont des femmes comme les autres non?

- Te fâches pas Néneh, mais elle ne faisait vraiment pas son âge. On

lui donnait à peine la trentaine alors qu'elle doit bien avoir dix ans de plus. Elle est partie se laver. On s'est rhabillés et c'est là qu'Alex a vu la photo qui servait de marque page dans un bouquin ouvert.

Néneh s'est arrêtée de nous branler. Il y a eu quelques secondes de silence. Néneh a serré nos pieux. J'ai repris

- Nous avons tout de suite reconnu le môme. On le voyait souvent au moment des interclasses. On a été hyper surpris. On a remis la photo à sa place dans le livre avant qu'elle ne revienne. Bien sûr, on ne lui a rien dit. Elle a refait le pieu. On en a profité pour la peloter encore un peu. On a repris un café. Puis elle nous a mis gentiment à la porte en nous disant qu'elle devait bosser et qu'on la trouverait au même endroit, tous les jours de la semaine, de trois heures de l'après-midi à trois heures du matin. Elle a même ajouté que pour nous, ce serait toujours gratos si elle a le temps, et qu'il n'y a pas de clients. On s'est cassé. Voilà c'est tout.

- C'est incroyable votre truc.

- Je te jure que c'est vrai

- Et vous l'avez revue

- Trois jours après, mais elle était occupée. On a attendu sans se faire voir. Il y avait beaucoup de camions sur l'aire de repos et plusieurs routiers sont entrés et sortis de son véhicule les uns après les autres. C'était vachement rapide. En moins d'une plombe elle s'est fait sept mecs.

- Ben dit donc, ils sont pressées de se soulager les couilles ces types-là. Vous l'avez vue après?

- Non. On s'est cassé sans attendre qu'elle soit libre.

oooOOooo

Néneh a lâché nos queues et s'est tourné vers le môme. Elle l'a regardé en silence d'un air attendrit. Ma parole! Elle était en train de le prendre sous sa protection. Elle a repris nos queues en main.

- Et lui alors?

- Lui çà a été rapide. La semaine suivante, on a mis un mot sur le guidon de son vélo

- Il disait quoi le mot?

- On sait tout. Viens. On lui fixait rendez-vous.

- Il est venu?

- Non. On a dû mettre un deuxième mot

- Et il y avait quoi sur ce deuxième mot?

- On va dire à tout le monde que ta mère et une pute et qu'on peut la voir en forêt dans un camion. On lui a même mis l'immatriculation du camion.

- Tu vas pas me faire croire que t'avais retenu l'immatriculation du camion.

- Non c'est Farid qui est retourné là-bas. On lui a fixé le même rendez-vous.

- Mais est ce qu'il était au courant pour sa mère?

- Comment cela?

- Peut-être qu'il ne le savait pas?......

On s'est regardé Farid et moi. L'idée qu'il pouvait ne pas être au courant du métier de sa mère ne nous avait même pas effleurées. Néneh a enfoncé le clou.

- Vous êtes des salauds les mecs. Vous vous rendez compte du choc pour lui. Essayez de vous mettre à sa place un seul instant. Mais qu'est ce que vous avez dans la tête vous deux. C'est pas possible.

Nous avons tous entendu les sanglots du petit, et brusquement, cela est devenu une évidence qu'il ne savait pas. Pas besoin de regarder Farid pour savoir qu'il était aussi gêné que moi.

- Et il est venu je suppose? Allez, continué de raconter. Maintenant que le mal est fait.

J'ai repris, mal à l'aise. Ma voix n'avait pas sa sûreté habituelle.

- Au début on voulait lui demander du fric pour se taire. On s'est vite aperçu qu'il n'en avait pas et que cela ne valait pas la peine. On lui a tout raconté, ce que faisait sa mère, le camion et tout le reste. Dans les moindres détails. Il nous a écoutés sans un mot. Alors on lui a proposé un marché, il faisait tout ce qu'on voulait, et on la fermait. Sinon, tout le bahut saurait ou se trouve sa maman et ce qu'elle faisait comme taf. Il a vite compris que c'était pas du bidon. On l'a emmené au garage pour être peinard. Il nous a suivi sans aucun problème.

- T'oublies de dire qu'on lui a collé un pain pour ne pas nous avoir obéis la première fois.

- On lui précisé que sa mère était capable de se faire mettre par sept camionneurs d'affilé et que nous, nous n'étions que deux. Il a chialé comme un marmot.

- On lui a dit que dorénavant, il devait être comme sa mère, très gentil avec nous. On lui a ordonné de se dessaper. Il a d'abord refusé, mais Farid lui a donné quelques bonnes baffes. Il a compris qu'il avait intérêt à filer doux et il nous a fait un strip-tease. Il s'est vite retrouvé à poil.

- Nous aussi

- Je lui ai montré des capotes et du gel. Il a vite compris ce qu'il allait lui arrivé. On l'a foutu sur le pieu qui nous sert de divan pour écouter la musique. Il n'arrêtait pas de se débattre et de gueuler On l'a bâillonné avec ses chaussettes pour avoir la paix. Pendant que je le maintenais à plat ventre, Alex lui a donné une sacrée fessée. Jusqu'à ce qu'il reste immobile. Il avait les fesses tous rouges. Et on se l'est farci.

- Il a dû souffrir ce gosse.

- Il a un peu gueulé au début. Mais pas après. Les chaussettes dans sa bouche atténuaient ses cris. On a mis du gel plein sa raie. Lui, il en avait besoin.

- Pas comme sa mère

- Lequel de vous deux l'a dépucelé?

- Alex. Moi je le tenais. Mais je me suis rattrapé après.

- En fait, il n'a gueulé que quand il a sentis le gel sur son trou et après quand mon gland est entré. Une fois que ma bitte est entrée, il s'est laissé tringler en silence. Même que ça nous a encore plus excités. En plus il a un super cul.

- Ouais. Il n'avait jamais servis et il était à notre disposition.

oooOOooo

Néneh a lâché nos bittes pour pivoter vers le gosse. Elle lui a caressé son petit cul imberbe. Le même a frissonné mais n'a pas bougé. Il avait certainement tout entendu malgré la musique.

- C'est vrai qu'il a un joli cul. A peine formé et bien haut. Il a un cul de jeune fille. J'espère que vous ne l'avez pas bousillé bande de sauvages.

Les doigts noirs sont entrés dans la raie. L'ont massée un petit moment. Il s'est laissé tâter la rondelle sans bouger.

- Il a le trou tout serré mais souple. Vous avez raison, il a un cul à se faire enculer. Décidément, il est plein de ressource ce gamin.

- Tu vois! Nous ne nous sommes pas privés. Je te jure qu'on l'a bien niqué. Et il n'a rien dit. On se l'est fait tout l'après-midi.

- Ouais en profondeur, et longtemps. Tout le tube de crème y est passé. On n'arrêtait pas d'avoir envie de son cul. On lui a fait prendre les mêmes positions que sa mère. On lui a enlevé son bâillon et pour reposer son cul on l'a obligé à nous sucer. Il l'a fait. De temps en temps on lui mettait une torgniole quand il refusait de nous présenter son fion.

- Vous auriez pu le faire en douceur. Je suis sure que si vous l'aviez dragué, il n'aurait pas dit non. Ce môme va faire tourner la tête aussi bien des nanas que des mecs.

- Ca va pas la tête Néneh! Qu'est-ce que tu lui trouves à ce mec?

- Il est mignon. On a envie de le protéger.

- Hé Néneh! Tes études te montent a la tête.

- Comme tous les mecs, des fois vous êtes stupides. Je suis sure que si vous lui aviez demandé sans brutalité, il aurait accepté. Si 1l vous plaisait tant, il fallait le draguer. Vous avez l'habitude non? Je suis certaine que vous n'auriez eu aucun mal à vous le faire.

- Tu parie que non? Tu disjonctes ma parole!

- OK vous allez voir

Son visage s'est collé au creux de l'oreille du gamin. Elle a longtemps chuchoté en lui caressant les fesses et le dos. Au bout de quelques minutes, le môme s'est mis à plat ventre, jambes écartées au maximum. Sous nos yeux ébahis, il s'est ouvert lui-même les fesses!

La fille lui a longuement massé l'anus en y mettant beaucoup de salive. Cela a duré de longues minutes. Les doigts aux ongles effilés tournaient autour de la rosette brune.

Il lui a demandé quelque chose. Ils se sont mis en soixante-neuf, le jeune sur la fille. Superbe vision de ce jeune blanc sur la fille noire dans la pénombre de cette pièce minable.

Le môme a commencé à lui lécher la chatte pendant qu'elle, lui léchait l'anus. Le visage noir était soudé contre les fesses blanches. Les doigts aux ongles effilés striaient les fesses ouvertes. Ils se sont léchés dix bonnes minutes.

Puis d'un geste de la main, Néneh m'a signalé d'approcher. Je suis venu en me branlant et me suis mis à genoux au-dessus de visage de la fille. Ma bitte était à dix centimètres au-dessus de son visage et mes couilles touchaient son front. Mon gland s'est posé sur le petit anus brillant de salive. Néneh maintenait les fesses bien ouvertes. Je voyais palpiter la rondelle plissée.

Le môme a frémit en redressant la tête. Néneh d'une voix très douce lui a dit de continuer à la lécher. Le gamin a plongé de plus belle sa tête entre les cuisses. Son visage était enfoui dans les poils drus.

J'ai poussé doucement mon gland contre son anus fripé et ma bitte est entrée tout doucement dans le cul étroit, humide de salive. Je sentais son muscle anal s'ouvrir sous la pression de mon gland. Le môme m'a tendu le cul en léchant la chatte brûlante et moi je m'enfonçais à petits coups de reins au fonds de son ventre sous les yeux de Néneh qui ne pouvais pas perdre une miette du spectacle. Elle n'arrêtait pas de sucer la bitte très tendue du môme.

Une fois au fonds, je me suis arrêté de bouger. C'était très étroit et très chaud. Il avait le cul profond, mais pas assez pour engloutir ma bitte dans sa totalité.

J'ai commencé à le limer doucement, puis de plus en plus vite. Néneh s'est mise à lécher mes couilles ou la bitte du gamin. Il s'était mis à genoux de.sa propre initiatives, mais ne bandait plus. C'était terriblement bon. J'ai donné plusieurs coups de reins avant de ne plus pouvoir me retenir surtout quand Néneh m'a serré les couilles comme pour me faire gicler un maximum de jute.

J'ai super bien jouit au fonds du petit cul et suis sorti avec regret et à la demande de la fille. J'ai cédé ma place et le gamin a accueilli sans aucun problème le bitte de Farid, qui étonné par une telle soumission, a mis moins longtemps que moi pour lâcher sa purée au fond du ventre offert.

Néneh a lécher le petit trou humide dégoulinant de sperme. Elle a bu nos semences mêlées. La bitte du môme a aussitôt pointé. Néneh l'a prise en bouche goulûment et ils se sont envoyés encore une fois en l'air devant nous.

Nous les regardions comme deux cons, dépassés par les événements. Le pouvoir de cette fille est diabolique. Elle avait fait de ce gamin sa chose. Et lui, il acceptait de bon cœur.

Ils se sont écroulés tête-bêche sur le pieu dévasté.

Nous sommes partis laver nos queues.

On s'est regardé Farid et moi. On ne savait pas quoi dire ni quoi penser. Je suis sûr que quelque part nous étions jaloux de ce môme qui en une demi-heure, nous avait complètement rattrapé coté sexe. On se sentait coupables aussi. Bref on n'était pas clair avec nous-même.

Quand nous sommes revenus, ils discutaient à voix basses. Le Pt'io avait sa tête posée sur les seins de la fille qui lui caressait doucement les cheveux. On aurai dit un couple d'amoureux seul au monde. C'était très beau et très frustrant à la fois.

- Eh Néneh? Si tu veux qu'on se casse tu nous le dit?

Farid avait les boules. Cela se sentait aux intonations de sa voix. Il fallait faire très attention avec mon pote, car il montait très vite et après on ne le retenait plus.

- Ne t'énerves pas Farid, il est tellement mignon ce môme. Et avoir une mère pute, çà ne doit pas être drôle tous les jours. Faut bien qu'il en profite un peu et çà me change de vous deux. Vous savez bien que nous trois c'est à la vie.

Elle s'est levée.

Putain, ce qu'elle est belle. On dirait une liane. Grande, fine, des formes ou il fallait et un cul magnifique. Les pointes de ses seins regardaient le plafond. Elle nous a embrassés rapidement. À peine un effleurement sur nos bouches. Même sa sueur sentait bon. Elle a rejoint la salle de bain. Je ne pouvais pas détacher mon regard de son cul en mouvement. Elle a disparue.

Nous nous sommes tournés vers le môme assis sur le pieux. C'est vrai qu'il est mignon. Ce bougre-là savait aussi y faire avec les femmes. Il ne bandait plus mais j'avais vu la taille de sa bitte lors de sa sauterie avec Néneh et il n'avait pas à rougir de la taille son sexe. Bien au contraire. Il avait un bel engin entre les jambes.

Bref, je devais bien admettre que Néneh avait raison. Ce jeune avait tout pour plaire aux hommes et aux femmes et cela n'était pas donné à tout le monde. Farid s'est approché de lui, le regard mauvais.

- Dit donc le mouflet? Tu sais que tu commences à me faire sérieusement chier toi!

Le gamin a levé les yeux vers mon pote. Regard craintif et apeuré. Ils se sont regardés un bon moment. J'étais presque certain que Farid allait lui allongé un pain de première. Mais devant mes yeux ébahis, le Pt'io s'est mis à genoux face à Farid et son visage s'est penché sur le sexe de mon pote. Il a commencé à lui tailler une pipe!

ANDRERP95
ANDRERP95
24 Admirateurs
12