Le Prince de Chair Ch. 06

Informations sur Récit
Le prince humilie toujours plus la duchesse.
1.6k mots
4.66
14.6k
1

Partie 6 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 04/08/2019
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

— Montrez-moi la petite chienne docile que vous êtes, ordonna Arlor. Mettez-vous à quatre pattes.

La provocation n'arracha aucune attitude défiante à la Duchesse. Au contraire. Elle s'exécuta avec exaltation, pivota sur elle-même, son dos cambré dans une position capable de faire pâlir de jalousie une danseuse Médja. Le prince écarta les jupons comme les coroles d'une fleur pour dévoiler les formes dissimulées. Et par Oldam, quelles formes! Les fesses pleines de la Duchesse auraient pu damner un panthéon complet. Au creux de son sexe ouvert, totalement offert et humide de désir, la petite entrée sombre de son vagin semblait l'appeler.

— Ce que vous voyez vous plait, mon seigneur?

La Duchesse l'observait, une lueur d'excitation dans le regard. Elle fit dandiner son provocant postérieur. Arlor répondit d'une puissante gifle sur la fesse droite. La belle accompagna le claquement d'un glapissement qui s'acheva sur un doux gémissement. Ses chairs amples et fermes rebondirent à peine sous l'impact. La marque rouge de la main du prince, clairement visible sur la peau diaphane, témoignait pourtant de son manque de retenue.

Arlor gifla les fesses offertes à nouveau. Gauche, droite, gauche, droite. Il s'amusa des réactions de douleur et plaisir mêlé de la Duchesse. L'ingénue appréciait de toute évidence ce traitement. La tête arquée en arrière à chaque coup, le goutte-à-goutte de sa mouille se faisait plus intense ; il s'écoulait le long de sa toison blonde.

— Pitié, mon seigneur. Ne me faites pas languir. Prenez-moi..

La Duchesse poussait sur ses mains pour basculer autant qu'elle le pouvait son sexe vers celui tendu du Prince. La petite entrée de son vagin inviolé exigeait presque d'être empalée. Arlor frotta son membre contre le clitoris engorgé. Juste une fois. La belle poussa un cri de plaisir. Des tremblements parcoururent tout son corps.

— En... Encore... Enfoncez-vous...

La Duchesse haletait de plus en plus fort. Bien que son excitation soit on ne peut plus réelle, Arlor avait bien compris son manège. Elle pensait pouvoir l'amener à briser le contrat de sang en le poussant à la pénétrer. Il sourit intérieurement. Les flammes de sa fierté brulaient donc encore. Malheureusement pour la belle Duchesse, elle jouait à un jeu dont les règles lui échappaient. Arlor avait deux coups d'avance.

Le prince agrippa les fesses bombées devant lui. Leur peau était douce et soyeuse. Il les écarta pour révéler le minuscule froncement brun-rosé à peine ridé au plus secret de son corps. Il en éprouva l'anneau du doigt et, comme il s'y attendait, il était particulièrement étroit.

— Non... pas là... arrêtez...

Ignorant totalement les plaintes de la Duchesse, Arlor lui agrippa les hanches pour se placer. Il appuya de toutes ses forces, sentit l'anneau résister puis céder, son membre comprimé dans un étroit fourreau velouté. Caeda hoqueta de surprise. Elle tenta de lui échapper, mais sa prise resta ferme sur ses chairs tendres.

Arlor s'amusa un temps à se retirer presque complètement pour se renfoncer d'un coup violent qui secouait puissamment le corps sous lui, lui arrachant d'intenses halètements. Son long sexe glissait avec aisance dans l'étroit anus, aidé par la lubrification qui s'était écoulée de celui de Caeda un peu plus tôt. Elle gémissait de plus en plus fort, ses poings blanchis aux phalanges, une fine pellicule de sueur luisant le long de sa colonne.

Des contractions progressives autour de son membre alertèrent le prince de l'imminence de l'orgasme de la Duchesse. Il s'immobilisa et sortit presque complètement son sexe. Caeda se trémoussa pour essayer de le reprendre en elle. En vain.

— Votre corps est si honnête. Vous aimez donc tant que cela être prise comme une bête?

La duchesse mordit dans sa lèvre inférieure pour ne pas répondre. Arlor s'enfonça à nouveau avec une lenteur exagérée. La belle retint son souffle tout du long, avant de gémir puissamment lorsqu'il atteint toute sa longueur. Elle était si proche de la jouissance, et pourtant si loin.

Pour l'avoir vu de nombreuse fois, Arlor devinait sans mal la tempête d'émotions contradictoires qui la balayait et l'empêchait de lâcher les rênes de sa fierté, de peur d'être emportée. Comment réconcilier les vagues de plaisir avec le fait qu'elles étaient provoquées par un acte qu'elle jugeait dégradant? Comment accepter que l'humiliation et la douleur agissaient comme des épices à son extase? Elle ne voulait plus le prince en elle... jusqu'à ce qu'il se retire. Alors, elle le désirait ardemment, le plus profondément possible. Elle détestait ce que sa cruauté éveillait des tréfonds de son corps, mais, vierge de telle expériences, elle ne pouvait envisager de plaisir en son absence.

Arlor lança un regard vers le fond de la pièce où brillait l'éclat d'un miroir et sourit. Elle était enfin mûre pour cette surprise.

Il passa les bras sous la taille de la Duchesse et la souleva, se mettant debout en la gardant empalée. Elle se débattit légèrement et gémit. Le prince se dirigea vers le grand miroir à pieds dissimulé dans l'ombre des flammes du foyer. Caeda tremblait de tout son corps.

Le prince ne voyait pas encore assez bien. Posant ses fesses sur un fauteuil proche , il se pencha en arrière et se mit à soutenir la Duchesse par-dessous ses genoux relevés. La position lui permit alors de distinguer parfaitement dans la glace le sexe et, en dessous, la dilatation imposée par son large membre complètement enfoncé.

— Que voyez-vous? demanda le Prince

— Votre sexe dans mon... votre... vous me sodomisez.

— Observez mieux la glace du miroir, ne remarquez-vous rien?

— La surface... elle... hmmmmm (Arlor venait de forcer de se ses bras puissants le corps léger de a Duchesse le long de son membre.) Par les dieux. Hmmmmmm... La surface... elle... scintille...

— Savez-vous pourquoi?

La Duchesse ne répondit que par un gémissement, puis un autre. Elle s'agrippait au cou du prince et ondulait son bassin pour l'aider à mieux la pénétrer.

— Parce qu'il a été fabriqué à grands frais à partir d'un cristal-mémoire, finit par dévoiler Arlor.

La belle mit un instant avant de réaliser ce qu'elle venait d'entendre.

— Vous... voulez dire que? gémit-elle.

Elle croisa ses bras devant son visage et rougit encore plus. Ce geste de jeune femme bien élevé contrastait délicieusement avec l'impudeur de ce corps aux gros seins agités par les coups de boutoir du prince. Celui-ci sentit son membre se tendre toujours plus, écartelant encore l'anneau délicat.

— Nos ébats sont en train d'être mémorisés dans leurs moindres détails. Chaque geste, chaque parole, chaque cri. Une fois emmagasinées par le cristal, quiconque en touchera la surface pourra revivre nos jeux comme s'il se trouvait dans la pièce avec nous, en ce moment même. Le Baron Martel et le Vicomte Duvalois vont être tellement satisfaits.

Une longue plainte échappa des lèvres de la Duchesse à l'évocation de ces deux noms. Une plainte qu'Arlor pris une fois encore grand plaisir à changer en gémissement d'une impulsion de son pénis.

Caeda ne connaissait que trop bien Martel et Duvalois, deux de ses plus fervents prétendants. Leurs titres - bien inférieur à ceux d'une Duchesse - ne laissaient aucun doute quant à leurs chances réelles de la conquérir, d'autant plus qu'ils ne pouvaient même pas compter sur leur physique fort banal. Pourtant, ils ne tarissaient pas d'efforts pour lui plaire, et la belle ne faisait rien pour les dissuader. Arlor avait bien vite cerné son intérêt dans ce jeu de dupe. Et c'est sans grand effort que les nobliaux acceptèrent de l'aider à rendre ses jeux avec la Duchesse littéralement inoubliable.

— Vous devriez être flattée. Ils ont dépensé une bonne partie de leurs fortunes dans l'espoir de vous admirer sous un jour qu'ils pensaient inaccessible. Même si par miracle ils vous avaient mariés, jamais vous ne les auriez laissé accéder à cette partie de votre corps, et ils n'auraient pas osé passer outre vos désirs par peur de courroucer votre père. Mais maintenant, et bien, ils vont pouvoir découvrir la catin en chaleur soumise à toutes mes envies qui se cachait pendant tout ce temps derrière ses beaux atours, ses titres et ses faux semblants. Autant de fois qu'ils le désirent.

La Duchesse ne répondait pas, mais les propos cruels du prince ne la laissaient pas indifférente. Son souffle se faisait plus haché, plus chaud aussi. Son visage n'était plus caché que par une seule main, l'autre avait attrapé un sein et tirait avec force sur la pointe sensible. L'humiliation mêlée au sexe qui la ravageait produisait en elle un cocktail irrésistible.

— Qui sait, j'en ferais peut être profiter d'autres, dit le prince pour provoquer toujours plus Caeda, son sexe pompant expertement, juste assez fort pour la maintenir au bord de l'orgasme, sans jamais l'y laisser basculer. Votre ami d'enfance, Branos, peut être? Ses regards ne sont pas tous platoniques, vous savez. Ou bien Qral, le capitaine chargé de votre protection? Il ne vous garde pas à l'œil uniquement par devoir, vous pouvez me croire. L'idée qu'ils puissent vous voir ainsi vous excite, n'est-ce pas?

La Duchesse ne répondit pas, toute concentrée qu'elle était à s'arquer contre la puissante verge.

Le prince cessa ses va-et-vient.

— N'est ce pas?

La culmination de l'humiliation et du plaisir arrachèrent les dernières réticences de la fière Duchesse.

— Oui! cria-t-elle. Oui! Ça m'excite. Par pitié, ne vous arrêtez pas. Enfoncez-vous dans mon cul. Ravagez-moi devant les trois royaumes s'il le faut, mais n'arrêtez pas ce que vous faites je vous en supplie.

Il ne fallut à Arlor qu'un grand coup de reins et la Duchesse explosa dans un orgasme fulgurant. Le prince ne put se retenir davantage. Il faillit la lâcher, mais parvint à se reprendre et la maintins jusqu'à la fin. Le miroir ne rata rien de l'abondant flux de sperme qui s'écoula en spasme de l'anus de Caeda.

Le prince posa la Duchesse sur le tapis à ses pieds. Allongée sur le dos, elle ne fit aucun effort pour croiser ses jambes. Elle tendit la main vers son clitoris plus engorgé que jamais, son regard suppliant rivé sur Arlor.

Le prince fit non de la tête en souriant. Il ne lui restait plus qu'une chose à faire.

(Suite et fin au chapitre 7)

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 5 ans
Très bon

En voilà une saga merveilleusement menée. Vivement la suite.

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Quand J'oublie Mes Affaires de Gym Je récupère mes affaires de gym dans le vestiaire.
Actrice Malgré Elle (Partie 01) Une jeune étudiante se retrouve sur le tournage d'un film X.
Meurtres Dans Les Bas-Fonds (Fin) Une policière se fait passer pour une pute afin d'enquêter.
Une Justicière Mise à Nu Au fond d'une ruelle, Véronica surprend deux inconnus.
La déchéance d'Hélène 01 Histoire de la soumission d'Hélène et sa famille.
Plus d'histoires