Une Justicière Mise à Nu

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Au fond d'une ruelle, Véronica surprend deux inconnus.
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Nous sommes en 2030. La police, dépassée, ne s'offusque plus lorsque des civils masqués à la manière des super-héros des comics leur prêtent main forte pour maintenir l'ordre. Dans une petite ville côtière, Véronica Schwartz, une jeune blonde de 28 ans, décide de mettre son courage et ses compétences sportives au profit de cette cause. Mais est-elle vraiment prête à faire face aux pervers qui rôdent dans les rues des mauvais quartiers?

*** *** ***

Alors qu'un rideau d'obscurité rend le décor plus inquiétant, Véronica commence à douter. Ce projet de patrouiller dans le seul quartier mal famé du coin relève de la folie. Elle entend encore la voix de sa meilleure amie, Helen : "Malgré ton entraînement, tu n'es pas prête ma 'Nica. Tu as eu de la chance la dernière fois. Lorsque quelqu'un voudra vraiment te nuire, ta seule force physique ne suffira pas..."

Malgré tout, depuis la découverte de son potentiel, c'était devenu comme une addiction. Les sortie se multipliaient et elle n'avait jamais eu vraiment besoin d'entrer dans une confrontation physique puisqu'à sa grande surprise, les petites frappes qu'elle rencontrait fuyaient à la vue d'une jeune femme masquée. Quelle sensation grisante d'exercer autant d'autorité sur des hommes considérés comme dangereux par le restant de la société.

Puis, c'était sans compter sur le fait qu'elle travaillait sur un costume depuis plusieurs semaines afin de rendre ses activités nocturnes anonymes. Rien de bien flashy mais quelque chose à l'allure sexy malgré elle. En effet, elle avait vite appris que les costumes moulants avaient surtout pour fonction de la rendre plus libre de ses mouvements. Son choix se porta sur une combinaison noire en néoprène fin qui lui donnait tout de même la sensation de sortir dans un body moulant ses formes généreuses. En plus, la combinaison était destinée à la pratique du surf ; ce qui l'empêchait de porter confortablement un soutien-gorge. Ainsi, plutôt de nature pudique, c'est seulement lorsqu'elle trouva un masque noir qui lui cachait le pourtour des yeux et un string suffisamment épais pour qu'on ne devine pas la forme des lèvres entre ses cuisses qu'elle trouva le courage de revêtir cette tenue en public.

L'été touchait à sa fin mais les soirées étaient encore chaudes : plutôt fière de ce que l'athlétisme avait fait de ses jambes ces deux dernières années, elle avait décidé, sur un coup de tête, de ne pas mettre de collant. Cependant, maintenant qu'elle se retrouve sur les trottoirs de sa ville natale et croise plusieurs passants plus ou moins interloqués, son doute se transforme doucement en regret. La chair de poule tiraille ses cuisses. Ses tétons, durcis, crissent contre le tissu de sa combinaison. Ses dents se mettent à claquer.

"Le froid" pense-t-elle. "Non. L'adrénaline..." Peu vêtue, trottant sous les halos lumineux des lampadaires, Véronica se sent mal à l'aise mais elle n'arrive pas à se débarrasser d'une puissante sensation d'excitation qui la parcourt des cuisses au haut de la nuque.

Elle est rapidement extirpée de ses pensées lorsqu'elle entend un cri. En se basant sur sa maigre expérience, elle en déduit que c'est un homme et qu'il ne doit pas être bien loin. Elle court sur quelques centaines de mètres, longeant de banals immeubles aux pierres noircies par la pollution. Puis, en jetant un œil dans une des ruelles encombrées par deux grosses bennes à ordures, elle assiste à une scène qui lui glace le sang.

Au fond de cette allée sans issue, elle découvre un homme chauve, mal rasé, plutôt grand dont les larges épaules étirent un t-shirt blanc trop petit et tâché de suie. Il menace un jeune homme à l'aide d'un couteau. Le jeune homme en question est allongé de tout son long sur le bitume. Ses cheveux bruns ébouriffés et mouillés par la sueur lui collent légèrement aux tempes. Il s'écrase littéralement devant son agresseur et palpe le sol à la recherche, semble-t-il, de sa casquette bleue qui gît un mètre plus loin. A la vue de Véronica, l'homme au t-shirt blanc éructe d'une voix rauque :

- Dégage, pétasse. Fais comme tout le monde ici : t'as rien vu!

Quelques secondes d'hésitation, puis :

- Non, tu vas lâcher ton arme et laisser ce mec tranquille.

Véronica tente de donner le change mais elle est figée par l'angoisse. Une arme. La réalité de la situation la frappe en plein visage : c'est lui qui risque de mener la danse maintenant. Dans une minable tentative d'intimidation, elle bombe le torse et s'avance vers eux. Un pas après l'autre. Calmement. Aussi lentement que possible.

L'homme au t-shirt blanc glisse sa lame entre sa ceinture et son jeans puis s'élance d'une vitesse surprenante en direction de la jeune femme. Il l'attrape de la main gauche par la gorge puis, alors que celle-ci tente de lui porter un coup visage, il lève la main droite et attrape le poignet de Véronica. Elle panique :

- Au secours!

Au sol, le jeune homme à la casquette regarde la scène avec de grands yeux ronds. Véronica, déterminée à jouer les sauveuses, lui crie d'une voix à bout de souffle :

- Qu'est-ce que t'attends?! Cours!

- Je sais où ta petite famille habite, Ryan. Tu restes là et on reprend notre discussion au sujet de mon argent quand j'aurai fini de m'amuser avec ma nouvelle amie masquée...

Ryan ramasse sa casquette et n'essaie même pas de se relever. Puis, il continue d'observer la scène d'un œil inquiet.

L'attention de l'agresseur se reporte sur Véronica. Il n'a aucun mal à plaquer son corps contre l'un des deux murs longeant la ruelle. Sa main repose encore sur la gorge de la jeune femme. Son étreinte est suffisamment serrée pour l'empêcher de bouger mais assez ample pour qu'elle puisse respirer. Cependant, la panique fait que le torse de Véronica s'agite de haut en bas dans un halètement frénétique. Les yeux de l'homme se posent sur la poitrine de la blonde qui danse sur la même cadence. Lorsque ses yeux finissent par discerner les tétons dressés sous le néoprène noir, un large sourire s'étire sous ses yeux qui pétrissent déjà la poitrine charnue de Véronica.

- P'tite salope... C'est ça ton truc hein? Courir dans les rues dans ton costume d'Halloween en espérant que le grand méchant loup te croque?

Cette perspective ne laisse pas Véronica totalement indifférente mais elle ne veut pas lui montrer. Elle le fixe droit dans ses yeux "noisette" et siffle :

- Lâche moi.

Il accueille la réplique par un rictus.

- C'est ça. Fais semblant, ça m'excite encore plus.

Dans une attitude de défi, il relâche sa proie : il met une main dans sa poche et l'autre repose sur le manche de son couteau qui trône encore sur sa hanche. Puis, tout en appuyant son regard dans celui de Véronica, il rapproche son torse et ses larges épaules du visage de la jeune femme. Elle discerne une cicatrice sur sa joue droite puis finit par craquer et détourne le regard. Lentement, il approche son visage de la nuque de la belle blonde. Il renifle l'odeur de sa peau dans une attitude proche de l'animal. Ses joues mal rasées griffent doucement le cou pâle et parfumé de sa proie.

Véronica reste figée par l'excitation. Elle observe cette nuque penchée en direction de la sienne. Elle se surprend à contempler la peau brunie par le soleil de son agresseur tout en s'intoxiquant de l'odeur musquée de la sueur qui trempe son t-shirt blanc. C'est aussi excitant que dégoûtant. Elle assume de moins en moins le feu qui crame le creux de ses reins et, instinctivement, pose ses mains sur le torse et le repousse de toute ses forces.

Comme s'il était retenu par un élastique, le torse reprend sa position initiale et elle sent ses poignets encerclés par des mains calleuses. L'agresseur lui soulève les bras et les plaque contre le mur, au dessus sa tête. La poitrine de la jeune femme se soulève et il en profite pour plaquer son visage contre ses seins. Dans un premier temps, il frotte son nez puis ses lèvres contre la combinaison. Puis, il plaque sa grosse langue humide contre le téton gauche. Sa salive imprègne le textile et forme une auréole froide qui dresse toujours plus le mamelon de Véronica. A ce moment-là, elle en prend conscience : "C'est immonde. C'est immoral mais putain... J'en ai envie."

Comme si l'homme pouvait lire cette pensée sur son visage empourpré, il dégaine et pose son couteau entre les seins de Véronica puis pince le tissus entre son pouce et le bout de la lame. Ceci a pour effet de créer un légère ouverture dans la combinaison de la jeune femme. Sa peau douce et laiteuse apparaît comme une étoile dans la nuit noire du néoprène. Il lâche la lame qui tombe dans un cliquetis aigu entre sa paire de bottes militaires noires.

- On dirait que je vais plus avoir besoin de mon couteau... Je me trompe, ma belle?

Tout en finissant cette phrase, il enfourne les doigts de ses deux mains dans le trou et déchire le tissu synthétique noir d'un geste sec et maîtrisé. Véronica lâche un petit cri alors que ses deux seins dodus jaillissent de leur écrin dans un ondoiement de plus bel effet. L'homme aux larges épaules, lui, lâche un rire satisfait devant un spectacle aussi appétissant. Sans ménagement, il attrape les seins de ses grandes mains et les caresse de manière bien appuyée. Tout en la fixant droit dans les yeux, il lâche :

- Je vais te baiser comme on t'a jamais baisé, salope.

A moitié nue, Véronica se sent sale, humiliée et faible... Elle brûle d'excitation. Honteuse, elle tente de masquer les apparences et détourne toujours plus le regard pour ne pas croiser celui de l'inconnu. C'est alors qu'elle croise celui de Ryan qui se tient toujours à quelques mètres d'eux. Ryan. Sa seule porte de sortie dans cette situation qui lui échappe complètement. Elle lui adresse d'abord un regard suppliant avant d'être choqué par ce qu'elle voit. Toujours assis sur le bitume, il n'arrive pas à planquer la magistrale érection qui déforme son short en jean. La scène à laquelle il est en train d'assister ne le laisse visiblement pas de marbre : il serre son membre durci d'une main tout en reluquant la poitrine de Véronica avec un regard obscène qui n'a plus rien de la victime.

Exhibée ainsi devant deux inconnus qui la désirent, elle perd le contrôle. Ses jambes flageolent. Son sang devient lave sous sa peau blanche qui ne demande plus qu'à être caressée. Son cœur s'affole dans un battement lourd dont elle ressent les vibrations jusque dans le bas de son ventre.

Le temps qui semble s'être suspendu reprend son rythme et l'inconnu attrape Véronica par les épaules puis la retourne avec une facilité déconcertante avant de la coller au mur. D'habitude, la sensation de ses seins pressés contre la pierre noire, froide et humide aurait été suffisante pour la calmer. Seulement, là, c'est tout le contraire. Les regards lubriques de ces deux hommes pervers l'habillent. Elle pourrait jurer qu'elle les sent tripoter son cul de leurs prunelles obsédées.

Puis, elle entend un claquement sec. Elle peut reconnaître ce bruit les yeux fermés : une ceinture de cuir. Elle sent la lanière s'enrouler et serrer brutalement ses fins poignets. Elle sait qu'il la veut à sa merci.

Le chauve se colle brusquement à elle. Elle sent son membre long et dur se gorger de sang contre son cul rebondi. Il lui plaque fermement la tête de profil contre le mur. C'est alors que Véronica aperçoit une dame, probablement la soixantaine, vêtue d'un coupe-vent rouge. Celle-ci reste immobile à l'orée de la ruelle, son visage éclairé par la lumière artificielle d'un lampadaire. Elle trouve rapidement le regard de Véronica.

Elles se dévisagent pendant plusieurs secondes. La soixantenaire ne prononce pas un mot mais ses yeux parlent pour elle. Ils veulent savoir mais ont peur de comprendre.

L'homme lui glisse à l'oreille :

- Tu dis rien? T'appelles pas à l'aide?

Elle ne dit rien. Elle n'appelle pas à l'aide. Elle n'arrive pas à reprendre son souffle. Son ventre et sa poitrine collent à l'humidité du mur. La rigidité des pierres lui donne encore plus envie de sentir la main chaude d'un homme épouser ses formes généreuses. Les caresser puis les agripper fermement pour les pétrir à plein doigts à la limite de la douleur. Son visage toujours collé à la façade, ses paupière se ferment quand elle sent la main rêche de l'inconnu frôler sa hanche, ses cuisses puis s'installer avec savoir contre sa chatte en feu. Elle retient de justesse un gémissement puis, se met à lécher du bout de sa langue rosâtre la moiteur salée du mur. "Qu'est-ce qui m'arrive?" songe-t-elle. Puis, une de ses pensées lui glisse la réponse : "Je veux qu'on me remplisse la bouche."

Devant ce spectacle, l'homme ricane. La jeune femme rouvre les yeux. Plus de coupe-vent rouge.

- Je vais faire des prouesses avec une chienne comme toi.

Dans la tête de Véronica, ça tourbillonne. Non. Pire qu'un tourbillon, une tornade. Se savoir maintenant totalement à sa merci, ça la fait fondre. La main gauche toujours fixée sur le sexe de la jeune femme, l'inconnu pose lentement sa main droite sur la bouche de celle-ci. Puis, il la plaque contre son torse et lui souffle à l'oreille : "Tu vas faire exactement ce que je te dis. C'est clair?"

Elle sent ses jambes trembler d'excitation et son souffle haletant qui butte contre la main de ce pervers. Elle sent aussi son string souillé d'une mouille chaude et abondante. Finalement, elle sent les doigts de l'homme massant sa vulve gonflée à travers le textile et elle prie pour qu'il décide de la baiser dans cette ruelle.

Elle se retourne et acquiesce d'un signe de tête.

- À genoux.

Les mains nouées, elle peine à se mettre en position mais le chauve ne l'aide pas. Il la fixe simplement tout en ouvrant lentement sa braguette. Puis, il libère un bel engin à la peau brune. Sous une légère toison, son long membre gorgé de sang palpite déjà. Le regard planté dans celui de Véronica, il caresse lentement son manche du bout des doigts. Elle baisse les yeux et aperçoit une goutte perler sur son gland charnu.

Elle le veut. Contre son visage. Son nez. Ses lèvres. Elle veut observer les veines qui marbrent sa queue et les lécher. Elle veut humer son odeur et lui offrir sa bouche pour qu'il la souille de son foutre brûlant. Il approche l'objet du désir de la gueule d'ange de Véronica mais, alors qu'elle s'apprête à le gober, elle est victime d'un rebond de pudeur et referme la bouche.

L'inconnu sourit et attrape de sa main libre le visage de Véronica. Pendant une seconde, elle craint qu'il lui enlève son masque révélant son identité à ces deux pervers. Il a visiblement une autre idée en tête : il frotte sa verge sur le visage de la blonde puis fait glisser son gland contre sa bouche. Il tartine de mouille ses lèvres boudeuses qui brillent maintenant comme si elles étaient mises en valeur par du gloss. Cette vision l'excite tellement qu'il force la tête de la jeune femme contre son bas ventre. Elle sent les effluves de sueur et de suie qui émanent de son t-shirt mais aussi l'odeur enivrante de ses couilles rasées qu'elle finit par embrasser à pleine bouche sans même le réaliser.

- Chassez le naturel, il revient au galop, hein?

Honteuse mais diablement excitée par son attitude de salope, elle se fige l'espace d'une seconde et lève le regard. L'inconnu la fixe droit dans les yeux et il n'a pas besoin d'en dire plus. Véronica ouvre la bouche en veillant à bien lui présenter sa jolie langue rose sur laquelle il dépose sa queue alourdie par l'excitation. Pendant quelques secondes, il se branle contre la douceur humide de celle-ci puis, elle n'arrive plus à se retenir : elle prend goulûment le membre entre ses lèvres et le suce sans ménagement. Les bruits de succions précédent les premiers gémissements de l'homme qui ne cesse de gonfler dans la bouche brûlante de la jeune femme. Après quelques minutes, elle le sent se raidir du gland aux épaules. Soudain, il retire brusquement son engin qui tire un mince filet de salive de cette bouche encore affamée.

- Elle a failli me faire jouir cette garce!

Déçue de ne pas l'avoir fait jouir dans sa bouche, elle accueille tout de même la remarque avec un sourire intérieur et le supplie à voix basse :

- Encore...

Incrédule, le chauve se tourne vers Ryan :

- T'as déjà vu une chaudasse comme...

Il ne finit pas sa phrase mais se met à rire aux éclats quand il réalise dans quel état d'excitation se trouve le beau brun.

- Bah, mon cochon, on dirait qu'elle te chauffe aussi cette salope! T'en veux un morceau? Je mettrai ça sur ton ardoise, mec.

Les mains toujours nouées, Véronica se lève, malgré elle, aidée par la poigne de fer du chauve. Ryan, lui, déboutonne son short et le laisse tomber sur ses chevilles. Il dévoile un sexe plus court que l'homme au t-shirt blanc mais qui en impose par son épaisseur. Le fait qu'il soit entièrement épilé contraste avec ses cuisses poilues et bien musclées. L'inconnu, lui, se glisse dans le dos de Véronica et lui ordonne d'écarter les cuisses : elle s'exécute sans se faire prier. Il se baisse et déchire l'entrejambe de la combinaison révélant la moule trempée de la blonde. Puis, il l'attrape derrière les genoux et la soulève contre son torse en prenant bien soin de lui écarter les cuisses. Dans cette position, impossible pour elle de lutter et son con épilé est offert à la vue d'un Ryan en transe. A genoux, il colle son nez contre cette chatte luisante de mouille. L'odeur est tellement bandante qu'il ne peut s'empêcher d'astiquer sa queue.

Le chauve s'en mêle :

- Bouffe-la. Elle attend que ça.

"Il a raison" pense-t-elle. Le souffle chaud du beau brun caresse la moiteur de sa fente et elle veut qu'on la possède à pleine bouche. Il appose ses lèvres sur la vulve dodue et commence à la pomper. Elle lâche un gémissement en deux-temps quand Ryan fait vibrer le sexe de la blonde en parlant :

- T'aimes ça, petite pute hein?

Le fait qu'il se mette aussi à l'insulter fait grimper l'excitation de Véronica :

- Oui, j'aime. Lèche-moi, je t'en supplie.

Le chauve ricane. Le brun colle sa langue à plat contre le trou bouillant de Véronica. Elle lâche un soupir. Il remonte vers son clito très lentement ; sa langue déposant une traînée de salive sur toute la longueur du con. La blonde sent la mixture de bave et de cyprine couler sur son anus. Elle se contracte de plaisir : ses abdos se durcissent et elle tente de serrer les cuisses.

L'inconnu, qui continue de la porter sans effort, la force à les rouvrir. Ryan s'en donne à cœur-joie. Il pénètre son orifice d'une langue dure et chaude. Il déguste son bouton à pleine bouche comme un fruit mûr et juteux. Véronica lève la tête au ciel en râlant comme une bête :

- Ah! AH! AAAH!

L'homme au t-shirt blanc en profite pour plaquer sa bouche contre la nuque de la blonde. Celle-ci est à la porte d'un orgasme titanesque mais, joueur, Ryan stoppe net et tente de coller sa queue contre la chatte frémissante.

Le chauve repose la jeune femme immédiatement au sol :

- Hé, petit con : abuse pas. C'est moi qui vais la bourrer.

Ryan, visiblement frustré :

- OK alors je vais lui en mettre plein la bouche alors.

- Tu feras ce que tu veux quand j'en aurai fini avec elle. 'suis chaud là.

Pour Véronica, le fait qu'ils décident de son sort sans même lui adresser la parole est étrangement libérateur : elle est surexcitée. Toujours les mains dans le dos, debout, elle se prépare à son sort. La blonde écarte ses jambes galbées puis se cambre. Une main rêche se crispe sur son dos alors qu'elle sent un gland charnu lui écarter les lèvres. Elle en rêvait : il va la sauter dans cette ruelle. D'un coup de rein sec, le chauve plante son pieu dans l'étouffante chaleur de Véronica. Elle se cambre mieux pour bien sentir les prochains centimètres. Deuxième coup de rein. Elle a l'impression de sentir la raideur de sa queue jusque dans son ventre.

- Putain, t'as un de ces cons, chaudasse!

L'inconnu pose sa grosse patte sur la hanche de la blonde et commence à limer vigoureusement sa fente trempée. De l'autre, il lui claque plusieurs fois le cul faisant rebondir ses seins charnus. Ryan, lui, s'astique le manche devant cette chienne en extase et pelote les nichons qui dansent devant ses yeux. Aux mains de ces deux hommes, les râles de Véronica se font toujours plus profonds. Les beuglements qui vibrent dans le fond de sa gorge contrastent avec son visage angélique. Ryan lui fourre deux doigts dans la bouche qu'elle suce avec plaisir malgré les coups de boutoir qui lui rudoient le corps. Enduits de salive, il les retire pour les coller contre son clito' bombé par l'excitation. Réactive, Véronica joue des hanches et se donne rapidement un orgasme :

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