Le Prince de Chair Ch. 05

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Arlor punit la défiante Duchesse.
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Partie 5 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 04/08/2019
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— Me… me corriger ? balbutia la Duchesse. Qu’est ce que vous racontez ? J’ai fait du mieux possible tout ce que vous m’avez ordonné.

Bien qu’a terre, à moitié dénudée et la preuve encore fraiche de son humiliation luisante à ses lèvres, Caeda gardait la tête si haute qu’elle aurait pu servir de gravure illustrant le concept de port altier.

Arlor s’extirpa du fauteuil.

— Pas assez. Sans parler de vos incessants défis. Tout cela demande punition.

La Duchesse entrouvrit la bouche un court instant, puis son regard se posa sur le contrat de sang placé en évidence sur la table basse. Elle ne dit rien.

— Mettez-vous à genou face à moi, ordonna Arlor. Comme pour la prière du matin.

Caeda obtempéra. Elle replia ses jambes sous ses fesses, à l’abri de l’entrelacs de ses jupons, avant de placer ses avant-bras, paumes vers le ciel, le long de ses cuisses.

— Oldan serait fière, dit le prince, votre posture est digne de ses plus fidèles apôtres. Mais je ne suis pas Oldan, aussi je vous prierais de croiser vos mains dans le dos.

Après une courte hésitation, Caeda suivit l’instruction. Le prince s’approcha. De par sa grande taille, son sexe tendu s’alignait presque parfaitement avec la bouche de la belle noble dont la respiration en titillait agréablement le gland.

Les intentions d’Arlor ne laissaient guère de place au mystère. Dans un mouvement instinctif qui déclencha une décharge d’excitation le long du membre du prince, la Duchesse entrouvrit la bouche. Arlor n’en attendait pas plus. Il s’y empala. Lentement. Minutieusement. Savourant chaque instant.

— Oh. Votre bouche est un tel délice.

La Duchesse se crispa à cette remarque. Cela ne fit qu’accentuer le plaisir d’Arlor qui poussait toujours plus son sexe en elle. Lorsque son gland franchit complètement la barrière de ses lèvres, la respiration de la belle s’accéléra.

— N’oubliez pas votre langue.

L’ordre eut pour étrange effet de calmer en partie la nervosité de la Duchesse. Avec autant d’ardeur que la première fois, sa langue et ses lèvres jouèrent avec le sexe du prince. Léchant. Pressant. Englobant.

Arlor forçait la large tige de son sexe toujours plus loin dans la bouche sans défense. À l’approche du seuil de la gorge, il sentit une agréable résistance. Il inclina un peu plus fort sur son bassin pour la briser. Caeda gémit. Ses mains quittèrent son dos et, arc-boutée contre les cuisses d’Arlor, elle le repoussa.

Indulgent, le prince laissa faire la Duchesse. Il extirpa son large sexe de sa bouche pour lui permettre de reprendre son souffle. Il ne comptait cependant pas s’interdire de faire tout ce qu’il désirait d’elle.

— S’il faut en arriver la pour que vous m’obéissiez, dit-il. Je peux vous attacher comme une jument revêche.

— Non, gémit la Duchesse. C’est juste que… je… Je ne sais pas si… si je peux.

— Faites-moi confiance, vous êtes faites pour ça. Ce ne sera pas forcément agréable, pas au début du moins, mais les punitions le son rarement n’est-ce pas ? Maintenant, redressez-vous. Mains dans le dos. Et ne vous avisez plus de bouger.

Caeda déglutit. Elle reprit sa position. Sa respiration affolée soulevait sa poitrine à un rythme endiablé, mais son regard avait retrouvé l’éclat de la détermination. Après s’être passé la langue sur les lèvres, elle les écarta.

Arlor y glissa son sexe, plus rapidement et moins délicatement cette fois. La fournaise de son désir évaporait sa patience. À la première résistance, il agrippa le crâne de la duchesse pour l’empêcher de reculer et donna un puissant coup de reins. Caeda gémit longuement lorsque le membre s’enfonça totalement dans les profondeurs de sa gorge. Le visage de la belle pressé contre son pubis, le prince sentait le filet de son souffle entre ses poils. La panique lava toute trace de défi des yeux de la noble.

— Votre bouche est nettement mieux utilisée ainsi que pour vous plaindre.

Caeda réagit à la provocation en se crispant toujours plus autour du sexe. Mais, faisant preuve d’une volonté admirable, elle maintint sa position de soumission, totalement offerte au bon vouloir du prince.

Arlor bascula légèrement son bassin en une série de petits va-et-vient. La gorge de la Duchesse se contracta. Elle cherchait à prendre une inspiration. Il la laissa se reculer de quelques centimètres. Juste assez pour qu’elle regagne un peu de son souffle. Juste assez pour le lui couper aussi vite d’un nouveau coup de reins. Contrôler ainsi la respiration de la belle emplissait le prince d’un sentiment de toute-puissance incomparable.

— Si vos prétendants pouvaient vous voir en ce moment. (Arlor libéra de la pression de son sexe.) La grande Duchesse Caeda de Montval. (Nouvelle poussée, arrachant un long gémissement aigu.) Joyaux des terres du Sud. (Le prince se retira presque totalement.) Traitée comme la dernière des prostituées d’auberge.

Arlor pénétra de toute la longueur de son sexe la bouche soumise à son bon plaisir. La Duchesse haletait, mais les provocations semblaient renforcer sa détermination au lieu de l’abattre. Elle ne détournait plus le regard. Le prince ne résista pas à la vue de ses yeux emplis de colère et de larmes. Après s’être extirpé presque complètement une fois encore, il se renfonça brutalement, arrachant un nouveau cri étouffé. Une plainte vite noyée par les puissants jets de son sperme, directement en elle. Arlor maintint son pubis plaqué contre la bouche de la Duchesse et ferma les paupières pour savourer l’intensité de ses jaillissements. Jusqu’à leur épuisement.

Lorsqu’il libéra Caeda, une importante quantité de bave s’accrochait à sa verge et au menton de la belle noble. Après une longue série de toux, elle lui adressa un regard courroucé. Le plus noir depuis le début de leurs « jeux ».

— Au moins je suis certain que vous n’avez rien gâché cette fois, susurra le prince.

La belle ne daigna pas répondre à la provocation.

— Vous m’impressionnez, Duchesse. Vous avez tenu sans bouger. (Il se pencha jusqu’à son oreille.) Bien docile. Vous méritez une récompense.

— Une récompense ? demanda-t-elle, méfiante.

— Nous allons recommencer, mais cette fois, vous pourrez vous caresser en même temps. Savez-vous comment faire ?

La Duchesse l’ignora.

— Désirez-vous tant que cela une autre punition ?

— Vos cadeaux. (Caeda inspirant longuement, son souffle encore court.) Ressemblent beaucoup trop à vos brimades.

Arlor lâcha un petit rire dénué de cruauté.

— Vous vous méprenez. Mon titre de prince de chair n’est pas galvaudé, et je me targue, lorsque mes conquêtes le valent, de leur faire découvrir des plaisirs insoupçonnés. Parfois, un simple détail fait passer une expérience plaisante pour l’un, en une expérience mutuellement agréable. D’autant plus que. (Il se pencha à l’oreille de la belle.) Je ne suis pas dupe. J’ai vu votre corps réagir à mes contraintes, j’ai entendu vos gémissements. Cela vous plait, n’est-ce pas ? Être utilisée comme un jouet, vous qui habituellement commandez aux hommes ?

La Duchesse serra les dents comme pour se retenir de bondir à la gorge du prince. Elle détourna le regard, mais le rosissement de ses joues la trahissait.

— Donc, souhaitez-vous tester ma patience, ou allez-vous répondre franchement ? Savez-vous vous donner du plaisir ?

Caeda acquiesça avec la lenteur d’une statue.

— Utilisez vos mots.

— Oui, mon seigneur. Je sais.

L’utilisation instinctive de son titre fit rejaillir l’excitation dans le sexe d’Arlor avec la brutalité d’un blizzard-rouge.

— Parfait. Dans ce cas, retirez vos dessous.

La Duchesse se releva avec lenteur, laissant au prince tout loisir de déguster ses formes. Il se régala en particulier des preuves de sa domination. Les rougeurs sur la peau diaphane de sa lourde poitrine, sa semence répandue sur son menton, les sillons noirs des larmes emportant son fard… Bientôt, elle serait totalement sienne.

Caeda glissa une main sous ses jupons désormais fripés. Elle dandina des hanches pour faire choir sa culotte en satin le long de ses jambes. Arlor nota avec plaisir que le sous-vêtement luisait d’humidité.

— Montrez-moi comment vous vous y prenez.

Elle s’assit à terre, face au prince, jambes repliées contre sa poitrine. Le regard planté dans celui d’Arlor, elle écarta ses longues jambes. Le mouvement releva les jupons, dénuda le galbe de ses cuisses que des bottes à hauts talons mettaient en valeur. La fente de son sexe se dévoilait sous la légère toison de poils blonds qui remontait, anarchique, haut sur son pubis. Elle soulignait bien plus qu’elle ne cachait. Longue, fine en haut, on distinguait les lèvres inférieures roses dans sa partie basse.

Une main sur le sol derrière elle pour se soutenir, la Duchesse amena l’autre entre ses cuisses. Les lèvres cédèrent sans effort, s’écartèrent sous ses doigts, déjà humides. Par de petits mouvements circulaires, elle agaça la pointe de son clitoris. Très vite, elle haletait.

Arlor se lécha les babines intérieurement devant le petit trou serré du vagin de la belle. L’idée de dilater cette chatte vierge manqua de le submerger. Pour chasser cette pulsion, il entreprit d’en assouvir une autre.

Il pénétra d’un seul mouvement la bouche de la Duchesse. Il n’eut même pas besoin de lui maintenir la tête pour atteindre les tréfonds de sa gorge. Il commença ses coups de reins sans attendre.

— C’est bien plus agréable ainsi, n’est-ce pas ? dit-il après plusieurs va-et-vient.

Les intenses gémissements de la Duchesse répondirent à sa place. Le rythme de ses doigts s’accélérait. Arlor les accompagna, pompant de plus en plus sauvagement.

— Retirer votre main, ordonna-t-il soudain.

Expert en la matière, le prince avait repéré les signes de la montée de l’orgasme de Caeda. La noble obtempéra avec une supplique dans le regard. Son sexe ouvert luisait de mouille dont une large flaque imprégnait les jupons en dessous. La frustration de la Duchesse suffit à faire jouir Arlor. Après quelques giclées puissantes, il s’arracha à sa bouche et projeta les derniers jets en plein sur ses gros seins. Voir la poitrine ainsi souillée émut le prince plus que de raison.

— Pourquoi ? gémis la Duchesse.

Au vu des lents mouvements de bassin que faisait la belle, clairement à la recherche du moindre frottement, Arlor comprit qu’elle ne parlait pas du fait qu’il venait d’éjaculer sur son buste.

— Vous pouvez vous caresser à nouveau, répondit-il simplement.

La duchesse ne se fit pas prier, et Arlor non plus.

Trois fois encore, il posséda sa bouche. Trois fois il lui interdit de se toucher à la frontière de l’orgasme. Trois fois, il jouit au fond de sa gorge. Toujours plus puissamment à mesure que la frustration de la Duchesse grandissait, décuplant son plaisir, comme s’il héritait de celui gâché de la belle.

Arlor ne faisait pas ça uniquement pour sa propre jouissance. Il voulait éveiller le corps de la duchesse, en augmenter la sensibilité, pour que le moindre de ses effleurements soit chargé d’excitation. Il voulait qu’elle associe sa sexualité sauvage et dégradante à la source de son plaisir. Quelle ne se contente pas de subir, mais qu’elle réclame.

C’est ainsi que la troisième fois, Caeda réagit plus puissamment que jamais aux intrusions du prince dans sa bouche. L’aréole normalement claire de ses seins tachés de semence s’assombrit fortement. La flaque de sa mouille devint une mare. Chaque va-et-vient l’envoyait s’arquer de plaisir. Chaque pénétration lui arrachait d’intenses gémissements. Des gémissements que la moitié du palais devait pouvoir entendre, prouvant qu’elle ne se souciait plus du monde extérieur, mais uniquement de ce qu’Arlor lui procurait.

— Vous en désirez plus n’est-ce pas ? murmurera-t-il lorsqu’il eut son content de la bouche ducale. Vous voulez ressentir le plaisir de la libération ?

Caeda demeura silencieuse. Elle haletait, tête basse, son regard rivé sur son clitoris engorgé, comme un appel à être touché. Arlor saisit la belle noble par l’arrière de la nuque pour l’obliger à le regarder. Sentir l’odeur puissante de son sperme dans sa respiration saccadée relança son excitation.

— Il n’y a que nous ici, dit-il, se retenant de fixer le miroir à pied dans l’angle de la pièce. Quel meilleur moment pour la franchise ?

— Laissez-moi me toucher, dit finalement Caeda. Je vous en prie, mon seigneur. Je n’en peux plus. Je peux continuer à vous satisfaire avec ma bouche autant de fois que vous le souhaitez pendant ce temps.

Arlor sourit

— J’ai une bien meilleure idée.

(A suivre dans le chapitre 6)

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