Le Prêt - Première Partie

BÊTA PUBLIQUE

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Riendeau sentait le plaisir la gagner... inexorablement, sans retour, sans fuite possible...

Il était temps qu'il s'occupe maintenant de son petit clito, fièrement dressé, gardant l'entrée de son sexe....

Doucement, Riendeau fit remonter son majeur le long du vagin d'Émilie pour aller à la rencontrer de ce petit pieu gorgé de sang...

À sa grande surprise, il avait déjà quitté son capuchon, pointant entre les replis charnus du sexe d'Émilie.

Riendeau n'en fut que plus excité, constatant que le clitoris de la jeune femme était en érection...

Très doucement, il commença à le caresser, à le faire rouler contre le bout de son majeur bien mouillé de cyprine...

Émilie poussa un petit cri étouffé... Un cri de surprise, de honte... et de plaisir...

Ce plaisir qui se faisant de plus en plus puissant et pressant...

Ce plaisir qui, comme un geyser, n'avait cesse de chercher à gicler à travers son corps...

Émilie avait fermé les yeux pour mieux se concentrer et contrer la jouissance qu'elle sentait monter en elle...

La bouche entrouverte, sa respiration s'accélérait, entrecoupée de petits gémissements...

Riendeau n'avait d'yeux que pour les traits du visage de cette jeune femme qui allait avoir un orgasme là, devant lui...

Cette femme qui le détestait allait jouir sous ses caresses...

Comment ce dégout, ce mépris qui habitaient Émilie pouvaient-ils céder le pas au plaisir le plus intense qu'une femme peut ressentir?...

Ce plaisir que les femmes ne vivent habituellement que dans les bras de leurs amants...

Ce plaisir que Riendeau forçait Emilie à ressentir... assurant ainsi encore davantage sa domination et son contrôle sur la jeune femme ...

Riendeau sentait que l'explosion de jouissance qui allait secouer le corps de la jeune rousse aux petits seins fermes et au sexe étroit était proche...

Il accéléra le rythme de ses caresses sur le clito d'Émilie... Ce petit clito bien rigide qui avait maintenant doublé de volume...

Avec le majeur de sa main gauche malaxant toujours les fesses de la jeune femme, Riendeau trouva l'entrée de son anus et y inséra lentement son doigt...

Le corps d'Émilie se balançait comme une poupée de chiffon... soutenu par les doigts du vieil homme s'activant au fond des parties les plus intimes de son corps...

L'orgasme d'Émilie la foudroya complètement, débordant par larges vagues au-dessus des écluses dressées par sa raison et sa volonté...

La tête basculant vers l'arrière, son visage se crispa sous le plaisir...

Ses genoux flagellants ne la supportaient plus, son coeur battait la chamade, des bouffées d'une chaleur intense faisait perler des gouttes de transpiration entre ses seins et au creux de ses reins...

Le majeur de Riendeau quitta le clito d'Émilie et, joint par son index, s'engrouffa à nouveau au tréfond de son vagin...

Émilie continuait à jouir encore et encore.... à l'image de ces phénomèmes sysmiques qui connaissent de puissantes secousses successives...

Telles des plaques tectoniques se pressant les unes contre les autres, la cavité vaginale d'Émilie se comprimait comme jamais auparavant, emprisonnant au fond de son ventre les gros doigts boudinés du vieux salaud...

Complètement obnubilée et envahie par le plaisir, Émilie du s'accrocher aux épaules de son violeur pour ne pas perdre l'équilibre...

Elle poussa une série de gémissements trahissant qu'elle venait d'atteindre l'apogée, le faite de son orgasme...

La petite en avait vraiment envie...... Il y surement longtemps qu'elle n'a pas baisé, la salope... Hummm comme elle a un beau corps, comme ses seins sont fermes et son sexe étroit... Comme je vais prendre plaisir à continuer à la violer... ", pensa Riendeau... tout en continuant à reluquer la jeune femme livrée à son plaisir et à sa jouissance devant ses yeux d'abuseur...

La tempête s'éloignait doucement du corps d'Émilie... Lentement, elle reprenait ses sens...

Comme elle en voulait à son corps de l'avoir trahie, à sa volonté et à sa raison de n'avoir pu résister...

Elle se sentait sale et utilisée... face à un calvaire qui, elle le savait, n'allait que se poursuivre.

"Pas si mal, non?"

La voix du vieux cochon la remena à cette réalité qu'elle aurait tellement voulu fuir...

"Tu as jouis, Émilie... je t'ai violée et je t'ai amenée à l'orgasme..."

De l'entendre parler ainsi donna à Emilie l'envie de vomir... Comment avait-elle pu se montrer aussi faible?

"Maintenant, c'est à toi de me donner du plaisir..."

Elle ne le regardait toujours pas, trop honteuse pour affronter son regard...

"Amène le petit pouf matelassé qui est derrière toi et viens le mettre entre mes jambes... Il est l'heure de ta prière, ma petite!..."

Vaincue, sans aucun autre choix que d'obéir, Émilie fit quelques pas chancelants vers le centre de la pièce pour aller quérir le pouf et le déposer entre les jambes de Riendeau...

"Très bien, ma petite... maintenant, agenouille-toi..."

Encore une fois, Émilie se soumit à sa demande...

"Maintenant, regarde moi... regarde-moi, Emilie..."

Émilie releva les yeux... Elle n'avait plus cet air d'arrogance et de défi qui étaient siens il y a à peine une heure....

Son regard était plutôt celui d'une jeune femme impuissante, vaincue, soumise aux volontés d'un gros porc ayant l'âge d'être son grand-père...

Tenant son visage entre ses grosses mains, comme le ferait un adulte voulait obtenir toute l'attention d'une enfant, Riendeau poursuivit:

"Je veux que tu me fasses jouir, Émilie... Je veux que tu me fasses éjaculer en te servant de ta bouche, de ta langue, de tes lèvres et de tes mains.."

"Je veux que tu me caresses les testicules et le pénis avec tes mains douces et finement manicurées... Je veux que tu branles ma vieille queue..."

"Je veux que tu embrasses mes grosses couilles molles et poilues... Je veux que tu lèches ma vieille bite couverte de grosses veines saillantes et bleutées... Je veux que tu lèches et suces mon gros gland violacé..."

"Et puis, je veux que tu me fasses jouir, que tu me fasses éjaculer dans ta bouche et que tu avales toute ma semence, jusqu'à la dernière goutte..."

"Tu comprends, Émilie?..."

Résignée, elle murmura simplement et faiblement: "Oui..."

"C'est bien!", ajouta-t-il, faisant glisser ses grosses pattes dans la chevelure soyeuse de la jeune femme afin de délicatement l'empoigner pour lentement diriger son visage vers ses parties génitales...

Émilie n'arrivait plus à se situer dans le temps et l'espace... Comme tout cela pouvait-il logiquement se produire?

Cette situation était tout à fait irrationnelle...

Elle était là, complètement nue, le front appuyé contre son gros ventre, en train de lécher les testicules de Mr. Riendeau, un homme qu'elle connaisant depuis sa plus tendre enfance mais envers lequel elle n'avait jamais éprouvé d'affection...

Elle léchait ses grosses couilles velues tout en le masturbant, en l'entendant raler et beugler de plaisir...

"Ah oui, branle-moi, ma petite chienne, comme tes mains sont douces... comme tu me fais bander..."

Émilie se sentait comme une pute.. une pute forcée de satisfaire un homme en échange d'une rémunération financière...

Pourtant, les putes ne prennent pas de plaisir, se répéta-elle ...

Émilie, elle, avait joui, secouée par un des plus puissants orgasmes qu'elle avait jusqu'à ce jour connu...

Elle se sentait pire qu'une prostitutuée. Elle avait perdu toute estime d'elle-même n'étant plus désormais que l'objet sexuel de ce vieux dégueulasse...

Que pouvait-elle maintenant faire d'autre que de le satisfaire?...

Le piège de ce vieux maquereau s'était refermé sur elle, se dit-elle alors que sa langue chaude et douce attaquait la hampe du vieil abuseur...

"Ah c'est bon.. c'est bon..." gémissait le vieil homme...

Émilie avait presque atteind le vieux bourgeon violacé qui courronnait sa bite maintenant bien dure...

Elle fit glisser sa langue enduite de salive chaude sur le gland congestionné de sang du vieux salaud...

"AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH c'est trOOOOOOOOOp Boooooooooooooon...", gémit-il...

Puis, ouvrant les lèvres, elle l'enfourna dans sa bouche, initiant, le long de son pénis, un lent mouvement de va-et-vient.

La retenant par les cheveux, Riendeau régla son rythme tout en accentuant la pénétration pour atteindre, avec son gland, le fond de sa gorge...

Il savait qu'il ne pourrait plus se retenir très longtemps mais il avait envie de faire durer son plaisir le plus longtemps possible: ce plaisir unique pour un homme de son âge... celui de violer la bouche d'une jeune femme de 25 ans...

La bouche d'Émilie était un chaud réceptable pour sa vieille bite...

Les mouvements que lui imposaient le vieux cochon la forçait à prendre entièrement dans sa bouche son vieux pénis jusqu'à ce que son visage se retrouve enfouie dans les poils blancs du pubis de Riendeau... Sa caresse se poursuivait jusqu'à se que son pénis ressorte de sa bouche et qu'elle le masturbe tout en titillant son vieux gland avec sa langue..

Elle espérait que ce serait ainsi qu'il éjaculerait, qu'elle n'aurait pas ou peu à goûter son sperme... encore moins à l'avaler....

Malheureusement, ce n'était pas le scénario que Riendeau avait en tête...

Le premier jet de sperme du vieux cochon, remplit la bouche d'Émilie alors que la queue de Riendeau était bien engagée au fond de sa gorge

Une semence abondante, épaisse et acre...

Deux autres jets de foutre suivirent... entremêlés aux ralements de jouissance de Riendeau... ce vieux cochon réalisant, après toute ces années, son fantasme d'éjaculer dans la bouche de la fille d'un de ses meilleurs amis...

Riendeau la retenant toujours fermement par les cheveux, Émilie comprit qu'elle n'avait pas d'autres choix et commença à avaler le liquide séminal de l'homme qui était en train de la violer...

Le gros porc la maintena ainsi de longues minutes, ses parties génitales vautrées contre le visage de la jeune femme... sa vieille bite s'amollissant lentement dans la bouche de l'infirmière...

Puis, il la fit relever, la fit s'assoir à sa place, avant de l'obliger à s'étendre sur le dos, la croupe sur le bord du lit...

"À mon tour maintenant", ajouta-t-il simplement...

S'agenouillant sur le pouf, il avança son faciès répugnant vers l'entrejambe d'Émilie, embrassant et léchant au passage l'intérieur de ses cuisses....

Une sensation s'apparentant à une décharge électrique traversa le corps d'Émilie lorsque Riendeau, du bout de sa langue, effleura les lèvres charnues de sa vulve...

"Hummm... comme tu réagis bien, putain".... rala Riendeau avant de s'approcher à nouveau de la vulve d'Émilie...

Dégageant cette fois-ci les grandes lèvres avec ses deux pouces, il put savourer à sa guise la vue de l'intérieur rosé, étroit et luisant du vagin d'Émilie...

À nouveau, Émilie poussa un cri alors que la langue du vieux vicelard s'insinuait en elle...

Jamais un homme ne l'avait caressée ainsi avec sa langue...

Riendeau ne faisait pas que la lécher, il se servait de sa langue, qui était particulièrement longue et large, pour pénétrer et fouiller l'intérieur de sa cavité vaginale comme le ferait un petit pénis en érection...

Émilie se tortillait sur le lit, agrippant les draps, tentant de garder contact avec sa raison, tentant de repousser ces effluves de jouissance qui la transperçaient de part en part.....

Peine perdue, le plaisir qui venait tout juste de l'envahir et de la faire jouir retrouvait le chemin qu'il venait d'emprunter..

Emilie se mit à mouiller, de plus en plus....

Riendeau s'abreuvait de la mixture la plus intime qu'une femme peut produire... Cete mixture chaude et légèrement salée emplissait sa bouche, mouillant ses doigts...

Bientôt, il en était convaincu, cette mixture de plaisir lubrifierait aussi sa vieille bite alors qu'il violerait la petite fente étroite de la belle Émilie...

Ses cuisses relevées et écartées, ses talons appuyés sur les épaules de Riendeau, Émilie ne pouvait que faiblement supplier son abuseur...: "Non, non... vous n'avez pas le droit... arrêtez, je vous en prie..."

Ces suppliques d'Émilie ne faisaient qu'attiser encore davantage le désir du vieil homme...

Avec son pouce, il commença à lui caresser le clitoris.... Ce clitoris toujours aussi gonflé de plaisir..

Emilie était maintenant à la merci de la lubricité de Riendeau... les ondes de plaisir qui balayaient son corps se synchronisaient de plus en plus aux assauts pervers du vieillard qui la violait...

Le bassin d'Émilie tanguait maintenant au rythme des coups de langue de ce vieux vicelard, fouillant et pénétrant son corps...

Son clitoris était bandé, doué d'une vie propre, ne répondant plus aux appels de la raison d'Émilie.... Son anus était de nouveau envahie par un gros doigt boudiné, enfoncé dans son fondement jusqu'à la jointure...

Emilie souleva son bassin, refermant les cuisses sur le visage repoussant du gros homme....

Son vagin n'avait cesse de se contracter sur la langue du vieillard, giclant dans sa bouche une quantité impressionnante de cyprine que le vieux dégueulasse s'empressait d'avaler en se délectant...

Elle jouit deux fois ainsi alors que Riendeau continuait à lui violer la fente et l'anus...

Puis, complètement vidée physiquement et psychologiquement, elle retomba sur le dos telle une poupée de chiffon...

Riendeau se releva, son gland pointant entre les lèvres du sexe d'Émilie....

Retenant les cuisses de la jeune femme relevées et appuyées contre son corps velu, il fit lentement glisser sa bite de violeur entre les replis chauds et veloutés du vagin de l'infirmière...

"Non, ça suffit.. ça suffit... ", supplia Émilie...

"Tu te laisses faire, petite chienne... Aurais-tu déjà oublié notre entente?" beugla Riendeau en se penchant pour la retenir par les poignets...

"Hummm.... comme ta plotte est chaude et bien étroite, ma petite Émilie... Tu me sens dans ton ventre?"

Emilie avait cessé de résister....

Le contact du sexe contre les parois bien lubrifiées de son vagin ressucitait encore, comme si cela était possible, ces pulsions de jouissance qui l'avaient assaillie toute la soirée...

"Voilà, c'est mieux...", rala le gros cochon....

"Prends la bien ma bite, espèce de petite chienne...."

Ses coups de butoir se faisait de plus en plus puissants et rapides...

D'une main, il lui palpait ses petits seins qui valsaient devant ses yeux au rythme de ses coups de queue... De l'autre, il lui caressait doucement le clito avec son pouce...

"Je veux que tu jouisses, salope..."

"Je veux te sentir et te voir venir à nouveau, putain...."

"Je sais que tu en as envie, ma petite chienne..."

À cause de son engagement au centre, Émilie n'avait pas eu de petit ami depuis maintenant presque un an...

Il y avait donc plus d'un an qu'un homme ne l'avait pas pénétrée...

Sa dernière relation sexuelle avait été avec un garçon de son âge qui possédait une queue longue, large et bien dure...

Tout le contraire de ce vieux cochon âgé qui la violait avec sa petit bite à moitié bandée...

Cette petite bite qui était la risée des employés féminines du centre devant qui il s'était exhibé...

Comment expliquer alors que son vagin se contractait sur le sexe de ce vieux vicelard?...

Comment expliquer que son corps la trahissait de nouveau?...Sinon qu'après un an d'abstinence, elle avait besoin d'être touchée, léchée, sucée et pénétrée...

Durant la denière année, sa vie sexuelle s'était résumée à la masturbation, à ses doigts caressant son clito, à son vibrateur avec lequel elle se pénétrait..

Durant la dernière année, elle en avait été réduite à se masturber et à fantasmer.. se remémorant des scènes qu'elle tentait vainement d'oublier...

Car à l'âge de 16 ans, alors qu'elle passait l'été chez ses grand-parents, son grand-oncle, le frère de son grand-père, était venu la rejoindre dans sa chambre durant la nuit.

Ce vieux vicelard l'avait dénudée, touchée et abusée. Avec ses gros doigts et sa langue, il lui avait fait connaître, malgré sa honte et sa culpabilité, ses premiers orgasmes.

Depuis ces événements, son plaisir, même si elle ne le voulait l'admettre, était beaucoup plus intense lorsqu'elle s'imaginait dominée par un homme...

Au fil des années, sa raison avait toutefois toujours refusé et repoussé ce fantasme...

Rationnellement, il lui était impensable, inimaginable, "politically incorrect" qu'une jeune femme instruite et émancipée comme elle puisse jouir en imaginant se faire violer!...

Pourtant, c'était là, les fantaisies secrètes et taboues qui l'habitaient lorsque le soir, nue dans sa chambre, les cuisses ouvertes, elle se faisait jouir...

Elle s'imaginait prise de force par un ou plusieurs hommes... ses vêtements déchirés... des queues violant sa bouche, son vagin et son anus...

Mais ce qu'elle vivait ce soir n'avait rien en commun avec les fantaisies qui habitaient ses masturbations...

Un vieil homme laid et repoussant était étendu entre ses cuisses la pistonnant et la défonçant comme un forcené...

"Petite chienne... comme tu me fais bander!!!!" éructa-t-il!

Le poil blanc du sexe de Riendeau s'entremêlant à ses poils pubiens roux, ses seins compressés et malaxés, son clito rigide de plaisir caressé par ce vieux pouce rugueux, cette vieille bite au gros gland violacé écartant de force les parois de son vagin...

Toutes ces images sales et lubriques rejoignaient les fantaisies les plus secrètes et les plus ignobles qu'elle gardaient, sans oser se l'avouer, enfouies au fond d'elle-même....

"Petite chienne, je vais jouir...." grogna Riendeau

Elle souleva les hanches alors que la jouissance la gagnait elle aussi...

Son vagin se contracta à répétitions, cherchant à aspirer le foutre de ce vieux salaud qui jutait en elle...

Il y a longtemps que Riendeau n'avait pas joui ainsi....

Vivement, il fallait qu'il la viole à nouveau dans les prochains jours.... Il savait qu'il en aurait sûrement l'occasion!

Lentement, Émilie retrouvait ses esprits.... Sa raison reprenait le dessus...

"Salaud, cochon, vous n'êtes qu'un vieux dégoûtant"... lui cracha-t-elle alors qu'elle essayait de se dégager de ce corps flasque qui l'emprisonnait sous son poids...

Émilie se dépêcha de ramasser ses affaires et de se rhabiller en vitesse....

Elle s'apprêtait à quitter l'appartement de Riendeau lorsqu'elle se retourna pour lui lancer sèchement: "De toute façon, ce contrat, je ne l'ai même pas signé..."

"Pas besoin de ta signature, Émilie... regarde autour de toi....là, là et là et encore là"

Emilie leva les yeux pour apercevoir la dizaine de mini-caméras à demi-cachées couvrant tous les angles de la pièce...

Le vieux salaud avait tout filmé...

"Vous n'êtes qu'un écoeurant"... lança-telle en claquant la porte...

Riendeau esquissa un petit rictus de satisfaction...

Il venait de violer pendant plus de deux heures une jeune femme de 25 ans...

Et il en serait ainsi aussi souvent qu'il en aurait envie durant la prochaine année...

À suivre!

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5 Commentaires
innbayinnbayil y a plus de 5 ansAuteur
Pour en discuter!

Cherche complice pour discuter de nos fantasmes communs: "femmes forcées au plaisir!". Contactez-moi en privé!

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
génial

Très bonne histoire très bien écrite.

J'adore les détails.

Vivement la suite

trouchardtrouchardil y a plus de 5 ans
A continuer bien sûr

Bonne histoire qui mérite une suite. Merci Innbay !

liviolheureliviolheureil y a plus de 5 ans
Bien.

Bonne histoire, bien écrite. Les descriptions des situations sont précises, vivement la suite.

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans

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