Le Prêt - Première Partie

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Un vieux vicelard abuse d'une jeune femme!
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"Les rousses, ce sont toutes des vicieuses!"

La voix stridante de Mr. Riendeau suivie de son vulgaire rire gras, familier à tous les employés, avait résonné dans la salle à manger...

D'autres hommes avaient émis un petit ricanement d'approbation mais la plupart des pensionnaires du Centre pour personnes agées L'Escale étaient restés cois.

Émilie, manifestement visée par les propos du gros homme, s'était vivement retournée, froudroyant le vieux résident d'un regard réprobateur.

Elle aurait certainement voulu réagir davantage: le giffler ou même l'expulser du centre mais Riendeau était un des pensionnaires les mieux nantis de l'établissement... et un ami de ses parents.

Occupant le penthouse situé au dernier étage de l'immeuble, il versait chaque mois des milliers de dollars en frais de loyer.

Et ces dollars étaient les bienvenus car, depuis le décès de son père et la maladie de sa mère, Émilie était seule avec son frère ainé Paul à s'occuper du centre.

En fait, Paul ne lui était pas d'un grand secours. Adopté par ses parents alors qu'ils ne pensaient jamais pouvoir avoir d'enfants, Paul avait treize ans de plus qu'Émilie (il en avait 38 alors qu'elle venait tout juste d'en avoir 25).

Il avait passé de nombreux séjours en prison pour vols, fraudes et autres larcins. L'alcool et la drogue avait fait partie de ses habitudes de vie jusqu'à tout récemment. Et, même s'il affirmait avoir cessé de consommer, Émilie était loin d'en être convaincue.

Il aurait voulu s'impliquer davantage dans l'entreprise mais ses parents lui avaient toujours préféré Émilie. Il s'était donc résigné à son sort et avait observé, avec envie, sa jeune soeur prendre les commandes de l'entreprise.

La tâche principale de Paul était de maintenir l'immeuble en état. Admistrativement, il n'était toutefois d'aucun secours à Émilie.

Heureusement, elle pouvait compter, moralement et spirituellement du moins, sur le support de l'abbé Lavoie, le chapelin du centre. Fin soixantaine, c'était un homme dont la personnalité chaleureuse était à l'opposé de son apparence physique: petit, presque chauve, il était trapu avec, malheureusement un visage plutôt vérolé. Un sourire engageant faisait toutefois oublier sa piètre apparence physique. Présent une à deux fois par semaine, il venait dire la messe et entendre les confessions des résidents et résidentes.

Malgré son jeune âge, Émilie se trouvait donc aux commandes d'une entreprise en difficultés financières. Nonobstant sa petite taille (5,3" pour à peine 110 livres), c'était une femme déterminée et dynamique. Ses cheveux roux, soyeux et ondulés tombant sur ses épaules, ses taches de rousseur, ses pommettes saillantes, ses lèvres cuivrées, bien dessinées et ses yeux bleux perçants et rieurs suscitaient des regards approbateurs (sinon plus!) des hommes qui la croisaient au travail ou sur la rue.

Son père était décédé subitement il y a deux ans alors qu'Émilie terminait tout juste sa maitrise en soins infirmiers.

Son travail à temps partiel à l'intérieur de l'entreprise familiale s'était vite transformé en un emploi à temps plein.

Heureusement, durant la première année, elle put alléger sa tâche en partageant ses fonctions avec sa mère avant que cette dernière ne soit réduite à garder le lit, victime d'une sévère maladie dégénératrice.

Émilie était donc, depuis ce jour, seule en charge d'un établissement d'hébergement pour personnes agées dont les finances étaient plus que précaires.

Son père, au cours des dernières années avant sa mort, avait en effet effectué des transactions financières qui s'étaient révélées catastrophiques.

Il avait emprunté à un taux prohibitif une somme de 100,000$ pour effectuer des rénovations au centre et cette somme arrivait à échéance le mois prochain.

Malheureusement, les revenus de l'établissement n'avaient pas été à la hauteur des prévisions espérées.

De plus, le père d'Émilie avait cédé une hypothèque sur la maison familiale afin de garantir le dit emprunt.

Si le remboursement de l'emprunt n'était pas honoré dans les délais requis, le créancier allait mettre la main sur le centre et la maison familiale laissant sa mère malade et son frère au passé criminel tous les deux à la rue.

Ce fut la mère d'Émilie qui la convoqua chez elle ce soir-là.

Elle lui rappela la gravité de la situation et lui annonça qu'elle en était venue à une décision. Elle lui fit part qu'elle avait contacté Mr. Riendeau, celui-là même qui s'était montré grossier à l'égard d'Émilie le matin même (ce que, bien sûr, la mère d'Émilie ignorait) et qu'il s'était dit disposé à avancer cette somme sans intérêts pour une durée d'un an.

Le tout, bien sûr, à cause des liens d'amitié qui le liaient à notre famille, avait-il spécifié.

Il avait préparé un contrat et voulait voir Émilie le lendemain soir à son penthouse pour signer le tout....

Émilie ne savait que dire... Sa mère ne savait pas que cet homme était un être abject et grossier. Sexuellement obsédé, il n'avait cesse de s'exhiber devant le personnel féminin du centre ayant même eu l'audace d'offrir de l'argent pour obtenir des infirmières et du personnel de soutien des faveurs sexuelles...

Émilie avait même congédié, l'an dernier, une jeune stagiaire après qu'elle lui eu avoué avoir reçu de Mr. Riendeau la somme de 500$ pour lui faire une fellation.

La jeune stagiaire avait été découverte par l'infirmière-en-chef qui, s'inquiétant de son absence, avait utilisé son passe-partout pour pénétrer chez Mr. Riendeau.

Elle avait surprise la jeune femme, complètement nue, agenouillée entre les cuisses de Mr. Riendeau, affalée dans son fauteuil, nu lui aussi, sa robe chambre entreouverte, la queue bien enfoncée dans la bouche de la jeune femme, la retenant par les cheveux alors qu'il grimaçait de plaisir, jutant sa semence épaisse au fond de la gorge de la jeune stagiaire...

C'est cet homme qu'elle allait voir, cet homme ignoble qui avait posé sur elle son regard lubrique depuis le jour où elle avait atteint sa puberté et que les signes de sa féminité s'étaient manifestés...

C'était un homme menteur, manipulateur et hypocrite.... Jamais, ses parents ne s'étaient doutés de toute la perversité qui l'animait...

C'est avec cet homme qu'elle avait rendez-vous...

Elle cogna à sa porte à vingt heures précises...

"Entrez", beugla-t-il de sa voix bourru...

Lorsqu'il la vit, son attitude changea et il devint subitement tout mielleux.

Se levant de son fauteuil, il s'avança vers Émilie et la serra dans ses bras. Elle sentit son gros ventre se presser contre elle...

"Ah c'est toi, ma belle Émilie! Je ne t'attendais pas si tôt... Je croyais bien que tu irais prendre une douche et que tu irais te changer avant de me rendre visite..."

Émilie ne répondit pas... Que répondre à ce type de réflexion aussi sotte? Pourquoi devrait-elle prendre une douche avant de rencontrer un de ses patients?... Même si cela était pour un rendez-vous d'affaires?...

Tout en allant s'assoir sur le bord de son lit - un lit quelque peu surélevé, ce qui facilitait le travail du personnel de soins en cas de besoin.- Riendeau enchaîna:

"Alors, je comprends que toi et ta mère avez besoin d'argent?"

Riendeau la dévisageait comme un vautour s'apprêtant à s'abattre sur sa proie...

Il était vêtu d'une vieille robe de chambre élimée qu'il avait du acheter alors qu'Émilie n'était encore qu'enfant...

Ses pantouffles éculées trahissaient aussi de nombreuses années d'usure...

"Oui", répondit Émilie, "Nous avons besoin de 100,000$ avant lundi prochain..."

"Hummm, seulement 5 jours... ça ne vous donne pas beaucoup de temps... Ta mère t'a-t-elle dit que je suis prêt à vous aider?"

"Oui..."

"Aimerais-tu connaitre les conditions?"

"Les con.. ditions?", bégaya Émilie

"J'ai dit à ta mère qu'il n'y aurait pas d'intérêts pour toute la durée du prêt, ce qui vous donnera le temps de rembourser ou de refinancer votre dette... Ça ne veux pas dire qu'il n'y aura pas de conditions!.."

"Les... quelles?", balbutia à nouveau Émilie...

"Tu sais que je t'ai toujours trouvée très belle et très séduisante, Émilie... Tu dois bien sentir qu'il y a longtemps que j'ai envie de toi..."

Emilie avait baissé les yeux... Vraiment tout cela devenait très désagréable et très gênant...

"Regarde moi, Émilie..."

Émilie affronta son regard avec détermination et défi...

"Durant la prochaine année, je veux te baiser, te mettre, te fourer, où, quand, comment et avec qui je voudrai.."

Puis, tout en poursuivant, il ouvrit sa robe de chambre pour exhiber sa nudité devant la jeune femme

"Durant la prochaine année, je veux que tu me donnes du plaisir avec tes mains, ta bouche, ta langue, tes seins, tes mamelons, ta chatte et ton anus..."

Emilie éclata de rire en voyant cette boule de graisse poilue assise devant elle... Une petite queue à moitié bandée ou à moité molle, pensa-t-elle, laissait entrevoir un gros gland violacé complètement décapuchonné...

C'était loufoque... Comment une femme pourrait-elle avoir une relation sexuelle avec un tel être répugnant, se dit-elle?

"Espèce de vieux salaud, si vous croyez que vous allez un jour coucher avec moi, vous vous trompez royalement", dit-elle en le foudroyant du regard et en se dirigeant vers la porte.

"Dès demain, j'appelle la banque... je suis certaine que nous arriverons à un arrangement...", ajouta-t-elle...

"Ça m'étonnerait beaucoup, ma belle Émilie, car j'ai racheté votre dette.. enfin, une de mes sociétés l'a fait... regarde, les papiers sont là, sur la table... "

Émilie, à contrecoeur, revint sur ses pas...

Ses mains tenant les documents se mirent à trembler de rage et d'impuissance lorsqu'elle réalisa que ce vieux dégueulasse disait vrai...

"Ces conditions.. vous... vous n'êtiez pas sérieux?"

Son arrogance avait laissé place à la peur et au dégoût...

"Je suis toujours sérieux en affaires, ma belle Émilie... Vois-tu, tu n'as que deux choix: ou tu franchis cette porte et il n'y aura pas d'entente. Toi, ta mère et ton frère, vous perdrez alors tout et vous vous retrouverez à la rue... Ou bien, tu viens vers moi pour m'embrasser, pour sceller notre accord..."

Émilie était là, au milieu de la pièce, tenant toujours les documents à la main.. Son regard était vide... Elle n'arrivait pas à croire ce qu'il lui arrrivait...

La voix de Riendeau la sortit de sa torpeur...

"Alors, que décides-tu?"

Lentement, telle une automate, Émilie fit quelques pas vers Riendeau...

"Voilà... c'est bien.. viens encore plus près, ma belle Émilie, il y a si longtemps que j'attends ce moment..."

Debout, elle se tenait maintenant entre les jambes de Riendeau toujours assis, nu, sur le bord de son lit.

Elle sentit les deux mains épaisses du vieil homme encercler son visage pour l'amener vers le sien...

Les lèvres charnues du vieux dégueulasse se pressèrent contre les siennes...

La langue épaisse et chaude du vieil homme s'insinua dans sa bouche...

Elle se sentait abusée, salie, violée...alors qu'il lui fouillait la bouche de son vieil appendice baveux...

Ce "baiser" ne dura que quelques minutes mais il parut sans fin pour Émilie...

Un goût d'alcool et de cigarette lui resta au fond de la gorge lorsqu'il retira sa langue...

"Hummm... il y avait longtemps que j'avais envie de ça.... Et tu vois, ma petite Émilie, ça m'a excité!"

La courte queue épaisse de Riendeau s'était effectivement durcie et allongée...

"Humm... tu me fais bander, Émilie... Et je suis sûr que de te voir nue va me faire durcir encore plus..."

Les gros doigts gourds et épais du vieil homme commencèrent à déboutonner l'uniforme blanc de la jeune femme....

Puis ce fut la ceinture blanche en coton cintrant la taille fine de la jeune femme qu'il détacha....

Lentement, il fit glisser la robe pour découvrir les épaules et le soutien gorge en dentelle soutenant deux beaux petits seins que le vieux cochon soupçonnait d'être bien ronds et bien fermes...

L'uniforme de coton tomba sur les chaussures blanches de la jeune femme...

Elle était là, à moitié nue devant un homme qui avait l'âge d'être son grand-père...

Des larmes de honte, de dégoût et d'impuissance coulèrent sur ses joues...

"Tssss... Tssss.... Tssss.... il ne faut pas pleurer, ma belle... Tu sais, je ne veux que ton bien... je ne veux que te donner du plaisir... même si j'espère aussi que tu m'en donneras un peu!"

"D'ailleurs, je te trouve un peu passive... Tu te souviens, Émilie, que nous avons un accord... J'ai des obligations. Par exemple, celle de m'occuper de ta dette pour que toi, ta mère et ton frère ne sombriez pas dans la misère..."

"Mais toi aussi, ma belle Émilie, tu as des obligations... Celle d'abord de dégrapher ton soutien gorge pour je puisse voir tes seins, les palper et les embrasser... et puis, celle aussi d'enlever ta petite culotte pour que je puisse bien te caresser la chatte... pour que j'aie enfin la chance de m'occuper de ta jeune fente et de ton petit clito... Et puis, ensuite, tu auras l'obligation de me branler avant de te mettre à genoux, d'embrasser mes couilles, de lécher mon pénis et de sucer mon gland..."

"Par la suite, on verra bien... on a bien tout notre temps, non?!"

"Tu comprends ce que j'attends de toi, Émilie?"

La tête inclinée vers l'avant, vaincue, complètement à la merci du vieil homme, Émilie acquiesça et allongea les bras pour dégrapher son soutien gorge de dentelle blanc.

Comme si elle voulait retarder le moment où le gros porc allait voir sa poitrine, elle prit tout son temps pour faire glisser le soutien gorge sur ses seins ne se rendant pas compte que sa décision ne faisait qu'amplifier l'érotisme de son geste...

Les yeux rivés sur le corps à moitié nu de la jeune femme, le gros porc se délecta, dans un premier temps, de la partie supérieure ronde, bombée, couverte de taches de rousseur des seins d'Émilie.. puis ce furent ses petits mamelons rosés, pointant vers son visage, qui s'offrirent à lui... Finalement, libre de leur soutien de dentelles, les seins d'Émilie lui apparurent dans toute leur rondeur et leur fermeté...

Déjà, ses vieilles pattes courraient sur la poitrine de la jeune femme: soupesant, palpant et pressant les deux petits globes bien ronds, pinçant délicatement au passage les petits mamelons rosés déjà bien rigides...

La bouche et sa langue de Riendeau se mirent à fouiller cette peau douce, lisse et ferme, se refermant en de doux moments de succion sur les pointes dressés de ses jeunes seins ...

Emilie avait détourné la tête, regardant sans les voir les lumières de la ville scintillant au loin à travers la fenêtre...

Son corps lui parlait, lui envoyait des signes de plaisir mais sa raison et sa volonté arrivaient encore à maitriser et à repousser l'assaut dont ses sens étaient victimes...

Les seins d'Émilie étaient maintenant luisants de la salive de Riendeau.

"T'as de belles boules, salope... si tu savais le nombre de fois où je me suis branlé en essayant d'imaginer la forme de tes seins... Hummm... ils sont magnifiques"... ajouta-t-il en les enveloppant à nouveau de ces grosses pattes calleuses sentant pointer au creux de ses paumes les mamelons durcis...

"Et maintenant ton slip, ma petite Émilie.. pour ce qu'il nous reste à faire, c'est un obstacle!"

Résolue et brisée, Émilie fit lentement descendre le long de ses cuisses, la dernières pièce de vêtement qui recouvrait toujours son corps...

Encore une fois, la lenteur du geste de la jeune femme ne fit qu'accentuer l'érotisme de la scène...

Sans que Riendeau ne perde une seule seconde du spectacle s'offrant à lui, il put apprécier la bande élastique du slip glissant doucement pour découvrir le Mont de Vénus de la jeune infirmière. Bien rond et bombé, il était recouvert d'une courte toison ayant la couleur du feu...

D'où il était placé, Riendeau ne pouvait voir les lèvres de la vulve d'Émilie mais il savait qu'il en avait maintenant pleinement accès, le slip de la jeune femme étant tombé à ses pieds...

Les grosses mains velues du sexagénaire descendirent le long de la taille et des hanches de la jeune femme avant de basculer vers sa croupe ronde et ferme où elle se refermèrent...

Soupesant, malaxant, comprimant le postérieur de la jeune femme, il pouvait déjà fantasmer en imaginant tout le plaisir qu'elle lui offrirait lorsqu'il la violerait en levrette..

Continuant toujours à palper le cul d'Émilie de sa main gauche, Riendeau fit doucement glisser sa main droite pour revenir flatter à nouveau le ventre plat de la jeune femme...

Centimètre par centimètre, les gros doigts de Riendeau descendirent vers les poils pubiens d'Émilie... appréciant au passage la forme bien arrondie de son Mont de Vénus..

Le moment qu'il attendait depuis si longtemps se trouvait littéralement au bout de ses doigts!

Allongeant son index, Riendeau effleura le renflement d'une des lèvres de la vulve d'Émilie...

Son regard toujours tourné vers la fenêtre comme si elle cherchait à échapper à son corps, Emilie, de honte, se mordit la lèvre inférieure...

Riendeau sentit sa bite se dresser encore davantage... Il s'apprêtait à explorer avec ses doigts et puis, sûrement aussi, avec sa langue et sa queue, l'endroit le plus secret et le plus intime d'Émilie Bradon, 25 ans, infirmière....

Une jeune femme maintenant à sa merci...

Enhardi par cette première exploration, Riendeau retourna palper le sexe charnue d'Émilie...

Le majeur du vieux maquereau en trouva facilement l'entrée...

Écartant les grandes lèvres de la vulve d'Émilie, le plus long de ses doigts trouva l'entrée de son vagin...

"Ma petite putain d'Émilie, tu es toute mouillée, salope!!!!...", croassa avec plaisir le vieux salaud...

Émilie réalisa que les replis son sexe étaient moites et humides... Son sexe, bien involontairement, avait été stimulé par les longues caresses de la langue et des mains de Riendeau sur ses seins...

Riendeau accentua la pression de son doigt qui, sans effort, s'immobilisa à l'entrée de l'étroit canal de la jeune femme...

Quelques centimètres de plus et le gros doigt de Riendeau plongerait dans le ventre de la jeune Émilie!...

Émilie poussa un gémissement de honte lorsqu'elle le sentit entrer en elle.... son gros doigt large et épais écartant les parois lisses, moites et veloutés de son vagin...

Quelques secondes plus tard.... son gros doigt disparaissait complètement dans son ventre, jusqu'à la jointure...

"Écarte les cuisses, salope", croassa Riendeau

Comme un pantin privé de volonté, elle exécuta l'ordre qui lui était donné...

Riendeau retira son majeur luisant de sécrétions vaginales et le porta à son visage pour humer l'odeur intime de la jeune femme...

"Hummmm.... comme tu sens bon, Émilie... Même après une journée de travail, ton sexe a encore une odeur agréable et fraiche.... Hummmm.. comme j'ai hâte de le goûter davantage en le sucant et en le léchant..."

Faisant descendre une seconde fois sa main vers le pubis de la jeune infirmière, Riendeau trouva à nouveau les petites lèvres charnues qui protégeaient l'entrée de sa fente étroite...

Cette fois, c'est avec deux doigts, son index et son majeur, qu'il les écarta pour s'engager très lentement dans l'étroit conduit velouté d'Émilie...

Émilie sentit les parois de son sexe se distendre alors que le gros porc s'engageait dans un lent va-et-vient entre ses cuisses..

Riendeau pouvait maintenant apprécier toute l'étroitesse du vagin de la jeune femme...

Tel une vipère, ses doigts fouillaient, exploraient et se tortillaient dans ce chaud et spongieux réceptacle...

Il eut tôt fait de trouver le point G du sexe de la jeune femme et d'y appliquer une légère mais ferme pression...

Le visage toujours tourné vers la fenêtre, Émilie avait fermé les yeux... Voilà plus de 10 minutes qu'il la baisait ainsi avec ses gros doigts...

Sa raison et sa volonté étaient assaillies par des vagues de plaisir qui, de plus en plus fortes, déferlaient entre ses reins, jusqu'à la base de sa nuque, où elle se brisaient par lames successives...

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