Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 09

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« C'est bien mon mari, un peu de pression en moins. Maintenant baise-moi ! Baise-moi comme une chienne en chaleur ! »

Si ce vocabulaire transgressif dans la bouche de sa femme l'étonna, il n'en laissa rien paraître. Il était de toute façon concentré sur son assouvissement suivant et ne pensait qu'à se vider une nouvelle fois en elle. Il réussit à se contrôler suffisamment pour ne pas la prendre trop violemment mais ses mouvements n'en étaient pas moins d'une puissance et d'une profondeur exceptionnelles qui la faisaient frémir de la tête aux pieds.

« Plus fort ... n'aie pas peur ... notre bébé est bien ... à l'abri ! Baise ta chienne enceinte »

Cette fois il perdit toute mesure et commença à la prendre comme un forcené, la projetant en avant à chacune de ses pénétrations.

« Enfin ... mon homme ... AAH.. OOUI .. CONTINUE ... T'ARRËTE PAS ! »

Il sentit son vagin se contracter autour de sa verge en furie mais il n'en n'avait cure ; il continua à la pilonner sans merci. Tendu vers le seul objectif de leur besoin commun de s'accoupler comme des animaux en rut. Les cris de sa femme montèrent encore d'un ton dans l'aigu quand il se répandit encore une fois en elle mais elle ne lui laissa aucun répit :

« ENCORE ... BAISE-MOI AAAAH ENCORE ... PLUS VITE ... PLUS FORT ... AAAAH ! »

Jamais il n'avait senti son Pouvoir aussi puissant. Sa verge refusait obstinément de débander et, au contraire, continuait à se précipiter dans le puits d'amour comme animée d'une vie propre. Elle écrasa ses seins sur la table pour mieux les égratigner grâce aux mouvements de va et vient qui lui faisaient racler la table avec sa poitrine gonflée.

Gauthier serra les dents. Il ne voulait plus jouir sans elle mais il reconnaissait les signes avant-coureurs d'une troisième éjaculation. D'un suprême effort, il passa sa main sous la hanche de sa femme et écrasa son clitoris bandé comme un phallus miniature.

« YEOOH ! ... AAAH ... AAAVEC MOI .. GAU ... »

Il se libéra en même temps qu'elle, les jambes flageolantes et les tempes bourdonnantes tandis qu'elle s'effondrait complètement sur la table et en serait tombée si son mari n'était pas resté planté en elle.

Lorsqu'il se dégagea enfin après avoir repris son souffle, elle se suspendit à son cou et lui murmura

« Tu l'as senti comme moi? C'est la première fois que nous nous laissons complètement aller, comme avant ma grossesse »

« Oh oui je l'ai senti. Je crois que j'ai enfin admis que je pouvais te féconder en dehors du mois de juin et cela m'a libéré. »

« Qu'est-ce qui t'a fait changer d'avis? »

« J'ai laissé le champ libre à mon Pouvoir. Dès que je suis en présence de ton ventre gonflé, il me domine et en ton absence, il m'oblige à penser à toi et du coup, je bande comme un fou avec souvent une éjaculation précoce à la clef. J'ai trop longtemps essayé de le réprimer, ce qui était idiot et malvenu à ton égard »

« Si tu as envie de moi encore plus qu'avant, cela m'arrange parce que moi aussi je suis en chaleur presqu'à longueur de journée. Heureusement que j'ai les filles quand tu n'es pas là... »

« Cathy arrête ... Ca recommence »

« Cette fois, je préfère un lit ; je ne suis plus aussi souple »

Nue comme un ver, elle sortit du salon, trottina dans l'escalier jusqu'à leur chambre où elle utilisa le parlophone qui lui permettait de communiquer avec les domestiques « Lucie? Est-ce que toi ou Mariette pourriez récupérer ma robe au salon ... oui .. et aussi éponger quelques flaques ; Monsieur est revenu plus tôt ... »

« Eh, y a pas que moi qui ait laissé des traces »

« Tais-toi et viens couvrir ta femelle comme un bon mâle ! »

Ils refirent l'amour beaucoup plus calmement, Gauthier s'ingéniant à la prendre en missionnaire en bandant ses abdominaux pour ne pas s'appuyer sur le ventre gonflé sous lui. Cette fois, leur accouplement fut si tendre que lorsque Catherine jouit, elle en avait les larmes aux yeux.

Raide au fond d'elle et au bord de la rupture, Gauthier s'inquiéta :

« Je t'ai fais mal? Tu ne te sens pas bien »

« Non, non ! Ce sont des larmes de bonheur et mes fichues hormones qui me tourneboulent parfois ... tu devras t'habituer mais ne te laisse pas distraire, finis en moi mon amour !»

Elle s'accrocha de toute ses forces à son amant et l'embrassa, ce qui suffit à l'emporter ; il donna encore deux coups de reins et se répandit en elle. Quelques minutes plus tard, alors que sa tête reposait sur l'épaule de son mari, elle lui demanda de but en blanc :

« Mon amour, tu sais que Lucie et Mariette sont toutes les deux enceintes? »

« Je m'en doutais mais personne ne s'est aventuré à me le confirmer. »

« Et les pères putatifs sont restés à Paris .. »

« Donc elles sont bien parties pour devenir des filles-mères... »

« Je ne vois pas où est le problème. La maison est assez grande pour les loger avec leurs enfants et si je n'ai pas de lait, je pourrai toujours faire appel à elles pour nourrir notre fille. »

« Hum, il faudra quand même en parler à Fernand ; c'est sa maison et je ne suis pas certain qu'il soit ravi de se retrouver au milieu d'une pouponnière »

« J'en fais mon affaire. Après tout, entre la gestion de sa brasserie et ses descentes dans les cafés et les restaurants, il est rarement ici. Même le dimanche il disparaît régulièrement. Mais je t'en parlais pour autre chose ... Nos jeunes filles ont aussi des besoins physiques à satisfaire et nos petites sessions ensemble ne les comblent pas beaucoup plus que moi. Donc, je t'autorise - non, je te prie - d'exercer ta fonction de Doué avec elles. »

« Bouf ma chérie mais quand? Tu m'as vidé les gonades. Pour les faire jouir, je devrais faire appel à mon Pouvoir pour avoir une érection mais grâce au Pouvoir, je peux tout aussi bien les mener à un orgasme ravageur sans même les toucher. Et je me réserverais pour toi. »

« Tu ne m'as jamais parlé de cette possibilité? »

« Comme cela ne marche pas avec toi ... et je ne suis même pas certain d'être capable de leur infliger un orgasme maximum en ta présence. »

« Qu'est-ce que tu veux dire? »

« Quand tu m'as ligoté et torturé avec leur complicité, j'ai voulu diviser l'adversité en les faisant jouir mais cela n'a pas marché. Assez curieusement, cela n'a pas été le cas avec Louise Mompery ou par la suite avec des Influencées à Paris A croire que non seulement tu es immune à mon ... charme mais qu'en plus tu peux inhiber mon Pouvoir même inconsciemment. »

« Mon cher mari, la Science exige de tenter cette expérience sur l'heure. Je vais leur demander de nous rejoindre séance tenante ! »

Les deux jeunes femmes firent irruption dans la chambre quelques minutes plus tard. Le jeune couple, représentation vivante d'Adam et Eve, les attendait assis dans le lit.

« Venez vous asseoir au pied du lit » leur ordonna Catherine

Un peu interloquées, les servantes obtempérèrent et Catherine poursuivit : « A toi de jouer mon Doué »

« J'essaye depuis qu'elles sont entrées mais elle ne réagissent pas »

Elle commença à le caresser et lui murmura à l'oreille

« Et si je te le demande gentiment, mon Doué à moi? Est-ce que tu serais plus motivé si je te branle ou si je suce ton gros vit? »

Joignant le geste à la parole, elle mit tout son entraînement au service d'une fellation de grand style et entendit presque aussitôt.

« Oh Madame .. ! » « Aah Monsieur ! »

Sans interrompre le jeu de sa langue autour du gland hypertrophié de son mari, elle leva les yeux et découvrit que les deux filles avaient chacune posé une main dans leur entrejambes et de l'autre se malaxaient les seins.

Et au plus elle suçait Gauthier, au plus Lucie et Mariette se contorsionnaient en gémissant à l'autre bout du lit. Avant même qu'elle ne détecte les prémices de la jouissance chez Gauthier, elles explosèrent dans de grands cris de plaisir qui se muèrent des deux côtés en une plainte identique « Ca n'arrête pas ! » « Ca recommence »

Mutine, Catherine continua à stimuler son mari qui avait commencé à haleter. Il ne lui fallut que quelques minutes pour se répandre dans la gorge de sa femme tandis que Lucie et Mariette repartaient dans des orgasmes simultanés et visiblement encore plus violents que leur premier.

Catherine déglutit pour avaler les dernières gouttes de la semence conjugale puis commenta :

« CQFD comme dirait le professeur Rochon ... En ma présence, tu as besoin de mon autorisation tacite ou active pour pouvoir faire jouir une autre femme ! »

Lucie et Mariette s'étaient effondrées sur le lit et reprenaient péniblement leurs esprits.

« Alors mes amies, c'était bon? Vous avez pris un peu ou beaucoup de plaisir? »

« Oh Madame, c'était extraordinaire. Mieux qu'avec un homme, beaucoup mieux » répondit Lucie.

« Oui, beaucoup plus fort ; je ne pourrais pas recommencer tout de suite et c'est bien la première fois que cela m'arrive » dit Mariette.

« Et bien, si cela ne dérange personne, je pense que nous vous laisserons nous regarder quand Gauthier m'honorera ; je pense que ce sera bon pour tout le monde ! » conclut Catherine

Le mois d'avril s'écoula comme un charme ; Gauthier annula la plupart de ses déplacements pour pouvoir combler les trois jeunes femmes. Au passage, ils découvrirent que si Catherine pouvait bien libérer son Pouvoir pour infliger des orgasmes à distance, elle semblait aussi capable de bloquer ses éjaculations lorsqu'il baisait les deux soubrettes, comme pour se réserver le contenu de ses bourses.

A la fin du mois, elle ne put plus camoufler son état par la gourmandise et le bruit se répandit assez rapidement dans la faculté qu'une élève était largement avancée dans sa grossesse. Elle ne fut donc qu'à moitié surprise de se voir convoquée chez le Doyen.

« Vous comprenez Madame Lemestre, que votre état, quoique parfaitement légitime, ne va pas sans créer ... euh .. un certain malaise parmi nos étudiants et le corps professoral. »

« Veuillez m'excuser monsieur le Doyen mais je n'imaginais pas que les membres d'une faculté de Médecine puissent s'étonner voire s'offusquer à la vue d'une future maternité. Si nous étions dans un couvent, je comprendrais mais ici ... »

« Oui, je sais ... euh .. cela paraît absurde mais que voulez-vous, le 'qu'en dira t'on' ... même avec une femme mariée »

« Et que suggérez-vous? Je vous préviens, il est hors de question que j'arrête mes études ! »

« Euh, j'avais pensé que Stéphanie pourrait vous apporter ses notes de cours et que vous étudieriez à domicile .. .»

« Et les permanences à l'hôpital? »

« Nous les suspendrons jusqu'à la l'année prochaine ... »

« J'ai une contre-proposition : faites en sorte que j'assure mon quota de permanences mais uniquement au service des maternités. Je pourrai donc continuer à acquérir de l'expérience et je suis persuadée que les futures mamans accueilleront bien le fait d'être suivies par une femme enceinte elle aussi. »

« Ma foi, l'idée me paraît intéressante » ...

«Ceci étant, je voudrais malgré tout assister aux cours ex-cathedra mais en échange de cet 'effort' de votre part, je suis prête à partager avec les professeurs que vous m'indiquerez toutes les notes techniques que j'ai prises sur l'évolution de ma grossesse ainsi que celles de deux autres jeunes femmes de mes amies. Cela pourrait servir de base à une publication scientifique. Toutes les études que j'ai lues jusqu'à présent décrivaient les observations extérieures de médecins masculins. Je vous offre le point de vue d'une femme entraînée à l'observation médicale ! »

« Heu ... encore une fois, c'est une proposition intéressante. Laissez-moi en discuter avec mes collègues et je vous communiquerai ma décision. »

Juste après la fête du Travail, le Doyen reconvoqua Catherine pour lui marquer son accord sur ses deux propositions.

« Vous savez Madame Lemestre, vous êtes une femme remarquable. Peu d'étudiants font preuve d'autant d'imagination et de persévérance que vous. Vous avez déjà une sacrée réputation dans le corps professoral ! »

Catherine fêta cette réussite avec Gauthier et ses Influencées au cours d'une soirée orgiaque d'autant plus animée qu'il devait à nouveau partir pour l'Alsace et cette fois pour deux semaines au moins . Officiellement, la santé de Karl s'était détériorée mais « Le Vieux ne s'est jamais aussi bien porté. Ce sont mes 'connections' qui m'ont recontacté et me demandent d'aller observer le déploiement de la garnison de Strasbourg »

« Gauthier, je ne veux pas interférer avec ton devoir patriotique mais s'il te plaît, sois prudent, c'est un jeu dangereux ! »

« Ne t'en fais pas, ce n'est pas l'armée allemande qui m'empêchera de te revenir ! »

Avant de partir, il tint à lui enseigner personnellement l'usage du télégraphe filaire ainsi que le code Morse utilisé pour envoyer des télégrammes.

« En attendant que la TSF puisse être utilisée sur de longues distances, cela reste encore le moyen de communication le plus fiable » grommela t'il

En fin de compte, l'absence de son mari s'avéra une bonne chose. Elle put se plonger à fond dans ses études tout en se consacrant à l'assistance du docteur-professeur d'obstétrique Louis Terrillon, féru d'asepsie et particulièrement intéressé par les notes passées et futures de sa collaboratrice.

Catherine avait emmené Lucie et Mariette aux consultations du docteur Terrillon qui avait été ravi de faire la connaissance des deux autres cas décrits dans les notes de Catherine.

« Madame Lemestre, j'ai 22 autres patientes à différents stades de leur grossesse, pourriez-vous vous entretenir avec elles afin de compléter des fiches selon les critères que nous avons définis en commun? »

« Avec plaisir professeur » mentit-elle en pensant à la masse de travail qui allait s'ajouter à la montagne qu'elle affrontait déjà pour le moment. Car, en plus de ses devoirs académiques, elle devait régulièrement s'impliquer dans la gestion de la Maison Meulemans, surtout pour protéger Lucie et Mariette du mépris voire de la vindicte d'Irène, la très conservatrice gouvernante qui n'appréciait guère la présence de deux 'filles perdues' parmi les troupes sous sa supervision. Elle essayait de leur infliger les pires corvées malgré leur état et il fallait que Catherine remette quasi quotidiennement les pendules à l'heure.

Elle finit par s'en ouvrir à Fernand mais le brave homme, pourtant patron de plusieurs dizaines d'ouvriers et d'ouvrières, semblait timoré face à l'impérieuse gouvernante.

Catherine écrivit donc en tête de sa liste titrée 'Gauthier ' : 'Influencer Irène'. Elle savait pertinemment qu'il ne serait pas attiré par l'acariâtre Irène mais il était temps que son Don serve à autre chose que son bon plaisir.

Les télégrammes de Gauthier étaient empreints de bonne humeur et il n'y parlait que d'amour, d'affection et plus rarement d'affaires sans la moindre allusion à sa mission d'observation mais elle ne pouvait manquer de s'inquiéter de ses activités secrètes surtout le jour où elle reçut un télégramme « Rencontré Max . Transmet amitiés . Rentrerai plus tard.».

Finalement, il rejoignit le domicile conjugal une semaine plus tard qu'originellement prévu mais après la joie des retrouvailles, il s'enferma dans la pièce qu'il avait réservée aux communications et y passa plusieurs heures le vendredi soir à transmettre force messages vers des destinataires inconnus.

Catherine était un peu frustrée. Elle avait imaginé une fête charnelle impliquant Lucie et Mariette mais elle s'en fit une raison et en profita pour passer la soirée avec les filles et monter un scénario pour leurs activités du lendemain. Epuisée, elle s'endormit assez tôt mais fut réveillée durant la nuit par les mouvements et les bruits du traversin. Elle se rendit vite compte que Gauthier était en train de se masturber dans son dos. Elle devinait sa grande main en train de d'aller et venir le long de son membre hypertrophié et ses testicules enflés. Pleine de compassion pour son homme qui avait sans doute dû être en manque d'Influencées dans l'entourage de son grand-père, elle se retourna et se contorsionna pour emboucher la verge ultra-tendue de son mari.

Sans mot dire, il prit sa tête entre ses grandes mains et fit aller et venir sa bouche le long de sa hampe tuméfiée.Elle caressa ses lourdes bourses à nouveau recouvertes d'un duvet irritant, amplifiant les gémissements de désir de Gauthier. Ce dernier finit par s'enfoncer dans la bouche de Catherine jusqu'à la glotte et jouit à gros bouillons en poussant de petits cris de contentement tandis qu'elle avalait difficilement mais docilement une quantité astronomique de sa semence. Elle garda la verge en bouche jusqu'à ce qu'elle perde de sa dureté, déglutissant au passage le flot de sperme qui s'en était échappé. Elle s'essuya la bouche d'un revers de la main, se retourna et se rendormit comme une souche.

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Anonymous
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2 Commentaires
WalteregoWalteregoil y a 16 joursAuteur

@ Anonyme : bien vu, il faudra cependant attendre l'épisode 10 :-)

AnonymousAnonymeil y a 16 jours

J’avais pensé que Catherine se serait essayée à la sodomie avec son époux. Suite à l’entraînement qu’elle avait subi. La prochaine fois, peut-être ?

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