Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 09

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Aliénor aliénée.
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Partie 9 de la série de 12 pièces

Actualisé 04/27/2024
Créé 10/20/2023
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Chapitre 09 : Alénor aliénée

Le lendemain matin, Catherine s'éveilla la première. Gauthier ronflait à ses côtés aussi nu qu'elle mais aucune trace de ses sœurs. Elle supposa qu'elles avaient préféré le lit de son appartement tel que son mari le lui avait originellement destiné.

Son estomac gargouilla et elle se rendit compte qu'elle mourrait de faim. Après une rapide toilette, elle revêtit une robe beaucoup plus traditionnelle que celle de la veille qui gisait en boule dans le fauteuil et elle se hâta vers le salon en espérant que le petit-déjeuner était prêt .

Sans surprise, Céline et son père étaient déjà présents. Sa belle-mère affichait le sourire radieux d'une femme qui vient d'avoir eu des relations charnelles plus que satisfaisantes. Et l'attitude possessive de son père en disait long sur l'état de leurs relations.

« Céline ne semble pas beaucoup se préoccuper des conséquences éventuelles de sa bi .. euh ... 'biandrie' » se dit-elle « Je me demande si elle a un amant dans chaque ville? Evidemment, à son âge, elle ne risque plus d'avoir des enfants »»

Impassible, elle les embrassa et alla s'asseoir face à Céline. Irène, la gouvernante surgit avec une cafetière et une assiette contenant des œufs brouillés et une brioche de Noël.

A peine le café lui fut-il servi que Catherine dut réprimer un haut-le-coeur. Les odeurs mélangées du café et des œufs lui donnèrent une impérieuse envie de vomir.

« Cathy ! Que se passe t'il? Tu es toute pâle ! » s 'inquiéta sa belle-mère

« Veuillez m'excuser mais je crois que le vin chaud de cette nuit ne passe pas ! »

Elle se précipita vers la toilette et arriva juste à temps pour débarrasser son estomac d'un liquide bilieux. Elle reprenait son souffle lorsque Céline surgit à l'entrée des toilettes, un verre d'eau à la main.

Elle attendit que sa belle fille se soit rincé la bouche et reprit quelques couleurs pour lui demander :

« Cathy, ma chérie, à quand remonte ta dernière .. indisposition? »

« Oh ... je crois que c'était lors de la première opération chirurgicale à laquelle je collaborais. Depuis lors, mon estomac ne m'a jamais trahie ! »

« Ce n'est pas de ton estomac dont je parlais ... »

« Ah? Oh ! Euh ... c'était la semaine avant notre voyage de noces. Je me suis même dit que j'avais de la chance puisque Gauthier est resté à Epinal toute la semaine pour régler ses affaires. Pourquoi? Ooh bon sang ! Tu crois .. Vous croyez que? J'ai déjà deux semaines de retard ! »

« Viens avec moi dans le jardin, je ne veux pas d'oreilles indiscrètes ... »

Elles s'assirent derrière un palmier et Céline ouvrit le feu :

« Cathy, je ne suis pas une grenouille de bénitier comme tu as pu t'en rendre compte mais il s'agit du bonheur de mon fils donc je dois te poser la question : As-tu eu des rapports sexuels complets avec un autre homme? »

Le coeur de Catherine s'arrêta un moment de battre

« Jamais de la vie... Depuis Londres, Gauthier est le seul homme qui m'ait touchée ! »

« Du calme, je te crois. Dans ce cas, nous devons accepter le fait que Gauthier ne tire pas à blanc avec toi. Si tu te souviens d'Henri Plantagenêt et Aliénor d'Aquitaine, c'était aussi le cas puisque leurs enfants sont nés à des périodes différentes de l'année. Maintenant il va falloir le lui expliquer, le convaincre .... »

« Mais enfin, comment pourrait-il ne pas être le père? Depuis le lendemain de mes dernières menstruations, il ne m'a pas quitté d'une semelle ! Par contre, il m'a injecté assez de semence pour mettre enceintes toutes les femmes d'un département ! »

« Oui mais il est tellement persuadé de n'être fertile qu'en juin que je pressens une mauvaise réaction de sa part. »

« Comment vais-je le lui annoncer alors? J'aurais aimé attendre encore deux ou trois semaines mais nous serons de retour à Bruxelles et tu vas rester ici ... Céline, s'il te plaît, j'ai besoin de toi ... sob »

Elle commença à sangloter. Ce qui aurait dû être la plus belle nouvelle de sa vie se transformait en cauchemar.

« Autant prendre le taureau par les cornes ... non, très mauvaise idée les cornes. Autant affronter le Doué maintenant ... Nous aurons quelques jours ensemble pour lui faire avaler la pilule ! »

L'aînée aida la plus jeune à effacer les traces de larme puis main dans la main, elles retournèrent au salon. Gauthier venait d'arriver et avait pris place un peu en retrait à la table, laissant Gérard à la tête.

« Gauthier mon fils ... et Gérard ... nous avons une grande nouvelle à vous annoncer »

« De grand matin? »

« Oh oui, ... vous allez devenir père et grand-père ! »

Gérard bafouilla : « Mais qui ... comment ... de qui ...?»

Gérard, puis-je te suggérer d'utiliser ton cerveau ... et en silence ! Gauthier, tu m'as comprise? »

Sa mâchoire inférieure s'était décrochée de dix bons centimètres. Il réussit à refermer sa bouche mais blêmit et frappa soudain des deux poings sur la table.

« COMMENT ...AS-TU ... PU... ME FAIRE CA , !? »

Apeurée, Catherine se réfugia derrière Céline qui contre-attaqua sur le champ :

« Elle ne t'as rien fait du tout ; c'est ton œuvre ! »

« Impossible ! ... Je suis infertile jusqu'en juin ! » répliqua t'il une voix glaciale

« Gauthier, réfléchis : à moins d'imaginer l'intervention de l'Esprit Saint, Catherine a conçu ce bébé avec un homme. »

« Un autre homme ! »

« Et quand l'as-tu laissée seule assez longtemps ces six dernières semaines pour qu'elle saute sur un autre homme? »

« Quand elle s'est promenée dans les jardins des Tuileries

« Ha ... en plein air ! Discrétion assurée »

« Pendant ma réunion de l'après-midi «

« D'après ce que tu m'as toi-même raconté, elle était seule quand tu es revenu à l'improviste dans le grand style de 'Ciel mon mari '. Tu n'en n'as pas l'habitude mais ta femme est d'une fidélité exemplaire ... du moins dans ses rapports avec d'autres mâles. »

« Je ne peux pas avoir d'enfant, pas maintenant »

« Pour citer ton héros favori 'Quand on a éliminé tout ce qui est impossible, ce qui reste, aussi improbable soit-il, doit être la vérité ' . Mon fils, je sais que cela doit être un choc pour toi mais je te suggère fermement de prendre ton Héraïde de femme dans tes bras et de te réjouir avec elle de cette heureux événement »

Pendant que Gauthier se levait lentement et se dirigeait précautionneusement vers son épouse, Gérard dit d'une voix plaintive :

« Je n'ai rien compris ... Catherine est enceinte mais de qui? »

« Plus tard Gérard, je t'expliquerai tout plus tard ! »

Gauthier prit le bras de Catherine et l'emmena vers le jardin d'hiver. « Ce jardin devient un vrai confessionnal » se dit-elle tandis qu'il affrontait leur problème.

« Cathy, je t'aime comme un fou et je sais consciemment que tu n'as pas couché avec un autre que moi mais cela fait 17 ans que je prends des précautions invraisemblables en juin pour ne pas avoir d'enfant non désiré. Et tout d'un coup, la femme à qui je voulais faire un enfant en juin me l'annonce en décembre. Désolé mais je suis déboussolé. »

Catherine ne répondit pas, lui laissant le temps et les réflexions à haute voix pour tenter de digérer le choc.

« Je sais aussi que tu n'es pas une femme ordinaire, même si je trouve que le mot 'Héraïde' est un peu ridicule. Je n'ai pas pu t'Influencer alors pourquoi est-ce que je ne pourrais pas te mettre enceinte en dehors de ma période annuelle de fertilité? Plus j'y réfléchis, plus j'essaye de me persuader que je suis le père mais encore une fois, je suis désolé mais je n'y arrive pas ... »

Deux grosses larmes coulèrent le long des joues de Catherine. Deux larmes silencieuses sans crise de sanglots. Il essuya les larmes avec son mouchoir et continua en lui tenant les deux mains :

« Mais je te promets une chose : ton bébé sera NOTRE enfant et il ou elle ne saura jamais que j'ai un jour eu des doutes sur ma paternité. Evidemment, le plus simple serait que ce soit un garçon ... A la naissance, les Doués protestent psychiquement contre le changement d'environnement avant que leur Pouvoir perde son intensité et devienne latent jusqu'à leurs 18 ans. Et les autres Doués les entendent à la naissance de même que leur mère. C'est ainsi que grand-père Karl a su que j'étais un Doué alors que mon père ne l'était pas. »

« Gauthier, je comprends que ce ne soit pas facile pour toi et je te crois quand tu me dis que tu seras le père de notre enfant mais et moi? Est-ce que tu voudras encore me faire l'amour? Tu as libéré ma libido et il paraît qu'une femme enceinte est encore plus libidineuse durant les premiers mois de la grossesse ... Tu ne vas pas te réfugier chez tes Influencées, dis? »

Soudain le regard de l'homme se remit à pétiller comme lors de tous leurs préliminaires :

« Cela, ce ne sera jamais un problème ma belle » lui dit-il en l'enlaçant et en mordillant le lobe de son oreille ».

« Hiik ! Tu me chatouilles. Attends, il y a une couverture sur le bras de la balancelle. On pourrait l'étendre par terre ... »

Faisant fi de toute prudence, ils se déshabillèrent complètement et Catherine s'étendit sur la couverture, les jambes écartées.

« Tu veux bien me prendre comme un gentil missionnaire? J'ai envie que tu me couvres complètement et que tu me baises en douceur. J'ai vraiment besoin de te sentir partout sur moi et en moi ... aah .. oui ... comme ça ... oui ... ta grosse verge ... oooh ... lentement ... viens ... aaah ... plus profond ... fais-moi ... aah .. les seins....plus fort ... mords-moi ...aïe ... non ...n'arrête pas ... baise-moi ... plus vie ... si grosse oooh ...vas-y ... prends ta ... aaah .... TA ... FEMME ... GAUTHIER ... JE T'AIME ... AAAH !

Incapable de se contenir, il se tendit au plus profond du vagin de Catherine et salua son orgasme de plusieurs giclées plus abondantes que ce à quoi il s'attendait après sa session nocturne avec ses sœurs.

Lorsqu'ils revinrent dans le salon, à peine échevelés, Catherine eut le temps de voir le soulagement se peindre sur le visage de sa belle-mère avant que deux hystériques ne lui sautent au cou en glapissant de joie. A un moment, elle crut entendre Suzanne crier :

« C'est un garçon et j'aurai juste 36 ans quand il affrontera sa Transition. Tu pourras compter sur moi Cathy !

« Hela, je ne serai pas si vieille ! Je participerai aussi » rectifia Virginie

Lorsqu'elle retourna dans son ancien appartement pour changer de robe, elle tomba sur une Lucie en pleurs qui essayait tant bien que mal de terminer le lit.

« Lucie, que se passe t'il? Tu es blessée? »

« Non ... sob .. Madame ...sob ... J'ai été.. sob ... idiote ...sob ... à Paris ... Je suis enceinte ... »

« E qui est le père Albert ou Thierry? »

« Sob... je ne ...sob ... sais pas ! »

« Et Mariette? »

« Sob ... elle ne .. sait ... sob .. pas encore .. sob .. mais c'est ... sob .. possible ! »

« Bon Lucie, je suis enceinte aussi. Nous aurons nos bébés ensemble ou presque ! »

« Non Madame, les filles perdues... sob.... comme moi doivent ...sob ...quitter la maisonnée ! »

« Pas question, vous êtes mes amies - pour ne pas parler du reste - et je vous garde près de moi avec ton ou vos bébés »

« Mais que va...sob ... dire le Maître? »

« Le Maître n'a pas le droit de vote en matière de bébés. Je l'informerai de ma décision »

Les quatre mois qui suivirent furent parmi les plus enthousiasmants que Catherine avait jamais vécus : les cours étaient passionnants, sa grossesse ne lui posait aucun problème ; elle avait même réussi à la dissimuler aux autres étudiants en attribuant sa rondeur croissante à des abus abus de crêpes Suzette et de gaufres de Bruxelles au chocolat, ce qui était loin d'être un mensonge Chaque soir, elle babillait avec Lucie et Mariette à propos de l'évolution de leurs grossesses respectives - Mariette n'ayant pas échappé à leur sort.

Elle s'ingéniait même à prendre des notes dignes d'un patricien diplômé pour décrire les évolutions parfois différentes de leurs ressentis corporels.

La seule ombre au tableau venait de Gauthier. Il restait un mari attentionné, parfait gentleman et amant passionné mais elle sentait bien que quelque chose avait disparu. Leur complicité-rivalité avait fait place à une réserve qui manquait de la spontanéité qui caractérisait leurs relations antérieures.

De plus, il voyageait fréquemment, que ce soit vers Paris, Epinal ou l'Alsace et même parfois Londres. Il ne manquait jamais de lui envoyer des télégrammes à défaut de pouvoir compter sur la TSF ou le téléphone mais elle ne pouvait s'empêcher de se demander si ces voyages n'étaient pas des prétextes pour s'éloigner d'elle et retrouver des Influencées à la fidélité assurée.

Elle se consolait avec Lucie et Mariette qui étaient devenues plus que des amies, presque des sœurs. Soeurs incestueuses lorsqu'elles partageaient le lit de Catherine lors des absences de Gauthier et d'autant plus incestueuses que toutes trois avaient ressenti le même accroissement de leur besoins sensuels au cours des premiers mois de leur grossesse.

En prévision des dernières semaines avant l'accouchement, les trois jeunes femmes avaient aussi commencé à s'entraîner secrètement à la sodomie pour être toujours en mesure de satisfaire leur mari et Maître. Cela n'avait pas été sans mal mais pendant un stage à l'hôpital qui travaillait avec la faculté, Catherine avait pu mettre la main sur un des godemichés destinés à combattre ' l'hystérie féminine ', substituts phalliques en bois poli. Elles s'en étaient d'abord servi pour se donner du plaisir entre femmes mais Catherine avait commencé à en porter un dans son anus toutes les nuits pour s'habituer à la dilation de son sphincter.

Elle avait aussi déterminé quel onguent convenait le mieux à la lubrification de l'étroit passage et, après deux semaines, elle s'était arrangée pour en faire réaliser de plus gros par un menuisier du quartier en prétextant la restauration d'un vieux meuble de famille.

Et c'est elle qui avait initiée ses deux servantes à cette pratique. Elle éprouvait même un plaisir presque malsain à leur enfoncer un gode dans l'anus et en se caressant pendant qu'elles gémissaient d'inconfort.

Bien que ce ne soit pas au programme des cours, Catherine avait lu un ouvrage traitant de la psychologie behavioriste dans lequel son auteur, un américain, traitait longuement des relations Dominant(e)-dominé(e) . Elle devait bien reconnaître que son comportement avec les filles s'inscrivait parfaitement dans cette description. Idem pour Gauthier par rapport à ses innombrables Influencées mais où placer sa propre relation avec le Doué?

Elle avait fini par conclure que chacun d'eux était à tour de rôle du ou de la Dominante et du ou de la dominée.

Ce fut comme une révélation pour elle et, combinée à son assurance croissante avec la progression de ses études, cela l'incita à prendre de plus en plus souvent l'initiative lors de ses retrouvailles avec son voyageur de mari.

Mais ce n'était pas toujours le cas.

Exceptionnellement, les cours s'étaient terminés à midi ce vendredi 8 avril, veille du long week-end de Pâques. Les garçons de sa promotion s'étaient presque battus pour assurer les permanences hospitalières afin d'éviter les corvées familiales et religieuses des fêtes pascales.

Et comme Gauthier ne rentrerait d'Alsace que le lendemain, elle avait donc l'occasion d'oublier université et mari pendant quelques heures. Un généreux soleil d'avril inondait le grand balcon de leur chambre qui dominait l'étang de la place Sainte-Croix. Elle drapa un châle sur ses épaules et s'installa dans un des nouveaux sièges qu'on appelait transatlantiques, un coussin sous les pieds pour les surélever et contempla les promeneurs qui faisaient le tour de l'étang.

Elle se rendit vaguement compte qu'elle s'endormait mais ne fit rien pour lutter contre l'assoupissement qui la gagnait. Elle dut dormir à poings fermés car lorsqu'elle émergea, la première chose qu'elle vit était une grande main d'homme sur son abdomen protubérant.

« Bonjour Madame Lemestre ! »

« Gauthier ! Je croyais que tu ne rentrerais que demain ! »

« C'est ce qui était prévu mais tu me manquais trop. Je ne tenais plus en place alors j'ai pris le dernier train pour Luxembourg et de là le premier pour Bruxelles ! Comment vas-tu et comment va mon fils? »

« Je vais bien et notre fille aussi ! »

Il se pencha pour l'embrasser et elle l'enlaça pour mieux répondre à son baiser.

« Hum .. j'ai l'impression que tu m'as manqué aussi. Tu m'aimes toujours comme moi je t'aime? »

Tout d'un coup, elle retrouva l'éclair de malice dans les yeux de son mari

« Aha, on dirait que la grossesse t'attendrit. Je vais planifier nos douze prochains enfants pour que tu me répètes 'je t'aime' à longueur l'année »

« Pour cela, il faudrait que tu sois présent et que tes Influencées m'aient laissé quelques gouttes de ton sperme ... »

« Figure-toi que j'ai mené une vie de moine là-bas. Le seul endroit qui a gardé des traces de ma semence, ce sont les draps de lit à cause de mes pollutions nocturnes ! »

« Je ne te crois pas vil séducteur »

« Et pourtant c'est vrai. En journée, cela allait encore, j'avais du travail ou des notes à prendre mais le soir et la nuit, je ne pensais qu'à toi d'où les pollutions »

« Je n'ai pas été aussi sage ... je me suis fait jouir tous les soirs en pensant à ta grosse verge de Doué ! »

Il l'enleva dans ses bras, marquant un petit temps d'arrêt dû au surpoids mais eut la bonne idée de se taire. Il la porta jusque dans le salon et l'installa confortablement dans le canapé.

« Nous sommes seuls? »

« A peu près ... le personnel se repose et de toute façon, ils n'oseront pas nous déranger »

Il déboutonna sa robe en commençant par le haut. Il dégagea assez rapidement ses seins qu'il embrassa avec une douceur inhabituelle.

« Je me trompe ou ils sont déjà plus volumineux? »

« Je pense que oui ... heureusement que je suis dispensée du corset maintenant ! »

« Mmmm .. ; » confirma t'il en suçant les tétons l'un après l'autre.

Elle poussa son sein dans sa bouche, l'incitant à gober l'entièreté du mamelon tandis qu'il continuait à batailler avec les boutons de plus en plus bas.

« Tu aimes mes mamelons? Tu crois que notre fille va les aimer aussi et qu'elle me tétera de bon coeur? »

Il s'arrêta un instant « Je l'envie déjà, notre fils »

Il en était arrivé aux derniers boutons en-dessous de la taille et écarta d'un geste brusque les deux pans de la robe sous laquelle elle ne portait qu'une culotte qu'il baissa d'un geste brusque jusqu'à ses pieds.

« Impudique » sourit-il en la contemplant d'un œil brillant de désir.

Elle essaya de toucher son entrejambe mais il l'arrêta immédiatement.

« Si tu me touches maintenant, je vais jouir dans mon caleçon »

« Hummm, tu sais que cela me plaît ton caleçon dégoulinant ...Aaah ... Démon ... !

Il avait commencé à lui caresser le clitoris avant d'étendre sa caresse aux grandes lèvres déjà bien humides.

« Reste sur .. mon bouton ... aaah ... mon clito ..oui ... tu me donnes ...ooh toujours envie ... aaah ... lâcheur ... aban ...aaah ... qui abandonne .. oui ... là ... abandonne femme ... enceinte ... aaah ... qui a besoin ... oooh de jouir ... beau .. oooh .. beaucoup ... oui ... mets moi ... aah un doigt ... OUI ... OUI... AAAAH ... »

La main de Gauthier fut soudainement inondée par un flot de cyprine tandis que le corps de Catherine ondulait sous l'effet d'une vague orgasmique comme elle n'en n'avait plus connu depuis l'annonce de la future paternité.

Après quelques instants, elle ouvrit les yeux, se dégagea de son étreinte et fit glisser sa robe au sol. Elle se dirigea vers la table du salon sur laquelle elle s'appuya en se cambrant.

« Merci pour l'apéritif mais maintenant j'ai besoin d'une longue, très longue saillie mon Doué ! »

Il se précipita en défaisant son pantalon pour laisser émerger son sexe turgescent et prit position derrière elle. Il la pénétra sans coup férir jusqu'à la garde avant de s'immobiliser. Il tenta en vain de se contenir mais ne put s'empêcher d'éjaculer immédiatement.

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