Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 10

Informations sur Récit
Dominants et dominées.
4.1k mots
4.29
15.3k
00

Partie 10 de la série de 12 pièces

Actualisé 04/27/2024
Créé 10/20/2023
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Walterego
Walterego
16 Admirateurs

Chapitre 10 : Dominants et dominées

Quand Catherine ouvrit les yeux, il faisait grand jour et elle était seule dans le lit mais pas question de paresser au lit ; sa vessie de femme enceinte la propulsa vers la salle d'eau. En se soulageant, elle repéra les traces du passage de son mari : évier avec des traces de savon à barbe et le rasoir ouvert sur le rebord, baignoire encore humide et serviette de bain roulée en boule à côté du panier à linge sale. Elle prit un bain rapide et revêtit une simple robe sans aucun dessous avant de se jeter sur le petit déjeuner qui l'attendait dans le salon. Toujours pas de trace de Gauthier. Même Irène, l'austère gouvernante semblait ignorer où il était passé.

Prise d'une inspiration subite, elle gravit les trois étages jusqu'aux combles. Elle dut faire une pause en cours de route ; à six mois, son surpoids devenait gênant pour pareille escalade. Elle ne s'était pas trompée : Gauthier était assis devant le téléphone, des écouteurs sur les oreilles et la bouche quasi collée sur un objet métallique rond qui devait être le parlophone.

« Oui colonel, je compte retourner en Alsace au plus tard en septembre, cela dépendra de l'état de santé de mon épouse après l'accouchement ..................... .......................... Non colonel, ma femme d'abord, la Patrie ensuite ....................... .................... Merci mon colonel, bonne journée à vous aussi ! »

Encore un peu essoufflée, elle s'avança avec précaution pour éviter de se cogner la tête aux solives. Gauthier venait de déposer ses écouteurs et faillit sauter en l'air lorsqu'elle lui mit les mains sur les yeux « Coucou ! Qui est-ce? »

« Il n'y a que Catherine Lemestre, née de Montigny pour essayer de provoquer une crise cardiaque chez son mari ! Bonjour ma mie ...»

Elle se pencha pour l'embrasser légèrement sur les lèvres

« Je vois que le téléphone fonctionne »

« Avec l'ambassade de France en tout cas. Je peux ainsi communiquer avec le responsable du 2ème bureau à Bruxelles sans avoir besoin de le rencontrer, ce qui pourrait compromettre mon personnage aux yeux des agents du Reich. Tu vois que je suis prudent ! »

« J'en suis ravie mais est-ce que tu en as encore pour longtemps? »

« Non, j'ai fini, je suis à ton entière disposition ! On redescend dans la chambre? »

Pas tout de suite ; j'ai besoin de ton Pouvoir pour changer la personnalité d'Irène. »

Et elle lui expliqua le calvaire que la gouvernante faisait subir à ses deux servantes.

« Elle a visiblement un problème par rapport aux relations sexuelles allié à un respect forcené de la bienséance la plus conservatrice. Je voudrais donc que tu l'Influences de manière à changer sa personnalité dans un sens plus ... euh ... libéral. »

« Hum ... c'est plus complexe que de lui donner envie de coucher avec moi ...Ce sera une première et il va falloir improviser au fur et à mesure »

« On essaye maintenant? Elle devrait être à la cuisine à cette heure-ci. »

Elle y était effectivement en train de donner ses instructions à la domesticité :

« Et tout doit être en ordre pour le retour de Monsieur Meulemans à 13 heures et ...

« Ahem .. Irène, pourriez-vous nous accompagner au salon avec Lucie et Mariette? »

« Certainement Madame. Vous les deux fainéantes, en avant et au trot pour une fois !»

Chemin faisant, Gauthier testa psychiquement la gouvernante dont l'aura lui parut particulièrement froide en comparaison des auras flamboyantes des deux jeunes servantes. Seule l'aura de Catherine lui échappait comme toujours.

Dès que Lucie eut refermé la porte du salon, il tenta de mettre Irène dans une phase d'excitation sexuelle mais il ne l'Influença pas outre mesure. Il préférait qu'elle résiste le plus possible pour pouvoir briser le plus brutalement possible sa volonté consciente plutôt que de la dominer et la soumettre en douceur.

« Que pouvons-nous faire pour vous Madame? » demanda t'elle sans sourciller

Catherine regarda son mari qui secoua la tête et lança une nouvelle onde plus puissante sans plus de résultat. Il soupçonnait que le caractère acariâtre de la gouvernante minait quelque peu l'intensité de son Pouvoir car physiquement, elle aurait pu être attirante ; toutes ces années de labeur lui ayant conservé une silhouette avenante malgré la cinquantaine. Sans l'espèce de grimace de dégoût qu'elle affichait en permanence, elle aurait pu passer pour un modèle réduit de Céline.

« Je voudrais surtout que vous traitiez mieux Lucie et Mariette » répondit Catherine en passant discrètement une main sur les fesses de son mari, accroissant du même coup son excitation et multipliant la vigueur de son Influence.

Irène la regarda d'abord avec un éclair de colère dans les yeux puis eut une espèce de spasme inattendu au niveau du bassin.

« Je ne vois pas pourquoi... mmmh ... ces filles perdues ... traitement ... mmmh ... de faveur... Ahem, ...puis-je me retitirer?... mmmh... me sens pas bien ... mmmh ... oooh! »

Ses mains s'agrippèrent convulsivement à la grande table et les jointures blanchirent dans un effort désespéré pour ne pas les plonger vers son entrejambe en feu.

« Vous ne vous sentez pas bien Irène? Vous êtes toute rouge » demanda Catherine à qui Gauthier venait d'adresser un hochement de tête.

»Vous devriez peut-être ouvrir un peu votre col pour vous rafraîchir? »

« Nooon ... ça va ... mmmph ... aller mais je dois... mmmph ... seule, je vous en prie ... »

Avec le concours de sa femme, Gauthier parvint à augmenter encore un peu la 'température' de sa victime et dit ;

« Tu as raison Catherine, Irène a un coup de chaud; elle a sans doute besoin d'aide pour se mettre à l'aise ... Lucie, aide notre gouvernante ...Ne bougez plus Irène ! Laissez-vous faire! »

Lucie contourna la gouvernante et commença à déboutonner le haut de sa robe. Cette dernière ne résista pas mais gémit encore plus fort lorsque le tissu de la robe effleura ses seins pourtant couverts un corset du genre blindé.

« Ooooh , pardon Monsieur ... mais qu'est-ce qu'il m'arrive? C'est insupportable! »

« Ce sont probablement vos frustrations qui s'extériorisent « répondit Catherine en faisant signe à Lucie de continuer à ouvrir les derniers boutons . Elle écarta ensuite les pans de la robe, dévoilant l'entièreté du corset et un jupon noir.

«Asseyez-vous dans le divan et posez vos pieds sur l'ottoman .. relevez votre jupon, les jambes bien écartées... voilà ... on dirait que nous avons découvert la cause de votre mal être ... Vos dessous sont mouillés ...vous êtes trop excitée! »

La culotte de la mégère était visiblement trempée en son centre ; le tissu blanc s'assombrissant au fur et à mesure que l'humidité gagnait du terrain.

« Je ne sais pas ... oooh ... ce qui m'arrive .. oooh ... il faut que .. oooh .. laissez-moi, je vous en supplie! »

« Vous voulez sans doute vous caresser?» demanda le Doué, implacable « Cela ne servira à rien . Vous ne pourrez pas vous donner du plaisir en solo. Seule Lucie ou Mariette peut vous soulager! Mais il faudra le leur demander très gentiment ..»

« Nooon! Pas avec .. ooh .. une simple ... ooooh .. une servante! Je vais .. mmmh ..le faire moi ... moi-même .. Ne regardez pas! Oooh! »

Elle commença à fourrager désespérément sous sa culotte mais Gauthier l'avait assez Influencée et malgré tous ses efforts, elle ne jouit pas. Elle ne parvint qu'à s'exciter encore davantage et se mit à sangloter sous le coup de la plus intense frustration de sa vie sans pour autant interrompre sa frénétique masturbation.

« Nooon ... qu'est-ce que vous ... oooh... m'avez fait ... pas les catins ... je suis leur ....aaahhh .. chef... oooh ... c'est atroce ... oooh .. ça ne marche .. aah pas .. J'ai besoin ... oooh tellement besoin ... »

« Aaaah ... Madame, ... Monsieur.. ne regardez pas ... aaahh ... oooh .. je vais ... mourir ... si je ne viens .. pas ... LUCIE ... PITIE ... AIDEZ-MOI! .. OOOH .. . N'EN ..PEUX.. PLUS! »

« Vous les traiterez mieux dorénavant? »

« OUI! OUI! TOUT CE QUE VOUS VOULEZ! »

Lucie écarta la main d'Irène pour glisser la sienne à sa place sous la culotte détrempée et elle effleura à peine le clitoris de sa bourreau que celle-ci poussa un hurlement de soulagement :

« AAAAAHHH!! OUIIII ..... ENFIN ........ OOOOH ....sob... sob ... Elle sanglotait de soulagement tandis que l'énorme tension sexuelle s'évacuait sous la forme d'un flot de cyprine qui traversa son dessous et inonda le jupon. Elle resta un long moment à moitié inconsciente avant de reprendre ses esprits.

« Vous avez compris Irène? » dit Gauthier en réveillant les gonades de la mégère. « Lucie et Mariette vous sont indispensables faute de quoi vous risquez de ne plus jamais être en mesure d'assouvir votre énorme besoin de jouissance. Mais plus vous résisterez, plus le prix à payer sera élevé. Tenez »

« Oooh » fit Irène qui se plia en deux sous l'afflux d'une nouvelle vague de sensations dans son vagin et aux alentours de son clito. « NON! ... CA RECOMMENCE ... IL FAUT ... IL FAUT ... » Malgré son précédent échec, elle arracha son slip et se remit à se branler ... en vain « oooh ... je dois ... il faut ... que je ... jouisse ... encore ...oooh ... jouir ... par pitié ... »

Gauthier n'en pouvait plus non plus. Il souleva sa femme et l'étendit sur la table. Il releva sa robe et découvrit qu'elle était nue en-dessous. Déchaîné, il fit sauter les boutons du haut et suça ses mamelons et tétons tandis qu'il accroissait mentalement l'excitation des mamelles déjà gonflées de désir de la gouvernante qui avait quasiment le nez sur le jeune couple.

« Ne faites ... oooh... pas ça ... vous n'avez ... ooh ...pas le droit... Je souffre ... ooh ...tellement ... jouir...uuh.. LUCIE ...bonne .. Mariette ... VENEZ! »

« Non » dit Gauthier qui était en train de libérer son imposante verge « Elle n'est pas sincère et ne tiendra pas parole! » Il vérifia que Catherine était prête à le recevoir et la pénétra vigoureusement.

« AAAHH GAUTHIER! AAAH ... TA GROSSE BITE EN MOI! ... OOOH ... CA FAIT DU BIEN! ... VAS-Y .. BAISE-MOI! FAIS-MOI ... BIEN ... JOUIR ...! »

« Pervers» sanglota Irène .. « C'est intenable ... sob ... sob ... arrêtez... je n'en peux ..sob ... sob ...plus! »

« Pervers! .. Catins ... » gémissait-elle en se branlant maintenant à deux mains mais sans jamais s'approcher ne fût-ce que d'un iota d'une jouissance que toutes les fibres de son corps réclamaient avec une folle avidité.

Gauthier fit jouir Catherine deux fois avant d'éjaculer tandis qu'Irène pleurait de désespoir , une main toujours engoncée dans son vagin et l'autre martelant son clitoris.

« JE FERAI TOUT .. CE QUE ...OOOH ... VOUS VOULEZ ... MAIS FAITES-MOI ...OOOH ... JOUIR ...! »

« Mariette, pince-lui les tétons, cela la soulagera juste ce qu'il faut pour qu'elle m'écoute » dit Catherine.

« Irène, allez chercher une serpillière et faites briquer ce divan que vous avez souillé de votre cyprine. Ensuite, quand Monsieur Fernand rentrera je veux que vous vous allongiez sur ce même divan pour qu'il puisse se vider les couilles dans votre intimité.Après lui, vous proposerez le même service à Honoré et à Hector le jardinier! »

« Jamais! Je suis toujours pure !»

« Vous êtes encore vierge, à votre âge? Je comprends mieux votre mauvais caractère » commenta Gauthier.

Le Doué la regarda et elle sentit à nouveau la démoniaque chaleur gagner son ventre

« NOOON! J'obéirai .. ; j'obéirai! »

Gauthier ajouta « Et ce sera facile ; dès que tu les verras , tu auras envie d'eux! De chacun d'eux et de tous en même temps! »

Irène se 'refroidit' légèrement et baissa la tête

« J'obéirai »

« Au travail alors traînée! » commanda Catherine « Et tant que nous y sommes, Lucie sera dorénavant Gouvernante, Mariette son adjointe et tu devras leur obéir aussi! »

« Bien Madame! »

« Et maintenant jeunes filles, accompagnez-nous dans notre chambre, nous devons remercier mon mari comme il se doit ! »

Dès que le quatuor fut entré dans la chambre conjugale, Catherine prit les commandes et commença à appliquer le scénario concocté la veille au soir.

« Tout le monde se déshabille ! Gauthier, je te laisse seul avec ces demoiselles ; tu as ma bénédiction pour jouir et faire jouir autant qu'il te plaira. je vous rejoins dans un petit quart d'heure. »

Après avoir donné l'exemple de l'effeuillage, elle se dirigea splendidement nue vers la salle d'eau .Elle avait à peine refermé la porte qu'elle entendit le premier cri orgasmique. « Probablement Lucie » se dit-elle « C'est la plus délurée et c'est elle la chef maintenant. »

Elle ouvrit l'armoire à pharmacie et en sortit sa collection de godemichets et le pot d'onguent. Elle en enduisit le plus petit qu'elle enfonça sans difficulté aucune dans le tréfonds . « Trop facile » se dit-elle en recommençant l'opération avec le n°2 qui ne lui procura pas beaucoup plus de difficultés. Elle sentit le troisième écarteler légèrement son sphincter avant de pénétrer son rectum. Le n°4 était nettement plus épais et plus long. Elle dut s'asseoir sur le rebord de la baignoire pour le faire pénétrer dans son anus.

« Ouch » gémit-elle à voix haute « Et mon Gauthier qui est encore plus massif ... »

Une nouvelle cascade de cris féminins accompagnés d'un rugissement mâle lui parvinrent à travers la porte.

« Fin de l'acte I , mon mari vient d'éjaculer dans Lucie qui doit être hors combat »

Elle resta bravement assise, ondulant un peu du bassin pour essayer de détendre son sphincter.

Nouvel hurlement de plaisir, voix plus aiguë, plus nette « Merci ... Maître !»

« Pas de doute, cette fois, c'est Mariette qui se fait défoncer. Ce sera bientôt à moi d'entrer en scène ! »

Avec l'énorme gode qui lui occupait l'anus, elle eut du mal à se dandiner jusqu'à la porte, le pot d'onguent à la main. Elle découvrit dans la chambre un spectacle qui la réjouit : Gauthier en train de prendre puissamment Mariette en levrette tandis que Lucie semblait inconsciente, couchée sur le dos à leur côté.

Marchant toujours comme un canard, Catherine s'approcha du couple. Elle passa la main entre les jambes de son mari pour caresser les testicules toujours boursouflés par rapport à sa normale pourtant impressionnante. Au passage elle découvrit que la peau des bourses était maintenant toute douce, complètement dépourvue de la gênante pilosité de la nuit précédente. Visiblement Gauthier Lemestre s'était lui aussi préparé pour cette journée .

Sous l'effet de la caresse, Gauthier donna deux énormes coups de boutoir avant de s'immobiliser tout au fond du vagin de Mariette qui s'effondra sur le lit en tremblant de tous ses membres, la bouche ouverte sur un hurlement silencieux. Catherine continua à masser tendrement les deux globes qui se vidaient interminablement dans la jeune servante.

Il finit par se retirer, la verge flasque et embrassa sa femme

« Merci ma chérie, c'était très bon mais tu devras attendre un peu pour ton tour à moins que je n'utilise le Pouvoir ... »

« Hum, je crois que j'ai aussi du Pouvoir aujourd'hui ... Tu veux ouvrir ton cadeau? »

Elle se pencha sur le lit en se cambrant, l'arrière-train presqu'au niveau de ses épaules, le gode saillant entre ses fesses.

« Bon sang de bonsoir Cathy ! Tu veux que je te sodomise? »

« Je veux essayer en tout cas ... déjà que le mot m'excite .... » Tiens, enduis ton membre de Doué avec cet onguent quand il sera de nouveau ... aah ... on dirait que la sodomie t'excite aussi mon bel étalon ..... »

« C'est la vue de ton cul somptueux qui me damne ... ooh Cathy ... Je rêve de te sodomiser depuis la première fois où je t'ai vu nue ! »

Gauthier extirpa le godemiché de l'anus de sa femme puis présenta son propre mandrin, tressautant d'impatience à l'orée du petit trou qui bâillait après avoir été considérablement élargi par les godes successifs.

« Doucement s'il te plaît mon amour, je me suis entraînée mais ta verge est encore plus grosse que le plus gros de mes godemichets. »

Sans répondre, il commença à exercer une pression sur le sphincter et le bout du gland commença une lente introduction dans le rectum de sa femme »

« Ouch, attends un peu .... voilà, continue ... un peu ... aïe ... non ... continue .. »

Centimètre par centimètre, l'homme forçait son chemin vers la félicité. Soudain, la résistance céda et l'énorme gland disparu entre les fesses de sa femme.

« Aïïïïe ... je l'ai senti passé celui-là ... attends ... pousse encore un petit peu ... oooh ... je te sens ... tu jouis??!! »

Gauthier, accroché aux hanches de sa femme venait de partir dans un orgasme ravageur, les yeux fixés sur sa bite fichée entre les fesses adorables qu'il venait de pourfendre de part en part pour la première fois. Ses jambes faillirent le lâcher sous l'intensité de la jouissance tandis qu'il lui emplissait le rectum d'une quantité phénoménale de foutre.

Surexcité comme jamais, son sexe restait complètement érigé et s'enfonça un peu plus entre les fesses grâce à l'abondance du fluide qu'il venait d'y déverser.

« Je te sodomise ... je t'encule .. « chantonna t'il

« Oui mon homme, vas-y, prends le cul de ta femme, sodomise-moi aaaaaargh ... tu es gigantesque ... j'ai mal ... Lucie ... viens me lécher ... Mariette ... occupe-toi du Maître ... Oooh ... Tu vas trop loin ... non... reste ... aaah... retire-toi ... non ... reviens ... ooh ... Lucie ... ta langue ... mon clito ...Gauthier ... vas-y ... à fond ... aargh ... défonce mon cul .. Lucie ... ajoute ...argh .. ajoute ta main ... OOOOHHH ... vous me remplissez ...aaah toute ... »

Gauthier la prenait maintenant de toute la longueur de sa verge démesurée. L'étroit conduit l'enserrant trop pour qu'il prenne la cadence de combat, ses mouvements restaient lents mais la pression de l'anus de sa femme et les sensations distillées par la langue de Mariette sur ses bourses le catapultaient vers une nouvelle éjaculation.

« Cathy ... je vais ... »

« Oui mon amour ... finis dans mon ... aaah ... Lucie ... cul ... Je t'a ... aaah ... t'attends ! OUIII ... AAAHHH !»

Sans s'en rendre compte, il s'enfonça jusqu'à la garde dans le rectum de sa femme et se pétrifia, l'inondant à nouveau d'une quantité de sperme que seul un Doué pouvait produire et encore, seulement dans l'état de surexcitation qui l'avait gagné depuis qu'il avait aperçu le gode dépasser de ses fesses. Il se pencha en avant, embrassa son cou et lui caressa les seins, s'attardant sur les mamelons dardés et attendit que son érection faiblisse enfin pour se retirer.

Catherine s'effondra sur le lit, un ruisselet de sperme s'écoulant de son anus béant. Les filles la rejoignirent sur les draps et Gauthier se joignit au tableau. Ils restèrent silencieux un long moment, savourant les sensations extatiques qui les baignaient encore.

« Bon, Lucie et Mariette, j'ai donné l'exemple maintenant ce sera à votre tour de combler le fantasme anal de mon mari. Je vous aiderai à vous préparer et je vous rendrai vos bienfaits lorsque vous encaisserez cette verge démesurée dans votre fondement »

« Oh Madame » dit Mariette, il est bien trop gros ; déjà pour mon minou c'est tout juste ! »

« Moi je veux bien être la prochaine » dit Lucie « Voir le membre de Monsieur dans les fesses de Madame, cela m'a bien excitée ... J'en avais envie aussi ! »

« Avec plaisir mais pas aujourd'hui ... enfin pas avant ce soir » répliqua Gauthier. Je viens de vider trois semaines de stock et je suis à sec ! »

« On parie que je fais revivre le mort » sourit Catherine

« Nooon ... ou alors c'est ton postérieur qui en fera le frais ! »

« Hum ... tu as raison, pas aujourd'hui ... J'ai apprécié mais cela este douloureux... Je préfère que Lucie prenne le relais. De toute façon, les examens commencent à la fin de ce mois et il faudra me laisser tranquille sauf peut-être si j'ai besoin de me défouler après un examen .. . »

« Bien, ceci dit mesdemoiselles, j'invite mon épouse à déjeuner à l'auberge de Boondael avant de faire une petite promenade champêtre. Nous avons juste le temps de nous préparer ; nous serons de retour en fin d'après-midi. Je vous confie la maisonnée d'ici là. Après tout, c'est vous les chefs d'orchestre maintenant.

Walterego
Walterego
16 Admirateurs
12