Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 08

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La Vertu et le Vice.
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Partie 8 de la série de 12 pièces

Actualisé 04/27/2024
Créé 10/20/2023
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Walterego
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Chapitre 08 : La Vertu et le Vice

Catherine revint tout à la fois fourbue mais guillerette de sa première journée de cours. A première vue, elle était plus qu'à niveau en physiologie-anatomie mais elle allait certainement souffrir en chimie et avait quelques problèmes en terminologie latine malgré les nomenclatures qu'elle avait pu acquérir jusqu'ici.

D'autres cours l'attendaient encore, certains de prime abord assez faciles comme la déontologie mais elle craignait par-dessus tout la physique dynamique dont elle se demandait quelle serait son utilité pratique.

Heureusement, le doyen Vleming avait pris une disposition précieuse : il avait prié la seule autre étudiante de la promotion, Stéphanie De Smet, de la chaperonner au moins jusqu'à la fin du semestre et plus si affinités. Stéphanie était une jeune femme bruxelloise pure souche de 25 ans, plus petite et sensiblement plus enveloppée que Catherine. Elle avait accouché de son second enfant l'année précédente et avait obtenu de son mari avocat l'autorisation de tenter l'aventure universitaire.

De prime abord, elle semblaient former une paire assez disparate mais complémentaire même si Catherine doutait qu'elles deviennent un jour amies intimes vu leurs origines très différentes.

Elle arriva devant la Maison Meulemans dont la porte s'ouvrit avant même qu'elle puisse utiliser l'huis ou la nouvelle sonnette électrique. Honoré, qui devait guetter son arrivée, la guida vers le grand salon du rez-de-chaussée où une surprise l'attendait : outre Gauthier et Céline, deux jeunes filles étaient assises dans un des canapés et tout ce petit monde la fixait d'un air interrogateur.

« Ma chérie, est-ce que tout s'est bien passé? » demanda Céline

« Cathy, raconte-nous ta première journée ! » s'exclama Gauthier .. « Ah .. heu .. je te présente mes sœurs Virginie et Suzanne »

Au premier regard, Catherine avait cru qu'elles avaient toutes deux plus ou moins son âge mais en serrant la main de Virginie, elle détecta quelques signes qui trahissaient la trentaine. Elle était la sœur aînée de Gauthier, avait une abondante chevelure blond-roux comme son frère et était presqu'aussi grande qu'elle-même. Suzanne, la fille de Fernand, était nettement plus petite et menue et ses cheveux marron étaient coiffés très courts, presque comme un garçon. Chronologiquement, Virginie aurait pu être la mère de Suzanne mais, comme leur mère, elle paraissait beaucoup plus jeune que son âge réel.

Les présentations faites, Catherine s'assit à côté de son mari et raconta brièvement sa journée, éludant les détails scientifiques pour se concentrer sur l'ambiance générale, les bâtiments.

Virginie se tortillait sur son siège, visiblement impatiente de poser LA question :

« Catherine, je suppose que vous avez besoin de vous rafraîchir mais est-ce que Suzanne et moi pourrions vous emprunter Gauthier pendant ce temps? Cela fait longtemps que nous ne l'avons pas vu et ... »

« Oui bien sur Virginie ! Je suppose que Céline vous a expliqué les termes de mon accord avec notre Doué? C'est d'autant plus valable en ce moment car je dois absolument préparer mes cours de demain et essayer de combler mon retard dans certaines matières donc je n'aurai pas beaucoup l'occasion de m'occuper de lui. »

« Ooh merci Catherine, pouvons-nous nous retirer alors? Fernand rentrera dans une heure et nous n'avons pas beaucoup de temps devant nous »

« Oui mais prenez notre chambre, j'aime aussi assister aux ébats de mon mari ! »

Elle pensait pouvoir se relaxer dans son bain mais les cris de jouissance qui parvinrent à ses oreilles en provenance de la chambre firent monter en flèche son excitation « mon taux d'épinéphrine comme dirait le professeur Dumont » se dit-elle.

Elle se sécha en vitesse et passa dans sa chambre où l'attendait un spectacle de bacchanale : Suzanne, complètement nue, était à plat ventre sur le lit, un filet de semence s'écoulant de son sexe gonflé que laissaient entrevoir ses jambes écartées et agitées de tremblements convulsifs. A ses côtés, Virginie, tout aussi nue, jouait à la bête à deux dos avec son frère qui la prenait tout en puissance , lui arrachant des soupirs d'aise qui se muèrent en gémissements puis en cris de plus en plus sonores.

« Aaah , petit frère ... c'est bon ... ooh .. plus fort ... PLUS ...AAAH ... FORT ... ENCORE ! »

Face à eux, affalée dans le fauteuil du bureau, Céline s'était troussée et se caressait frénétiquement en sanglotant de joie. Au moment où Catherine s'approchait d'elle, elle se cabra, fixa un bref instant sa belle-fille puis dut fermer les paupières sous l'intensité de sa jouissance.

Virginie jouit bruyamment tandis que son frère s'enfonçait en elle jusqu'à la garde. Catherine connaissait bien maintenant les réactions de son mari et devina qu'il se répandait au fond du vagin de sa sœur. Elle se colla contre son dos et commença à le caresser, descendant des mamelons vers le bas-ventre soudé aux fesses de Virginie.

Elle lui murmura à l'oreille :

« Monsieur mon mari, j'aimerais que tu penses maintenant à honorer ton épouse légitime. Tu auras l'occasion de fêter tes retrouvailles avec les femmes de ta famille ce soir pendant que j'étudierai mes cours. Elles n'auront qu'à se relayer pour distraire Fernand. »

Gauthier s'arracha péniblement de l'intimité contractée de Virginie et se retourna. Il embrassa sa femme avec une passion qui ne laissait pas supposer une seconde qu'il venait de se vider dans sa sœur. Catherine eut une brève pensée pour Rupert qui, une fois assouvi, l'abandonnait derechef ou s'endormait même sur elle à l'occasion puis oublia ces mauvais souvenirs pour s'abandonner à l'étreinte de son mari.

Malgré la taille du lit, les deux sœurs en occupaient une trop grande partie pour encore laisser la place à une position du missionnaire et Catherine opta pour être prise en levrette comme ses belle-sœurs, ce qui ne sembla pas déplaire à Gauthier dont la verge, fraîchement lubrifiée par les sucs de Virginie et son propre sperme, s'enfonça sans coup férir dans le cocon brûlant de sa femme.

Elle en grogna d'aise et se concentra sur ses sensations, bien décidée à profiter de chaque instant de cette saillie qui serait probablement la seule de sa soirée. Les yeux clos, elle était pleinement concentrée sur le piston qui allait et venait en elle tandis que les papillons envahissaient son ventre.

« Hum ... mon Doué... tu sais ... aaah ... parler ... auooh ... femmes ! »

Soudain, ses seins envoyèrent à leur tour des ondes de plaisir lorsque deux mains s'en emparèrent, les malaxant sans pitié avant que des doigts fureteurs ne viennent titiller mamelons et tétons. Ouvrant les yeux, elle découvrit Céline, tout sourire en train de lui adresser un clin d'oeil complice.

« Prends ton plaisir ma fille, laisse-toi aller ! Profite bien de notre étalon ...»

Elle se pencha et l'embrassa avidement à pleine bouche et Catherine miaula son orgasme dans la bouche de sa belle-mère tandis que Gauthier se figeait en elle pour la laisser jouir à son aise. Elle s'attendait à ce qu'il jouisse et se retire mais il resta immobile, lui arrachant encore quelques ondes de plaisir avec les palpitations de sa verge raide comme un arc-boutant.

Entretemps, Virginie et Suzanne étaient sorties de leur torpeur et avaient fait de la place sur le lit. Gauthier se désengagea pour faire basculer sa femme sur le dos. Il se dressa sur ses avants bras tandis que Céline guidait son membre violacé entre les cuisses de Catherine. Une fois en position, il la pénétra en forçant quelque peu le passage dans le vagin encore enflé par la jouissance avant de prendre un rythme de pénétration de plus en plus soutenu.

Catherine qui n'était pas encore totalement redescendue de son pic orgasmique poussa un petit cri et enlaça son Gauthier de tous ses membres, venant même le mordre à l'épaule au sommet de son excitation.

Virginie et Suzanne vinrent se coller de part et d'autre du coupe et elles les embrassèrent à tour de rôle tout en laissant leurs mains courir sur les corps déchaînés des deux amants.

Plus par instinct que par sensation, Catherine pressentit que Gauthier allait éjaculer et elle fit un effort désespéré pour retarder son propre orgasme . Lorsqu'elle sentit le premier jet, elle colla son bassin contre le sien , le coinçant entre ses cuisses et jouit pour la deuxième fois en quelques minutes.

Silencieusement, Céline fit signe à ses filles de se rhabiller et de quitter la chambre pour accueillir le maître de maître de maison qui n'allait plus tarder. Catherine et Gauthier restèrent tendrement enlacés, relâchant petit à petit leur étreinte au fur et à mesure que leurs corps s'alanguissaient.

Ils soupèrent tôt comme c'était la coutume dans la bourgeoisie bruxelloise et Catherine se retira dès la dernière bouchée avalée pour se plonger dans ses livres, accompagnée par Gauthier qui claironna qu'il avait à faire avec les nouveaux appareils au grenier. Elle doutait fort que l'installation progresse beaucoup ce soir vu qu'elle avait donné sa bénédiction à des accouplements tous azimuts. Une pincée de regret la saisit mais elle était aux portes de son rêve et sa discipline naturelle reprit bien vite le dessus.

Elle parvint à se concentrer jusqu'à 21h lorsque Mariette entra discrètement dans la chambre avec une tasse de thé.

« Merci ma bonne Mariette » dit-elle en s'étirant « Exactement ce dont j'avais besoin ! »

« Vous n'avez besoin de rien d'autre Madame? Vous ne voulez pas que je .. euh ... , je veux dire, vous ne voulez pas vous étendre ... je veux dire vous détendre?»

« Ce n'est pas l'envie qui manque mais le temps ... J'ai besoin de mes heures de sommeil et j'ai encore une kyrielle de pages à étudier ! »

« Si vous changez d'idée, nous sommes à votre disposition ... Notre chambre est juste à côté du grenier ! »

Catherine déglutit péniblement une gorgée de thé et sentit la chaleur monter de ses reins aussi vite qu'elle descendait son tube digestif mais elle parvint à se dominer.

« Vade retro vile tentatrice ! Je te promets une compensation ce samedi ou dimanche mais en semaine, c'est impossible ! »

Une heure plus tard, elle fit sa toilette, passa sa chemise de nuit et alla se coucher. Gauthier n'avait pas encore donné signe de vie mais elle s'endormit comme une masse, épuisée par les émotions de la journée. Elle émergea à moitié du sommeil lorsqu'elle sentit un grand corps se lover contre le sien. Elle tourna la tête pour quémander un baiser qui ne lui fut pas refusé et se rendormit.

Contrairement à ses habitudes, il fallut le réveil-matin pour la tirer hors des bras de Morphée. Durant la nuit, Gauthier et elle s'étaient une fois de plus étroitement emmêlés bras et jambes et elle dut le réveiller aussi pour pouvoir s'évader du lit conjugal et se dépêcher d'occuper la salle d'eau.

Lorsqu'elle revint dans la chambre pour s'habiller, il était assis dans le lit, son torse nu et musclé émergeait des draps tandis qu'un obélisque pointait sous le tissu un peu plus bas. Ses cheveux étaient hirsutes et ses yeux encore bien ensommeillés mais il sourit en la voyant.

« Bonjour Madame Lemestre, tu es encore plus ravissante que d'habitude ce matin »

Catherine ne put s'empêcher de glousser ensuite du compliment et vint lui embrasser chastement son front.

« Et vous Monsieur Lemestre, tu sens diablement bon, sans doute parce que j'aime l'odeur des femelles en chaleur. Je n'ai même pas besoin de te demander si la soirée a été satisfaisante ... »

« Hélas, c'était hier ; aujourd'hui est un autre jour... »

« Je ne peux te proposer que ma bouche ; je n'ai plus le temps de refaire ma toilette ! »

« C'est parfaitement satisfais ..Aaah ! »

Sans transition, elle avait arraché le drap et entamé une fellation express avec l'aide de ses deux mains. Elle reconnut au début le goût de la cyprine féminine mais rapidement, quelques gouttes de pré-éjaculat mâle vinrent s'ajouter au mélange.

« Oui Cathy ... argh ... je vais ... je vais ... AAAH ... TIENS ... »

Elle remarqua que le sperme était plus liquide et moins abondant que d'habitude. Comme quoi, même un Doué pouvait être presqu'asséché après une soirée aussi animée.

« Merci ma douce, j'adore me réveiller avec toi... chaque matin est la promesse d'une belle journée »

« Vil flatteur ! C'est parce que tu es n'es qu'un gigantesque pénis que tu dis m'aimer» sourit-elle

« Je t'aime de tout mon coeur Cathy »

« Moi j'aimerais surtout arriver à temps à la faculté ! »

En voyant son air peiné, elle se prit à regretter ses paroles. Elle aimait son mari et ne comprenait pas pourquoi elle s'entêtait à ne pas le lui avouer. Pour essayer de se faire pardonner, elle lui tendit ses seins auxquels elle savait qu'il ne pouvait résister et qu'il embrassa avec délectation.

« Va, je ne te hais point » lui intima t'il, sa malice retrouvée.

Les trois semaines qui suivirent furent particulièrement frénétiques pour Catherine. En comptant ses heures de cours, le rattrapage de son retard et de rapides repas, elle était sur le pont quasiment dix-huit heures par jour sauf le dimanche matin où elle s'accordait le luxe de deux heures de sommeil en plus.

C'est avec des sentiments mitigés de soulagement et de regret qu'elle vit partir Gauthier durant toute la troisième semaine, rappelé d'urgence à Paris par Pierre. Les autres femmes de la maison décidèrent alors d'un tour de rôle pour lui tenir compagnie dans son lit la nuit mais cela n'améliorait pas son quota d'heures de sommeil. Surtout avec Suzanne qui possédait la même ardeur juvénile qu'elle sans la charge de travail.

Arrivèrent enfin les 20 et 21 décembre, dates des contrôles de fin de premier trimestre. Malgré sa nervosité face à l'importance de l'enjeu, elle parvint à bien dormir, en grande partie grâce à Virginie qui l'épuisa littéralement le dimanche soir. Sa langue était vraiment infatigable. Catherine profita d'une pause pour lui poser la question qui lui brûlait les lèvres depuis longtemps :

« Pourquoi ne t'es-tu jamais mariée? C'est Gauthier qui t'en empêche? »

« Non, pas du tout. Je prends même de temps en temps un amant quand il s'absente trop longtemps mais tu sais Cathy, quand tu as fait ne fût-ce qu'une fois l'amour avec un Doué comme mon frère, les autres hommes paraissent bien fades en comparaison. »

« Par chance, moi ça a été le contraire mais c'est vrai que je n'imagine pas revenir en arrière »

Le mardi soir, quand elle rentra à la maison, Gauthier était de retour, arpentant nerveusement le hall d'entrée. Il se précipita vers elle lorsqu'elle passa la porte.

« Cathy, tu vas bien? Tu m'as tellement manqué!Mais tu es toute pâle .. Tes examens ne se sont pas bien passés? »

« Gauthier, par pitié laisse-moi un peu de répit Je suis en effet épuisée ; j'ai besoin d'un peu me reposer. »

Il la porta au salon, demandant au passage à Honoré de lui apporter un flacon de sherry. Il s'assit avec elle sur le canapé et elle se pelotonna sur ses genoux, la tête nichée sur son épaule. Il lui fit boire un demi-verre de sherry et elle s'endormit comme une souche.

Elle dormit une heure entière sans qu'il n'ose bouger. Il se contentait de la contempler en caressant de temps à autre sa joue. Jamais il n'avait approuvé de sentiments aussi forts pour un autre être humain sauf peut-être sa mère quand il était enfant.

Elle finit par ouvrir les yeux et, le temps de réaliser où elle était, lui adressa un grand sourire lumineux qui le bouleversa encore plus. Il sentait son coeur battre la chamade dans sa poitrine et elle devait s'en rendre compte car elle venait de replier ses jambes pour se fondre encore plus avec lui.

« Gauthier, je ne pourrai jamais assez te remercier. Grâce à toi, je vais réaliser mon rêve ... »

« Tu as réussi les épreuves alors? »

« Je pense, oui même si cela ne sera officiel que jeudi. Cela va du 'Cum laude' en Anatomie à tout juste satisfaisant en Physique mais je pense qu'à la rentrée de janvier, mon statut passera d'élève libre à étudiante de première année. »

« Magnifique ma chérie et tu l'auras certainement mérité. J'ai rarement vu quelqu'un d'aussi acharné à la tâche que toi ! »

« Tu sais ce que j'aimerais maintenant? »

« Non mais je suis toute ouïe »

« Que tu me gardes dans tes bras et qu'on se fasse de gentils câlins toute la soirée. J'ai envie de tendresse et d'affection »

« Venant de quelqu'un à qui tu ne veux pas dire si tu l'aimes? »

« Mais si, je te l'ai déjà dit ! »

« Tu avais la gueule de bois et juste après j'ai commis cette bêtise au Moulin-Rouge. Depuis lors, tu ne parles qu'à ma verge .. ; »

« Dommage que le Pouvoir n'améliore pas aussi l'intelligence ... Tu crois vraiment que je serais restée avec toi et tes innombrables défauts si je n'étais pas amoureuse de toi? Tu es l'homme de ma vie Gauthier. Voilà, je l'ai dit ! »

Elle eut la surprise de voir ses yeux se remplir de larmes et il les frotta sur sa manche pour les éponger.

« Gauthier, pardon, j'ai été cruelle avec toi. En mon for intérieur, je savais que tu n'as jamais voulu m'humilier mais je voulais me venger et tu étais le seul disponible. Je n'en suis pas fière et j'espère que tu me pardonnes ... »

« Pour votre pénitence, ma femme, vous me direz 17.000 'Je t'aime' à raison de 1 par jour ! »

« Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime ... gloup ! »

Il venait de la faire taire d'un baiser.

« Ne triche pas ! Cela ne compte pas »

« Alors explique-moi ce chiffre idiot ! »

« Si je me base sur grand-père Karl, j'ai encore 17.000 jours devant moi ...A moins que je ne devienne gâteux avant ... »

« Pas de danger de ce côté-là ! Tu l'es déjà ! »

« Madame Lemestre, si vous continuez à me tourner en bourrique, il va falloir que je vous fesse ! »

« Ce n'est pas ce que j'appelle un câlin mais je veux bien essayer. Est-ce dans les ouvrages de Choderlos de Laclos ou du divin marquis que vous avez pêché ces idées monsieur mon mari que j'aime? »

« Je suis parfaitement capable d'imaginer tes admirables fesses rougies sans avoir à chercher d'autre inspiration ma chérie »

« C'est ce qui explique sans doute l'excroissance phallique que je sens sous lesdites fesses? »

« Hum .. ce n'est qu'une des explications. Tu m'as manqué toute cette semaine. On monte dans la chambre ou on prend le risque de rester au salon? »

« Qui risque d'entrer à cette heure-ci? »

« Virginie, Honoré, Lucie et Mariette.les autres domestiques restent dans la cuisine »

« A part Honoré qui est bien trop stylé pour nous interrompre, cela ne me pose pas de problème. Au contraire, j'ai aussi un petit retard en affection féminine .. ; »

« Ne me mens pas ... je me suis laissé dire que tu ne dormais pas vraiment toute seule ... »

« Non mais j'avais trop besoin de sommeil pour vraiment en profiter. Bon, tu te décides?»

Il se leva sans la lâcher et la porta jusqu'à la grande table où il la coucha sur le ventre et remonta sa robe avant de baisser ses dessous qu'elle enjamba docilement avant d'écarter les jambes.

« Aïe ! »

Il venait de lui envoyer une grande tape sur la fesse droite.

« Aïe ... Brute ! »

La fesse gauche.

« Aah ! Aïe ! »

Une doublette

« J'avais raison ma chérie, j'adore voir tes fesses rougir sous la fessée ... »

« Pas moi ... Aïe ... aaah ... aaaah ... »

« Mais tu mouilles? »

« Je mouillais déjà avant ! Aïe ... aah .. aïe !»

« En tout cas, cela me donne une trique d'enfer ma mie ! »

« Alors .. aïe ... baise.. . moi ... aah »

Il libéra péniblement sa verge et se positionna derrière elle. Il la pénétra millimètre par millimètre, faisant durer le plaisir des retrouvailles jusqu'à ce qu'elle donne un grand coup de reins vers l'arrière pour s'empaler complètement sur l'énorme braquemard.

« Aïïïe ! J'ai les ...aah ... fesses .. aaah vif ! »

« AAARGH ! JE ... VIENS ! »

Il fit à pleine vitesse quelques allers-retours pour se vider complètement avant de s'affaler sur le dos de sa compagne.

Walterego
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