Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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On frappa doucement à la porte. Avait-il changé d'avis? Elle lança un "entrez" à mi-voix et deux des servantes se précipitèrent dans la chambre.

"Bonsoir Madame, le Maître nous a envoyées pour vous servir" dit la première, une jolie brune. "Je m'appelle Mariette et voici Lucie" ajouta t'elle en désignant sa collègue aux cheveux noir de jais et toute aussi jolie.

"Euh merci ... je pense que j'aurai en effet besoin d'aide pour enlever cette robe. La couturière a eu besoin de trois aides pour m'emprisonner dedans !"

Les deux jeunes femmes commencèrent à papillonner autour d'elle, déboutonnant la robe au fur et à mesure de leur progression tout en rangeant les fleurs et bijoux qui l'ornaient sur le secrétaire placé devant la fenêtre.

En moins de dix minutes, Catherine se retrouva en bas et sous-vêtements tandis que Mariette suspendait la robe de mariée dans la garde-robe passablement vide qui occupait presqu'entièrement le mur côté couloir.

"Merci Mesdemoiselles; je vais me rafraîchir. Pourriez-vous me trouver ma chemise de nuit et la déposer sur le lit? Je vous souhaite une bonne nuit."

Les deux jeunes filles lui firent la révérence en souriant tandis qu'elle passait dans l'annexe.

Après avoir procédé à des ablutions bien nécessaires après une journée aussi éprouvante, elle s'enveloppa dans une grande serviette qui l'attendait sur un présentoir et retourna vers la chambre plongée dans la pénombre. Elle laissa glisser la serviette et chercha vainement à tâtons la chemise de nuit sur l'imposant lit qui trônait au milieu de la pièce .

"Les filles ne l'ont pas trouvée ou l'ont oubliée" se dit-elle "Soit; je pensais passer quand même passer ma nuit de noce nue ..."

Elle s'allongea sous les draps et roula au milieu du lit sans repérer immédiatement la silhouette qui la suivit dans la foulée. Ce n'est que lorsqu'elle sentit une main se poser sur son ventre qu'elle poussa un cri de surprise.

" IIIK ! QUI ETES-VOUS? ALLEZ VOUS EN !"

"N'ayez pas peur Madame, c'est moi Lucie" dit une voix qui venait du même côté que la main.

"Et c'est moi Mariette" répliqua une voix qui venait de l'autre côté du lit. "Le Maître nous a ordonné de prendre soin de vous cette nuit".

Deux corps nus mais chauds se serrèrent contre elle, la prenant en étau avant qu'elle ne sente les mains des filles explorer sa poitrine tandis que dès lèvres venaient bécoter son cou de part et d'autre.

"Arrêtez immédiatement ! C'est indécent"

"Mais Madame, c'est notre Maître qui nous a ordonné de nous occuper de vous"

"Certainement pas comme cela !"

"Au contraire, il a été rès clair; nous devons veiller à votre plaisir !"

"C'est hors de question; veuillez quitter mon lit sur le champ !"

La voix de Mariette lui répondit d'un ton étranglé "Madame, s'il vous plaît; si nous n'obéissons pas au Maître il ne voudra plus de nous et que deviendrons-nous alors?"

Catherine se remémora les explications de Gauthier sur ses Influencées, objets sexuels sans libre arbitre et tenta une diversion.

"Que vous a t'il dit exactement et je veux ses propres mots !"

"Il nous a dit de vous caresser jusqu'à ce que vous jouissiez trois fois."

"Trois fois? Il faudrait que vous soyez des magiciennes ! Je n'y arrive pas toujours une seule fois ..."

Catherine se rendit compte que malgré ses protestations, les deux jeunes filles n'avaient pas interrompu les caresses qu'elles lui prodiguaient et sentait son propre corps la trahir. Lorsqu'une bouche gourmande s'empara de son mamelon droit, elle défaillit et décida de s'abandonner à l'inévitable. Toute la journée, elle avait été obsédée par l'idée de sa nuit de noces et elle réalisait que 'elle aussi avait des besoins à assouvir. Une autre bouche se posa sur son mamelon gauche tandis que son ventre et ses cuisses devenaient le clavier d'une partition à quatre mains.

Elle commença à haleter de désir et poussa un gémissement lorsque des doigts se posèrent sur son clitoris qu'elle imaginait saillant hors de sa capuche. Elle se mit à gémir de plus en plus bruyamment sous les caresses enfiévrées des deux coquines et, soudainement, une vague de jouissance déferla dans son bas-ventre et elle se cambra en pressant les têtes de ses amantes sur son ample poitrine broyée par leurs bouches démoniaques.

Ses soubresauts se calmèrent petit à petit mais elle faillit jaillir hors du lit lorsqu'elle réalisa qu'une langue venait de prendre le relais des doigts sur son bouton d'amour. Elle avait souvent imploré cette faveur de la part de Rupert qui s'y était toujours refusé tout en n'ayant aucun scrupule à lui enfourner son chibre dans la bouche.

Les filles avaient changé de position; l'une d'entre elles était à demi-couchée entre ses jambes et lui léchait le minou tandis que l'autre lui pinçait les tétons pendant que sa bouche remontait le long de son cou pour finir par se poser sur ses lèvres. Complètement subjuguée, Catherine entrouvrit sa bouche pour laisser le passage à la langue de Lucie (ou Mariette?) qui l'envahit comme un soudard, étouffant au passage une nouvelle cascade de gémissements de plaisir qui roulait au fond de la gorge de la jeune épouse.

Jamais Rupert n'avait embrassé Catherine avec autant de passion et la jeune femme se sentit à nouveau transportée vers l'extase. Sans interrompre le baiser, elle empoigna la tête entre ses jambes et la plaqua contre son intimité en fusion. L'image de Gauthier manoeuvrant le visage de la servante de l'ambassade sur sa verge lui revint en mémoire et son excitation monta encore d'un cran tandis qu'elle traitait sa jeune amante de la même façon, ne sachant plus très bien si c'était une langue, un nez ou un menton qui lui brûlait les parties intimes...

"OUI ... OUI ... OUIIII " cria t'elle en atteignant une seconde fois un orgasme ravageur. Lâchant la tête entre ses jambes, elle enlaça l'Influencée qui l'embrassait et plongea sa langue au plus profond de la bouche aimante avant de la relâcher, complètement hors d'haleine.

"Mes douces, vous m'avez épuisée mais qu'est-ce que c'était bon !"

Elle entendit vaguement un bruit de frottement et une lampe à huile fut allumée sur la table de chevet. Mariette vint se blottir contre son côté gauche et Lucie côté droit, toutes deux posant leur tête au creux des épaules de leur grande compagne.

Lucie lui murmura d'une toute petite voix au creux de l'oreille "Vous direz au Maître que nous vous avons donné du plaisir Madame?"

"Je ne sais pas si cela le regarde mais s'il me pose la question, je lui dirai que vous m'avez comblée mes chéries ! Ceci dit, je ne crois pas que je pourrai remettre le couvert pour un troisième opus ..."

"Est-ce que vous nous permettez de nous donner du plaisir entre nous alors Madame"

"Si vous me laissez regarder .."

Avec un petit gloussement, Lucie passa par-dessus le corps de sa maîtresse non sans lui effleurer les aréoles de ses seins au passage et vint se jucher sur Mariette. Les deux filles s'embrassèrent avec autant de passion qu'elles en avaient mis avec Catherine et se caressèrent les seins avant que leurs mains ne descendent à l'unisson vers leur intimité. Lorsqu'elles écartèrent leurs jambes pour faciliter l'accès à leur trésor caché, Catherine s'aperçut alors qu'elles étaient dépourvues de toute toison pubienne. La vue sur leurs sexes luisants était imprenable et plus qu'attirante car elle sentit comme des papillons s'agiter dans son ventre. Elle porta la main à son entrejambe et explora sa propre toison trempée et dont l'abondance contrastait avec les pubis glabres qui s'offraient à sa vue.

Ses compagnes haletaient déjà à qui mieux mieux et il ne leur fallut que quelques minutes pour se pâmer à peu près en même temps mais ce ne devait être que le hors-d'oeuvre car, à la grande surprise d'une Catherine de plus en plus émoustillée, elles s'installèrent tête bêche et se léchèrent mutuellement la chatte tout en introduisant leurs doigts puis leur main entière dans le sexe de leur partenaire. Leurs gémissements, même à moitié étouffés par le sexe de leur partenaire, allaient crescendo comme montait l'excitation de Catherine, de plus en plus bouleversée par le spectacle offert sous ses yeux avides.

Lorsque les deux corps se tétanisèrent au paroxysme de leur plaisir, la jeune femme n'y tint plus et commença à se masturber avec un enthousiasme qu'elle ne se connaissait pas. Fermant les yeux, les fit tourner son index et son majeur sur son clitoris enfiévré jusqu'à ce que tout d'un coup d'autres doigts s'introduisent dans son antre d'amour. Ouvrant imperceptiblement les paupières, elle entrevit Lucie penchée sur elle, son bras progressant lentement entre ses jambes.

"Laissez-vous faire Madame, c'est moi qui ai la plus petite main !"

Catherine gémit à nouveau tandis que le nombre de doigts fureteurs augmentait jusqu'à ce que toute la main de la petite ait envahi son vagin. Puis ce fut le tour du poignet ! Jamais Catherine n'avait ressenti une telle plénitude et lorsque Lucie entama un mouvement de va et viens aussi lent que frustrant, elle commença à donner de petits coups avec son ventre pour accélérer le tempo de la redoutable pénétration.

« Vas-y ... n'aie pas peur ... Plus fort, j'aime ! »

Déchaînée, elle attrapa le bras de Mariette et la fit remonter vers elle.

"Viens, je veux apprendre ... je veux te goûter !"

Docile, Mariette fit passer une de ses jambes par-dessus la poitrine de Catherine et son sexe glabre s'abaissa lentement vers la bouche de sa maîtresse toujours empalée sur l'avant-bras de Lucie.

A la lueur de la lampe à huile, Catherine eut le temps d'admirer la corolle luisante avant qu'elle n'en découvre le goût qui l'excita encore un peu plus. Elle gémit et s'enfonça encore un peu plus sur le godemiché humain qui distendait sa propre intimité.

Elle entendit la voix de Mariette "Oui Madame ! C'est là ... Ooooh merci Maîtresse ..."

Les mains de la petite servante vinrent caresser les mamelons larges comme des pêches de sa maîtresse et ses doigts en pincèrent les tétons comme pour lui communiquer l'intensité de son plaisir.

Eperdue, Catherine lança ses puissantes mains d'infirmière à l'assaut de la poitrine de la jeune fille qu'elle malaxa comme de la pâte à pain. Dans le même temps, sa langue s'acharnait sur le bouton d'amour entre deux allers retours le long des grandes lèvres enamourées.

Ses coups de hanches s'accélérèrent d'autant plus que Lucie utilisait maintenant son autre main pour lui caresser le clitoris. A bout de désir, elle sentit son ventre exploser et ses mains se crispèrent sur les seins de Mariette déclenchant un orgasme chez celle-ci aussi.

Elle savourait son extase et ne se rendit même pas compte que la main de Lucie la quittait. Ce n'est que lorsqu'elle fut bousculée par deux corps en fusion qu'elle réalisa que ses deux compagnes avaient recommencé s'ébattre entre elles. Cette fois c'était Lucie qui bénéficiait des attentions de Mariette qui la pistonnait de la main avec ardeur.

Profitant de la distraction de ses compagnes, Catherine quitta le lit et se dirigea vers la porte qui séparait sa chambre de celle de son soi-disant mari. Comme lors du bal, elle l'entrebâilla prudemment mais cette fois, ce fut un hurlement qui l'accueillit :

"AAAH .. MAITRE ... C'EST TROP ! ... OOOH ... Je n'en peux plus ... pitié ... aah ... Maître "

Poussant sa tête dans l'échancrure, elle vit Gauthier qui soulevait à bout de bras une jeune femme écartelée contre le mur et la pistonnait avec une vigueur ahurissante. Catherine en frissonna. Soudainement, elle était heureuse de ne pas être soumise à un tel déchaînement de puissance. A ce moment-là, Lemestre donna un dernier coup de rein monumental et s'immobilisa entre les jambes de son amante qui en sanglota de joie.

"Ooh Maître ... merci ... merci ... C'est si bon de vous sentir couler en moi ..."

Sans un mot, Lemestre la déposa dans un fauteuil à côté duquel était pelotonnée une autre fille dont les jambes écartées laissaient entrevoir un sexe gonflé et laissant écouler un ruisselet de semence masculine.

L'homme se dirigea ensuite vers le lit ou une troisième jeune femme semblait l'attendre. Il lui présenta sa verge légèrement dégonflée mais toujours monumentale.

"Catherine, suce-moi" lui ordonna t'il d'un ton sans réplique.

Son épouse eut un moment de panique. L'avait-il vue? Mais l'autre jeune femme prit l'ordre pour elle et rampa vers le bord du lit pour gober le sexe de Gauthier. C'est à ce moment que Catherine de Montigny se rendit compte que la Catherine sur le lit aurait pu être sa soeur ou une cousine tant leur ressemblance était frappante : grande, au moins un mètre soixante-dix, les mêmes cheveux courts auburn et une forte poitrine sauf peut-être les mamelons qui avaient l'air nettement plus petits que les siens. La fille était aussi un peu plus forte à la taille mais sinon c'était son portrait tout craché.

Avec un air de déjà-vu, elle vit Gauthier s'emparer de la tête de la jeune femme et la manipuler avec la même vigueur qu'il avait utilisée avec la servante au bal. Mais cette fois, il semblait s'auto-exciter verbalement

"Suce-moi Catherine, plus fort ... Je vais défoncer ta bouche ... Humpf ... Puis je te prendrai et je jouirai en toi, ... femme ... aah ... je vais t'inonder ... Tu es à moi ... à moi ... A MOI !"

Il se retira brusquement, renversa Catherine bis sur le lit et s'étendit sur elle. Il eut visiblement des difficultés à pénétrer la jeune femme qui gémit d'inconfort mais dès qu'il fut en elle, il la matraqua comme un forcené. Son épouse était pétrifiée. Elle voyait l'énorme braquemart s'agiter comme une bielle de locomotive entrant et sortant du sexe martyrisé de la servante et se demandait comment cette dernière pouvait encaisser pareils sévices mais les gémissements de douleur avaient fait place à des glapissements de plaisir et la jeune femme encourageait maintenant les pénétrations :

"Oooh ... OUIIII ... encoore ... aaah ... Maître ... Vous êtes ... aah ... si fort ..."

"TU ES A MOI CATHERINE ! DIS-LE !"

"OUIII MAITRE, JE VOUS APPARTIENS ... AAAH ... TOUTE ... A VOUS!"

Scandalisée, effrayée mais aussi un peu envieuse, Catherine de Montigny referma la porte et s'en retourna vers son lit tout en se demandant à qui Lemestre s'adressait dans son désir de possession : à la jeune servante où à l'épouse qu'il avait éloigné de sa couche?

Mariette et Lucie avaient fini leur propre voyage au septième ciel et s'étaient endormies dans les bras l'une de l'autre. Leur maîtresse en profita pour s'étendre sur le côté du lit resté libre mais elle eut du mal à trouver le sommeil. Chaque fois qu'elle fermait les yeux, des images de copulation lui traversaient la tête, avec en tête de cortège l'énorme engin de son très infidèle époux. Avec un soupir de résignation, elle glissa une main dans son entrejambe et entreprit de se caresser comme au temps de son adolescence mais une fois de plus, le plaisir qu'elle parvint à s'arracher lui sembla bien terne par rapport aux prestations que Gauthier semblait réserver à ses maîtresses.

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Anonymous
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2 Commentaires
histoiresdellehistoiresdelledans moins d’une minute

Toujours aussi conquise par l'imagination et l'art de raconter

AnonymousAnonymeil y a 5 mois

Complètement enchanté par ce récit. Je suis impatient de découvrir la suite de cette fabuleuse histoire…

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